• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Le but est de rendre plus évident le processus d’exprimer par des représentations en image.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    AUDIO VISUELLE<o:p></o:p>

    à Deux composantes donc deux représentations qui peuvent aller ensemble. Il ne faut pas assimiler de suite à la TV.<o:p></o:p>

    Il s’agit de deux éléments séparés qui vont parfois ensemble.<o:p></o:p>

    Communication très forte par les images. Il y a eu une accélération exponentielle des représentations visuelles.<o:p></o:p>

    TV= éléments de la société, communication sociale. Extrêmement important socialement.<o:p></o:p>

    Audio visuel utilise des canaux de communication dits  naturels, qui peuvent être compris sans codes (ex : écriture, il faut apprend à lire, à écrire). Un dessin, dans n’importe quel endroit, si on dessine un cheval, ce sera un cheval partout. Compréhensible, sans éducation spécifique. Un film arrive à communiquer, même si on ne comprend pas le mécanisme de création de ce film.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Analyser, qu’est-ce que ça veut dire ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ANALYSE, décomposer les éléments d’un ensemble. En les séparant du tout, on arrive à mieux les identifier.<o:p></o:p>

    Ex : un visage. De quoi est-il composé ? Mais pour l’analyser, il faut le tout, après l’avoir décomposer, il faut le recomposer.<o:p></o:p>

    En analysant, j’ai fait cela de façon rationnelle, mais en décomposant, j’enlève tout, il faut que je sache que c’est un tout compact. Un visage composé d’un nez, d’une bouche, des yeux, des joues etc. Si je le décompose, je n’aurais que chaque élément séparé. Mais ainsi, ce n’est pas le tout. Ce sont des éléments constitutifs d’un visage.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    REPRESENTER  c’est une composition de deux parties <o:p></o:p>

    RE –PRESENTARE<o:p></o:p>

    Présenter à nouveau. Présenter contient présent. Signifie de rendre présent. Représenter signifie donc de rendre présent à nouveau.<o:p></o:p>

    La représentation est un mot très général.<o:p></o:p>

    Il y a beaucoup de représentation qui sont une mise en scène de quelque chose (ex : représentation théâtrale).
    Référant de la représentation peut être aussi bien réel ou imaginaire, abstrait mentale.
    Toutes représentation qui passe par le corps humain, acteur, on les appelle des représentations fugaces, volatiles, sa ne reste pas.<o:p></o:p>

    Dans le cours, nous allons surtout parler des représentations qui laisse une trace persistante, restante.<o:p></o:p>

    Appelée TECHNIQUE DE LA TRACE.<o:p></o:p>

    Signifie laisser une marque, des signes, des traces.<o:p></o:p>

    Comment va-t-on reconnaître une technique de représentation de la trace par rapport aux volatiles ?<o:p></o:p>

    Tout d’abord, elle laisse une marque, sur une matière et cette matière, c’est le supporte qui garde la trace, appelé support de représentation.<o:p></o:p>

    Pour que quelques signes soient tracés sur un support permanent, je dois avoir <o:p></o:p>

    <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:line id=_x0000_s1026 style="Z-INDEX: 1; POSITION: absolute" to="495pt,23.05pt" from="-9pt,23.05pt"></v:line>l’instrument et le savoir faire pour la technique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rappel : Technique : tout ce qui implique outils et savoir faire<o:p></o:p>

    André Leroi-Gourhan : « le geste et la parole »<o:p></o:p>

    Dans le geste et la parole, il y a l’essence de ce qui permet à l’homme de vivre.<o:p></o:p>

    àPaléoanthropologie, paléoethnologieà va regarder par le biais de culture humaine, essaie de déduire toute la structure des sociétés préhistoriques.<o:p></o:p>

    à Trace les lignes de l’évolution de l’espèce et déduit la structure de la société historique.<o:p></o:p>

    Développement de la culture et des techniques.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans la formation des espèces, il y a des modifications de la structure adaptative qui sélectionne dans le milieu.<o:p></o:p>

    Les êtres vivants sont chacun spécialisé dans une capacité, s’adapte.<o:p></o:p>

    L’homme a passé toute une série d’étape dans lequel le moment ou nous nous sommes redressés (debout) libère la main et devient plus capable du geste.<o:p></o:p>

    Développement des techniques.<o:p></o:p>

    Homme commence à apprendre technique avec binôme du geste et de la parole, langage, signe.<o:p></o:p>

    Geste contrôlé par les yeux. Vue importante.<o:p></o:p>

    Socialisation, corps social de l’homme.<o:p></o:p>

    Il n’a pas vraiment développé de spécialisation physique mais il a développer le cerveau. Il peut se spécialiser dans tous les domaines, généralisation.<o:p></o:p>

    Homme créé des techniques à l’extérieur de son corps.<o:p></o:p>

    Geste= action de l’homme sur l’outils des techniques.<o:p></o:p>

    Ce corps social est donc forcément la résultante des techniques.<o:p></o:p>

    Mémoire et savoir transmis par les corps sociaux. A un moment, apparaisse parmi les techniques les techniques de la trace.<o:p></o:p>

    Premier signe de communication tracé.<o:p></o:p>

    C’est la main qui trace, ou même elle même qui est tracé.<o:p></o:p>

    C’est la vue qui a cette tache de diriger, elle est protagoniste, quand on trace et quand on regarde la trace.<o:p></o:p>

    La vue est perçue comme un médium de perception très important.<o:p></o:p>

    Moyen de communication dans un conteste rituelà premier signe de trace employé essentiellement lors de rituel religieux pour communiquer entre les hommes et les entités.<o:p></o:p>

    Comment reconnaître que les signes sont des traces humaines par la régularité des traits. Pas de traces analogiques avec quelqu’un d’observable. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les signes n’ont aucune liaison avec quelque chose de concret, donc ce sont des signes abstraits.<o:p></o:p>

    Ex :    ° ° °   et      _ _ _<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Communication universelle<o:p></o:p>

    Ces premières formes de communication sont des formes d’écriture. Il y a un référent réel dans toute communication.
    Communication écrite : technique de la trace caractéristique particulière.<o:p></o:p>

    Ce n’est pas avec une représentation réaliste que les hommes font leur culture àmélange d’analogique et de symbolique dans la représentation graphique.<o:p></o:p>

    Visualisation d’image en cours<o:p></o:p>

    « Main sur paroi »<o:p></o:p>

    « Bison »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Au Xxème s, les occidentaux ont pensé  faire de l’art abstrait. <o:p></o:p>

    Le graphisme ne concurrence pas avec la représentation ingénue de la réalité mais avec l’abstrait. L’art figuratif est au début lié au langage. L’écriture est un moyen d’enregistrer un discours, le langage.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:line id=_x0000_s1027 style="Z-INDEX: 2; POSITION: absolute" to="495pt,7.5pt" from="-9pt,7.5pt"></v:line><o:p> </o:p>


    Analogie car figuration de ses images renvoie à quelque chose dans la réalité = le référant (peut être très concret ou très abstrait).<o:p></o:p>

    La surface, le support va devenir bi-dimensionnel. Les images vues précédemment étaient des représentations ayant la fonction de communiquer. Communique avec les deux systèmes = analogique et non analogique. Ce deuxième système se développe en arrivant aux formes actuelles (écriture alphabétique)<o:p></o:p>

    Progressivement, ces deux domaines se séparent et prennent différentes formes.<o:p></o:p>

    Ecriture linéaire de notre époque et civilisation non analogique, interpréter les signes par succession. Notre écriture est une écriture phonétique  et ses particularités sont les sos, on ne représente plus la chose que l’on veut signifier. Les sons transcrit en tant que tel. On représente la chose que l’on veut signifier.<o:p></o:p>

    Dans écriture phonétique, je code les sons du langage parlé, j’établis des conventions. Les sons d’une langue sont variés mais ils peuvent ressembler aux sons d’une autre langue et ne pas s’écrire pareil.<o:p></o:p>

    Représentation artistique va s’établir sur ce que le langage phonétique ne s’est pas accaparé.<o:p></o:p>

    La représentation analogique va faire du chemin et va accentuer son coté analogique, mais ne veut pas dire qu’elle ne va pas coexister avec le coté symbolique.<o:p></o:p>

    Même le niveau pictural continu à garder des significations analogiques et picturales.<o:p></o:p>

    Chemin de l’art occidental commence à pousser l’analogique vers le réalisme de la représentation.<o:p></o:p>

    Qu’appelle-t-on réalisation de la représentation ?<o:p></o:p>

    On doit apprendre à manier des termes proches et à ne pas confondre entre eux.<o:p></o:p>

