• DYNAMIQUE DE GROUPE <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Qu’est ce que la dynamique de groupe ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est un ensemble des phénomènes psycho sociologiques <o:p></o:p>

    dans les petits groupes et l’étude des lois naturelles qui les<o:p></o:p>

    régissent<o:p></o:p>

    c’est une méthode de groupe pour agir, voir, soigner la personnalité, pour que  le groupe agisse sur l’individu, pour que les petits groupes agissent sur les grands groupes appelés groupe d’influences , ex : le nazisme <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    c’est la science de ces phénomènes dans un groupe dit primaire et l’identification des lois internes :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → relation entre le groupe primaire et l’environnement. les inters influences sont susceptibles de modifier le groupe et l’environnement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → l’influence du groupe primaire sur le comportement des individus qui le compose et cela suivant le regard posé du groupe sur l’individu <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → l’étude affective des groupes que l’on appelle « le vécu » groupal, il est différent de la somme des sentiments ressentis par les individus composant le groupe. le groupe n’est pas la somme des individus <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → étude de facteurs  de cohésion et de dissociation à l’intérieur des groupes primaires, ces facteurs étant associés à la notion de temporalité qui assure l’existence du groupe <o:p></o:p>

    Cette méthode va exercer une action psychologique qui oriente l’individu et le groupe vers des phénomènes de changements par le moyen du groupe. On aboutit à des groupes d’influences et groupes de manipulation, ce sont des recherches qui ont amenés des études sur la manipulation mais on aussi déclenché la méfiance du public vis-à-vis des psycho sociologues.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    on utilise les méthodes psycho thérapeutiques de groupe qui se serve de la situation de relation inter personnelles dans un groupe pour le diagnostic du trouble et de son traitement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise des lois issues des recherches sur la dynamique de groupe pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe. le but est d’améliorer le fonctionnement, l’efficacité et l’auto régulation des petits groupes dans toutes les situations ou ils ont des objectifs à atteindre <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etude et la mise en œuvre des changements sociaux par le moyen des petits groupes, les objectifs à atteindre sont la responsabilisation et l’autonomie des personnes. la maturité sociale et l’intégration du changement par le groupe, l’efficacité des groupes face aux changements, l’adaptabilité des petits groupes à l’environnement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ces deux axes sont constitutifs da la dynamique de groupe et interdépendants <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Groupe primaire ou restreints : permet de voir l’émergence sociale de certains groupes : association, village, famille <o:p></o:p>

    C’est un groupe primaire : <o:p></o:p>

    • Si leur découpage ne correspond pas à une catégorie abstraite, les individus ne sont pas reliés par un seul point commun, ex : les fumeurs <o:p></o:p>
    • Si leur découpage ne correspond pas à une catégorie démographique, de sexe, d’age ou d’activité et à une réalité économique ou socio économique <o:p></o:p>
    • Réalité socio culturelle <o:p></o:p>
    • Le groupe primaire est limité par le nombre, groupe restreint <o:p></o:p>
    • Chacun se connaît et se reconnaît et peut établir des relations personnelles avec les autres et note l’existence des relations de chacun avec tous. le groupe primaire constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à l’environnement naturel ou social par opposition il y a des groupes secondaires caractérisé par des relations indirects caractérisé par un sentiment d’appartenance globale <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La dynamique de groupe se présente sous deux formes : <o:p></o:p>

    ▪ forme de méthode donc de pratique <o:p></o:p>

    ▪ forme de courant de recherche qui correspond à cette méthode <o:p></o:p>

    Les places que l’on occupe dans un groupe sont toujours les mêmes, l’organisation dans le temps signifie et manifeste les relations qui avancent, il peut y avoir des relations sans interactions <o:p></o:p>

    En psychologie, la distance entre soi et l’autre suscite le désir , COOLEY , 1909 a empreinté l’expression « dynamique de groupe »  qui la lui-même empreinté à TONNIS , qui fait la différence entre communauté avec des relations directes et personnelles  et avec la société organisé ou on a des relations structurés et impersonnelles . Les individus qui composent le groupe primaire ont intégrés en eux un nous qui c’est substitué au jeu, par opposition les groupes secondaires se caractérisent par des relations indirectes et un sentiment d’appartenance globale, des communications par intermédiaire <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Classification des groupes primaires <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ü      Groupes naturels, constitués de façon spontanée <o:p></o:p>

    ü      Groupes artificiels, ils peuvent momentanés ou persistants <o:p></o:p>

    ü       Groupes primaires naturels sont par ex la famille élargie, les amis, ils sont caractérisés par des relations affectives naturelles <o:p></o:p>

    ü      groupes primaires artificiels sont les camps de vacances, groupes expérimentaux, groupe de formation <o:p></o:p>

    ü      groupes primaires durables, persistants existent sur une longue durée, par ex les clubs <o:p></o:p>

    ü      groupes primaires momentanés sont d’une faible empreinte, les membres en ont un souvenir limité dans le temps <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les caractéristiques psycho fondamentales <o:p></o:p>

    o        1er caractéristique : l’interaction suppose une relation directe et inter influence des réactions et une inter pénétration des cadres de référence, on les appelle (interaction) les échanges, ils sont directes sans intermédiaire, ils sont verbales et ou non verbale, par rapport à ses interactions, le groupe influence les attitudes des individus <o:p></o:p>

    o        2eme caractéristique : l’émergence des normes, ce qu’on appelle norme des règles de conduite structure et supporte le groupe. Dans un groupe primaire, elles se constituent avec le temps et ce qui est conforme à des normes et considéré comme bien. Pour les membres du groupe, l’ensemble des ces normes constitue sont code des valeurs de groupe, se code varie d’un groupe à l’autre <o:p></o:p>

    o        l’existence de but collectif commun : résoudre un problème, effectuer une tache, s’organiser défensivement, survivre sont autant de but de groupe, la communauté de groupe est le ciment du groupe. Et par ce critère là « existence de but collectif commun », le groupe a une cohésion <o:p></o:p>

    o        existence d’émotion et sentiments collectifs, cette existence correspond aux situations dans lesquelles le groupe se trouve, à sa gestion des organisations et aux réactions collectives <o:p></o:p>

    o        émergence d’une structure informelle qui est de l’ordre de l’affectivité et qui est l’organisation et la répartition de la sympathie antipathie, les voix par lesquelles circule l’influence, la position des membres dit populaires et ceux dit rejetés, la naissance de sous groupes dans le groupe avec des pôles de conflit ou d’attraction.  On parle de structure informelle car elle est non officielle et souvent non consciente donc cette structure informelle peut entrer en conflit, opposition avec une structure formelle, officielle imposée de l’extérieur <o:p></o:p>

    o        existence d’un inconscient collectif, l’histoire commune vécu par le groupe, son existence collective et son passé sont des sources  de problème latents de points sensibles qui sans être présent à la mémoire actuelle font partie de la vie du groupe  et en explique les réactions. le groupe n’a pas conscience des phénomènes psychologiques qui déterminent les conduites de ces membres et les membres n’ont pas conscience des phénomènes psychologiques qui déterminent leur conduite en groupe <o:p></o:p>

    o        l’établissement d’un équilibre interne est un système de relations stables avec l’environnement, à travers les difficultés de son existence le groupe engendre un double système d’équilibre ; système interne et externe c'est-à-dire inter groupal et par rapport à ce contexte, lorsque cet équilibre est remis en question par rapport à  certain événement, le groupe s’y résiste et survit et tente à reconstituer un nouveau équilibre <o:p></o:p>

    Nous venons de voir les données caractéristiques et critères qui permettent de comprendre pourquoi divers groupes sont malgré leur diversité de personne, style d’existence sont des groupes primaires appelés communément petits groupes ou groupes restreints <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les différentes influences qui ont fabriqué cette dynamique de groupe : courant et contexte <o:p></o:p>

    L’étude des petits groupes humains a été influencée par des courants et contextes qui ont contribués à modéliser la dynamique de groupe <o:p></o:p>

    1er courant d’influence : <o:p></o:p>

    Le modèle empreinté à l’électro magnétisme, il est dit qu’un groupe, c’est un champ de force qui s’exerce à l’intérieur d’une zone de liberté laissé par les institutions sociales. Dans ce courant la conduite du groupe est la résultante de la combinaison de ses forces selon les lois psychologiques ; KURT LEVIN est l’inventeur de la conception générale du champ, il tire certaines lois dont une très importante, « tout groupe fonctionne suivant un équilibre quasi stationnaire et résiste à tout changement autre que des variations autour de cet équilibre ». LEVIN est un psychologue expérimentale sur les groupes artificiels autour de ces lois et peu avant sa mort il abandonne cette théorie à cause d’un manque d’explication sur certains mouvements de groupe résultant de phénomène inconscient <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Groupes primaires et leurs interactions <o:p></o:p>

    L’objet d’étude des : structure et fonctionnement des groupes sociaux et le rôle joué par les membres : <o:p></o:p>

    Kurt Lewin : rôle de chacun des membres, agent de changement <o:p></o:p>

    Moreno : travail sur la formation des gangs ou chacun s’attribue un rôle <o:p></o:p>

    Dynamique, relation entre force et mouvement, l’affinité est un concept de sympathie, de dé sympathie, d’indifférence <o:p></o:p>

    L’énergie du groupe est au service dedeux fonctions :<o:p></o:p>

    • conservation<o:p></o:p>
    • progression ver le but <o:p></o:p>

    On peut dire que le groupe restreint est différent d’une foule (rassemblement épisodique d’un grand nombre d’individus non nécessairement les mêmes, prédisposé à l’apathie devant un meneur, à la contagion des émotions et aux actions paroxystiques<o:p></o:p>

    Il est différent d’une bande qui est caractérisé par la recherche du semblable et le renforcement de l’identification à celui-ci , différent d’un groupement ou d’une association dont le but est de confier  à des représentants actifs, la défense des intérêts communs à des gens qui se connaissent peu personnellement<o:p></o:p>

    Différent d’un groupe secondaire ou organisation qui rassemble un assez grand nombre d’individus en vue de taches différenciées et régie les rapports entre le individus par rapport  à l’institution selon les structures et les règles de fonctionnement pré établies dans l’institution <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Perspective Lewinienne : il applique à la gestadthéorie à l’étude des groupes et il envisage le groupe comme un tout dont le fonctionnement est autonome  <o:p></o:p>

    Selon lui en agissant sur un élément privilégié, on peut modifier la structure d’ensemble, il élabore des modifications en labo sur des groupes artificiels, puis il les applique à des groupes réels (atelier, école, quartier) <o:p></o:p>

    Le petit groupe modifié est un agent de changement social à l’intérieur de secteur plus vaste de la collectivité, le groupe est un double système interdépendant entre les membres et les éléments du champ (contexte) <o:p></o:p>

    Tout ce qui va représenter les normes, buts, représentations du milieu interne et externes, la division des groupes, la définition des statuts <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kaufman, théorie du champ, le système des interdépendance d’un groupe donné, explique les conduites de ces membres .De la émerge les thèmes d’études , le climat et le moral, le prise de décision, l’autorité, rôle et attitude, créativité, négociation, résistance au changement   <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moreno : psychothérapie de groupe et mouvement de psychodramatique, théâtre thérapeutique qui repose sur la théorie du rôle : le théâtre impromptu <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin crée la fondation du contre de recherche sur la dynamique de groupe : out groupe se forme et s’installe dans une forme selon l’équilibre des forces et des tensions et selon le champ perceptif des individus<o:p></o:p>

    La notion d’équilibre d’une forme associée à celle de dynamique des énergies permet d’analyser l’organisation et les changements dans les groupes  <o:p></o:p>

    En 1923, Lewin émigre aux E.U, quittant l’école de la gestadthéory en Allemagne ou il étudiait des ensembles de configuration signifiante, par rapport auquel se situe et agisse les individus <o:p></o:p>

    Gestadthéory : psychologie de la bonne forme c'est-à-dire une forme prégnante qui se détache d’un fond non structuré constituant ainsi un ensemble limité structuré<o:p></o:p>

    L’étude de Lewin est au niveau de la perception puis il étudie l’individu par rapport à la configuration générale de son espace de vie au champ psychologique <o:p></o:p>

    Champ psycho : organisation et configuration des significations que les choses, les êtres et les situations ont pour lui .Psycho en terme d’espace : psy topologique <o:p></o:p>

    Lewin s’intéresse au groupe en temps qu’ensemble, climat psycho où se détermine des conduites individuels <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1946, il quitte Harvard et intègre le centre de recherche de dynamique de groupe à Ann. Harber (institut for social recherch)  <o:p></o:p>

    Il conduit à l’université de nouvelle Britain une session historique d’où né le T .groupe nommé aussi le training groupe , fondé sur la parole des participants <o:p></o:p>

    Si pour Lewin les groupes sont des totalites dynamiques résultant des interactions entre les différents membres, c’est en fonction de l’organisation perceptive de l’espace sociale que les énergies mise en jeu se compétent et se combattent : les groupes fonctionnent aux changements :<o:p></o:p>

    Si le groupe est un champ de force alors l’intégration de l’info dans le champ perceptif du groupe va déclancher le changement <o:p></o:p>

    Lewin : conduite alimentaire<o:p></o:p>

    Il constate que la ménagère prend les décisions d’achats alimentaires, il est jugé négativement car possibilité de changer les capacités d’achat <o:p></o:p>

    Des craintes subjectives sont passablement dé passable : blocage<o:p></o:p>

    Résolution pour changer les capacités 32% ; en déplaçant les énergies du groupe vers un nouvel équilibre c'est-à-dire convaincre personne après personne qu’elle est inadapté face à un processus de groupe .Ici le but est de réduire les craintes et de déplacer la norme <o:p></o:p>

