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Par hinachii le 12 Janvier 2007 à 20:20
1- Définissez chacune des théories relatives à la persuasion du consommateur.
(10 ligne max/ théorie)
2- Laquelle à votre avis se rapproche le plus actuellement du mode de comportement du consommateur?Expliquez - justifiez votre point de vue.
votre commentaire -
Par hinachii le 2 Décembre 2006 à 21:33
PUBLICITE ET COMMUNICATION<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
25.09.06<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Démarche marketing :
à Etude de marché
à Stratégie de communication pub.
Dans ce cours : conditions de mise en pratique de la stratégie de communication.
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Thèmes dominants :
Théorie : - Communication pub : Théories de linfluence
- Stratégie publicitaire : Fidélisation du consommateur.
Concrète : - Les composantes du message publicitaire
- Notion de cible (étude de marché )
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Analyse théorique sur les concepts à maîtriser.
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Introduction générale
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Les objectifs du marketing pour lentreprise :<o:p></o:p>
Dans un contexte concurrentiel :
Positionnement :
- Profit
- Rentabilité
- Croissance
- Augmentation des parts de marché
- Responsabilité sociale
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Implique des outils :
- Technologie, systèmes de production
- R & D
- Qualification de la main duvre
- Finance, contrôle de gestion
- Gestion des achats : relations fournisseurs et production.
<o:p> </o:p>
Outils spécifiques au marketing :
- Diversité, gammes de produits.
- Marchés cible
- Stratégies publicitaires (Média Pub)
- Vente à prix
- Distribution.<o:p></o:p>
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ð Identifier les types de marketing selon les différents partenaires
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Fournisseurs à Marketing en amont
Distributeurs à Marketing en aval
Concurrents à Marketing latéral
Environnement à Marketing circulaire
Consommateur à Marketing intégré
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ð 1er objectif du Marketing : Vente<o:p></o:p>
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Influencer le consommateur pour quil accepte le produit, limage, les valeurs de lentreprise.
à Linformer pour le persuader
Lui dire que le produit est plus performant que ceux des concurrents à Action positive à Achat.<o:p></o:p>
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ð Outils de transmission dinformation et traitement de linformation<o:p></o:p>
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Tout individu veut se donner les moyens dinfluencer lautre à quelque soit le domaine.
ð Jeu dattaque et de défense qui existe entre les individus
o Mais le niveau de Conscience / Connaissance des enjeux va déterminer qui est le perdant et le gagnantà Accepter ou non linfluence.
Le Niveau de Conscience face au message est donc déterminant. à Objectivité ou non.
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Partie I : Les théories de linfluence<o:p></o:p>
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A Définition de la pub et modes daction sur le consommateur
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Pub = Techniques de communication commerciale
Ensemble de moyens pour
- Vanter un produit
- Connaître une entreprise (pub institutionnelle)
- Exercer une action psychologique
- Propager certaines idées : pas exclusivement marchande : image, valeurs, institution
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Pub évolue en même temps que la technologie.
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Communication pas objective : Partisane.
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Pub : ni une science, ni un art : Création : pas de loi totalement rigoureuse.
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La pub a induit des relations étroites avec les Styles / Modes de vie. Décathlon « A fond la forme » : Nature et aventure.
ð Phénomène de société.
<o:p> </o:p>
Ensemble de moyens et de techniques mis à la disposition dune entreprise ou dune institution visant à agir sur le plus grand nombre dindividu, à distance (sans lintervention directe du vendeur) pour acquérir ou développer une clientèle et/ou pour démontrer lexcellence dun produit ou dune idée.<o:p></o:p>
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Historiquement : 1er objectif : écouler les excédants de stock
2ième étape : production industrielle introduit la standardisation.
ð Besoin de différenciation du conso et de lentreprise.
PUB = Supra langage<o:p></o:p>
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Fonctionne à 3 niveaux :
- Fonction commerciale : pub de marque ou pub sans parque (groupe de distributeur à conso produit laitiers)
- Fonction sociale : propagande appliquée à certains thèmes sociaux (anti-tabac, sécurité )
- Fonction idéologique : pub politique, religieuse, pour larmée
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Symbiose entre pub et Mass Media :
Mass Media : payés par la pub en très grande partie
Pub existe parce quelle peut être diffusée par les Mass Media.