    àRéalité, réel<o:p></o:p>

    à Vérité<o:p></o:p>

    àRéalisme<o:p></o:p>

    Tous ces termes ne doivent pas être confondu.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La représentation dans toutes ses formes n’est pas le réel. En particulier un auteur GOMBRICH tient un discours sur le statut de la représentation réaliste et qui commence à mettre le doigt sur ce qu’avant tout il ne fait pas confondre que tout type de représentation n’est pas le réel.<o:p></o:p>

    C’est le référant de la représentation.<o:p></o:p>

    La représentation est réelle mais elle a sa réalité (son statut)<o:p></o:p>

    Ce qui intéresse dans la lecture de la représentation, avec les techniques, c’est : Que représente-t-elle ?<o:p></o:p>

    Support, technique, important. On s’intéresse à ce qui est reçu.  Cet aspect de la représentation à un référant réel.<o:p></o:p>

    Le référant existe dans tout type de représentation, c’est peut-être un référant imaginaire.<o:p></o:p>

    Qu’est-ce que le réel ?<o:p></o:p>

    On appel le réel tout ceux qui tombe sous l’expérience dans un état de conscience que nous vivons au quotidien.
    état de conscience ? Nous avons tous deux états de conscience dans notre vie de tous les jours : 1er état de conscience : le réel , là maintenant tout de suite (drogue, état de conscience modifiée).<o:p></o:p>

    2ème état ; le rêve, quand nous donnons.<o:p></o:p>

    On peut dire aussi que dans le réel, il y a plusieurs typologie d’expérience.<o:p></o:p>

    Ex : Table est matérielle. Ce qui est ainsi, nous l’appelons réel. Mais ensuite, on peut aussi avoir affaire à l’immatérielle (ex : sou)<o:p></o:p>

    C’est à travers les idées que nous changeons tout, même le matériel.<o:p></o:p>

    La vérité, c’est encore autre chose. Peut se référer à des choses réels, idéals, aussi à des représentation mais on est dans l’ordre de jugement de valeur.<o:p></o:p>

    Y-a-t-il quelque chose qui sépare nettement la représentation abstraite de la représentation analogique ?<o:p></o:p>

    Le statut de vérité est un jeu : a un statut primaire de cette relation de vérité avec le référant, l’analogique surtout à partir des moyens des média de représentation mécanique et oblige dans sa représentation d’inscrire des traits qui renvoie à ce réel représenté. La combinaison symbolique n’a pas cette obligation.<o:p></o:p>

    Difficile de définir le réel mais partons de l’élément de base cité plus haut. La représentation n’est pas le réel, elle n’est même pas une copie du réel. <o:p></o:p>

    La représentation ne représente que certains aspects de son référant réel. Pour faire une copie, je dois transposer tous les éléments qui compose le réel. A ce moment, j’ai la copie, la duplication.<o:p></o:p>

    La représentation, quoi qu’elle soit n’est jamais une copie, même une duplication du réel.<o:p></o:p>

    Pourquoi y’a-t-il des courants philosophique qui nie le statut réel de la matière et de l’existant ? Quel est la preuve scientifique ?<o:p></o:p>

    On peut dire que cette table existe toujours.<o:p></o:p>

    On peut la toucher, la voir.<o:p></o:p>

    Mais en fermant les yeux, comment puis-je savoir qu’elle est réel, si je ne la touche et ne la voit pas.<o:p></o:p>

    On ne peut pas prouver que la table existe au delà de notre expérience, chaque sujet, chaque personne est sûr, à la preuve de sa propre expérience.<o:p></o:p>

    Qu’est-ce qui me permet de faire cette expérience ? C’est tout l’apparat cognitif qui s’appelle la perception. Je perçois le réel, à travers mes cinq sens.<o:p></o:p>

    Les différents organes de perception du réel coexiste et travaille ensemble, s’influence mutuellement.<o:p></o:p>

    Nous lions notre connaissance du réel à cette expérience là.<o:p></o:p>

    ARNHEIM traite de la perception visuelle (est-ce qui nous concerne ?)<o:p></o:p>

    Pourquoi expérience prime dans statut de la réalité ? La représentation joue sur cela. Nous met dans une situation semblable de perception, nous percevons les représentation, l’objet de la représentation cad le support de la technique.
    Au delà des composantes réelles, surtout je perçois ce qui est représenté, ce qui est représenté me renvois à une expérience perceptive, soit par analogie soit par un système codé dont vous connaissez les codes.<o:p></o:p>

    Représentation est capable de nous faire faire une expérience illusoire du réel.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 1 : profondeur n’existe pas dans les images plates. ILLUSION, perceptible ß perspective, c’est une illusion, c’est une manière codée, conventionnelle, manière de représenter.<o:p></o:p>

    N’est pas naturel (pas complètement analogique)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 2 : Avec le dessin, on peut voir un lapin, un canard.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 3 : Caricature pour montrer qu’elle utilise beaucoup, forme symbolique qui réduit les éléments primaires à peu de trait<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 4) Nous avons besoin de quelques éléments pour reconnaître l’analogie. <o:p></o:p>

    Nous avons besoin de très peu de traits pour reconnaître. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Capacité de reconnaître par des traits minimaux un référant réel. Passage d’un cercle qui nous amène ensuite par quelques traits à reconnaître un chat.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 5) Illusion optique : joue sur l’ambiguïté la représentation graphique stylisé et la symbolisation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 6) Spirale, carré, illusion de profondeur de champs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 7) Représentation de la perspective, profondeur de champs, ligne de fuite vers point central.<o:p></o:p>

    Perception de quelque de plus grand au fond et plus petit devant.<o:p></o:p>

    Une fois les lignes de fuites retirées, les personnages sont aussi grands les uns que les autres.<o:p></o:p>

    Puis, en les alignant tous les trois, on s’aperçoit réellement de leur taille identique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Im 8) Image de la seconde guerre mondial. Plusieurs images de perspective.<o:p></o:p>

    Une représentation est réaliste, quand elle nous fait vivre une expérience perceptive la plus proche de celle que nous vivons en dehors de la représentation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La structure est une autre forme de représentation. Qu’est-ce qui est transposé du réel sur la surface plate ?<o:p></o:p>

    De ce réel, nous connaissons les caractéristiques<o:p></o:p>

    Ex : caractéristique d’un fruit : je le sais car je connais la forme, gout et couleur.<o:p></o:p>

    L’objet réel possède ses qualités réelles, ses caractéristiques qui tombent sur notre perception. Dans mon expérience quotidienne, je reconnais l’objet, je fais cette opération et comme je refais, je n’ai pas besoin de refaire toute l’expérience perceptive.<o:p></o:p>

    Je peux évoquer la perception globale totale de quelque chose à travers la perception de seulement une partie.<o:p></o:p>

    Le spectateur n’est pas conscient de ce processus qui l’amène à reconnaître un seul organe est touché dans la représentation d’image sur support plat, c’est la vue. Expérience visuelle.<o:p></o:p>

    Dans la représentation visuelle, je ne transpose pas d’odeur, etc.<o:p></o:p>

    Expérience visuel, peut reconnaître la matière, car elle a déjà connue.<o:p></o:p>

    La vue ne voit que des formes et des couleurs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:line id=_x0000_s1028 style="Z-INDEX: 3; POSITION: absolute" to="477pt,2.5pt" from="-27pt,2.5pt"></v:line><o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>


    Illusion à GONBRICH à mise en perspective<o:p></o:p>

    1730à fresque en trompe l’œil dans une église.<o:p></o:p>

    Ce qui importe, c’est la perception, les représentation sont donc vu par individu avec le même instrument cognitif pour percevoir.<o:p></o:p>

    ARNHEIM à livre « la pensée visuelle »<o:p></o:p>

    Domaine de la psychologie, de la perception.<o:p></o:p>

    Fait partie d’un moment, la GESTALT qui signifie « forme »<o:p></o:p>

    Les changements consistent à dire que l’intelligence, la pensée guide la perception.<o:p></o:p>

    « On voit ce qu’on veut voir ». Ce que l’on a l’habitude de voir. A chaque fois, on REconnaît, selon schéma mental déjà acquis<o:p></o:p>

    Synthétise des éléments qui nous permet de reconnaître.<o:p></o:p>

    Pourquoi tant d’importance à la vision ?<o:p></o:p>

    Aristote dit : « sans représentation, l’activité intellectuelle est impossible ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On a des organes qui n’ont pas besoin de contact direct pour percevoir et d’autres oui.  Notre culture a privilégié la vue et la vue sur l’ouie.<o:p></o:p>