    • 1er étape : restructuration du champ perceptif<o:p></o:p>
    • réduction de la tension<o:p></o:p>
    • possibilité de changement <o:p></o:p>

    Il est plus facile de changer les habitudes d’un groupe que celles d’un individu, il existe toujours un facilitateur de changement, dans ce cas la ménagère est ce qu’on appelle un leader d’opinion <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans tous les groupes, les individus agissent dans un système d’équilibre, chaque groupe possède son champ dynamique d’équilibre avec ses canaux de communication, ses frontières, ses portiers et ses barrières<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les vies et expériences avec les enfants  <o:p></o:p>

    Celles-ci ont occasionné avec le concept de climat .La notion de changement va avec la résistance au changement cette idée  est en train de revenir au niveau des chercheurs de ‘info communication <o:p></o:p>

    3étapes dans le changement <o:p></o:p>

    • décristallisation : on informe, explique, sensibilise <o:p></o:p>
    • changer : déplacer les résistances  et réduire les tensions <o:p></o:p>
    • recristalliser : créer un nouvel équilibre satisfaisant les membres du groupe et consolider cet état de nouvel équilibre<o:p></o:p>
    • Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de l<o:p></o:p>

    Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de l’enfance et donc qu’il atteint un étayage de la personnalité alors il risque (le changement) d’être difficile à installer lors d’une communication dans le groupe sauf à envisager un groupe psycho thérapeutique<o:p></o:p>

    Le changement tel que l’explique Lewin ne touche que les couches superficielles de la personnalité ainsi que les comportements identificatoires ( on accepte l’idée qu’il y a un changement) , tout changement suppose que le groupe se retrouve « dans une bonne forme » et une nouvelle organisation satisfaisante pour le groupe, cela a donné lieu a une expérience sur le climat : Lippit,White et Lewin <o:p></o:p>

    (3gr différents, 3 façons différentes de donner les consignes, 3 façons différente dont l’animateur se déplace)  donc on obtient 3 climats <o:p></o:p>

    Autocratique : groupe où l’organisation est définit de l’extérieur par l’expérimentateur qui a donné au préalable objectif et moyen pour la réalisation des buts c'est-à-dire avec des éléments conscients<o:p></o:p>

    Démocratique : il y a une interaction des individus pour trouver une organisation optimale, l’expérimentateur définit avec les enfant, but, moyen, répartition des taches<o:p></o:p>

    Laisser faire : l’expérimentatoire pose la consigne et n’intervient plus <o:p></o:p>

    «  TYPES DE CLIMAT qui vont donner lieu à 3 types de réaction » <o:p></o:p>

    • Autocratique, autoritaire : présente des résultats médiocres avec une bonne efficacité pourtant peu d’enthousiasme chez les enfants, réalisation poussive, les interactions sont tendus on note de la frustration et une oscillation entre apathie et agressivité.Si l’expérimentateur sort la tâche est interrompue , le groupe est dit non autonome <o:p></o:p>
    • Démocratique : les résultats sont bons, niveau de production élevée et satisfaction aussi, les relations entre les membres sont fondés sur la coopération avec la réduction de tension , la tache est poursuivie lorsque l’animateur sort,le groupe est autonome<o:p></o:p>
    • Laisser faire : présente des résultats mauvais , sentiment de frustration important ainsi que les comportements d’agressivité , le groupe est no autonome avec un sentiment d’échec important  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe démocratique constitue une forme idéale d’organisation, il répond aux valeurs idéologiques ambiantes et aux comportements intériorisés de l’éducation <o:p></o:p>

    Modèle et valeurs intériorisés « donne la bonne forme » pour un groupe quand à son organisation, elle répond à un équilibre momentanée des forces mises en jeu  


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  • APPROCHE PSYCHOLOGIQUE DE LA PUBLICITE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    =) dimension culturelle de la publicité : s’inscrit dans deux pôles <o:p></o:p>

    1pole : entreprise qui n’ont pas d’autre but que de nous faire consommer.<o:p></o:p>

    Tout est objet de communication, le but de la pub est le contraire d’un but humaniste, son but est d’acquérir le plus de part de marché<o:p></o:p>

    2pole : il y a un mouvement très fort, constitué d’individu, il décrit la pub comme un avertissement à l’esclavagisme<o:p></o:p>

    Mouvements : NO PUB, NO LOGO, ceux-ci sont importants car ils s’inscrivent dans un mouvement politique plus large, ils analysent l’activité publicitaire comme étant l’expression de la marchandisation du monde, tout est à vendre, tout se vaut (un livre, savon, voiture).Nous sommes avant tous des homos économicus, c’est l’économie qui est faite pour l’être humain.<o:p></o:p>

    Un retour en arrière est il possible ?<o:p></o:p>

    Marshall MCLUAN, dans les années 60 aux EU a prophétisé le développement de la TV.<o:p></o:p>

    Il explique que le « Médium c’est le message », peut importe le contenu ce qui compte c’est l’action apaisante du contenu, les deux sont confondus, ce qui passe c’est la capacité du média à nous rassurer.Cette sollicitation a créer une forme de résistance passive. Tous messages publicitaires sont fabriqués pour percer notre carapace pour nous toucher, nous atteindre.<o:p></o:p>

    → La publicité jusqu'à présent a été une communication de masse, elle s’est adressée à nous et aujourd’hui, il y a la publicité sur Internet et son impact est encore réduit et l’impact des médias classiques restent dominant.<o:p></o:p>

    → la publicité est une technique de persuasion collective, elle élabore des procédures, des moyens pour nous persuader.<o:p></o:p>

    Convaincre : c’est faire appel à sa raison, échanger des arguments rationnels<o:p></o:p>

    Persuader : utiliser des chemins qui vont s’adresser à notre affectivité , la technique de persuasion va déclencher le moment de l’acte d’achat, on est dans la propagande politique, la publicité est une propagande qui va se diffuser dans nos têtes.<o:p></o:p>

    *La publicité c’est loin de fabriquer des objets, elle fabrique mon identité, mode de vie, relation sexuelles, amicales et sociales.<o:p></o:p>

    Dans cette société les individus interagissent en acceptant de jouer des rôles, la publicité vient se superposer à cette panoplie sociale, elle peut renforcer les stéréotypes sociaux, la publicité est conformiste, elle met en place des modèles psychologiques et sociologiques, la publicité a des conséquences sur beaucoup de dimension.<o:p></o:p>

    Il y a 2 métiers dans la pub : les créatifs et les acteurs artistiques (fabrique les images) <o:p></o:p>

    On va poser les éléments d’une anthropologie (discipline qui essaye de comprendre comment les êtres humains fonctionnent) de la publicité.<o:p></o:p>

    ·         Faire de la pub, c’est s’inscrire dans une série d’action sociale et culturelle<o:p></o:p>

    ·         On veut comprendre la façon dont l’être humain fonctionne, pour cela il faut regarder les messages publicitaires<o:p></o:p>

    La publicité nous tend un miroir, car on croit que nous regardons la pub, mais c’est la pub qui nous regarde, toutes les mesures qui se sont développés et sondages, tous ces tests servent à nous cerner au plus prés de ce que nous sommes et lorsque la pub nous interroge, elle interroge des individus qui se perçoivent à l’intérieur d’un cadre de la pub, elle mesure ce que nous pensons et vivons au contact de l’influence de la pub.La pub fabrique une fausse demande, elle n’interroge que ce qu’elle à réussit à fabriquer, l’impact de la pub est de fabriquer de fausses valeurs, faux besoins.<o:p></o:p>

    Les études des scientifiques sont redoutables : ils savent manipuler notre inconscient et conscient.tous les discours des concessionnaires et publicitaires montrent qu’on ne part pas des désirs réels des gens, on fabrique des faux besoins et des produits fragiles.<o:p></o:p>

    IMPACT : la pub a un rôle sur notre langage, beaucoup de formule vienne de la pub, ex : « il faut positiver, Carrefour ».La pub travaille aussi a nous faire adopter un langage pseudo cool, spontanée pour nous amener a des achats d’impulsion (spontanéité de la C.B).<o:p></o:p>

    Le marché économique pèse plus que ce que nous sommes au fond de nous même, la société très hypocritement se fabrique une tension entre l’idée qu’il faut revenir à des valeurs simples et elle nous pousse en même temps dans un monde futuriste (si tu n’as pas un portable 3G, t’es nul).Elle nous force a nous situer socialement comme des dominants c'est-à-dire posséder le plus grands nombres d’objets possibles donc avoir le pouvoir d’auto expression.<o:p></o:p>

    → une marque c’est une forme de soumission à l’expression d’un « je », « moi », totalement fabriqué par le message publicitaire. <o:p></o:p>

    La publicité a mis en place un culte au sens religieux du terme, un culte de la vitesse. La vitesse dans le message publicitaire : c’est 3 choses des textes qui défilent rapidement, un montage du message, utilisation des images et son.<o:p></o:p>

    3 durée des spots : 60, 30, 8s<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les enjeux anthropologiques : la publicité fabrique une légitimation de l’impatience, elle nous habitue, conditionne à soutenir notre attention durant des durées très courtes, notre capacité de concentration est beaucoup plus faible que nos ancêtres. La publicité est impact sur notre cognition : le fonctionnement du cerveau dans la pensée et la mémorisation.<o:p></o:p>

    Il y a le culte de la jeunesse : la pub nous apprend à vénérer la jeunesse comme une perfection, on est dans un état où la vie n’est que promesse, ce culte de la jeunesse s’inscrit dans un cœur de cible de 15à 25ans.<o:p></o:p>

    Le culte de la perfection, la pub nous inscrit dans les univers de la compétition, performance, il faut être le meilleur, autrement dit ce culte va fabriquer des frustrations, angoisses, anxiété.Ces angoisses, frustrations sont traités par la pub, elles sont réinjectés dans le message de la pub .<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ▪ La publicité va construire des syllogismes, elle nous installe dans des faux raisonnements pour but d’encrer la force des préjugés et stéréotypes.<o:p></o:p>

    Préjugés : jugement qui arrive avant l’expérience<o:p></o:p>

    Stéréotype : fonctionne sur la segmentation de la réalité en catégorie dont on ne peut pas sortir, ces catégories fabriquent des modèles considérer comme constituant la structure de notre culture. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ● Le culte de la beauté  est articulé à celui de la santé car la beauté venté par les publicitaires est esthétique mais essentiellement présenté comme saine c'est-à-dire qui a intégré l’hygiène de vie comme révélateur d’un bien être social qui révèle un statut social.<o:p></o:p>

    ● 2ème : l’idée dans laquelle une société occidentale aurait évolué : avec le rejet de la mort et le mythe d’une santé parfaite même si on c’est que l’on doit mourir il faut le faire dans les meilleurs conditions possibles. Idée d’une beauté saine : idéalisation des corps qui sert à la performance.<o:p></o:p>

    ● Pour fonctionner la pub a besoin de déclencher en nous une superficialité et une insatisfaction qui permet de passer d’un objet à l’autre : rotation des modes, les publicitaires fabriquent le besoin de compensation, ils ont réussi à faire en sorte que la consommation serve de moyen de combler notre frustration, la pub nous infantilise, elle gère des comportements de frustration qui s’installe tout au long de la vie d’adulte.  <o:p></o:p>

    Un vertige mentale : une fuite en avant dans la consommation et une rupture d’équilibre des qu’on s’arrête signifiant pour beaucoup la mort sociale, il y a un lien entre l’amélioration du mode de vie, une bonne image de soi et une forte consommation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les techniques de la pub sur l’individu <o:p></o:p>

    → La manière dont la pub travaille sur notre mémoire : <o:p></o:p>

    ·         D’un coté la pub développe une mémorisation liée au produit<o:p></o:p>

    ·         Elle travaille à ce que nous retenions les choses les moins importantes<o:p></o:p>

    La pub se nourrit autant de la mémoire que de l’oubli, elle nous force à oublier les produits précédents et concurrents.<o:p></o:p>

    Ces techniques sont intéressantes (cette mémoire fonctionne sur l’affect et sur l’émotionnel)<o:p></o:p>

    → Autre impact accompagné par le mouvement économique de la mondialisation :<o:p></o:p>

    Pour fonctionner elle a besoin de fabriquer une universalisation des modes de vie, on assiste à un nivellement des modes de vie par le haut, apprendre à consommer, réagir de la même façon : on peut parler de la pub comme une religion moderne, la pub a un lien universel, on est tous exposé à autant de pub et de messages publicitaires.<o:p></o:p>

    L’excès sémiologique, de signes publicitaires est bien partagé, ce n’est pas qu’occidental.<o:p></o:p>

    Le message publicitaire est une théorie : théorein, observer.<o:p></o:p>

    La publicité tient un discours sur moi en tant q’individu particulier inscrit dans un groupe spécifique.<o:p></o:p>

    Elle parle de moi de deux façons : <o:p></o:p>

    ü       Elle parle de moi comme elle voudrait que je sois, comme un consommateur idéal qui doit se conformer à ce que la pub attend de moi (donc un individu façonné par la pub, les besoins et les désirs vont être fabriqués par la pub)<o:p></o:p>

    Besoin : chaque fois que je traiterai de besoins fondamentaux, primaires<o:p></o:p>