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B Les niveaux de communication
<o:p> </o:p>
Pub à communication dun message
à Pas uniquement pour commercialiser un produit !
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1) Cognitif
Apporter une information : connaissance qui peut modifier lattitude
2) Affectif
à Amener le consommateur à aimer le produit : Emotion.
3) Conatif
à Passer à laction : Achat, adhésion.
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Fidélité<o:p></o:p>
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Mesure<o:p></o:p>
3 - Essai<o:p></o:p>
Niv. Conatif<o:p></o:p>
Comportement / Action<o:p></o:p>
2 - Préférence<o:p></o:p>
Niv. Affectif<o:p></o:p>
Attitudes<o:p></o:p>
1 - Connaissance<o:p></o:p>
Niv. Cognitif<o:p></o:p>
Souvenir, exposition aux messages.<o:p></o:p>
Attention<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
C Les théories de linfluence publicitaire
<o:p> </o:p>
<?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t202 coordsize="21600,21600" o:spt="202" path="m,l,21600r21600,l21600,xe"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:path gradientshapeok="t" o:connecttype="rect"></v:path></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1029 style="MARGIN-TOP: 34.9pt; Z-INDEX: 4; MARGIN-LEFT: 279pt; WIDTH: 90pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 18pt" filled="f" stroked="f" type="#_x0000_t202"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1029">
<o:p></o:p>
</v:textbox></v:shape><v:shape id=_x0000_s1030 style="MARGIN-TOP: 34.9pt; Z-INDEX: 5; MARGIN-LEFT: 63pt; WIDTH: 63pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27pt" filled="f" stroked="f" type="#_x0000_t202"><v:textbox><o:p></o:p>
<o:p>
</o:p><o:p> </o:p>
I ) Différents éléments interviennent dans le processus dinfluence
<o:p> </o:p>
a) Attention / Perception
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Lattention sélective : filtres protecteurs de lindividu à Trie
à « Taux de mortalité dun message »
ex : sur 500 messages diffusés : 30 écoutés.
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Filtres :
En fonction du système de valeur de lindividu :
- ce qui est « conforme » à son système de valeur
En fonction de lutilité du moment : pertinent pour le consommateur.
b) Implication du consommation
<o:p> </o:p>
2 types de consommateurs :
<o:p> </o:p>
Impliqué<o:p></o:p>
Peu impliqué<o:p></o:p>
- Achat est très important : fait des différences entre les marques
- Conviction ancrée sur les performances du produit : sensible à linformation sur le produit
- Fidèle au produit
- Achat peu important
<o:p> </o:p>
- Peu dattention à la pub, pas de différences entre les marques
<o:p> </o:p>
- Peut être soumis à lachat impulsif
<v:shape id=_x0000_s1032 style="MARGIN-TOP: 4.8pt; Z-INDEX: 7; MARGIN-LEFT: 131.4pt; WIDTH: 207pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27.15pt; mso-position-horizontal-relative: text; mso-position-vertical-relative: text" type="#_x0000_t202"></v:shape>
Pub différentes selon le groupe<o:p></o:p>
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<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
- Pub essentiellement informative
à Cognitif
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- Doit suscité la curiosité : achat spontané (pas jouer sur les convictions intimes.)
<o:p> </o:p>
c) Notion de dissonance cognitive
<o:p> </o:p>
Consommateur reçoit des informations discordantes par rapport à son système de valeur.<o:p></o:p>
à Perturbe ses opinions et attitudes<o:p></o:p>
à Remet en cause ses choix<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Fonctionne quand le produit est impliquant : affectif, prix, santé.
<o:p> </o:p>
Linformation dissonante doit être forte, très discordante, elle doit provenir de source crédible pour être écoutée.
<o:p> </o:p>
Ex : tabac : discordante : confiance : institution médicale.
<o:p> </o:p>
Dissonance : Temporaire perçue comme inconfortable : recherche la consonance, léquilibre.
<o:p></o:p>
<o:p>Dissonance cognitive</o:p>
<o:p> </o:p>
Comment réduire la dissonance :
- ne pas écouter
- minimiser linformation
- minimiser, remettre en cause la crédibilité de la source
- changer de comportement
<o:p> </o:p>
ð Notion de « Risque perçu » : niveau, importance du risque conditionne le besoin de réduire la dissonance.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
II ) Les théories de la persuasion
<o:p> </o:p>
<o:p>Les formes de pub</o:p>
1) Théories économiques
à Référence aux consommations rationnelles.