    [cours…]<o:p></o:p>

    Nous avons besoin que notre pensée soit ailleurs.<o:p></o:p>

    Nous pouvons absorber des informations sans en être conscient.<o:p></o:p>

    Nous faisons une sélection sur les perceptions qui nous arrive. Cette sélection est une marque de cette intelligence de la perception.<o:p></o:p>

    Le changement attire l’attention. Nous sommes dans un domaine analytique donc on sépare les organes de perception alors que dans la vue, la perception intelligente ne les sépare.<o:p></o:p>

    On a tendance à compléter la perception pour qu’elle corresponde à notre expérience réelle. Toutes ces fonctions sont un jeu dans la perception réel sont aussi un jeu dans la perception audiovisuelle.<o:p></o:p>

    Pourquoi la représentation de l’œuvre d’art, picturale etc, est-elle autant capable de nous impliquer. Elle évoque beaucoup d’autres aspects.<o:p></o:p>

    La vue a longtemps été considéré comme un médium pour la pensée, voir c’est synonyme de connaître, « tu as vu juste », cette primauté est donné dans beaucoup de culture, et voilà pourquoi la représentation par le médium de la vue.<o:p></o:p>

    Ensuite, récemment, va venir le son.<o:p></o:p>

    On peut se dire que n’importe quelle forme qu’elle prenne, la réalité virtuelle sera la représentation la plus réaliste et va renforcer un maximum la perception de la réalité.<o:p></o:p>

    La transposition est la base de la représentation.<o:p></o:p>

    Capacité d’abstraire par des traits minimal. Une reconnaissance possible. <o:p></o:p>

    On schématise beaucoup. Catégorie schématique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Naturellement, nous ne somme pas dans des représentations réaliste.<o:p></o:p>

    Ce qui compte c’est la représentation mentale qui suit après une représentation quelconque. <o:p></o:p>

    « Esprit pour raisonner, doit accomplir. Fonction : recueillir l’information et élaborer : ces deux fonctions sont inséparable.<o:p></o:p>

    Percevoir, c’est penser, c’est une opération d’intelligence. Les ingrédients de la perception sont cognitive.<o:p></o:p>

    Perception sensorielle, mémoire, penser, sont toutes les opérations mentales pour recevoir, élaborer l’information.<o:p></o:p>

    Opération mentale de la sphère cognitive.<o:p></o:p>

    Il n’y a pas de perception, que l’on absorbe de manière passive, nous faisons acte d’intelligence quand nous percevons.<o:p></o:p>

    Image mentale se construit en conséquence de perception mentale sans qu’il y est forcément perception visuelle.<o:p></o:p>

    Imagination : Capacité de faire des image sans stimulus visuel.<o:p></o:p>

    Image qui représente au delà de la perception a un espace très grand dans notre activité intellectuel dans notre imagination.<o:p></o:p>

    « De même pour le rêve. Quand on rêve, on a des images, des représentations mentales non construites suite à un stimulus visuel. Le rêve est un autre état de la conscience. »<o:p></o:p>

    Or, ces différentes représentations par images correspondent à différents état de relation au réel. Ou encore, à différents états de la réalité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Glissement philosophique et théorique. On peut reconnaître une réalité, cad un état autre de conscience.<o:p></o:p>

    La représentation de la représentation mentale n’est pas quelque chose qui a un statut fort, fixe.<o:p></o:p>

    2vocation de toute autre connaissance va se condenser.<o:p></o:p>

    Quel est la typologique du statut idée ?<o:p></o:p>

    Quand on représente dans l’art, c’est une représentation par perception mentale et répond au stimulus artistiques.<o:p></o:p>

    Importance de la perception, acte intelligent.<o:p></o:p>

    Réception de l’œuvre est avant tout une perception intelligente.<o:p></o:p>

    La perception est un acte face à une représentation est de la même typologie face au réel. Mais nous savons que par le visuel seulement certaines caractéristiques passent.<o:p></o:p>

    Avec la représentation, illusion de la réalité.<o:p></o:p>

    On complète ce qui est incomplet. On ne voit qu’une partie des objets, car il y a toujours un point de vue du réel. Nous sommes dans une représentation encadrée.<o:p></o:p>

    Tout ce qui est dans ce cadre, on l’appelle dans le champs. On voit donc des objets représenté dans ce champs. On analyse le champs. Nous pouvons considéré qu’il y a un champs géométrique qui nous montre quelque chose de délimité, nous voyons ce qu’il y a sous les yeux de la perception visuel. Contenu différents champs. On rentre dans le champs, et on analyse son contenu.<o:p></o:p>

    Qu’est-ce que hors champs ?<o:p></o:p>

    Dans le champs, il y a des choses perçues et des choses cachées que l’on imagine.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On imagine le corps complet.<o:p></o:p>

    On complète intelligemment. C’est une véritable perception et non de l’imagination. Selon la manière dont le champs est composé, je peux avoir plus ou moins cette ouverture vers le hors champs. On choisit ou non de mettre des éléments dans le cadre, le champs.<o:p></o:p>

    Dans cette relation entre champs et hors champs, il y a des compositions ouvertes et formées. Plus elle est ouverte, plus je passe au hors champs.<o:p></o:p>

    Le hors champs est conçu à partir des éléments dans le champs.<o:p></o:p>

    Dans les images fixes, cette relation est fixe aussi. Alors qu’avec le film, cette relation change tout le temps.<o:p></o:p>

    Dans les conditions de réception de l’œuvre il y a des influences champs hors champs.<o:p></o:p>

    Le contexte dans lequel la mise en exposition est influé sur la représentation, mais ce n’est pas le hors champs.<o:p></o:p>

    Le contexte dans lequel se fait la perception n’est pas neutre. Les conditions de réception sont donc à analyser à chaque fois.<o:p></o:p>

    Il y a une manière pour recevoir une perception visuelle, concerne la lumière. Celle-ci forme, donne des couleurs aux objets et le jeu est complexe car on l’a dans la représentation car elle est soumise à ce besoin de lumière. Nous voyons les formes par différences.<o:p></o:p>

    Pour voir, il faut aussi un minimum de deux éléments pour qu’il y est perception de la forme, il faut qu’elle soit délinée, qu’elle se détache d’autres formes représenté, qui se détache d’un fond.<o:p></o:p>

    Relation forme et fond, obligatoire.<o:p></o:p>

    Ces éléments de la représentation n’ont pas qu’un sens, chacun pour soi, mais aussi de la relation qui s’instaure entre eux.<o:p></o:p>

    Tout cela à avoir avec l’espace. On pourrait penser que cela n’a pas de rapport avec le temps mais c’est faux. Il y a un rapport de l’espace avec le temps.<o:p></o:p>

    Quand on parle de perception visuel, nous sommes beaucoup plus en contact avec l’espace. La dimension temporelle est suggérée par ce qui est dans le corps, mais dans les conditions de réception, nous sommes dans le réel et là, le temps existe forcément. On a donc besoin d’un temps pour sa réception.<o:p></o:p>

    On a un temps de lecture quand on regarde un tableau chez soi qui est dirigé par le temps que l’on veut. Dans un musée, le temps de lecture n’est plus de ma volonté mais aussi celle du musée.<o:p></o:p>

    Le média de représentation.<o:p></o:p>

    L’image fixe en elle même ne réclame pas un temps de lecture qui lui est propre.<o:p></o:p>

    Chacune des représentations contient une puissance, un temps de perception qui bien sûr va dépendre de la rencontre avec le percepteur mais qui est déjà contenu dans le représenté.<o:p></o:p>

    Tout dépend de la typologie de l’œuvre.<o:p></o:p>

    Lecture d’une image n’est pas linéaire, contrairement au livre. On est attiré par ce qui fait la différence.<o:p></o:p>

    Tout ce qui est monotone est perçue vite. Le spectateur va être attirée par ce qui appelle à sa perception intelligente.<o:p></o:p>

    A une époque, première moitié du XIXème, une autre forme de représentation est inventé. Les représentations mécaniques.<o:p></o:p>

    La photographie est la première de ces typologies qui apparaissent.<o:p></o:p>

    Révolution majeure, un point qui délimite l’avant de l’après.<o:p></o:p>

    Derrière tout appareil, il y a des hommes.<o:p></o:p>

    Représentation par image, la vie est toujours action.<o:p></o:p>

    Tout l’ensemble est en jeu dans la création.  Or, la mécanique va avec la photo, développer cette dimension du regard. Le geste de la main est réduit par rapport à l’importance qu’elle avait auparavant. Permet de développer la puissance de certains organes au dehors du corps.<o:p></o:p>