    Désir : c’est le reste<o:p></o:p>

    ü       La pub va me persuader, elle va parler de moi comme je voudrais être, ce que je pourrais devenir grâce à elle.Elle construit des faux besoins, elle travaille à stimuler des faux désirs que je n’ai pas : le symptôme de la famille Ricoré, idéal, la pub n’anticipe pas, n’aide pas à développer des nouvelles valeurs et nouveaux codes, elle surfe sur la vague des valeurs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le fonctionnement de la publicité :<o:p></o:p>

    → la pub fonctionne selon une dynamique de normalisation, elle travaille a encré dans les esprits des normes sociales, valeurs, croyances dont tout ce qui fait une socio culture, elle travaille en s’appuyant sur les stéréotypes, sur un certains nombres de préjugés<o:p></o:p>

    → Elle fabrique aussi de l’idéalisation, la pub c’est les comptes de Green aujourd’hui elle fabrique des univers simplifiés : à tous vos problèmes une solution c'est-à-dire consommer. <o:p></o:p>

    Cette idéalisation va s’organiser autour de plusieurs apparences<o:p></o:p>

    → un vouloir être, la pub a un rapport complexe avec la volonté, à la fois stimuler la volonté et l’affaiblir de manière à l’orienter vers ce qui l’intéresse.<o:p></o:p>

    La publicité me persuade, de vouloir être quelqu’une que je ne veux pas, elle fabrique un vouloir vouloir : elle veux que je veuille quelque chose.<o:p></o:p>

    → considérer le message publicitaire comme un conseiller psychologique, elle m’aide à fabriquer un corps et morale d’enfer : elle fonctionne sur une ruse anthropologique ; c'est-à-dire le désir du désir, les psychologues ont montré que des le début de la socialisation le désir des enfants se fixe sur le désir des autres.<o:p></o:p>

    Donc la pub fonctionne en stimulant un double désir contradictoire : <o:p></o:p>

    o        1er : c’est celui de se différencier des autres, chacun veut exprimer sa singularité, originalité<o:p></o:p>

    o        le désir de ressembler aux autres donc de ne pas être exclut, faire partis du groupe.On tient la contradiction interne d’un phénomène psychologique moteur : qui est la mode.<o:p></o:p>

    La morale me permet d’être regardé mais en même temps c’est ressembler à tous ceux qui sont dans la mode : être dans une logique de conformité. <o:p></o:p>

    On est dans des pulsions, désirs qui s’affrontent dans notre psychisme d’où la pub trouve une faille pour nous amener à notre complexité.<o:p></o:p>

    Nous faisons tous dans la déclinaison des messages, il n’y a pas un moment dans la vie qui échappe à la culture publicitaire.C’est nouveau dans l’histoire de nos cultures car il y avait des instances qui étaient chargés de nous regarder et de nous représenter : l’art, la peinture ensuite la photo et le cinéma donc la pub s’inscrit dans ce mouvement dans lequel l’image joue un rôle considérable dans l’appréhension que j’ai de moi-même et des autres.<o:p></o:p>

    Quel est le nouveau régime des images auquel la pub nous contraint, quelle est la spécificité de communication publicitaire par rapport aux autres régimes ?<o:p></o:p>

    4 éléments qui la spécifie : <o:p></o:p>

    §         la pub est omniprésente<o:p></o:p>

    §         elle est répétitive : un tunnel publicitaire, elle nous isole sensoriellement, elle nous coupe de la pub pour un monde d’illusion<o:p></o:p>

    §         elle est rapide, elle se saisie de l’air du temps<o:p></o:p>

    §         elle est fugace à la différence de la peinture, photo ou cinéma, il reste très peu de chose de la pub, c’est une écume qui apparaît et disparaît.<o:p></o:p>

    Pour arriver à faire tous cela il faut mettre au point des techniques et se servir de discipline  la psychologie et sociologie qui sont les plus utilisées par les publicitaires, la pub démarre aux EU, 20ème siècle et en France en 1930, tout vocabulaire de la pub est américain.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le rôle de la pub est de faire vendre et dans se faire il y a donc que le but de la pub est de créer les conditions favorables à l’acte d’achat, donc pour cela il faut connaître les modes de régulation psychiques et sociologiques des individus.<o:p></o:p>

    Les différentes pubs :<o:p></o:p>

    La pub se divise entre la pub commerciale (faire vendre un produit, personne, idée) et pub institutionnelle (2choses : développer la notoriété d’une institution soit une organisation publique ou privée et améliorer l’image de la marque).<o:p></o:p>

    Notoriété : c’est le degré de connaissance qu’un public possède à propos d’un produit, personne, idée on mesure la notoriété avec des échelles de notoriété.<o:p></o:p>

    L’image de marque : c’est l’ensemble des élaborations symboliques et des représentations sociales et culturelles qui sont rattachés à un produit, personne, idée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les différents rôles dans la pub : <o:p></o:p>

    L’entreprise, l’organisme ou la personne qui va payer pour un message pub va s’appeler l’annonceur, le segment de population visée par la stratégie publicitaire c’est la cible, le plus petit segment s’appelle le cœur de cible.<o:p></o:p>

    Le vocabulaire de la pub est un vocabulaire guerrier (slogan, territoire, cible) ce qui signifie que la pub est une guerre menée par notre cerveau.<o:p></o:p>

    La cible est définie aux moyens de critères :<o:p></o:p>

    Ø       l’âge, sexe, CSP, revenus, zone géographique, fréquence des achats<o:p></o:p>

    Les critères psychologiques : <o:p></o:p>

    Ø       milieu socio culturel, niveau d’éducation et d’instruction, les styles de vie.<o:p></o:p>

    L’information qui est contenu dans ce qui est acheminé en nous s’appelle : « le message » qui prend 2 formes différentes : iconique et linguistique.<o:p></o:p>

    Le message peut être différent selon le mode d’expression choisit, il existe 2grandes familles des messages : <o:p></o:p>

    ▪ Le SOFT SELLING, douce publicité<o:p></o:p>

    ▪ Le HARD SELLING, pub agressive <o:p></o:p>

    Il existe une ligne géographique qui sépare ces 2 cultures publicitaires, Europe, anglo saxon, Australie on a à faire a des pubs qui n’ont pas froid aux yeux, elles sont moins frileuses, elles respectent moins des valeurs religieuses ou politiquement correctes.En France la pub a des valeurs conservatrices, on a un très fort retard et le poids de la culture chrétienne pèse encore sur la liberté de la pub.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les médias :  <o:p></o:p>

    Les véhicules de la pub sont des médias (pub, affichage, cinéma, TV, radio, presse écrite), la pub divise les médias en support (France culture, énergie).<o:p></o:p>

    Chaque média et support possèdent ces règles, codes et son langage propre de sorte que l’on ne peut pas faire de la pub selon le média .L’ensemble de message publicitaire existant peut être séparés en 2 familles : message conatif et message dénotatif <o:p></o:p>

    Cette distinction a été faite par Barthes.Dans un message publicitaire, on utilise des arguments sur le raisonnement : Dénotatif.<o:p></o:p>

    Quand je fabrique tout au long du spot, un climat, atmosphère qui dans l’esprit de la cible va agir comme un mode de reconnaissance et en fabriquant du laisser aller : Connotatif (émotionnel, esthétique, affectif).  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les constituants du message publicitaire : <o:p></o:p>

    Les messages sont : dénotatif, connotatif : 8,20, 30(différents types). Le langage utilisé dans la création publicitaire, qui va crée un style pub, il a la particularité d’utiliser des mots pleins, par opposition aux mots outils.<o:p></o:p>

    Mots pleins : mots qui ont un sens par eux même<o:p></o:p>

    Mots outils : mots qui accompagnent les mots pleins, c’est ce qui fait qu’une langue est fluide<o:p></o:p>

    La pub coûte très chère donc on a besoin de restreindre, consition, il fau donc utiliser plus de mots pleins et moins de mots outils.<o:p></o:p>

    Les mots miracles : ont un sens par eux même et un sens plus fort que d’autre, il concentre des capacités de représentation importante, il mobilise des représentations élaborés.<o:p></o:p>

    Le message pub doit imiter la consition du télégramme, ces messages sont constitués de 3 éléments majeurs :<o:p></o:p>

    • Eye catcher ; attrape regard, accroche<o:p></o:p>
    • Corps du texte<o:p></o:p>
    • Slogan<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

      1. accroche, c constitué par une petite phrase courte, donc ça vocation est d’attraper le regard ou l’oreille (c moi cajoline)  <o:p></o:p>
      2. corps du texte ; argumentaire de la pub<o:p></o:p>
      3. slogan ; fonction est liée à l’origine du mot, c un mot Gaëlique, le slogan joue dans ce vocabulaire gaëlique se rôle de fédérateur à la conquête du territoire.<o:p></o:p>

    Il y a plusieurs techniques : <o:p></o:p>

        • technique du jeu de mots<o:p></o:p>
        • technique de la versification (pas d’erreur dans lessieur) <o:p></o:p>
        • phrase récurrente (Ducros se décarcasse), (l’Oréal pare que je le vaut bien), phrase qui s’adresse à la cible en la valorisant, en la mettant à égalité des individus qu détienne un capital social vedette, « elle le vaut bien mais vous aussi »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les processus psychologiques utilisés par les publicitaires pour déclencher chez nous l’ensemble de la chaîne<o:p></o:p>

    On est dans la récupération de travaux de chercheurs en psychologie : les résultas ont montré que, chaque individu possède au moins 4 tendances psychologiques.<o:p></o:p>

      Tendance égoïste : tout ce qui concerne notre vie psychologique interne, c'est-à-dire l’instinct de conservation, de domination. Cette tendance égoïste l’ensemble des individus qui compose notre société, elle varie selon la cible à laquelle je m’adresse, «  parfum Chanel égoïste », l’Oréal parce que je le vaut bien » <o:p></o:p>

    → Tendance ego altruiste : mariage entre tendance égoïste et altruiste, elle apparaît chaque fois que nous somme en relation avec des individus, chaque fois ou nous nous savons jugés par les autres, moment ou on passe de l’interne à l’externe, tendance interface. Elle développe des messages autour de l’amour propre, ambition, compétition. Pub d’ordinateur… Manpower.<o:p></o:p>

    → Tendance altruiste : celle qui nous rattache à d’autre individus, individus pour lesquelles on va éprouver des sentiments, émotion. Cette tendance on va la retrouver autour de produit qui ont changé de tendance, publicité pour les voitures qui sont passés sur des messages axés sur la tendance égoïste à la tendance altruiste. Ce glissement est soutenu par le changement de Design des voitures (forme phallique à arrondi), à partir du moment où la société se recentre autour de valeur de partage donc l’axe psychologique de la pub évolue aussi.<o:p></o:p>

    → Tendance idéaliste : toutes celle qui nous rattache à des idées, principes supérieurs, on retrouve tout ce qui concerne le sentiment de devoir, l’obligation, amour de la sciences, savoir de connaissance, amour du beau. Cette tendance on la retrouve rarement toute seule dans un très grand nombre de message. Le problème du publicitaire c’est d’identifier la tendance qui prévaut pour la cible qu est choisie en fonction de tous les critères vu ( âge, sexe) et quel est le support qui va permettre à l’intérieur de média de toucher cette cible ?<o:p></o:p>

    Il y a 3 éléments : <o:p></o:p>

    • émotion<o:p></o:p>
    • passion<o:p></o:p>
    • désir<o:p></o:p>

    Traités différemment. Les enquêtes ont montrés que les messages que nous mémorisons le mieux sont les messages à forte émotion, lien entre mémoire et impact émotionnel donc les pubs anglo- saxonne sont mieux mémorisés que les notre. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ▪ image choques   <o:p></o:p>

    ▪ utiliser la dissonance cognitive : consiste après avoir pris connaissance des principes, valeur connaissance, à aller à contre sens de ces valeurs, croyances, il s’opère une déstabilisation psychologique donc l’individu est vulnérable, cette dimension a un aspects positif ou négatif.<o:p></o:p>

    + : on ne fait réellement avancé les choses que lorsqu’on propose au individu une chose différente.<o:p></o:p>

    - : technique de manipulation formidable, tout dépend par qui elle et employée.<o:p></o:p>

    C’est une technique de base liée aux émotions, désir.<o:p></o:p>

    Qu’est ce que le désir ? Platon, le banquet<o:p></o:p>

    Il définit le désir comme un manque, je ne peux pas désirer ce que j’ai où ce que je suis.<o:p></o:p>

    Le désir va désigner un processus connotatif qui signifie une tension vers, à partir de là la pub va faire toutes les études pour connaître sa cible, elle va faire une hiérarchie des désirs : <o:p></o:p>

    • désirs évidents<o:p></o:p>
    • désirs latents : sous la surface<o:p></o:p>
    • désirs que nous ne savons pas<o:p></o:p>

    Chaque fois que la communication publicitaire a essayé de vendre un produit qui correspondait à un désir qui n’existait pas le produit ne marchait pas.<o:p></o:p>

    Tout le travail de la COM pub consiste à faire émerger les désirs de catégories, à faire passer cette hiérarchie positive.Lorsque le désir devient évident il faut encore le transformer en désir nécessaire, on est face à une manipulation de nos émotions, ressentis. Une tendance forte consiste à utiliser les comportements d’achats comme réponse, la manipulation est telle donc d’utiliser les comportements d’achats comme un moyen de compenser les frustrations et de les combler.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les grandes familles de mécanisme psychologique : <o:p></o:p>

    3 grandes familles de mécanisme : psy rationnel, pseudo rationnel et d’ordre émotionnel. <o:p></o:p>

    Les mécanismes de rationalisation ; sont utilisés de manière moins importante que les 2 autres, la grande majorité sont basés sur le pseudo rationnel.<o:p></o:p>