ð Implique que lacte dachat est un acte réfléchi
ð Pub informative et persuasive.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2) Théories comportementales
à Référence aux consommations conditionnées (Pavlov)
ð Implique les compétences réflexes
ð Pub mécanistes, répétitives<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p>Le conditionnement</o:p>
3) Théories psychologiques et affectives
à Référence à la notion de « Moi-conso »
ð Implique linconscient, les motivations
ð Pub suggestives.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
4) Théories sociales / psychosociales
à Référence au consommateur conforme au groupe
ð Implique limportance du groupe, appartenance
ð Pub intégrative.
<o:p> </o:p>
Chaque théorie présente une dimension du comportement. Pas fausses, mais complémentaires, toutes interviennent selon la situation et le type de consommateur. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Approche économique à Conso rationnel
Idée : comportement de conso dictée par la raison, le calcul. La variable essentielle est le revenu : déterminer le niveau de conso.
<o:p> </o:p>
Mais attention : revenu élevé, en hausse constante ne signifie pas que lindividu va consommer de plus en plus.
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<o:p> </o:p>
Courbe de Engel : Notion délasticité :
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Notion de revenu relatif : revenu fonction de la position de lindividu dans un groupe social donné.
Notion de revenu permanent : évaluation + ou précise des revenus futurs.
Anticipation des gains. <o:p></o:p>
Notion de patrimoine : détention de bien particuliers.
à A revenu = mais patrimoine différent : conso différente, donc patrimoine détermine la consommation.
<o:p> </o:p>
ð Jugement que lindividu porte sur son revenu est déterminant dans lapproche économique et avec lapport de Engel.<o:p></o:p>
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Limites et critiques : revenu : pas la seule variable explicative du comportement de consommation.
ð Le consommateur ne fait pas toujours un calcul rationnel. <o:p></o:p>
à Implique
maximisation de la satisfaction? NON : optimisation : choix irrationnel.<o:p> </o:p>
De plus, les décision de conso sont des « décisions structurelles » : décision densemble, pas isolée.
ð Approches classique : « Copie Stratégique » :
à Argumentaire de base de la pub, élaboré autour de lapproche économique.
<v:shape id=_x0000_s1038 style="MARGIN-TOP: 13.25pt; Z-INDEX: 13; MARGIN-LEFT: 135pt; WIDTH: 2in; POSITION: absolute; HEIGHT: 22.8pt" type="#_x0000_t202"></v:shape>
Tel produit pour tel conso
Composée de :- <v:shapetype id=_x0000_t127 coordsize="21600,21600" o:spt="127" path="m10800,l21600,21600,,21600xe"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:path gradientshapeok="t" o:connecttype="custom" o:connectlocs="10800,0;5400,10800;10800,21600;16200,10800" textboxrect="5400,10800,16200,21600"></v:path></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1037 style="MARGIN-TOP: 4.25pt; Z-INDEX: 12; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 99pt; WIDTH: 18pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 18pt; TEXT-ALIGN: left; rotation: 90" type="#_x0000_t127"></v:shape>la cible
- le produit
- la promesse
- la preuve
<o:p> </o:p>
Conso- cible à Besoin à proposition de tel produit qui répond à son Besoin à Promesse par ce quil a telle caractéristique à preuve.
ð Donner une apparence rationnelle à un discours qui ne lest pas.<o:p></o:p>
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2) Approche comportementale
<o:p> </o:p>
à Considérer que le comportement de lindividu est lié au Stimulus à Réponse Pavlovien.
<o:p> </o:p>
à Individu passif, sans esprit critique
à Répétition dun message à comportement dachat
<v:line id=_x0000_s1040 style="Z-INDEX: 15; POSITION: absolute" from="45pt,13.95pt" to="1in,13.95pt"><v:stroke endarrow="block"></v:stroke></v:line><v:line id=_x0000_s1039 style="Z-INDEX: 14; POSITION: absolute" from="45pt,5.55pt" to="45pt,14.55pt"></v:line> Matraquage publicitaire
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Modèles publicitaires :
<o:p> </o:p>
<v:oval id=_x0000_s1041 style="MARGIN-TOP: 10.2pt; Z-INDEX: 16; MARGIN-LEFT: 81pt; WIDTH: 171pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 45pt"><v:textbox>
Stades crées par le message<o:p></o:p>
</v:textbox></v:oval>Attention<o:p></o:p>Intérêt<o:p></o:p>
Désir<o:p></o:p>
Action<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Déclinaison de ce modèle :
Notoriété, Connaissance à Appréciation, préférence à Conviction, achat.