    Par rapport à l’œil va développer techniques qui rend plus puissant.<o:p></o:p>

    Relation entre média de représentation et média réel.
    R.BARTHES souligne que pour la première fois, représentation par image change complètement entre représentation et référant réel.<o:p></o:p>

    Pour lui, cet aspect est le plus important de ce nouveau média. Chance car cette mécanique a besoin du référant réel pour représenter de la présence. Sans ça, pas de représentation.<o:p></o:p>

    Avant, peintre pouvait avoir modèle devant mais sans aussi. Liberté énorme. C’est à lui de décider s’il veut représenter avec beaucoup de vraisemblance avec référant réel. Mais l’appareil a besoin de réel, et cette condition va certifier le réel, avec moyen de mécanique de représentation, on certifie existence du référant.<o:p></o:p>

    RB : « L’essence de la photo est de ratifier ce qu’elle représente. Cette certitude, aucun écrit ne peut me la donner ».<o:p></o:p>

    Dans photo, le pouvoir d’authentification prime sur le pouvoir de représentation. Avec ciné d’aujourd’hui, on peur authentification. Aujourd’hui, on a la possibilité de reconstituer des personnes et de les faire percevoir comme ils étaient réel.<o:p></o:p>

    On va dans la réalité virtuelle. On est en train de changer de nouveau le statut d’authentification, avec infographie.<o:p></o:p>

    Il y aura eu dans une époque, ce que RB dit, au lieu de l’invention de la photo à maintenant. Mais dès que l’on passe dans l’infographie, on repasse au mode de représentation de la peinture. On peut imaginer que tous le genre de représentation animé ne suive pas forcément le statut qu’il y avait en peinture. Certaines représentations voudront garder ce statut d’authentification.<o:p></o:p>

    Ex : en documentaire veut certifier le réel. Les informations.<o:p></o:p>

    Photo a été inventé en développement artistique. On cherche un nouveau moyen de représentation artistique. Ce qui n’est pas le cas de l’innée qui est poussé par la science.<o:p></o:p>

    Photo va immédiatement concurrencer la peinture. La présence de ce nouveau média va changer.<o:p></o:p>

    « Tout nouveau média hérite de quelque chose du média précédent, on le transforme, et en même temps son existence va influencer le média précédent ».<o:p></o:p>

    Jusque là, le portrait été réservé au classe sociale, élevée. Donc, la représentation sociale.<o:p></o:p>

    Moyen photographique va démocratiser l’image sociale.<o:p></o:p>

    La peinture perd cette fonction. Etant privé de cette fonction, elle est libéré de celle-ci. Elle n’en a plus besoin, plus de représentation réaliste.<o:p></o:p>

    Elle se voit ouvrir une nouvelle perspective. <o:p></o:p>

    Individu, artiste est apparemment seul référant de sa créativité.<o:p></o:p>

    <v:line id=_x0000_s1030 style="Z-INDEX: 5; POSITION: absolute" to="486pt,8.7pt" from="-18pt,8.7pt"></v:line><o:p> </o:p>


    Photo à première révolution mécanique artistique de l’image<o:p></o:p>

    Cinématographe à scientifique<o:p></o:p>

    Etude du mouvement qui pousse à inventer des techniques et des machines à partir de la photo pour créer le cinématographe<o:p></o:p>

    Succession à grande vitesse de photographies àillusion du mouvement. Illusion donnée par une succession d’images, de photogrammes.<o:p></o:p>

    Cinéma premier moyen de représentation capable de reproduire le mouvement.<o:p></o:p>

    R.Barthes : temps photographique associé à la mort, quelque chose qui n’est plus.<o:p></o:p>

    Cinéma à c’est l’illusion de la vie. Cinéma vu comme un temps présent. Oui mais ce n’est pas réalité.<o:p></o:p>

    Temps imposé par le cinéaste.<o:p></o:p>

    Cinéma fiction à mode dominant<o:p></o:p>

    TR : temps réel<o:p></o:p>

    TF temps filmique<o:p></o:p>

    Le standard : 24/25 images par seconde<o:p></o:p>

    Ralentire le nombre d’images par seconde pour s’appuyer plus sur les détails , et faire un effet de style.<o:p></o:p>

    Notre œil n’est pas capable de déceler les modifications trop lentes (ex : fleur qui s’ouvre) ou trop rapides<o:p></o:p>

    Indice de réalité et différents degrés de cet indice. L’indice de réalité de mouvement au cinéma est très élevé. <o:p></o:p>

    Vision cinématographique, spectacle en salle. Antécédent dans la représentation à le théâtre.<o:p></o:p>

    Salle cinéma : les spectateurs vont s’oublier. Oublier la condition réelle, qui est en train de vivre. Transfert de sa propre conscience qui nous projette dans l’écran.<o:p></o:p>

    Conventions langagières du langage écrit mais aussi cinématographique.<o:p></o:p>

    Condition du spectateur de cinéma est aidé par cette condition physique. <o:p></o:p>

    Identification : première identification est celle de la caméra. Car on ne la voit pas quand on regarde le film. <o:p></o:p>

    Identification qui provoque une adhésion émotionnelle très forte.<o:p></o:p>

    Cadrage à on choisit un point de vue du réel.
    Raccords de plan entre chaque plan.<o:p></o:p>

    On donne du sens en ordonnant les images.<o:p></o:p>

    Griffith et Ensenstein à deux grands réalisateurs<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:line id=_x0000_s1031 style="Z-INDEX: 6; POSITION: absolute" to="495pt,-9pt" from="-9pt,-9pt"></v:line>L’homme à la caméra 1929<o:p></o:p>

    DZIGA VERTOV à russe à père vidéo documentaire.<o:p></o:p>

    Concept diégèse : tout ce qui appartient à l’homme va compter au monde préposé par le film.<o:p></o:p>

    Au niveau signification, film (reproduction, art, langage) opère au moins dans trois niveaux : <o:p></o:p>

    1-l’analogie (photographique) représente quelque chose que l’on percoit.<o:p></o:p>

    2- la signification qui vient de la diégèse (caméra, etc)<o:p></o:p>

    3-Par ses éléments propre de son langage : rythme des images, montage.<o:p></o:p>

    Ciné réaliste, narration réaliste, cherche à documenter le réel. <o:p></o:p>

    VERTOV met un seul acteur qui est symbole du film et fils conducteur.<o:p></o:p>

    Film de VERTOV film sur le voir, vision, capacité de voir par nouveau média . Hommage aux transformations de l’œil et bien sûr dans le contexte de l’époque, le cinéma en URSS est percu par Lenine comme un art majeur. Importance du ciné pour la culture, éducation de masse, moyen de communication de masse.<o:p></o:p>

    Ce qui peut être fait d’une manière seulement par cinéma muet : expression la plus pure du cinéma par montage image.<o:p></o:p>

    Image sans son donne une plus grande liberté de s’agencer ensemble.<o:p></o:p>

    VARTOV créé dans ce style.<o:p></o:p>

    Il s’agit toujours de réalité (ex : homme à la caméra : petit morceau de réel qui filme) En montrant en même temps comment œil caméra peut nous montrer différemment les choses : hommage à la caméra.<o:p></o:p>

    Discours sur le cinéma de VARTOV : CINEMA VERITE<o:p></o:p>

    Jean Rouge ( ?) Réactualise cinéma vérité<o:p></o:p>

    A partir de la représentation du réel, on peut faire surgir la vérité sur réel.<o:p></o:p>

    Mise en scène opère dans cinéma à plusieurs niveaux.<o:p></o:p>

    1-Est d’abord la théatralité (cinéfiction)<o:p></o:p>

    Cinéaste documentaire peut se passer de ce niveau là de mise en scène.<o:p></o:p>

    2-Langage, manière de signifier à travers montage image et son.<o:p></o:p>

    Aucun film ne peut se passer de ce niveau là, niveau construction filmique.<o:p></o:p>

    LE PASSAGE AU SON<o:p></o:p>

    La représentation du son dans le sens technique de la trace.<o:p></o:p>

    Est inventé appareil mécanique de reproduction du son (phonographe). Mais le cinéma qui est né muet a créé son langage autour de l’image, cinéma en tant qu’art et industrie résiste à appliquer à son art ces nouvelles inventions qui lui permettraient d’associer image et son.<o:p></o:p>

    Plusieurs raisons :<o:p></o:p>

    àexpression artistique : selon cette approche, cinéma est avant tou un art. Un art de narration par image.<o:p></o:p>