    Le mécanisme est basé sur une formule : AIDA, elle va permettre de construire des messages en 4 étapes : <o:p></o:p>

    • attirer l’attention<o:p></o:p>
    • éveiller l’intérêt <o:p></o:p>
    • désir potentiel, soit réel<o:p></o:p>
    • l’acte d’achat<o:p></o:p>

    Le processus est un processus visé par tous les messages. Ce type de mécanisme est utilisé que par des produits particuliers, produit de type industriel (produit hygiénique), également utiliser par les produits qui font la démonstration de leur efficacité dans le message (ex : le chat qui s’approche d’une assiette par rapport à une autre). Ces messages qui utilisent ce type, vont travailler à faire admettre par la cible un raisonnement simple et efficace.<o:p></o:p>

    2ème type de mécanisme, pseudo rationnel : car ils avancent en cachant leur intention, ils font semblant d’être rationnel alors qu’ils sont émotionnels on s’aperçoit qu’utiliser un argument rationnel permet 2 choses : <o:p></o:p>

    _  De rassurer la cible<o:p></o:p>

    _ C’est rassurant car ça à l’air logique <o:p></o:p>

    L’avantage de ce message est qu’ils ont une action de déculpabilisation de la cible : consister à ne pas se sentir coupable d’acheter quelque chose d’inutile (actimel)<o:p></o:p>

    3ème type : d’ordre émotionnel : le travail de ces messages consiste à faire surgir le désir lattant (par conséquent un désir évident se nourrit mieux d’un mécanisme de rationalisation). Il s’agit de faire surgir ce désir de deux façons : <o:p></o:p>

    on crée une ambiance climat, on installe un décor particulier qui vont plonger la cible, on va fabriquer une personnalité au produit sachant qu’elle doit correspondre aux attentes de la cible ( Gauthier puissance 2), on construit une personnalité qui fonctionne sur complémentarité, rapport homme, femme.<o:p></o:p>

    Ces processus d’ordre émotionnel travaille sur d’autres logiques que le rationnel, on est dans l’affect, ce mécanisme nous installe dans une logique affective qui va conduire les publicitaires dans leur message a sur utiliser les 2 choses : <o:p></o:p>

    -          force de l’image <o:p></o:p>

    -          force des mots avec des mots miracles, le message utilise le maximum de son potentiel.<o:p></o:p>

    A l’intérieur de ce qu’on a vu, il existe deux types de processus : <o:p></o:p>

    1.        mécanisme synthétique<o:p></o:p>

    2.        mécanisme synthético automatique <o:p></o:p>

    Dans les mécanismes synthétiques : on va trouver des messages, communication pub a base de 3 éléments : <o:p></o:p>

    _ Démonstration (fait appel à notre raison objective et impersonnel, sa capacité universelle à raisonner) <o:p></o:p>

    _ Persuasion (convaincre avec des arguments logiques, persuader : c’est séduire, donner l’illusion qu’on est logique alors que le raisonnement est erroné). Les messages qui utilisent la persuasion sont des messages qui s’adressent uniquement à notre personnalité affective, ça peut donner des slogans aussi absurde tel que, « même mouillés, ils sont secs » PAMPERS.<o:p></o:p>

    _ Révélation : messages qui agissent en utilisant la soudaineté, coté rapide, ces messages sont censés avoir un impact fort de telle manière qu’on n’ai pas censé savoir comprendre.<o:p></o:p>

    Dans les mécanismes synthético automatique : il y a 2 familles : <o:p></o:p>

    1. suggestion de docilité<o:p></o:p>
    2. imitation<o:p></o:p>

    La suggestion de docilité est basé sur un ex important en neuro psychologie, MILGRAM, il essaye d’évaluer l’impact de l’autorité, jusqu’ou un individu peut il aller lorsqu’il accepte de recevoir l’ordre de l’autorité avérée : dans un fauteuil une personne interrogé sur un quizz (avec des décharges électriques). Il existe une petite population de l’ordre de 5% qui a accepté des décharges électriques car il y avait une personne en blouse blanche qui lui donnait l’ordre, il y 5% qui ont donné la dernière décharge. <o:p></o:p>

    Il existe une vulnérabilité cognitive vis-à-vis des individus, il accepte  de commettre l’irréparable.<o:p></o:p>

    Imitation : qui cherche à faire une comportement identique au personne représenté dans le message.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Attitudes : ensemble des prédispositions intérieurs que nous éprouvons à l’égard d’un produit, service. C’est en quelque sorte un jugement de valeur ondé ou non qui va nous pousser à réagir d’une certaine manière. Le jugement de valeur, c’est fondamentalement pour déclencher le comportement souhaité.<o:p></o:p>

    Les attitudes résultent d’un ensemble complexe d’éléments. Il y a deux grandes familles : <o:p></o:p>

    - nos motivations, nos perceptions, émotions à cela s’ajoute les infos que nous avons requises sur un produit.<o:p></o:p>

    - facteur sociaux et culturels (dans ceux-ci il y a la catégorie socio professionnel, revenus, hiérarchie des valeurs propres à chaque groupe de famille).<o:p></o:p>

    Les psychologues ont dit que l’attitude c’est l’élément déclenchant du comportement, quelque soit le type d’action souhaite. L’attitude neutre n’existe pas, on ne peut pas ne pas avoir de prédispositions intérieures sauf en cas d’ignorance de l’existence.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les facteurs qui composent nos attitudes :<o:p></o:p>

    Ø       facteur cognitif<o:p></o:p>

    Ø       facteur affectif<o:p></o:p>

    Ø       facteur connotatif<o:p></o:p>

    Les éléments cognitifs : apportent des connaissances, ensemble des infos que la personne possède sur un produit. La communication de bouche à oreille est forte, c’est une des plus souhaitable, ça peut venir des amis, famille, vendeurs, de la presse.<o:p></o:p>

    Facteurs affectifs : concernent les émotions que nous éprouvons vis-à-vis d’un produit le principal impact de valorisation d’une marque c’est la sensation de prestige, émotion vis-à-vis de la qualité esthétique, sa réputation. Les composants affectifs vont nous aider à construire de la sympathie ou antipathie vis-à-vis d’un produit.<o:p></o:p>

    Facteurs connotatifs : tension vers quelques chose, un effort, ce sont des éléments qui vont indiquer  chez l’individu une certaine tendance à l’action, c’est ce qui va permettre de traduire l’attitude au comportement, les élevons connotatifs sont favorables ou défavorables, c’est nos attitudes qui amène à créer une continuité sociale.<o:p></o:p>

    -          quand une attitude résulte d’un jugement porté sur un objet et que les facteurs cognitifs l’emportent sur les autres dans ce cas c’est une attitude rationnelle<o:p></o:p>

    -          l’attitude peut être fondé sur un préjugé (quelque chose qui se fait a  priori). Elle procède essentiellement au ressenti c’est donc une attitude affective.<o:p></o:p>

    Il existe des produits qui déclenchent des attitudes plus ou moins fortes.<o:p></o:p>

    Le conditionnement permet à l’imaginaire de se vendre (manière dont il est présenté est importante) cela prouve un certain manque de maturité.<o:p></o:p>

    On a inventé une échelle des attitudes, celle-ci va du très positif au très négatif, il y a différent degrés.<o:p></o:p>

    Quand une attitude est très négatif, celle ci correspond a un préjugé, absence d’expérience du consommateur.<o:p></o:p>

    Lorsqu’on arrive à une attitude de moins en moins négatif, pour arriver ensuite à une attitude positive elle est constituée d’éléments rationnels, émotionnels, de plusieurs degrés, elle part de la connaissance sans intérêt très marqué jusqu'à ce qu’on appelle prosélytisme (max).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    NATURE DE L’ATTITUDE<o:p></o:p>

    COMPORTEMENT CORRESPONDANT <o:p></o:p>

    Attitude négative<o:p></o:p>

    Jugement a priori, préjugé<o:p></o:p>

    Attitude neutre<o:p></o:p>

    Ignorance non savoir<o:p></o:p>

    Attitude positive <o:p></o:p>

    Connaissance compréhension, conviction (je suis convaincu)<o:p></o:p>

    Attitude décisive<o:p></o:p>

    Je décide ou non d’acheter<o:p></o:p>

    Attitude prosélytisme  <o:p></o:p>

    Propagande de bouche à oreille <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comment mesure t’on les attitudes ?<o:p></o:p>

    Le moyen le plus simple est de demander à l’individu si il aime se produit et de noter sur l’échelle si il aime ou non. On pourrait croire qu’il y a un lieu entre attitude et comportement mais le problème c’est qu’il y a un yatus entre les deux. Quand on a une attitude positive avec un produit, on n’a pas forcément un acte d’achat, quand on a une attitude négatif avec un produit, je peux le consommer quand même.<o:p></o:p>

    Le travail du publicitaire va consister à introduire une incohérence dans la cible. La communication du publicitaire n’est donc pas neutre, elle a une dimension manipulatoire.<o:p></o:p>

    La publicité va s’immiscer dans quelque chose de très personnel c'est-à-dire l’enchaînement, chaîne psychologique (qui va de la motivation au comportement d’achat) de l’individu qui est très fragile. Le publicitaire s’efforce de faire des achats d’impulsion, permet de court-circuiter les attitudes car l’achat d’impulsion n’est pas réfléchit, il est dangereux ça fabrique du surendettement, misère. L’achat d’impulsion existe à plusieurs degrés (chaussette, appartement). <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les études de motivation, est une partie psychologique sociale très importante chez les publicitaires, ont été crée par les motivationnistes, les études de motivation sont le fruit de la recherche française, en partie d’un français, Jacques Martineau  dans les années 50-60. Il existe deux grands types d’études : qualitatif et quantitatif.<o:p></o:p>

    Quantitatif : questionnaire sur une grands quantité de gens<o:p></o:p>

    Qualitatif : entretien passé avec un petit groupe de personne qui forme un panel.<o:p></o:p>

    Les études de motivations rentre dans la famille des qualitatifs, leur rôle est de mettre à jour pour que nos comportements soient marqués par deux grandes tendances : <o:p></o:p>

    -          motivation qui nous pousse à agir dans un sens spécifique<o:p></o:p>

    -          les freins, ralentissent nos actions ou les bloquent<o:p></o:p>

    Le but des équipes de motivation est double<o:p></o:p>

    -          mettre en lumière les facettes de notre personnalité qui vont pouvoir être associés au produit<o:p></o:p>

    -          je vais dégager des forces que je vais pouvoir mettre au service du produit ou de la marque, le publicitaire va chercher à répondre a nos motivations les plus secrètes, celles que nous ne maîtrisons pas.<o:p></o:p>

    La dimension agissante de l’inconscient : les motivationnistes partent du principe qu’une grande partie de nos actions reposent sur une dynamique inconsciente, non rationalisable dans les arguments.<o:p></o:p>

    JUNG : il existe un inconscient collectif, d’abord culturel, qui possède des éléments universels qui transcendent toutes les cultures qu’il appel des Archétypes.<o:p></o:p>

    Le travail du publicitaire va être de mettre en lumière les modèles inconscients qui vont pouvoir être véhiculés par les mots et images contenus dans le message.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Neuro scientifique : discipline entre médecine et biologie spécialisée dans le fonctionnement du cerveau humain. C’est un mode de pénétration dans un système cérébral et nerveux d’une personne.<o:p></o:p>

    Ces études sont vendues par les marques, pub et c’est eux qui financent des recherches.<o:p></o:p>

    Rôle des neuros marketing =) si oui ou non une troisième forme de pub existe, c'est-à-dire subliminale, le message est transmis sous le seuil de la conscience. <o:p></o:p>

    Ce que les envahisseurs cherchent à mettre au point : est ce que le message subliminale est possible. Le cerveau se met en roue libre pour percuter les infos les plus importantes et il va les faire passer dans le conscient.<o:p></o:p>

    Les techniques appropriées sont liées à deux infos : <o:p></o:p>

    1.        info iconique<o:p></o:p>

    2.        info acoustique<o:p></o:p>

    1)       mythe de la 25ème image car notre cerveau est équipé pour 24 images à la seconde, la 25ème on ne la voit pas.<o:p></o:p>

    Si dans un message je met de 24 à 27 images, est ce que les 3 dernières vont modifier notre comportement.<o:p></o:p>

    2)       on est dans un fantasme, aujourd’hui les chercheurs ont montré qu’il n’y avait aucune action subliminale par la fonction iconique ou acoustique sur le cerveau.<o:p></o:p>

    2ème type de recherches utilisées par les neuros marketing : <o:p></o:p>

    le tachistoscope : d’abord développé par les psychiatres, CIA, FBI, pour détecter le mensonge pour être sûr de remettre en liberté des gens inoffensifs. Ces techniques ont été récupérées par les publicitaires, environ 30ans qu’on s’en sert donc les résultats sont moins prometteur.<o:p></o:p>

    Comment les motivationnistes ont-ils répondu à la critique du postulat (nature humaine et universelle, constante) car aujourd’hui on c’est que la nature universelle n’est pas universelle et historique.<o:p></o:p>

    Il y avait une homogénéisation progressive des pratiques humaine, évolution du niveau de vie, niveau d’instruction permet une évolution des mentalités qui se retrouvent autour d’un modèle de vie qui devient partagé sur toute la planète par des classes sociales correspondantes.<o:p></o:p>

    L’américanisation des modes de vie s’étend sur la planète, sous l’effet d’une industrialisation qui s’étend de plus en plus (ex : chine), nous allons vers une disparition des obstacles, culturels, géographiques, sociaux qui freinait notre consommation.<o:p></o:p>