<o:p> </o:p>
Ou :
<o:p> </o:p>
Information, intérêt à Evaluation à Essai, adaptation.
<o:p> </o:p>
Théorie de lapprentissage :
Pub à Information, connaissance à Attitude, préférence à Comportement
<o:p> </o:p>
Limplication minimale : conso peu impliqué
Pub à Connaissance à Comportement à Attitudes ?
à Pas encore dattitude
à Achat impulsif
<o:p> </o:p>
2.10.06<o:p></o:p>
3) Approche motivationniste à Théorie psychologique
<o:p> </o:p>
Développé avec les sciences sociales, à partir des années 60.
Motivation :
- force psychologique<o:p></o:p>
- état de tension qui conduit lindividu à agir jusquà ce que la tension soit réduite à un niveau jugé tolérable pour lindividu.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Utilisation doutils danalyse : Entretiens non directifs, en profondeur, test à Méthode scientifique sociale.
<o:p> </o:p>
En publicité : Nature des motivations ?
3 types :
- Hédoniste : recherche du plaisir pour soi
- Oblative : faire plaisir à lautre
- Auto expression : besoin dexprimer qui on est (Maslow)
<o:p> </o:p>
Force des motivations ?<o:p></o:p>
Intensité variable selon les individus et selon les moments
<o:p> </o:p>
Valorisation sociale de la motivation<o:p></o:p>
C'est-à-dire que les motivations sont jugées de façons différentes selon les cultures et groupes sociaux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Motivation = Force Mais Freins vont à lencontre de la motivation
<v:line id=_x0000_s1043 style="Z-INDEX: 18; POSITION: absolute" from="90pt,4.2pt" to="108pt,22.2pt"><v:stroke endarrow="block"></v:stroke></v:line><v:line id=_x0000_s1044 style="Z-INDEX: 19; POSITION: absolute; flip: x" from="2in,4.2pt" to="171pt,22.2pt"><v:stroke endarrow="block"></v:stroke></v:line><o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<v:shape id=_x0000_s1042 style="MARGIN-TOP: 3.6pt; Z-INDEX: 17; MARGIN-LEFT: 54pt; WIDTH: 2in; POSITION: absolute; HEIGHT: 63pt" type="#_x0000_t202"></v:shape>
Lachat intervient si la force de la motivation est plus forte que celle des freins.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>
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Les autres facteurs psychologiques :
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1) Motivation ó Besoin à Pyramide de Maslow
Satisfaction des besoins :
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Sécurité
Orgueil
Nouveauté
Confort
Argent
Sympathie
<o:p> </o:p>
2) Attitudes et croyances<o:p></o:p>
Apprentissage à Croyances à développement dattitudes
<o:p> </o:p>
« Croyance » : Elément de connaissance descriptif, renforcé par différentes information (pub, rumeur).
<o:p> </o:p>
« Attitudes » : Ensemble dévaluations cognitives et des prédispositions à agir vis-à-vis de tel objet.
<o:p> </o:p>
Tout individu développe des attitudes à légard de presque tout ce qui lentoure <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Attitude : Prédisposition + ou favorables : mouvement dattirance ou de répulsion.
<o:p> </o:p>
Les attitudes permettent de mettre en place des comportements cohérents à légard dune catégorie dobjets.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
4) Approche psychosociale
<o:p> </o:p>
Sintéresse au conso « conforme au groupe », c'est-à-dire quil vit en interaction avec dautres
ð Appartient à une et/ou plusieurs groupes è Systèmes de valeurs.
<o:p> </o:p>
Notions psychosociales : statut, normes, leader, groupe de pairs.
<o:p> </o:p>
Lexplication de lachat peut être corrélé avec la « signification sociale de lobjet » (Baudrillard).
ð Positionnement et processus dimitation ou de différenciation.<o:p></o:p>
Pub : Cette approche nest valable que pour les produits ostentatoires : se consomment en public.