    Communiquer de manière universelle, car langage image n’a pas de barrière linguistique qui empêche communication entre homme de différents pays, donc cinéma est un art et un moyen de communication.<o:p></o:p>

    Plus possible du moment que son s’associe à l’image.<o:p></o:p>

    Le son en tant que parole arrive avec sa propre signification. Langage parlé le plus puissant des moyens de communication.<o:p></o:p>

    C’est moins le son en tant que parole qui dérange.<o:p></o:p>

    3catégories :         -bruit<o:p></o:p>

                                -parole<o:p></o:p>

                                -musique<o:p></o:p>

    Les sons qui peuvent être représenté sont ces trois catégories. <o:p></o:p>

    Le bruit apporte le réalisme, donc il va apporter plus de réalisme au cinéma.<o:p></o:p>

    Le cinéma ne veut pas avoir de son, donc on parle de « mort du cinéma »<o:p></o:p>

    Grande résistance de tout ce courant de cinéma sonore.<o:p></o:p>

    Art est représentation. Art est une transfiguration du réel. Il doit interprété.<o:p></o:p>

    Cinéma est en danger car trop réel. Réalité elle même n’est pas de l’art. Le grand succès du sonore est qu’il amène plus de réalisme.<o:p></o:p>

    Musique : héritage du cinéma muet.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La musique devait couvrir le bruit du projecteur dans la salle.  C’était de la musique d’accompagnement, de fond et toujours là, pas dans la diégèse du film. Ne fait pas parti de l’univers dans sa représentation.<o:p></o:p>

    Musique autre univers de représentation, moyen de communication très puissant aussi.
    Chaque personne n’écoute pas la musique de la même manière.<o:p></o:p>

    Très imprudent pour utiliser une musique fortement chargé de signification.<o:p></o:p>

    Prendre en compte la perception.<o:p></o:p>

    Qu’est-ce qu’un son ? C’est un immatériel mais donne indice de la matière (quelque chose a du produire ce son).<o:p></o:p>

    Le son se développe sur dimension du temps.
    A notre époque, nous écoutons le son à travers la reproduction, de second niveau, nous n’écoutons pas le son à sa source naturelle.<o:p></o:p>

    Dans représentation du son au ciné, ce qui importe c’est Qu’est-ce qu’un son ? C’est un immatériel mais donne indice de la matière (quelque chose a du produire ce son).<o:p></o:p>

    Le son se développe sur dimension du temps.
    A notre époque, nous écoutons le son à travers la reproduction, de second niveau, nous n’écoutons pas le son à sa source naturelle.<o:p></o:p>

    Dans représentation du son au ciné, ce qui importe c’est la relation entre image et son.<o:p></o:p>

    Nous n’avons pas de représentation visuel et audiovisuel dissocie mais ensemble. On ne peut pas dans AUDIO/VISUEL, on ne peut plus dire qu’image porteuse d’un signe, toute seule.<o:p></o:p>

    Association des deux créé une nouvelle signification.<o:p></o:p>

    Ciné : source représentation à l’image. Le son fait parti de l’univers diégétique. Quand la source sonore n’est pas représenté à l’image, l’analyse du son se complique.<o:p></o:p>

    On peut avoir la source caché dans le champs et le spectateur le sait.<o:p></o:p>

    Hors champs sonore n’est pas considéré comme hors champs visuel, car le son est toujours entendu. Ce qui devient hors champs c’est la source. Le hors champs sonore veut dire que l’on considère que la source est hors champs.<o:p></o:p>

    Le son est un grand indicateur de l’espace et en ciné devient un grand indice de la perception hors champs.<o:p></o:p>

    Arrivée du son dans les années 20.<o:p></o:p>

    Acteurs cinéma muet pas forcément pour ciné parlant. Ce sont des acteurs du visuel mais pas du sonore.<o:p></o:p>

    Opposant : Chaplin, les acteurs, complication avec appareils volumineux, sonore.<o:p></o:p>

    Pour éviter problème de son direct avec défaut dans cinéma fiction, on fait le son à part et après il y a un travail de post synchronisation.<o:p></o:p>

    Prise de son dans documentaire est direct.<o:p></o:p>

    Appareil devient de plus en plus léger, donc autre manière de réaliser.<o:p></o:p>

    Musique d’accompagnement conservé.<o:p></o:p>

    Voix off très utilisé dans documentaire. En fonction des commentaires, intervient fortement dans signification.<o:p></o:p>

    Idée que la voix off doit être neutre est un style très précis.<o:p></o:p>

    Sémiologie du cinéma.
    Christian Metz. Psychologie, perception filmique pour essayer de mettre ordre dans les différents éléments qui sont là pour la signification.<o:p></o:p>

    On pourrait penser qu’il y a deux groupes de significations, image et son et qui ont différents statut : indice de réel, proximité de représentation entre ce qui est représenté et objet à l’origine de la représentation réel.<o:p></o:p>

    Cette bipartition n’est pas ce qui compte réellement. On a illusion de corporalité, de la profondeur grâce à notre perception. On parle de transposition partielle.<o:p></o:p>

    Le son est reproduit au cinéma car il y a représentation total de tous les éléments.<o:p></o:p>

    Un son que l’on écoute directement est composé de timbre, de ton, ce même son on l’enregistre et on le reproduit, on ne peut pas dire que le son copié est pareil que le son original.<o:p></o:p>

    Toutes ses qualités sont reproduites. Dans ce sens qu’il parle de reproduction complète mais n’est pas pour autant copie parfaite du son réel.
    Reproduction incomplète mais n’est pas pour autant copie parfaite du son réel. Reproduction incomplète et duplication intégrale.<o:p></o:p>

    Le mouvement visuel et l’ensemble des données quotidiennes vont ensemble, car ils sont en duplication intégrale.<o:p></o:p>

    <v:line id=_x0000_s1029 style="Z-INDEX: 4; POSITION: absolute" to="495pt,14.1pt" from="-9pt,14.1pt"></v:line><o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>


    Dans le cinéma documentaire, deux niveaux de mise en scène.<o:p></o:p>

    Flaherty à réel, mise en scène théâtrale, acteur ou pas peut faire jouer leurs propre rôles à des gens<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Vertov à Montage mise en scène obligatoire<o:p></o:p>

    Choix de plan, cadrage, montage = langage cinméatographique<o:p></o:p>

    Vertov : cinéma vérité<o:p></o:p>

    Jean Rauch même méthode que Flaherty : s’appelle  méthode flaherty à cinéma éthnologue mais pas vraiment ethnologue juste c’est la manière de le faire : contact les gens qu’ils filment ex : Nanauck<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jean Rouch : ethnologue et cinéaste<o:p></o:p>

    Manière réaliste de filmer et monter et en plus le cinéma vérité de Vertov mais différent quand même.<o:p></o:p>

    Il pense, la caméra dans le réel a coté des gens, peut agire comme un catalyseur qui provoque des situations et peut faire surgir des moments de vérité à cinéma direct<o:p></o:p>

    Approche de près les gens, donne la parole aux gens, cinéaste moins présent<o:p></o:p>

    -évolution technique du son à prise de son relier par un câble (pas le même support)synchronisé<o:p></o:p>

    -caméra moins lourdre = + de mobilité<o:p></o:p>

    Après guerre<o:p></o:p>

    Séparation prise de vue et prise de son pas le même support à magnéto son et image en même temps<o:p></o:p>

    Rauch à documentaire surtout africain caméra participante, participe au réel profilmiqueà peut faire surgir des expressions qui ne se serait pas produit sans la caméra, mais elles sont vraie à provoque la réalité et la vérité<o:p></o:p>

    Cinéma d’observation à Deacock Richard= respectueux du réel =  plus observé, moins participé<o:p></o:p>

    Caméra pas protagoniste à change la manière de monter, communiquer aux spectateurs montre pas la personnalité du cinéaste mais on la distingue un peu quand même.<o:p></o:p>

    Documentaire à voix off à commentaire<o:p></o:p>

    Deacock à pas de commentaire<o:p></o:p>

    Image et parole des acteurs directe, émotion<o:p></o:p>

    Rauch à fait commentaire mais attention il y a un danger<o:p></o:p>

    Il faut faire un choix très spécifique du type de commentaire car ne donne pas le même résultat.<o:p></o:p>

    Manière personnalisé<o:p></o:p>

    Il est conscient que le commentaire donne une interprétation très forte des images. Contradiction et paradoxe de Rouch est conscient du Danger mais le fait  quand même<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Vidéo<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    -le commentaire n’est pas l’artifice de la fiction<o:p></o:p>

    Homme à la caméra : pas de continuité spatial, la caméra rythme, fragment de la réalité rapprocher par le montage<o:p></o:p>