    Les études ont montré qu’un objet proposé à la consommation n’est pas définis par les caractéristiques objectifs (beau, prix) il est sur définit car il appartient à un univers psycho sociologique chargé de signification. <o:p></o:p>

    _ Dimension sémiologique de cette communication publicitaire : univers, ce sont les motivationnistes qui ont inventé la pub connotative, les techniques qui permettent de fabriquer un univers avec un objet, de faire rentré cet objet dans l’univers psychologique social de la cible visée. L’être humain à la particularité d’être un animal bizarre, censé quelque soit notre niveau culturel nous recherchons le sens (événements choses) et quand il y en a pas nous construisons des systèmes pour donner un sens (ex, religion, philosophie). Cette recherche du sens est indissociable de la condition humaine.<o:p></o:p>

    Les motivationnistes : ont essayé de fabriquer des systèmes de navigation à l’intérieur de notre système symbolique qui font que l’objet que la pub veut faire vendre, apparaît d’abord comme un signe. D’abord pour que l’on déclanche l’acte d’achat le signe doit être dans notre personnalité, puis le goût : quelque chose qui se forme collectivement et lié à la personne c’est comme la mode, ça opère une tension entre l’individuel et le collectif, signe de niveau socio culturel, les individus veulent montrer par les objets qu’ils achètent et qu’ils appartiennent à tel ou tel niveau socio culturel, l’objet fonctionne comme un signe d’appartenance à un groupe.<o:p></o:p>

    La plus forte de toute les motivations : c’est que l’objet doit mobiliser la motivation de prestige, qui conduit les individus à consommer toujours plus d’objets qui sont signe du statut social prestigieux, auquel ils prétendent. Attention cette motivation constitue une valeur d’auto expression qui fait que chacun est capable de faire la liste de 10objets qui correspondent à la panoplie de la consommation des gens riches.<o:p></o:p>

    Application concrètes des méthodes des motivationnistes des messages pub : <o:p></o:p>

    1er conséquence : in ne faut construire que des messages qui mettent en valeur la cible, qui leur permette (dans chaque message il y a une promesse du bénéfice qui doit toujours être déculpabilisante) que la cible est indispensable et valorisée.<o:p></o:p>

    2ème : on ne fait plus vendre un objet mais les satisfactions qu’il est censé nous apporter sachant que celles-ci doivent répondre aux signes énoncés.<o:p></o:p>

    L’approche motivationnistes nous a permis au delà de la pub, le caractère majeur qui domine nos conduites, caractère de la valeur d’auto expression, ils ont montré que ce qui nous guide «  dans la jungle des produits » c’est à 99% en fonction de la volonté qui est la notre d’exprimer deux choses : notre personnalité telle qu’elle est t notre personnalité telle qu’on voudrait qu’elle soit, consommation de la marque plus que du produit, ça veut dire voila qui je suis et qui je voudrais être.<o:p></o:p>

    La règle mise au point est la suivante : <o:p></o:p>

    Dans la mesure ou les objets favorisent ou contrarient l’expression de notre personnalité, au delà de leur utilité, ça signifie qu ces objets on pour nous de significations symboliques, donc ce que nous consommons c’est du symbolique.<o:p></o:p>

    Les messages pub doivent répondre à deux exigences : <o:p></o:p>

    -          mettre à jour les tendances symboliques de la cible<o:p></o:p>

    -          utiliser les codes symboliques linguistiques et visuels de la cible, qui sont aptes à remplir cette fonction.<o:p></o:p>

    Comment fondé un système symbolique sur la vérité pour qu’il y est autant d’hommes et de femmes qui le consomme.<o:p></o:p>

    -          Fabriquer un message utilisant sur le message un code, ex : projection du tatouage (virilité chez l’homme et pour la femme projection de virilité qu’elle voulait)<o:p></o:p>

    Les motivationnistes ont fait un classement des symboles, ils ont aboutit à une classification en 3 catégories : <o:p></o:p>

    1er type : symboles  intentionnels qui sont manifestés quand ont décrit un objet<o:p></o:p>

    2ème : symboles interprétatifs, qui vont chercher à provoquer de sentiments, ils vont utiliser des codes couleurs.<o:p></o:p>

    3ème type : symboles connotatifs, ils travaillent au plus profond, ils introduisent un sens caché dans le message.<o:p></o:p>

    AIDA est une invention des motivationnistes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La communication publicitaire est déchirée entre deux modèles : <o:p></o:p>

    Psychologique et sociologique. Elle doit répondre à la psyché (psycho de l’individu et du groupe auquel il appartient et à la logique social pas toujours cohérente).<o:p></o:p>

    La pub est soumise à un ensemble de valeurs et normes. Elle est obligée de suivre l’évolution de celles-ci.Rarement elle peut tenir un discours original qui va rompre avec les codes et valeurs. Qu’est ce qui se passe si la pub enfreint les normes et règles ? Dans les années 80, Benetton, la marque veut développer son image et fait appel au photographe d’art TOSCANI, ces images ont utilisées 3 tabous essentiels ; le sacré (religieux, du corps) et la sexualité et la mort.<o:p></o:p>

    Ce sont des campagnes sui rompent totalement avec ce qui se fait, c’est leur marque de fabrique. Le but est de récupérer des images civiles pour les détourner au service d’une cause commerciale.considérer que la pub à se rôle dénonciateur est pour Benetton une mission. Cette mécanique a-t-elle était payante ? Oui sinon, ça n’aurait pas durée 20ans mais après les choses se sont complexifiés, la pub française reste moins innovante et frileuse des images chocs et de l’originalité. La pub se nourrie de la psychologie et de la société car on vie dans la société de l’hyper consommation, acheter pour acheter.Une société qui va se fabriquer des besoins inutiles, qui va travailler à nous faire ressentir un peu plus le besoin de conformité. La pub a mis au point de nouveaux outils constitués par l’analyse des courants socio culturels et styles de vie.<o:p></o:p>

    YANKELOUITCH : mis au point une méthode fondée sur un concept dominant, courant socio culturel, ensemble des opinions et attitudes qui convergent dans la même direction et dont on étudie l’évolution dans le temps.Tout les 5ans on regarde le succès ou l’échec de ce courant, on essaye de mesurer la pénétration moyenne de celui-ci dans la population. <o:p></o:p>

    Parmi ces courants il y a le matérialisme, ce type d’étude va montrer comment les variables individuels sont dominés par des courants collectifs. Ca veut dire que le social prend la pas sur le psychologique lorsque un individu va arriver soit en retard soit en avance par rapport à son courant.Il  repart sur une théorie qui considère que le social est plus important que le psychologique. <o:p></o:p>

    Tendances collectives motrices : chaque individus va se trouve définit par son degrés de sensibilité à un courant socio culturel et à partir de cette définition on va dégager les styles de vie auxquels ils appartiennent.<o:p></o:p>

    Il a mis au point 5 courants structurels stables dans le temps et cultures occidentales : <o:p></o:p>

    • Tendance à la simplification contre la vie moderne jugé trop stressante<o:p></o:p>
    • Des gens marqués par un fort rejet de l’ordre et de l’autorité <o:p></o:p>
    • Valeurs de tolérances, partage, permissivité « vivre et laisse vivre »<o:p></o:p>
    • Marquée par une psychologie de l’abondance, vouloir satisfaire tout le monde <o:p></o:p>
    • Stimulation des sens, attrait pour l’imaginaire, fiction, les conduites à risque.<o:p></o:p>

    Dans ces 5 courants vont naître de nombreux styles de vie.<o:p></o:p>

    Socio style : les modèles de comportement, de motivation et de condition de vie qui constitue une typologie décrivant la variété d’une population donnée.<o:p></o:p>

    En France ça a été repris par la COFRENCA avec le livre «  sous styles systèmes » <o:p></o:p>

    On a la meilleur application de la psycho sociologie qui s’appliqua à la pub : chacun d’entre nous déploie sa vie comme une négociation permanente pour aboutir à un rejet ou négociation.<o:p></o:p>


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  • ANALYSE DES REPRESENTATIONS AUDIOVISUELLES<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « L’esthétique du film », impression de réalité au cinéma, écrits de Metz.<o:p></o:p>

    Audiovisuel : représentation filmique englobant image et son , mais la télé n’en fait pas parti il s’agit de 2 éléments séparés , représentation filmique et représentation d’image qui s’allie . On parle d’audiovisuel depuis les années 1930 ; accélération exponentiel nous sommes sollicités par beaucoup d’images , des le plus jeune age nous sommes confrontés avec des images , journaux, télévision , c’est donc un composant majeur de la communication des êtres humains entre eux <o:p></o:p>

    La représentation visuelle précède l’écriture de langue, elle est plus ancienne, en même temps la communication visuelle a une spécificité qui est celle d’utiliser des canaux de communication plus naturelle, elle peut être comprise sans enseignements spécifiques <o:p></o:p>

    Analyser : décomposer les éléments d’un ensemble, on mes décompose pour mieux les identifier, analyser c’est important mais c’est une opération mentale et la réalité ne se présente pas de cette manière, c’est une opération compacte. <o:p></o:p>

    Représenter : contient le sens profond du mot, aller dans la source linguistique du mot, refaire l’action de présenter. La représentation est un mot général utilisé dans plusieurs domaines, rendre présent a nouveau quelque chose d’une manière différente que la chose en elle-même, il y a beaucoup de représentations qui sont une mise en scène tel que le théâtre, le référent de la représentation peut être aussi bien réel ou imaginaire, toute représentation qui passe par le corps on les appelle « représentations fugaces » elles ne restent pas mais juste dans notre mémoire.<o:p></o:p>

    Les techniques de la trace : laisser un signe quelque part, on va reconnaître une technique de la trace d’une technique de la représentation par le fait qu’elle reste, dans la matière (support) c’est ce qu’on appelle support de représentation. Pour qu’une trace soit tracer sur un support permanent dans le temps il faut une technique, un outil et un savoir faire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ANDRE LEROI GOURHAN : « le geste et la parole » paléo ethnologue, dans son livre il commence à tracer les grandes lignes de l’évolution de l’espèce. Il essaye de déduire toute la structure des sociétés historiques. A partir de l’homo sapiens stabilité physique, néanmoins il y a un changement au niveau de la culture et du développement technique. Il y a des modifications adaptives au milieu ou chaque espèce vit : spécialisation chaque espèce va développer quelques capacités physiques pour être bon dans une technique, redressement de l’humain du au développement de la parole, la main devient de plus en plus capable de geste et accomplie d’autres fonctions .Il développe alors des techniques manuelles, mais la vue est aussi importante dans la technique car on contrôle le geste. Il y a eu une mise en place de l’utilisation des objets et des savoirs faire pour amener au développement d’une culture : corps social .L’homme contrairement à l’animal a peu développé des spécialisations au niveau physique mais surtout au cerveau , l’homme est alors spécialisé dans la généralisation car il est capable de tout faire , l’homme crée ses techniques en dehors à l’extérieur de son corps qui se développe à un certain moment de son évolution ; le geste est l’action de l’homme sur l’outil . Il développe se corps social qui est la résultante d’un ensemble de population et de l’évolution de la mémoire collective «  un savoir communiqué et transmis ». La communication est une communication de l’immédiateté et de temps pour une transmission de savoir qui va constituer toute la culture qui est transmise par le corps social <o:p></o:p>

    A un certain moment commence a apparaître les techniques de la trace, nous sommes a 35000 avant JC , on commence à trouver des signes ( sur les grottes, parois) , ce sont les premiers signes de communication tracés qui sont interprétés avec difficulté , ce sont des signes qui communiquent , c’est la main qui trace , mais le visage contrôle, la vue guide le geste et le cerveau opère c’est la vue qui a cette tache de diriger .Dans les techniques de la trace et dans toutes les techniques en général la vue est protagoniste quand on trace et quand on regardes les traces . la vue commence a être perçu comme un médium très important de communication , certains signes montrent une analogie avec des choses réelles il y a des signes relativement abstrait, restreint mais passage fondamental entre signe abstrait et signe analogique <o:p></o:p>

    Abstrait : Il faut avoir un code de décryptage, toute représentation qui a une analogie communique immédiatement et directement grâce à cette analogie, au référent. on se sert de l’objet de référence pou comprendre le sens su tracé ce qui a voulu être communiqué , les 1er signes sont une forme d’écriture , la communication écrite reste dans le temps contrairement à la communication orale ; communication écrite : valeur esthétique et aussi une technique qui aboutit à l’écriture <o:p></o:p>

    Il y a un cheminement dans le développement de l’écriture, il y a de gros changements qui s’appuient sur signes analogiques mais aussi abstrait ; les 2 systèmes sont mélangés. Dans notre société il y a séparation entre ces 2 systèmes mais ils inter agissent <o:p></o:p>

    L’art commence avec ce qu’on appelle l’art abstrait, il se réfère plus au langage qu’a l’art figuratif <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Signes analogiques : quelque chose de proche, connu dans la réalité ce qu’on appelle un référent qui peut être précis et concret ou vague. <o:p></o:p>

    Les représentations picturales sont avant tout utilisés pour communiquer avec 2 systèmes : analogique et non analogique, c’est le système non analogique qui se développe pour arriver a des formes d’écriture actuelle , l’écriture dans notre civilisation va devenir non analogique, elle se développe dans l’espace , elle est linéaire, c’est une écriture phonétique , le son est représenté en tant que tel , on ne représente plus la chose que l’on veut signifier , on code les sons du langage du langage parle , on fait des conventions . <o:p></o:p>

    A chaque arrivé d’un nouveau média, il y a de nouvelle fonction, chacun doit prendre sa place dans la société et se libérer de ces anciennes fonctions que le futur média va occuper, il suit le même schéma <o:p></o:p>