<o:p> </o:p>
Veblen : on consomme pour se positionner.
<o:p> </o:p>
Aucune de ces théories nest suffisante, elles sont complémentaires.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Listing des pratiques publicitaire en fonction des théories.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
A Pub persuasive
<o:p> </o:p>
- Conso rationnel et conscient
- Le convaincre
- Sadresse à la raison du conso : outils dinformation
<o:p> </o:p>
B Pub mécaniste
<o:p> </o:p>
- Matraquer le conso par la répétition
- Pas conscient de réaliser la « consigne » donnée par la répétition.
<o:p> </o:p>
C Pub suggestive
<o:p> </o:p>
- Séduire le conso : provoquer le désir dachat.
- Faire naître des motivations
<o:p> </o:p>
ð Suggestion toutes les fois que lactivité est provoquée sans que la réflexion (rationelle) prenne part à la décision.<o:p></o:p>
ð Le rôle du publicitaire est donc de chercher les besoins et désirs qui créent dans tensions désagréables è conso pour réduire la tension ou la rendre positive.
<o:p> </o:p>
D Pub intégrative ou projective
<o:p> </o:p>
- Intégrer les normes des autres
- Publicités propose et presque impose ( ?) des normes de comportement dachat qui correspondent à des règles dintégration sociales.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Chronologiquement, la pub est passée par ces 4 étapes, progressivement :
Info à persuasion à conditionnement à suggestion à intégration.
Cette évolution correspond à différents types de fonction du message publicitaire
Conclusion générale : Les registres de référence du discours publicitaire
<o:p> </o:p>
1) Le langage fonctionnel <o:p></o:p>
Correspond au style objectif du discours.
à Référence à la dimension utilitaire fonctionnelle du produit<o:p></o:p>
- Emploi de lobjet, mise en scène qui informe sur les fonctions et les performances.
<o:p> </o:p>
2) Le langage symbolique<o:p></o:p>
Style projectif<o:p></o:p>
à Référence du statut social de lindividu è Bénéfice sociologique.
<o:p> </o:p>
Le discours propose des clichés qui positionnent le produit par rapport à différentes valeurs.
<o:p> </o:p>
3) Le langage imaginaire<o:p></o:p>
Style suggestif<o:p></o:p>
Le produit est une réponse inconsciente aux motivations et désirs du consommateur è Bénéfice psychologique.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
D Conso et symbolique du produit
<o:p> </o:p>
Récap : <o:p></o:p>
- conso nest pas un calculateur rationnel<o:p></o:p>
- conso nest pas un être abstrait : vit dans un contexte social à influence du groupe<o:p></o:p>
o Tous ces discours sur le comportement du conso correspond à une société dopulence, de consommation<o:p></o:p>
ð On sintéresse au conso en tant que partenaire de la communication<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le message publicitaire est un discours à 2 niveaux :
- Niveau manifeste : message essentiellement informatif
- Niveau latent : message suggéré au consommateur.
<o:p> </o:p>
ð Postulats différents<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Postulat 1 : La communication publicitaire suppose que le produit est secondaire, ce qui compte, cest la symbolique du produit<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Fonctionnalité : 2ième plan, on privilégie limaginaire.
à Produit = symbole (Baudrillard)
<o:p> </o:p>
Postulat 2 : Processus de rationalisation dans le message publicitaire.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pub établie un lien entre limage du produit et les désirs des consommateurs. Publicitaire fournissent des réponses aux motivations des conso et en particulier à la rationalisation dont ils ont besoins pour justifier leurs achats.
Postulat 3 : On achète limage quon se fait et sera grâce à cet objet.<o:p></o:p>
A travers limage, lannonce propose un type de personnage :
- Suggère au conso de sy identifier
àConso va vers limage qui correspond à ses besoins inconscients.
<o:p> </o:p>
On sidentifie à certains modèles qui symbolisent lidéal du moi auquel on aspire à limage des produits que lon consomme est notre propre image.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Partie II : Les stratégies publicitaires et la fidélisation du consommateur<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Intro : Distinction entre stratégie Marketing et stratégie de communication publicitaire
<o:p> </o:p>
Stratégie Marketing : sexprime en terme de part de marché, de volume
à Objectifs : vendre, contribuer aux profits de lentreprise.