    Caméra : œil + perfectionné que l’œil humain<o:p></o:p>

    Année 60 : cinéma véritéà cinéma direct<o:p></o:p>

    Le commentaire agit sur les images peut donner un point de vue plus ou un point de vue moins<o:p></o:p>

    Ex : Lettre de Sibérie<o:p></o:p>

    Voix off élément qu’on met en scène.<o:p></o:p>

    Terre d’Espagne 1937 Bunuel<o:p></o:p>

    Témoignage






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  • ANALYSE DES REPRESENTATIONS AUDIOVISUELLES<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « L’esthétique du film », impression de réalité au cinéma, écrits de Metz.<o:p></o:p>

    Audiovisuel : représentation filmique englobant image et son , mais la télé n’en fait pas parti il s’agit de 2 éléments séparés , représentation filmique et représentation d’image qui s’allie . On parle d’audiovisuel depuis les années 1930 ; accélération exponentiel nous sommes sollicités par beaucoup d’images , des le plus jeune age nous sommes confrontés avec des images , journaux, télévision , c’est donc un composant majeur de la communication des êtres humains entre eux <o:p></o:p>

    La représentation visuelle précède l’écriture de langue, elle est plus ancienne, en même temps la communication visuelle a une spécificité qui est celle d’utiliser des canaux de communication plus naturelle, elle peut être comprise sans enseignements spécifiques <o:p></o:p>

    Analyser : décomposer les éléments d’un ensemble, on mes décompose pour mieux les identifier, analyser c’est important mais c’est une opération mentale et la réalité ne se présente pas de cette manière, c’est une opération compacte. <o:p></o:p>

    Représenter : contient le sens profond du mot, aller dans la source linguistique du mot, refaire l’action de présenter. La représentation est un mot général utilisé dans plusieurs domaines, rendre présent a nouveau quelque chose d’une manière différente que la chose en elle-même, il y a beaucoup de représentations qui sont une mise en scène tel que le théâtre, le référent de la représentation peut être aussi bien réel ou imaginaire, toute représentation qui passe par le corps on les appelle « représentations fugaces » elles ne restent pas mais juste dans notre mémoire.<o:p></o:p>

    Les techniques de la trace : laisser un signe quelque part, on va reconnaître une technique de la trace d’une technique de la représentation par le fait qu’elle reste, dans la matière (support) c’est ce qu’on appelle support de représentation. Pour qu’une trace soit tracer sur un support permanent dans le temps il faut une technique, un outil et un savoir faire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ANDRE LEROI GOURHAN : « le geste et la parole » paléo ethnologue, dans son livre il commence à tracer les grandes lignes de l’évolution de l’espèce. Il essaye de déduire toute la structure des sociétés historiques. A partir de l’homo sapiens stabilité physique, néanmoins il y a un changement au niveau de la culture et du développement technique. Il y a des modifications adaptives au milieu ou chaque espèce vit : spécialisation chaque espèce va développer quelques capacités physiques pour être bon dans une technique, redressement de l’humain du au développement de la parole, la main devient de plus en plus capable de geste et accomplie d’autres fonctions .Il développe alors des techniques manuelles, mais la vue est aussi importante dans la technique car on contrôle le geste. Il y a eu une mise en place de l’utilisation des objets et des savoirs faire pour amener au développement d’une culture : corps social .L’homme contrairement à l’animal a peu développé des spécialisations au niveau physique mais surtout au cerveau , l’homme est alors spécialisé dans la généralisation car il est capable de tout faire , l’homme crée ses techniques en dehors à l’extérieur de son corps qui se développe à un certain moment de son évolution ; le geste est l’action de l’homme sur l’outil . Il développe se corps social qui est la résultante d’un ensemble de population et de l’évolution de la mémoire collective «  un savoir communiqué et transmis ». La communication est une communication de l’immédiateté et de temps pour une transmission de savoir qui va constituer toute la culture qui est transmise par le corps social <o:p></o:p>

    A un certain moment commence a apparaître les techniques de la trace, nous sommes a 35000 avant JC , on commence à trouver des signes ( sur les grottes, parois) , ce sont les premiers signes de communication tracés qui sont interprétés avec difficulté , ce sont des signes qui communiquent , c’est la main qui trace , mais le visage contrôle, la vue guide le geste et le cerveau opère c’est la vue qui a cette tache de diriger .Dans les techniques de la trace et dans toutes les techniques en général la vue est protagoniste quand on trace et quand on regardes les traces . la vue commence a être perçu comme un médium très important de communication , certains signes montrent une analogie avec des choses réelles il y a des signes relativement abstrait, restreint mais passage fondamental entre signe abstrait et signe analogique <o:p></o:p>

    Abstrait : Il faut avoir un code de décryptage, toute représentation qui a une analogie communique immédiatement et directement grâce à cette analogie, au référent. on se sert de l’objet de référence pou comprendre le sens su tracé ce qui a voulu être communiqué , les 1er signes sont une forme d’écriture , la communication écrite reste dans le temps contrairement à la communication orale ; communication écrite : valeur esthétique et aussi une technique qui aboutit à l’écriture <o:p></o:p>

    Il y a un cheminement dans le développement de l’écriture, il y a de gros changements qui s’appuient sur signes analogiques mais aussi abstrait ; les 2 systèmes sont mélangés. Dans notre société il y a séparation entre ces 2 systèmes mais ils inter agissent <o:p></o:p>

    L’art commence avec ce qu’on appelle l’art abstrait, il se réfère plus au langage qu’a l’art figuratif <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Signes analogiques : quelque chose de proche, connu dans la réalité ce qu’on appelle un référent qui peut être précis et concret ou vague. <o:p></o:p>

    Les représentations picturales sont avant tout utilisés pour communiquer avec 2 systèmes : analogique et non analogique, c’est le système non analogique qui se développe pour arriver a des formes d’écriture actuelle , l’écriture dans notre civilisation va devenir non analogique, elle se développe dans l’espace , elle est linéaire, c’est une écriture phonétique , le son est représenté en tant que tel , on ne représente plus la chose que l’on veut signifier , on code les sons du langage du langage parle , on fait des conventions . <o:p></o:p>

    A chaque arrivé d’un nouveau média, il y a de nouvelle fonction, chacun doit prendre sa place dans la société et se libérer de ces anciennes fonctions que le futur média va occuper, il suit le même schéma <o:p></o:p>

    Réalisme de la représentation<o:p></o:p>

    Il ne faut pas confondre réalité et<réel et réalisme et réalité, « la représentation de toutes ses formes n’est pas le réel » GOMBRICH ERNST<o:p></o:p>

    La représentation est réelle, elle a sa représentation propre à elle (photo est pas réelle juste le personnage), on appelle réelle tout ce qui tombe sous l’expérience lors d’un état de conscience que nous vivons au quotidien, nous vivons au quotidien 2 états de conscience : le réel éveillé et le rêve dans le sommeil <o:p></o:p>

    Il est difficile de définir le réel mais il existe, la représentation par définition n’est pas le réel, elle n’est pas même pas une copie du réel dans le sens qu’elle n’est pas une duplication, la représentation ne représente que certains aspects de sont référent réel <o:p></o:p>

    Pourquoi il y a-t-il un courant philosophique qui nie l’existence du réel ? <o:p></o:p>

    On peut dire  qu’elle est la preuve scientifique que par ex une table existe, il n’y a pas de preuve scientifique au delà de l’expérience que l’on a. Chaque personne a la preuve de sa propre expérience du réel, ce qui permet l’expérience c’est la perception, je perçois le réel par mes 5 sens, nous avons des expériences perceptives de ce que nous appelons réel et nous lions notre connaissance du réel à cette expérience. Nous percevons l’objet de la représentation, ce qui est représenté et cela nous renvoie a une expérience perceptive à des connaissances que j’ai, « la représentation n’est donc pas une réplique exacte d’une chose réelle mais elle est capable de nous faire l’expérience illusoire de la réalité » GOMBRICH <o:p></o:p>