    Réalisme de la représentation<o:p></o:p>

    Il ne faut pas confondre réalité et<réel et réalisme et réalité, « la représentation de toutes ses formes n’est pas le réel » GOMBRICH ERNST<o:p></o:p>

    La représentation est réelle, elle a sa représentation propre à elle (photo est pas réelle juste le personnage), on appelle réelle tout ce qui tombe sous l’expérience lors d’un état de conscience que nous vivons au quotidien, nous vivons au quotidien 2 états de conscience : le réel éveillé et le rêve dans le sommeil <o:p></o:p>

    Il est difficile de définir le réel mais il existe, la représentation par définition n’est pas le réel, elle n’est pas même pas une copie du réel dans le sens qu’elle n’est pas une duplication, la représentation ne représente que certains aspects de sont référent réel <o:p></o:p>

    Pourquoi il y a-t-il un courant philosophique qui nie l’existence du réel ? <o:p></o:p>

    On peut dire  qu’elle est la preuve scientifique que par ex une table existe, il n’y a pas de preuve scientifique au delà de l’expérience que l’on a. Chaque personne a la preuve de sa propre expérience du réel, ce qui permet l’expérience c’est la perception, je perçois le réel par mes 5 sens, nous avons des expériences perceptives de ce que nous appelons réel et nous lions notre connaissance du réel à cette expérience. Nous percevons l’objet de la représentation, ce qui est représenté et cela nous renvoie a une expérience perceptive à des connaissances que j’ai, « la représentation n’est donc pas une réplique exacte d’une chose réelle mais elle est capable de nous faire l’expérience illusoire de la réalité » GOMBRICH <o:p></o:p>

    Qu’est ce qui fait l’analogie avec le réel ? Nous percevons le réel a travers nos sens et connaissons ces caractéristiques, l’objet réel possède ces qualités, caractéristiques qui tombe sur notre perception réceptive. Comme je connais tout cela, lors de mon expérience personnel je reconnais donc je n’ai pas besoin de faire toute l’expérience perceptive je peux évoquer la conception globale d’une chose à travers seulement une partie de l’objet (ex : le jaune évoque le citron, nos sens entre en action inconsciemment)  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rodolphe ARNHEIM, son livre « la pensée visuelle » avec l’étude de la psychologie de la perception. La perception est un acte intelligent, dans le sens que l’intelligence guide la perception, il n’y a pas de schéma cognitif qui soit capable de synthétiser les éléments qui nous permet de reconnaître cette perception, ce sont des schémas déjà interprétés. Naturellement chacun apporte des informations, notre culture a privilégié la vue et l’ouie donc les représentations concrètes ont été élaborés sur la base de ces organes , il n’y a pas encore la représentation olfactive , une perception est un indice de quelque chose qui est présent ou qui a été présent . Nous percevons un tas d’informations sans s’en rendre compte, on absorbe des informations s’en être conscient, en même tant on fait une sélection sur les informations pertinentes, cette sélectivité est une des 1er fonction de l’intelligence de la perception, sélection de ce qui est utile. La diversité, le changement attire l’attention d’une manière générale, ce que nous voyons c’est aussi une suggestion des autres perceptions et nous arrivons à la preuve que nous pouvons nous tromper <o:p></o:p>

    Toutes ces fonctions qui sont un jeu dans la représentation du réel sont un jeu dans la perception de la représentation  .La vue a été longtemps et même encore comme le médium principal de la pensée, comprendre et voir sont presque synonyme, voir c’est en même temps connaître. Ce n’est pas un hasard si les représentations ce sont manifestés sur le plan visuel, les représentations sur d’autres organes sont plus tardives, ensuite récemment on commence a enregistré les sons. Aujourd’hui nous avons transposé certains aspects de la vision et de l’audition, on na besoin de très peu de traits pour reconnaître quelque chose c’est la schématisation, nous sommes face a des schémas mentales qui permettent de reconnaître et ce qui compte c’est cette représentation mentale qui se crée suite à une perception (ex : arbre on ne perçoit pas de la même façon un arbre, différent vert) <o:p></o:p>

    GESTALT «  l’esprit pour raisonner doit accomplir 2 fonctions recueillir l’information et l’élaborer », ces 2 fonctions ne sont pas séparables, les opérations cognitives (pensée) ne sont pas autre chose que la perception, mais sont d’après GESTALT, des ingrédients de la perception donc percevoir c’est pensée, c’est une opération de l’intelligence. Avec cognitive je me réfère a toutes les opérations mentales qui interviennent dans ce processus de recevoir, emmagasiner l’information et pensée active c’est à dire apprendre, toute action intelligente est une activité dons toute action perceptive est un comportement active  <o:p></o:p>

    ARNHEIM « voir c’est créer des images, des représentations mentales », l’image mentale se construit en conséquence de représentation visuelle par notre cerveau, la capacité d’imaginer est la capacité de fermer des images sans stimulus externe. Les représentations mentales sont former par la rencontre de la perception visuelle ou par notre esprit, l’image qui représente au delà de la perception à une activité intellectuelle importante, de même pour le rêve. Quand on rêve on a des images qui ne sont pas construit par un stimulus, le rêve est un autre état de la conscience : hors ces différentes représentations par image corresponde à des différents états du réel. <o:p></o:p>

    Qu’est ce que l’image ? C’est difficile à définir car on rentre dans le mental est celui-ci n’a pas un statut fiable, l’évocation de toutes connaissances va se condenser dans une image <o:p></o:p>

    L’importance de la perception quand on reçoit une communication audiovisuelle, par le visuelle certaines caractéristiques du réel passe par la perception, on complète ensuite par ce qu’on connaît , notre intelligence , donc l’aspect de complètement, joue beaucoup sur la représentation du cadre <o:p></o:p>

    Champ et hors champ : le champ est un espace, délimité c’est ce qui est véritablement sous les yeux de la perception visuelle, il y a une relation entre champ et hors champ et l’image mentale est faite avec se complément de hors champ d’où la relation, le hors champ est suggéré par rapport a ce qui est véritable à voir dans le champs. Dans le cinéma la relation champ, hors champs disparaît avec les mouvements <o:p></o:p>

    Il y a des influences dans la relation champs et hors champs :<o:p></o:p>

    • Il y a une condition minimale pour recevoir une perception visuelle : la lumière<o:p></o:p>
    • On voit les formes par différence, si il n’y a pas de différente forme dans le champ on ne voit que la couleur donc il faut que la forme se détache sur le fond, relation de la forme avec les fonds est obligatoire <o:p></o:p>

    Il y aussi d’autres conditions outre celle qu’on a vu lié à l’espace pour la perception  <o:p></o:p>

    L’espace ne peut indiquer le temps de manière précise mais il suggère toujours sa propre relation au temps, dans la réalité l’espace et le temps est indissociable .La dimension temporelle est suggéré par ce qui est présenté dans le champs mais les conditions de réception sont dans le réel donc le temps existe forcément, le récepteur utilise un temps pour sa réception aussi appelé temps de lecture de l’image qui dépend de plusieurs facteurs. <o:p></o:p>

    C’est l’appareil photographique qui produit les images mais pas forcément car juste derrière il y a les hommes pour le faire fonctionner <o:p></o:p>

    Réception mécanique : change la relation de l’artiste, ce qui fait que le spectateur doit adapter son œil selon le support. La photographie mémorise, transmet d’une manière différente de la peinture. Pour la 1er fois dans les médias de représentation de l’image, la relation entre représentation et référent réel change, la technique a besoin de la présence du référent réel pour représenter (contrairement au peintre) .L’essentiel de la photo est de ratifier ce qu’elle représente, le langage est par nature fonctionnel donc dans la photo le pouvoir d’authentification prime le pouvoir de la représentation. De nos jours nous sommes en train de changer cet élément de représentation, on peut reconstituer des personnes et les faire percevoir comme si elles étaient réel. Le statut de la relation entre réfèrent réel et représentation est a nouveau en train de changer car les ordinateurs n’ont plus besoin de référent pour représenter , il y a eu une époque ou le pouvoir d’authentification a primé c’est de l’invention de la photo à nos jours , la photo a été inventé en développement artistique ce qui n’est pas le cas du cinéma qui est inventé dans la poussée scientifique , la perception d’une photo face à la perception d’une peinture est différent , donc l’illusion du réel a fortement augmenté  <o:p></o:p>

    Le cinéma est la vie car ce qui est envie est en mouvement, l’illusion du mouvement donne un réalisme car quelque chose bouge, c’est le temps présent <o:p></o:p>

    Le mouvement a besoin d’un temps pour se développer, avec le cinéma le spectateur n’est pas libre par le choix de lecture, c’est le cinéaste qui l’impose.Le cinéma va assez tôt rejoindre la scène théâtrale pour devenir le cinéma de fiction<o:p></o:p>

    Au départ on voulait comprendre par ex le mouvement des chevaux (voir cinéma muet) <o:p></o:p>

    La variation du tournage a une conséquence sur la projection, création du ralentit ou de l’accélération<o:p></o:p>

    Le projecteur modifie le résultat filmique, c’était au début de l’aventure, maintenant on modifie le temps du tournage ou au montage, le cinéma permet de rendre la vue plus puissante car le rendu est difficilement perçu par l’œil, le mouvement en lui-même est ce qui caractérise le cinéma, il est immatériel, une matière crée le mouvement  <o:p></o:p>

    L’illusion de perception est donnée complètement, 100% de qualité visuelle, c’est le cinématographe qui nous donne toutes ces qualités.<o:p></o:p>

    Christian Metz évoque les indices de réalité et les différents degrés de ces indices, au cinéma le degré de fidélité est très élevé<o:p></o:p>

    Le temps au cinéma commence à être présent : <o:p></o:p>

    Réception cinématographique : conditions particulières, immersion dans une salle sombre, cette vision en salle à un antécédent proche : le théâtre, représentation collective en même temps un spectateur individuel.<o:p></o:p>

    C’est un processus psychologique particulier et très important, une fois qu’une habitude de projection est prise, elle se poursuit ; le spectateur va s’oublier et oublier la condition réelle (c’est-à-dire la salle de cinéma) et on est projeté dans l’écran.<o:p></o:p>

    C’est le cinéma surtout de fiction qui engage un nouveau langage ; langage cinématographique (basé sur des outils), différent de la langue parlée <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La condition psychologique du spectateur est aidée par sa condition physique dans laquelle il se trouve.Forme complexe d’identification, d’abord celle avec la caméra ; l’œil, la perception visuelle est celle de la caméra <o:p></o:p>

    A ses débuts, le cinématographe est perçu comme l’œil très puissant, la capacité de l’homme a voir se transforme.<o:p></o:p>

    La 1er identification : œil/caméra, point de vue pour regarder réel, expérience même d’une vision  <o:p></o:p>

    Adhésion audiovisuelle : <o:p></o:p>

    Au cinéma on ne raconte pas tout court, on raconte d’une certaine manière ; mise en scène choisie<o:p></o:p>

    Photogramme : unité technique <o:p></o:p>

    L’unité minimale au cinéma est un plan : ce qui est enregistré en continuité temps réel, temps filmique.Entre 2 plans, on perd le contrôle du temps réel, entre le plan 1 et 2 le temps filmique est continu <o:p></o:p>

    Dans le courant réaliste, on a tendance à ne pas couper le plan pour certifier ce qu’il s’est vraiment passé, la représentation visuelle au cinéma est représentée par le temps filmique. <o:p></o:p>

    Le cadrage est fondamental à l’élément de base, chaque média hérite du média précédent.<o:p></o:p>

    Le média élabore son langage lorsqu’il se détache du média photo. Entre le 1er film et les suivants, il y a une modification dans la façon de travailler, gérer les raccords de plans…<o:p></o:p>

    Les réalisateurs vont comprendre les autres possibilités du cinéma avec la mobilité de la caméra, cela éloigne le cinéma de photo.<o:p></o:p>

    Cette illusion du mouvement : <o:p></o:p>

    La mobilisation de la caméra peut être faite de 2 manières<o:p></o:p>

    • Bouger la caméra grâce aux outils mobiles <o:p></o:p>
    • Comprendre que l’on peut donner une cohérence des éléments filmés <o:p></o:p>

    Griffith et Eisenstein, père du montage, Eisenstein prend conscience du montage en regardant des pictogrammes japonais, on prend des éléments pour les mettre en série il pense que l’on peut faire la même chose au cinéma, dans une série organisée, un élément prend une signification particulière au milieu d’une série organisée <o:p></o:p>

    La signification d’un plan au cinéma n’est pas seulement ce que le plan dis lui-même mais aussi sa place dans la chaîne, séquence.  <o:p></o:p>

    Position que le plan occupe dans la série : invention du montage, structure du montage qui donne sa ressemblance au langage, c’est la plus grande découverte même encore aujourd’hui , c’est une prise de conscience<o:p></o:p>

    Le multimédia succède au cinéma, la structure linéaire a évolué avec l’introduction du DVD, vidéo dans les foyers, on choisit notre lecture, dans le multimédia, il y a l’interaction différente pas possible avec le cinéma.<o:p></o:p>

    Le montage de Eisenstein est dit symbolique (non réaliste) , on peut être dans une tendance réaliste ou dans une tendance à la Eisenstein ou la signification devient plus forte <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La diègèse ou l’univers diégètique   <o:p></o:p>

    Le cinéma va commencer à raconter dans le document ou cinéma de fiction, dans les 2 cas il y a une illusion de la réalité<o:p></o:p>