<o:p> </o:p>
Stratégie de communication publicitaire :
Objectifs :
- cognitifs : faire connaître le produit
- affectif : faire aimer
- conatif : faire agir
<o:p> </o:p>
A Lunivers concurrentiel de lentreprise
<o:p> </o:p>
1) Les variables de la concurrence <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
a) le pouvoir de la concurrence
Effectif, présence à intensité
b) la menace des nouveaux
Implantations possibles à moyen terme des concurrents
c) le pouvoir de négociation des clients
d) la concurrence de produit ou services substituables
à pas identique mais similaires
e) le pouvoir de négociation des fournisseurs
à prix des matières premières.
<o:p> </o:p>
ð Ces 5 forces constituent lunivers concurrentiel.
<o:p> </o:p>
2) Le cycle de vie du produit<o:p></o:p>
<v:shape id=_x0000_s1049 style="MARGIN-TOP: 91.75pt; Z-INDEX: 24; MARGIN-LEFT: 189pt; WIDTH: 45pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 18pt" type="#_x0000_t202"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1049"></v:textbox></v:shape><v:shape id=_x0000_s1055 style="MARGIN-TOP: 8.95pt; Z-INDEX: 30; MARGIN-LEFT: 270pt; WIDTH: 171pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 99pt" type="#_x0000_t202"></v:shape><v:line id=_x0000_s1045 style="Z-INDEX: 20; POSITION: absolute" from="27pt,46.3pt" to="27pt,109.3pt"></v:line><v:line id=_x0000_s1046 style="Z-INDEX: 21; POSITION: absolute; flip: y" from="27pt,109.75pt" to="180pt,109.75pt"></v:line><v:shape id=_x0000_s1047 style="MARGIN-TOP: 55.3pt; Z-INDEX: 22; MARGIN-LEFT: 27pt; WIDTH: 2in; POSITION: absolute; HEIGHT: 54pt" coordsize="2880,1080" path="m,1080v120,-15,240,-30,360,-180c480,750,600,330,720,180,840,30,990,,1080,v90,,120,90,180,180c1320,270,1350,450,1440,540v90,90,210,120,360,180c1950,780,2160,870,2340,900v180,30,450,,540,e" filled="f" strokeweight="2pt"><v:path arrowok="t"></v:path></v:shape><v:shape id=_x0000_s1048 style="MARGIN-TOP: 18.4pt; Z-INDEX: 23; MARGIN-LEFT: 9pt; WIDTH: 63pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27pt" type="#_x0000_t202"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1048">
Volume des ventes<o:p></o:p>
</v:textbox></v:shape><v:line id=_x0000_s1050 style="Z-INDEX: 25; POSITION: absolute" from="54pt,46.3pt" to="54pt,109.3pt"><v:stroke endcap="round" dashstyle="1 1"></v:stroke></v:line><v:line id=_x0000_s1051 style="Z-INDEX: 26; POSITION: absolute" from="1in,46.3pt" to="1in,109.3pt"><v:stroke endcap="round" dashstyle="1 1"></v:stroke></v:line><v:line id=_x0000_s1052 style="Z-INDEX: 27; POSITION: absolute" from="90pt,46.3pt" to="90pt,109.3pt"><v:stroke endcap="round" dashstyle="1 1"></v:stroke></v:line><v:line id=_x0000_s1053 style="Z-INDEX: 28; POSITION: absolute" from="108pt,46.3pt" to="108pt,109.3pt"><v:stroke endcap="round" dashstyle="1 1"></v:stroke></v:line><v:shape id=_x0000_s1054 style="MARGIN-TOP: 109.75pt; Z-INDEX: 29; MARGIN-LEFT: 27pt; WIDTH: 117pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 18pt" type="#_x0000_t202"><v:textbox>I II III IV<o:p></o:p>
I : lancement du produit : beaucoup de pub<o:p></o:p>
II : phase de développement : + de pub<o:p></o:p>
III : phase de maturité<o:p></o:p>
IV : phase de déclin : Nouvelle stratégie : « de remplacement » ou « de diversification »<o:p></o:p>
Temps<o:p></o:p>
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<o:p> </o:p>
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<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
3) Segmentation du marché<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
à Diviser le marché en structures homogènes :
<o:p> </o:p>
Marché habituel
<v:shape id=_x0000_s1059 style="MARGIN-TOP: 21.45pt; Z-INDEX: 34; MARGIN-LEFT: 243pt; WIDTH: 63pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 99pt" type="#_x0000_t202" strokeweight="1pt"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1059"></v:textbox></v:shape><v:shape id=_x0000_s1056 style="MARGIN-TOP: 21.45pt; Z-INDEX: 31; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 63pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 99pt" type="#_x0000_t202" strokeweight="1.25pt"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1056">
Marché des concur-
rents
</v:textbox></v:shape><v:shape id=_x0000_s1057 style="MARGIN-TOP: 26.25pt; Z-INDEX: 32; MARGIN-LEFT: 81pt; WIDTH: 63pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 99pt" type="#_x0000_t202" strokeweight="1.25pt"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1057">Marché actuel de lentre-prise
Non conso relatifs
Marché potentiel
Non conso absolus
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Marché théorique
<o:p> </o:p>
Non conso absolu : irréductibles contre ce type de conso : idéologie
<o:p> </o:p>
Marché habituel : parts de marché
<o:p> </o:p>
Marché potentiel : Référence de base, contient :
- récupération de part de marché chez le concurrent
- Marché actuel
- plus dans les non conso relatifs : finalité des stratégies de communication publicitaires<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Marché théorique : Objectifs à atteindre.