    Qu’est ce qui fait l’analogie avec le réel ? Nous percevons le réel a travers nos sens et connaissons ces caractéristiques, l’objet réel possède ces qualités, caractéristiques qui tombe sur notre perception réceptive. Comme je connais tout cela, lors de mon expérience personnel je reconnais donc je n’ai pas besoin de faire toute l’expérience perceptive je peux évoquer la conception globale d’une chose à travers seulement une partie de l’objet (ex : le jaune évoque le citron, nos sens entre en action inconsciemment)  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rodolphe ARNHEIM, son livre « la pensée visuelle » avec l’étude de la psychologie de la perception. La perception est un acte intelligent, dans le sens que l’intelligence guide la perception, il n’y a pas de schéma cognitif qui soit capable de synthétiser les éléments qui nous permet de reconnaître cette perception, ce sont des schémas déjà interprétés. Naturellement chacun apporte des informations, notre culture a privilégié la vue et l’ouie donc les représentations concrètes ont été élaborés sur la base de ces organes , il n’y a pas encore la représentation olfactive , une perception est un indice de quelque chose qui est présent ou qui a été présent . Nous percevons un tas d’informations sans s’en rendre compte, on absorbe des informations s’en être conscient, en même tant on fait une sélection sur les informations pertinentes, cette sélectivité est une des 1er fonction de l’intelligence de la perception, sélection de ce qui est utile. La diversité, le changement attire l’attention d’une manière générale, ce que nous voyons c’est aussi une suggestion des autres perceptions et nous arrivons à la preuve que nous pouvons nous tromper <o:p></o:p>

    Toutes ces fonctions qui sont un jeu dans la représentation du réel sont un jeu dans la perception de la représentation  .La vue a été longtemps et même encore comme le médium principal de la pensée, comprendre et voir sont presque synonyme, voir c’est en même temps connaître. Ce n’est pas un hasard si les représentations ce sont manifestés sur le plan visuel, les représentations sur d’autres organes sont plus tardives, ensuite récemment on commence a enregistré les sons. Aujourd’hui nous avons transposé certains aspects de la vision et de l’audition, on na besoin de très peu de traits pour reconnaître quelque chose c’est la schématisation, nous sommes face a des schémas mentales qui permettent de reconnaître et ce qui compte c’est cette représentation mentale qui se crée suite à une perception (ex : arbre on ne perçoit pas de la même façon un arbre, différent vert) <o:p></o:p>

    GESTALT «  l’esprit pour raisonner doit accomplir 2 fonctions recueillir l’information et l’élaborer », ces 2 fonctions ne sont pas séparables, les opérations cognitives (pensée) ne sont pas autre chose que la perception, mais sont d’après GESTALT, des ingrédients de la perception donc percevoir c’est pensée, c’est une opération de l’intelligence. Avec cognitive je me réfère a toutes les opérations mentales qui interviennent dans ce processus de recevoir, emmagasiner l’information et pensée active c’est à dire apprendre, toute action intelligente est une activité dons toute action perceptive est un comportement active  <o:p></o:p>

    ARNHEIM « voir c’est créer des images, des représentations mentales », l’image mentale se construit en conséquence de représentation visuelle par notre cerveau, la capacité d’imaginer est la capacité de fermer des images sans stimulus externe. Les représentations mentales sont former par la rencontre de la perception visuelle ou par notre esprit, l’image qui représente au delà de la perception à une activité intellectuelle importante, de même pour le rêve. Quand on rêve on a des images qui ne sont pas construit par un stimulus, le rêve est un autre état de la conscience : hors ces différentes représentations par image corresponde à des différents états du réel. <o:p></o:p>

    Qu’est ce que l’image ? C’est difficile à définir car on rentre dans le mental est celui-ci n’a pas un statut fiable, l’évocation de toutes connaissances va se condenser dans une image <o:p></o:p>

    L’importance de la perception quand on reçoit une communication audiovisuelle, par le visuelle certaines caractéristiques du réel passe par la perception, on complète ensuite par ce qu’on connaît , notre intelligence , donc l’aspect de complètement, joue beaucoup sur la représentation du cadre <o:p></o:p>

    Champ et hors champ : le champ est un espace, délimité c’est ce qui est véritablement sous les yeux de la perception visuelle, il y a une relation entre champ et hors champ et l’image mentale est faite avec se complément de hors champ d’où la relation, le hors champ est suggéré par rapport a ce qui est véritable à voir dans le champs. Dans le cinéma la relation champ, hors champs disparaît avec les mouvements <o:p></o:p>

    Il y a des influences dans la relation champs et hors champs :<o:p></o:p>

    • Il y a une condition minimale pour recevoir une perception visuelle : la lumière<o:p></o:p>
    • On voit les formes par différence, si il n’y a pas de différente forme dans le champ on ne voit que la couleur donc il faut que la forme se détache sur le fond, relation de la forme avec les fonds est obligatoire <o:p></o:p>

    Il y aussi d’autres conditions outre celle qu’on a vu lié à l’espace pour la perception  <o:p></o:p>

    L’espace ne peut indiquer le temps de manière précise mais il suggère toujours sa propre relation au temps, dans la réalité l’espace et le temps est indissociable .La dimension temporelle est suggéré par ce qui est présenté dans le champs mais les conditions de réception sont dans le réel donc le temps existe forcément, le récepteur utilise un temps pour sa réception aussi appelé temps de lecture de l’image qui dépend de plusieurs facteurs. <o:p></o:p>

    C’est l’appareil photographique qui produit les images mais pas forcément car juste derrière il y a les hommes pour le faire fonctionner <o:p></o:p>

    Réception mécanique : change la relation de l’artiste, ce qui fait que le spectateur doit adapter son œil selon le support. La photographie mémorise, transmet d’une manière différente de la peinture. Pour la 1er fois dans les médias de représentation de l’image, la relation entre représentation et référent réel change, la technique a besoin de la présence du référent réel pour représenter (contrairement au peintre) .L’essentiel de la photo est de ratifier ce qu’elle représente, le langage est par nature fonctionnel donc dans la photo le pouvoir d’authentification prime le pouvoir de la représentation. De nos jours nous sommes en train de changer cet élément de représentation, on peut reconstituer des personnes et les faire percevoir comme si elles étaient réel. Le statut de la relation entre réfèrent réel et représentation est a nouveau en train de changer car les ordinateurs n’ont plus besoin de référent pour représenter , il y a eu une époque ou le pouvoir d’authentification a primé c’est de l’invention de la photo à nos jours , la photo a été inventé en développement artistique ce qui n’est pas le cas du cinéma qui est inventé dans la poussée scientifique , la perception d’une photo face à la perception d’une peinture est différent , donc l’illusion du réel a fortement augmenté  <o:p></o:p>

    Le cinéma est la vie car ce qui est envie est en mouvement, l’illusion du mouvement donne un réalisme car quelque chose bouge, c’est le temps présent <o:p></o:p>

    Le mouvement a besoin d’un temps pour se développer, avec le cinéma le spectateur n’est pas libre par le choix de lecture, c’est le cinéaste qui l’impose.Le cinéma va assez tôt rejoindre la scène théâtrale pour devenir le cinéma de fiction<o:p></o:p>

    Au départ on voulait comprendre par ex le mouvement des chevaux (voir cinéma muet) <o:p></o:p>

    La variation du tournage a une conséquence sur la projection, création du ralentit ou de l’accélération<o:p></o:p>

    Le projecteur modifie le résultat filmique, c’était au début de l’aventure, maintenant on modifie le temps du tournage ou au montage, le cinéma permet de rendre la vue plus puissante car le rendu est difficilement perçu par l’œil, le mouvement en lui-même est ce qui caractérise le cinéma, il est immatériel, une matière crée le mouvement  <o:p></o:p>

    L’illusion de perception est donnée complètement, 100% de qualité visuelle, c’est le cinématographe qui nous donne toutes ces qualités.<o:p></o:p>

    Christian Metz évoque les indices de réalité et les différents degrés de ces indices, au cinéma le degré de fidélité est très élevé<o:p></o:p>

    Le temps au cinéma commence à être présent : <o:p></o:p>

    Réception cinématographique : conditions particulières, immersion dans une salle sombre, cette vision en salle à un antécédent proche : le théâtre, représentation collective en même temps un spectateur individuel.<o:p></o:p>

    C’est un processus psychologique particulier et très important, une fois qu’une habitude de projection est prise, elle se poursuit ; le spectateur va s’oublier et oublier la condition réelle (c’est-à-dire la salle de cinéma) et on est projeté dans l’écran.<o:p></o:p>

    C’est le cinéma surtout de fiction qui engage un nouveau langage ; langage cinématographique (basé sur des outils), différent de la langue parlée <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La condition psychologique du spectateur est aidée par sa condition physique dans laquelle il se trouve.Forme complexe d’identification, d’abord celle avec la caméra ; l’œil, la perception visuelle est celle de la caméra <o:p></o:p>

    A ses débuts, le cinématographe est perçu comme l’œil très puissant, la capacité de l’homme a voir se transforme.<o:p></o:p>

    La 1er identification : œil/caméra, point de vue pour regarder réel, expérience même d’une vision  <o:p></o:p>