    Temps de narration filmique, tous ces éléments qui constituent le film appartiennent à l’univers diégètique, on raconte au spectateur l’histoire dans l’espace temps, le spectateur se projette dans la diègèse du film.<o:p></o:p>

    Bine que l’œil du spectateur s’identifie à la caméra, dans l’univers diégètique le spectateur s’identifie aux personnages de l’écran.Processus psychologique de transfert qui cette fois se projette dans le personnage. L’expérience cinématographique est une expérience d’altérité qui ressemble  un rêve, notre conscience est projetée dans une autre réalité <o:p></o:p>

    Cinéma documentaire : Robert Flaherty père du documentaire aux USA et Dziga Vertov père du documentaire en URSS <o:p></o:p>

    Flaherty : les nuits dans Nanook en 1922<o:p></o:p>

    Flaherty influence le cinéma documentaire et ethnographique, il rencontre des esquimaux et en fait un documentaire. La méthode de Flaherty : manière de réaliser, il filme lui-même et s’imprègne de la réalité, il construit son film avec les esquimaux, la vie quotidienne est retranscrite à l’écran, cette méthode donne une sensation réaliste et naturelle donc montage réaliste <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 niveaux de compréhension d’un film : <o:p></o:p>

    • Analogie photographique<o:p></o:p>
    • Signification, la narrativité crée par la diègèse<o:p></o:p>
    • Ensemble de symboles, expression du rythme par le montage, langage du cinéma <o:p></o:p>

    Dziga Vertov (représentation non réaliste), intéressé par le réel, il met en scène des acteurs, à travers son film «  l’homme à la caméra », il rend hommage à l’œil devenu caméra.Le cinéma en URSS est perçu comme un art majeur par Lénine, il y a un soutien politique et administratif, il y a une grande liberté dans le sens des images avec lui.<o:p></o:p>

    Selon Vertov, le cinéma est un moyen de voir la réalité différemment, il film des petits morceaux du réel pour montrer comment l’œil de la caméra peut nous montrer qu’elle nous fait voir ceci différemment.<o:p></o:p>

    A partir d’une représentation réelle, on peut faire surgir des vérités sur le réel, cinéma vérité  <o:p></o:p>

    Ne pas oublier que le cinéma est une représentation, une illusion, c’est un art.<o:p></o:p>

    La mise en scène est de différents niveaux, elle peut avoir un sens théâtrale (cinéma de fiction), ce niveau là certains cinéma peuvent sans passer comme le cinéma documentaire, quand on parle de mise en scène on parle de langage.<o:p></o:p>

    Dans le cinéma muet le son est représenté par hallucination (à travers des éléments producteurs de son) mais grâce au rythme des images, au montage, sensation auditive.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le passage au son   <o:p></o:p>

    La représentation du son (dans la technique de la trace) pouvait se faire de manière graphique avec la notation de note, dans la deuxième moitié du XXème siècle, des instruments mécaniques, phonographique.<o:p></o:p>

    Le cinéma muet, a crée son langage propre, résiste à appliquer cette nouvelle invention qui permettrait d’associer l’image au son <o:p></o:p>

    1er raison : artistique car le cinéma est déjà un art, c’est l’art de la narration par l’image en il communique par langage universel, l’image n’a pas de barrière linguistique, tout cela n’est plus possible du moment que le son s’associe à l’image, le son en tant que parole arrive avec son moyen de signification mais il y a un problème dans le cinéma parlant (bruits, musique, paroles).le bruit ne dérange pas cela permet de s’approcher du réel ajouter un bruit à l’image donne du réalisme or l’art cinématographique de l’époque e veut pas être tuer par la parole , 30 ans après sa création certains disent que le cinéma est mort avec la parole (Eisenstein).<o:p></o:p>

    Tout ce qui apporte plus de réalise met en danger le cinéma en tant qu’art, la parole conditionne l’image, l’image est plus coincée avec la parole car besoin de temps pour se développer.<o:p></o:p>

    La musique est un héritage du Muet, elle avait fonction d’accompagner le fil en donnant une atmosphère, elle est entrée comme accompagnement des images, elle n’est pas dans la diègèse car elle ne fait pas partie de la représentation, la musique est autre niveau de signification, un moyen de communication au niveau émotionnel, on écoute la musique d’une certaine manière en fonction de notre culture <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Perception auditive     <o:p></o:p>

    Un son est immatériel, c’est un indicateur de la matière, son produit par une source sonore matérielle, il se développe sur la notion de temps il indique l’espace car il indique une source que l’on localise.Depuis la reproduction du son on est dans l’écoute du second niveau. Dans la représentation du son au cinéma, ce qui importe c’est la relation image et son, c’est une association qui crée une interprétation    <o:p></o:p>

    Au cinéma on peut avoir la source représentée à l’image donc le son fait parti de l’univers diégètique.<o:p></o:p>

    Dans les années 20, on parle avec insistance du cinéma sonore, il y a un autre problème, les acteurs muets ne sont pas forcément des acteurs parlants, ils sont des acteurs du visuel, l’acteur muet a déployé des moyens gestuels pour communiquer, théâtralisation gestuelle (Chaplin) <o:p></o:p>

    L’introduction du son est progressive (extrait de chantons sous la pluie) <o:p></o:p>

    Au début du cinéma parlant, la post synchronisation va émerger pour permettre une meilleure qualité, musique Off est conservée dans le film mais il y a un autre son Off c’est la voix Off utilisée dans les documents.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Christian Metz e la sémiologie <o:p></o:p>

    2 catégories de signification : image et son <o:p></o:p>

    L’image reproduit l’intégralité des mouvements, de même pour le son mais il y a une différence entre l’écoute du 1er niveau et du second, ce n’est pas une copie parfaite du mouvement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>


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  • MEDIA ET COMMUNICATION<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Alain Ehrenberg, « l’individu incertain » essai en 1995, met en évidence une forme de décomposition de la société contemporaine en parallèle le rôle des médias.<o:p></o:p>

    Pascal Blanchar, ce qui fait l’actualité aujourd’hui, est la difficulté qu’a la France d’intégrer le passé colonial ou post colonial, « fracture coloniale »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On ne peut pas séparer l’orchestration médiatique de ces phénomènes liés au simple fait que si les hommes n’ont pas de mémoire l’histoire en a. En l’espace de 35ans, la société a évolué de manière singulière dans ces modes de sociabilité, la façon d’exprimer les liens sociaux a évolué sous l’influence d’un sociologue psychanalyste qui a annoncé comme étant une crise de la culture, communication et sociabilité en 1970. Paradoxalement l’avancée des technologies de l’information et communication, au lieu de facilité a fait voler en éclat, éclat marqué par des stratégies communautaires qui ne sont que l’indice d’une fragmentation sociale. En 1970 la distinction qu’on faisait d’une perspective marxiste, entre société et culture se trouve nuancé  <o:p></o:p>

    Société : hétérogénéité des individus, distinction<o:p></o:p>

    Culture : homogénéité, rassemblement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il y a aujourd’hui avec la venue des minorités culturelle, une hétérogénéité de la culture donc la culture n’est pas un facteur d’homogénéité sauf pour des groupes humains constitués.la rencontre entre différente culture est source de richesse.<o:p></o:p>

    Tous les phénomènes de scénarisation de célébration mémorielle (but rappeler le souvenir de quelqu’un), la multiplication de ces cérémonies faisait un immense décor de mémoire.Les mouvements de réunion collective destinée une célébration collective, naissent et se développent dans un contexte économique, sociale et culturel de crise , ce qui a suscité en terme de célébration collective orchestré par les médias au 11 septembre, les modèles avaient été construits et transmis bien avant, dans une occasion qui signé par l’Amérique au moment du sida. <o:p></o:p>

    Ces modèles sont une pratique sociale et spectacularisation du lien social, modèle de mise en scène du collectif qui avait fait leur preuve dans une situation antérieure.<o:p></o:p>

    Ce sont multipliés à partir des années  90, des célébrations collectives de deuil, comme une espèce de mortification collective, nos sociétés n’ont pas cessaient de redire comme une incantation qu’il fallait grader la mémoire.<o:p></o:p>

    Aujourd’hui peut être on se dit qu’il s’agissait d’expier une mémoire collective dans laquelle au 1er plan se trouvait la figure de l’autre, l’étranger, du différent.On peut se demander si cette exploitation et une exploitation  du mémorielle collectif qui est une pratique conjuratoire.<o:p></o:p>

    Se pose la question de l’étrangéité au sein de la société pour se rapprocher de l’identité, tout ce qui relève de la problématique de l’identité est en cause, identité sociale, culturelle, sexuelle.<o:p></o:p>

    A cela s’ajoute le rôle, la place qu’a pris l’esthétique, le look. Toute cette énorme machine narcissique n’a cessé de se développer aujourd’hui avec des effets dont on risque de mesurer les conséquences dans 10ans.Brouillage entre privé et public (blog sur Internet, émission télé réalité), on ne peut les éviter.<o:p></o:p>

    Le narcissisme ambiant oblige à 40ans, avec la chirurgie esthétique, les produis de beauté… Il y a une soumission qui part d’un modèle de corps parfait de jeunesse, on peut et doit vivre avec un peu de narcissisme en soi, le pire est de ne pas être narcissique en soi mais en avoir trop c’est s’engager dans une course qui font de nous des stars, gens artificiels, derrière cet artifice il y a un creux, un vide.<o:p></o:p>

    Etant donné l’incertitude dans laquelle les individus évoluent, ils ont besoin de croire qu’ils sont « aimables », (milieu familial, social), tout cet ensemble ne fait que fortifier l’image, mais aussi les obligations et contraintes.<o:p></o:p>

    Se pose la question, est ce que je vis vraiment ma vie, est ce que je ne vis pas par précuration et si c’est le cas qui me donne ces précurations ? <o:p></o:p>

    Cette narcissisation, de manière significative au niveau des médias, produit des modèles esthétiques qui sont aussi des modèles culturels.<o:p></o:p>

    Au cours de l’année 2003, on va voir et rendre public « vogue homme internationale », TCH’ADORE avec en couverture le champion de boxe avec dans sa bouche un ensemble de 120 diamants de chez quartier, cela est passé totalement inaperçu, si je montre cet exemple, c’est pour montrer à quel point à la fois la fracture sociale révélé comme la fracture coloniale infiltre des domaines de représentations par excellence, récupéré sous le couvert de l’esthétique du luxe.<o:p></o:p>

    =) Il y a toute une catégorie de la population issus de milieu défavorisé, dont les origines et culture ne sont pas celles de la terre, il y a un déplacement vers le luxe, à la fois une histoire sociale, culturelle et une mémoire et la marque de l’infiltration de l’art et de la culture au sens restreint, on ne l’attentait pas et il sert d’écran et de filtre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Fulchignoni 1969 =)  cinéaste, sociologue, directeur des médias de L’UNESCO, c’est le 1er qui se soit posé les bonnes questions sur le destin de l’audio visuel dans la société, il publie la « civilisation de l’image » 1969, réflexion sur le rôle des médias.<o:p></o:p>

    A partir de la 2ème moitié du XXème siècle, une civilisation de l’image se met en place, cette civilisation ne va pas que marquer la montée en puissance des moyens et supports de l’audio visuel mais elle va signer l’importance de l’image que l’on peut avoir de soi même.<o:p></o:p>

    Milan Kundera =)  « l’immortalité », il pense que les médias sont au service du pouvoir : culture collective de masse : imagologie.<o:p></o:p>

    Imagologie =) une idéologie est un système de contrainte de la société contemporaine, il repère les liens qui s’affirment au fil du temps qui relie le pouvoir politique et médiatique. Les imagologues existaient avant la création des puissantes institutions, aujourd’hui l’imagologue ne dissimile plus son travail au contraire il l’explique.L’imagologie a remporté une victoire sur l’idéologie.Il met aussi en relief la diversité des pratiques d’usage de l’image, celle-ci va à partir des années 80 devenir une culture collective.<o:p></o:p>

    Avec la fin du 20ème siècle, on arrive à une apogée de ce qu’on peut appelé le temps de narcisme, il va s’accentué avec l’invasion dans le voilier, aussi marquante que le tourne disque qui devient une sorte de miroir illusoire de sa propre pensée avec tout une dimension auto érotique indiscutable.Le paradoxe s’impose très vite, en même temps que la demande «  de pouvoir voir l’autre et être vu » est très claire. (Blog, webcam), ce tout à l’écran marque aussi l’impérialisme d’une image de l’homme et de la femme dite post moderne.<o:p></o:p>

    S’interroger sur les modes de technique aujourd’hui c’est voir l’évolution, les nouvelles technologies servent de pouvoir de leurre, elle instaure l’illusion dans la communication et l’interaction.Les médias de communication, l’ordinateur, technique et appareils associes au technologies nouvelles deviennent rapidement ce que Jean Baudrillard  a appelé « un exposant social ».<o:p></o:p>

    Ce qui est à faire, le look sont des facteurs d’échanges (stratégie de l’apparence) = maîtriser un spectacle de soi même (aussi dans les entreprises), cela favorise certaines formes de discrimination : espace où l’on peut tout montrer «  les stratégies fatales ».<o:p></o:p>

    Baudrillard fait le procès de la société de consommation, de sa consommation de l’apparence/ théâtralité médiatique politique, social, dévoilement du corps.C’est ainsi que l’on pourra parler de l’avènement et de l’affirmation de ce qu’on appel L’ODIO VISUEL (honte du manque de pudeur).<o:p></o:p>

    « Les stratégies fatales » sont publiées en 1986, aujourd’hui et depuis longtemps on assiste à des télés visuelles avec des réalités shows. <o:p></o:p>