    Adhésion audiovisuelle : <o:p></o:p>

    Au cinéma on ne raconte pas tout court, on raconte d’une certaine manière ; mise en scène choisie<o:p></o:p>

    Photogramme : unité technique <o:p></o:p>

    L’unité minimale au cinéma est un plan : ce qui est enregistré en continuité temps réel, temps filmique.Entre 2 plans, on perd le contrôle du temps réel, entre le plan 1 et 2 le temps filmique est continu <o:p></o:p>

    Dans le courant réaliste, on a tendance à ne pas couper le plan pour certifier ce qu’il s’est vraiment passé, la représentation visuelle au cinéma est représentée par le temps filmique. <o:p></o:p>

    Le cadrage est fondamental à l’élément de base, chaque média hérite du média précédent.<o:p></o:p>

    Le média élabore son langage lorsqu’il se détache du média photo. Entre le 1er film et les suivants, il y a une modification dans la façon de travailler, gérer les raccords de plans…<o:p></o:p>

    Les réalisateurs vont comprendre les autres possibilités du cinéma avec la mobilité de la caméra, cela éloigne le cinéma de photo.<o:p></o:p>

    Cette illusion du mouvement : <o:p></o:p>

    La mobilisation de la caméra peut être faite de 2 manières<o:p></o:p>

    • Bouger la caméra grâce aux outils mobiles <o:p></o:p>
    • Comprendre que l’on peut donner une cohérence des éléments filmés <o:p></o:p>

    Griffith et Eisenstein, père du montage, Eisenstein prend conscience du montage en regardant des pictogrammes japonais, on prend des éléments pour les mettre en série il pense que l’on peut faire la même chose au cinéma, dans une série organisée, un élément prend une signification particulière au milieu d’une série organisée <o:p></o:p>

    La signification d’un plan au cinéma n’est pas seulement ce que le plan dis lui-même mais aussi sa place dans la chaîne, séquence.  <o:p></o:p>

    Position que le plan occupe dans la série : invention du montage, structure du montage qui donne sa ressemblance au langage, c’est la plus grande découverte même encore aujourd’hui , c’est une prise de conscience<o:p></o:p>

    Le multimédia succède au cinéma, la structure linéaire a évolué avec l’introduction du DVD, vidéo dans les foyers, on choisit notre lecture, dans le multimédia, il y a l’interaction différente pas possible avec le cinéma.<o:p></o:p>

    Le montage de Eisenstein est dit symbolique (non réaliste) , on peut être dans une tendance réaliste ou dans une tendance à la Eisenstein ou la signification devient plus forte <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La diègèse ou l’univers diégètique   <o:p></o:p>

    Le cinéma va commencer à raconter dans le document ou cinéma de fiction, dans les 2 cas il y a une illusion de la réalité<o:p></o:p>

    Temps de narration filmique, tous ces éléments qui constituent le film appartiennent à l’univers diégètique, on raconte au spectateur l’histoire dans l’espace temps, le spectateur se projette dans la diègèse du film.<o:p></o:p>

    Bine que l’œil du spectateur s’identifie à la caméra, dans l’univers diégètique le spectateur s’identifie aux personnages de l’écran.Processus psychologique de transfert qui cette fois se projette dans le personnage. L’expérience cinématographique est une expérience d’altérité qui ressemble  un rêve, notre conscience est projetée dans une autre réalité <o:p></o:p>

    Cinéma documentaire : Robert Flaherty père du documentaire aux USA et Dziga Vertov père du documentaire en URSS <o:p></o:p>

    Flaherty : les nuits dans Nanook en 1922<o:p></o:p>

    Flaherty influence le cinéma documentaire et ethnographique, il rencontre des esquimaux et en fait un documentaire. La méthode de Flaherty : manière de réaliser, il filme lui-même et s’imprègne de la réalité, il construit son film avec les esquimaux, la vie quotidienne est retranscrite à l’écran, cette méthode donne une sensation réaliste et naturelle donc montage réaliste <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 niveaux de compréhension d’un film : <o:p></o:p>

    • Analogie photographique<o:p></o:p>
    • Signification, la narrativité crée par la diègèse<o:p></o:p>
    • Ensemble de symboles, expression du rythme par le montage, langage du cinéma <o:p></o:p>

    Dziga Vertov (représentation non réaliste), intéressé par le réel, il met en scène des acteurs, à travers son film «  l’homme à la caméra », il rend hommage à l’œil devenu caméra.Le cinéma en URSS est perçu comme un art majeur par Lénine, il y a un soutien politique et administratif, il y a une grande liberté dans le sens des images avec lui.<o:p></o:p>

    Selon Vertov, le cinéma est un moyen de voir la réalité différemment, il film des petits morceaux du réel pour montrer comment l’œil de la caméra peut nous montrer qu’elle nous fait voir ceci différemment.<o:p></o:p>

    A partir d’une représentation réelle, on peut faire surgir des vérités sur le réel, cinéma vérité  <o:p></o:p>

    Ne pas oublier que le cinéma est une représentation, une illusion, c’est un art.<o:p></o:p>

    La mise en scène est de différents niveaux, elle peut avoir un sens théâtrale (cinéma de fiction), ce niveau là certains cinéma peuvent sans passer comme le cinéma documentaire, quand on parle de mise en scène on parle de langage.<o:p></o:p>

    Dans le cinéma muet le son est représenté par hallucination (à travers des éléments producteurs de son) mais grâce au rythme des images, au montage, sensation auditive.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le passage au son   <o:p></o:p>

    La représentation du son (dans la technique de la trace) pouvait se faire de manière graphique avec la notation de note, dans la deuxième moitié du XXème siècle, des instruments mécaniques, phonographique.<o:p></o:p>

    Le cinéma muet, a crée son langage propre, résiste à appliquer cette nouvelle invention qui permettrait d’associer l’image au son <o:p></o:p>

    1er raison : artistique car le cinéma est déjà un art, c’est l’art de la narration par l’image en il communique par langage universel, l’image n’a pas de barrière linguistique, tout cela n’est plus possible du moment que le son s’associe à l’image, le son en tant que parole arrive avec son moyen de signification mais il y a un problème dans le cinéma parlant (bruits, musique, paroles).le bruit ne dérange pas cela permet de s’approcher du réel ajouter un bruit à l’image donne du réalisme or l’art cinématographique de l’époque e veut pas être tuer par la parole , 30 ans après sa création certains disent que le cinéma est mort avec la parole (Eisenstein).<o:p></o:p>

    Tout ce qui apporte plus de réalise met en danger le cinéma en tant qu’art, la parole conditionne l’image, l’image est plus coincée avec la parole car besoin de temps pour se développer.<o:p></o:p>

    La musique est un héritage du Muet, elle avait fonction d’accompagner le fil en donnant une atmosphère, elle est entrée comme accompagnement des images, elle n’est pas dans la diègèse car elle ne fait pas partie de la représentation, la musique est autre niveau de signification, un moyen de communication au niveau émotionnel, on écoute la musique d’une certaine manière en fonction de notre culture <o:p></o:p>

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    Perception auditive     <o:p></o:p>

    Un son est immatériel, c’est un indicateur de la matière, son produit par une source sonore matérielle, il se développe sur la notion de temps il indique l’espace car il indique une source que l’on localise.Depuis la reproduction du son on est dans l’écoute du second niveau. Dans la représentation du son au cinéma, ce qui importe c’est la relation image et son, c’est une association qui crée une interprétation    <o:p></o:p>

    Au cinéma on peut avoir la source représentée à l’image donc le son fait parti de l’univers diégètique.<o:p></o:p>

    Dans les années 20, on parle avec insistance du cinéma sonore, il y a un autre problème, les acteurs muets ne sont pas forcément des acteurs parlants, ils sont des acteurs du visuel, l’acteur muet a déployé des moyens gestuels pour communiquer, théâtralisation gestuelle (Chaplin) <o:p></o:p>

    L’introduction du son est progressive (extrait de chantons sous la pluie) <o:p></o:p>

    Au début du cinéma parlant, la post synchronisation va émerger pour permettre une meilleure qualité, musique Off est conservée dans le film mais il y a un autre son Off c’est la voix Off utilisée dans les documents.<o:p></o:p>

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    Christian Metz e la sémiologie <o:p></o:p>

    2 catégories de signification : image et son <o:p></o:p>

    L’image reproduit l’intégralité des mouvements, de même pour le son mais il y a une différence entre l’écoute du 1er niveau et du second, ce n’est pas une copie parfaite du mouvement <o:p></o:p>

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