    Il y a une conversion hystérique du social :<o:p></o:p>

    • L’hystérie est par définition une maladie de théâtralité, une atteinte qui se caractérise par une tendance majeure jusqu'à la pathologie, une tendance à faire son cinéma<o:p></o:p>
    • L’hystérie atteint le corps du sujet et elle touche le corps en ce lieu précis de son existence qui est celui de se sexualité et de toute l’histoire que peut connaître un corps par rapport à la séduction<o:p></o:p>
    • L’hystérie est une maladie de genre qui atteint surtout les femmes, l’hystérie qu’il s’agit d’une femme ou d’un homme est de nature à semer le doute en l’autre sur une question fondamentale qui est celle «  de l’identité sexuelle ». Cette conversion hystérique social c’est une mise en accusation et conversion d’une sorte de pathologie collective, c’est la mise en relief d’un règlement du social caractérisé par la toute puissance du sein des interactions sociales de l’apparence, en résonance dans l’expression du look, et cette version de l’hystérie sociale va donner aux interactions une sorte de règle implicite ou il est clair qu’il n’y a pas de rencontre si il n’y a pas capacité, pouvoir de séduction.<o:p></o:p>

    La TV va devenir l’espace privilégié de cette conversion de l’hystérie sociale.<o:p></o:p>

    La TV est le principal mémoire, miroir de série d’événement passé, elle ne va pas cesser du produire de souvenir, d’inscrire et de laisser des traces.<o:p></o:p>

    La TV et le magnétoscope vont engendrer des pratiques singulières et familières centré autour de l’enregistrement. Le film TOMMY, est un essai sur à la fois l’adolescence et relation parental/ enfant.C’est une critique sur la société américaine, la façon dont l’Amérique a utilisé les médias de masse en particulier la TV.<o:p></o:p>

    Rapport entre voir, toucher, manger, c’est donc une période où la TV à sa façon reflète l’état d’avancement d’une société et contribue à construire cette société. <o:p></o:p>

    Le corps est séquestré et en même temps il devient une source de préoccupation, l’image du corps n’a jamais était l’objet d’autant d’attention, d’une mise en scène théâtralisé, c’est aussi bien le corps de l’homme ou de la femme, de la beauté et de la santé.<o:p></o:p>

    On oublie trop souvent le fait que au moment où éclate de manière choquante la pandémie du sida c’est au moment où il y a une érection du corps objet, carte visite d’une image esthétique.Durant la pandémie du sida « corps » et « sexe », objets qu’on ne peut toucher sans que soit remis en cause l’intégrité de notre santé en terme de maladie ou de mort.<o:p></o:p>

    Le sida met comme une mise en accusation des catégories de population, une minorité de couleur de peau, mise en accusation de différences ethnologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le temps de narcisse est un temps qui se développe au moment en France, ou il y a un processus d’individualisation, il s’agit en tant qu’individu d’assurer son propre destin, plus de possibilité de se tourner vers les cardes institutionnels qui nous protégez, nous donnez un sentiment d’appartenance collective. Il ne faut en aucun cas mépriser ce qui s’installe dans les médias, en particulier les réalités shows, ils ont une fonction indiscutable, ce sont des symptômes de l’état et de l’évolution de nos sociétés, ce sont les signes témoins de la France de notre désir à la fois convoité et haie, tous les modèles socio culturels et institutionnels qui existent aux USA. <o:p></o:p>

    Nous sommes malgré nous entraînez dans des formes de placage de modèle culturel, on assiste aujourd’hui à un décalage concernant les applications des usages, des néo technologies , tout à fait analogue à celui qu’on a connu dans les années 70-80 par rapport aux pratiques de l’audio visuel.<o:p></o:p>

    Il y a une liberté dans le sens d’une créativité possible aux USA qu’il n’y ai jamais eu en France, grande liberté d’invention de recherche, quantité de moyen mis à disposition pour la recherche.Ce décalage ont le ressent aussi pour le développement des technologies dites nouvelles d’information et de communication, du coté de l’infographie, l’Amérique se dispute un certain nombres d’infographistes français.<o:p></o:p>

    Les modèles américains, les produits culturels des USA ont une capacité d’accrochage.<o:p></o:p>

    ·         La culture est un secteur de la vie culturel particulier, la transmission nécessite un minimum de complicité, on n’est pas toujours capable d’identifier quels sont les facteurs de cette identité. Aussi bien dans les secteurs de l’art que dans les secteurs industriels, la question d’image de soi est tout à fait déterminante.<o:p></o:p>

    ·         Coté communication, un certain nombre d’éléments qui rentre en tant que composante de notre individualité prenne de plus en plus d’importance.<o:p></o:p>

    ·         Une voix ça se travail, les muscles de notre vocalisation se travaillent mais en même temps si la voix est une carte d’identité sonore c’est aussi l’un des meilleurs support phonique d’un jeu identitaire<o:p></o:p>

    Comment nier que la voix n’implique pas toute une corporéité du langage, il n’y a pas de voix sans corps, il y a incontestablement à cause des clichés répétitifs que l’on trouve dans les représentations sociales de la voix des décalages majeurs.<o:p></o:p>

    Il y a des schémas sonores de représentation du sujet (histoire de la voix, confusion avec un homme robuste, grand et Mr Geoffrey) <o:p></o:p>

    Nous avons une quantité de clichés qui nous ont était transmis à travers l’histoire, l’évolution de la création qui est un domaine, celui du champ.<o:p></o:p>

    A travers des émissions, chansons vont se transmettre, attaché à des rôles sociaux, des types de voies, des genres aussi bien masculin que féminin.<o:p></o:p>

    Il y a un domaine dans lequel on a su distribué très tôt des voies et à travers ces voies, des rôles : c’est l’opéra.<o:p></o:p>

    A partir des années 50, au lendemain de la seconde guerre mondiale, il y a des certaines femmes qui vont harmoniser à représenter des voies essentielles que ce soit en chant ou de l’entretien de l’interview, de la communication ou conversion à la radio.C’est au cours de la 2ème G.M, qu’une voix va se faire entendre à la radio, les radios vont constituer un support de communication privilégié.<o:p></o:p>

    Quand on est dans la souffrance, solitude, une voie prend une dimension singulière.  <o:p></o:p>

    C’est un des domaines de la vie humaine où la question de différence de sexe se pose, de manière éclatante. Les hommes nous voila pris un jour dans les moments de l’ado dans un filet, ce qu’on appelle la Mue.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1874 : « l’art poétique », courant du symbolisme qui se développe, Verlaine<o:p></o:p>

    1871 : Rimbaud écrit un sonnet « voyelle » <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    =) para langage : tout ce qui reste ou qu’il règne du langage lorsqu’on ne considère plus son sens et son contenu mais la manière dont il s’actualise dans le langage.<o:p></o:p>

    La mue c’est ce qu’on dit pour un serpent, c’est une perte, dépouille, les hommes sont dépouillés d’une voir première en même temps qu’ils perdent leur enfance.C’est une rupture sociale<o:p></o:p>

    Hypothèse : parce que l’homme perd sa voie, il la recherche, la poursuie entre les grilles d’une portée musicale.<o:p></o:p>

    Castration =) manière de maintenir cruellement une sorte de paradis car une enfance est toujours un paradis. <o:p></o:p>

    Une voix est faite d’un certains nombres d’attributs qui fondent sa personnalité, son identité (réelle, sexuelle, victime). La voix a 2 aspects : <o:p></o:p>

    • Voix comme indice d’une personnalité : qui je suis, d’où je viens, comment j’ai étais élevé<o:p></o:p>
    • Voix comme indice de l’état et de la nature de nos émotions <o:p></o:p>

    Les ruptures sont de indices précieux tel que la stabilité d’une personne, sa capacité à tenir face une adversité.<o:p></o:p>

    Les variations auxquelles sont soumises les voix, ont une importance particulière pas simplement au niveau communicationnel mais d’un point de vue méta communicationnel (communication sur la relation). <o:p></o:p>

    La voix a mobilisé toute une technologie pour détecter le mensonge.L’idée qu’il y a une voix de la vérité, du mensonge est une idée qui se prolonge aujourd’hui.Parmi ceux qui vont faire avancer les études sur la voix déterminante, il faut compter des chercheurs anglo saxon, « Klaus Schener » , ces 1er travaux commencent au début des années 1970.<o:p></o:p>

    1970 =) aux E.U développement des recherches de la communication non verbale. Il y a un lien entre les recherches sur la communication non verbale et verbale, c’est au point de rencontre entre ces 2 domaines de recherche que se situe le para langage.<o:p></o:p>

    Une attention particulière était porté à la voix y compris dans les échanges qu’on savait écouté, il s’agissait de ne rien laisser passé dans sa voix.Les travaux véritablement scientifique se sont fait en 1970 notamment en raison de l’équipement disponible.<o:p></o:p>

    Principaux traits qui caractérisent le para langage :<o:p></o:p>

    1. la hauteur de la voix =) désigne les parties d’une séquence verbale dans lesquelles votre voix change de hauteur<o:p></o:p>
    2. l’intensité =) les moments où la voix augmente le volume car ce qui se rencontre dans notre discours mérite d’être sortie comme un diamant sur le plan sonore <o:p></o:p>
    3. le rythme =) ce n’est pas la vitesse, c’est quelque chose sue l’on saisie sur la durée, la vitesse on l’a saisie dans l’instant<o:p></o:p>

    les chercheurs ont cherché toute une série d’effets et dans cette série rentre les effets de larynx  rentre dans ces effets les enrouements, ces effets sont liés à la contraction de la gorge et qui donne une voix éraillée, ces moments d’éraillement ont été considérés comme des moments clés.<o:p></o:p>

    La voix c’est ce qui nous conduit au fredonnement, chant, à la musique, c’est la 1er et pour certain le seul instrument sonore qui nous soit donné de faire raisonner.Donc la différence du sexe passe par d’un coté la perte d’une voix d’enfance pour les hommes et du coté du féminin la continuité d’une voix d’enfance.<o:p></o:p>

    Si la psychanalyse a inventé le complexe d’oedipe et qu’il vise en particulier les garçons, ce n’est pas au hasard, les rapports qui unissent la voix et l’identité sexuelle sont des rapports déterminants.<o:p></o:p>

    Freud =) a écrit « l’anatomie c’est le destin » et dans cette idée il semble dire que selon le sexe qui nous est donné à notre naissance quelque chose dans notre destin se trouve déjà tracé.Il écrit aussi « toute psychologie est aussi une psychologie sociale ».Dans la formule ‘l’anatomie c’est le destin », il faut y voir le destin que trace politique, société et culture avant même que nous puissions en décider nous même.La société, les sociétés avec des nuances particulières, ont des attentes dans le rôle masculin et féminin que doivent remplir les individus. <o:p></o:p>

    =) A travers « la transsexualité », la question du féminin et masculin, la question d’anatomie auquel aucun un individu pourrait échapper, prend des nuances singulières, un choc.Cette dimension sociale qui fonde le destin d’un individu anatomiquement déterminé, il ne faut oublier que tout l’appareil phonatoire, système que représente nos cordes vocales, au fil de notre croissance, cet appareil est façonné, tout cela rentre dans ce qu’on peut appelé notre anatomie donc ce qu’on est capable de produire phonétiquement.<o:p></o:p>

    Notre voix est aussi un des facteurs dominants de notre propre histoire. L’univers du sonore est habité par autant de clichés que l’univers visuel, schéma pré fabriqué socialement et culturellement.<o:p></o:p>

    Donc notre vie est soumise au même titre que notre apparence physique, socialement et culturellement orchestré, attente vis-à-vis du comportement, dans la communication et l’interaction. Dans l’univers sonore ; comme dans certain autre, on considère que tout ça est artificiellement construit, les femmes ont une stabilité que les hommes n’ont pas, ils doivent accepter leur moment de chaos. La mue, survient au moment où se manifeste les signes de ce qui relève de la virilité ou féminité, où moment où le corps se transforme cela donne à la voix une corporéité, une intégration à la voix.<o:p></o:p>

    Il faut des circonstances particulière pour qu’un homme entende surgisse une voix qui est la voix d’un enfant alors que la femme a toujours à disposition cette voix qui n’a jamais cessé de flirter avec l’enfance.ce sont les différences sur lesquels la communication humaine a fondé : ses normes et règles.<o:p></o:p>

    Il y a à la fois toute une grammaire et vocabulaire comportemental associé à tout les jeux, possibilités des voix des hommes et femmes sauf une maîtrise absolue, la voix va être un des organes les plus sensiblement affectable, elle va se faire consciemment ou inconsciemment l’un des supports privilégiés d’expression, de diffusion, de marqueur sonore témoignant de la gamme des émotions possibles même lorsque le corps est sous contrôle, qu’on doit garder un comportement attendu malgré cela, c’est la voix qui va trahir.<o:p></o:p>

    La voix en tant que communication va porter les signes majeurs d’un climat dans l’interaction, elle va servir consciemment ou inconsciemment à réguler certaines situations sociales et donc cela signifie qu’une attention particulière  est portée à la voix.<o:p></o:p>

    Au même titre qu’on s’arrange avec notre corps, on s’arrange avec notre voix.Il y a une sorte de contact narcissique avec l’individu et ses reflets (visuel, sonore), on s’arrange pour arriver si ce n’est à s’aimer, au moins à s’accepter.<o:p></o:p>

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  • Les supports de cours de Joel Ronez sont dispo !

    Je n'ai pas recopié ces cours sur ordi, donc si quelqu'un les a... qu'il n'hésite pas à me les envoyer !


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