<o:p> </o:p>
à Critère de segmentation des consommateurs :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
- Socio démographique : pays, région, âge, sexe, situation familiale
- De revenu / profession : CSP : A, B ou C
- Styles de vie : B. Cathelard
<o:p> </o:p>
Segmentation est utilisée dans le temps :
- a priori : avant étude de marché
- a posteriori : après létude
<o:p> </o:p>
Concepts adjacents :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
- Cible : personne à qui on va sefforcer de faire consommer, acheter le produit
o Utilisateurs, pas forcément acheteur
o Usagers : utilisateurs et acheteurs
o Acheteurs : pour eux ou pour les autres.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
- Positionnement : attribut qui permet au consommateur de distinguer le produit parmi dautre
- Merchandising : assurer la meilleure diffusion commerciale possible grâce à un ensemble de technique en pratique : amélioration de la présentation des produits sur une surface de vente
- Packaging : entre autre, permet dempêcher le produit de vieillir.
- Dumping : écraser la concurrence
<o:p> </o:p>
Les étapes de commercialisation du produit<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1 Lidée du produit : imagination<o:p></o:p>
2 Etude de marché : identifier les besoins des conso, pour voir si lidée correspond à des besoins, des attentes potentielles<o:p></o:p>
3 Etablir le cahier des charges. Attributs techniques, symboliques du produit, prix, apparence <o:p></o:p>
4 Conception et fabrication du prototypes : « bureau des études »<o:p></o:p>
5 Tests auprès dune cible, des destinataires potentiels<o:p></o:p>
6 Modification, aménagements selon les tests<o:p></o:p>
7 Réalisation du produit définitif<o:p></o:p>
8 Etude de la fabrication : « bureau des méthodes » : planning de fabrication<o:p></o:p>
9 Lancement de la commercialisation et de la production.<o:p></o:p>
10 Mise en place de la pub<o:p></o:p>
11 Lancement du produit<o:p></o:p>
12 Contrôle de la qualité<o:p></o:p>
13 Evaluation des retombées de la pub<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
B Les stratégies publicitaires
<o:p> </o:p>
à Définir les objectifs fondamentaux et mettre en uvre les moyens pour les atteindre<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3 groupes de question :
ð Le produit pour qui : Bien connaître le marché et les besoins des consommateurs
ð Quel produit : connaître les fonctions et attributs demandés par le client : quel produit pour quel cible.
ð Comment le présenter : maîtrise, savoir faire
è Suppose une approche quantitative :
- Définition de lintention : qui veut-on atteindre.
- Proportion : doit sexprimer en terme mesurable
- Délais, échéances : calendrier, période, noël, St valentin
<o:p> </o:p>
« Copie-stratégie » = plan de communication publicitaire
à Répondre à quelques questions fondamentales
- Quelle concurrence veut cibler la pub ?
- Quels sont nos moyens ?
o Avantages à mettre en avant ?
o Bénéfice conso ?
o Style, ton ?
o Preuves à mettre en avant ?
o Média à utiliser ?
ð Pour arriver à AIDA
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
1) Stratégie concurrentielle
<o:p> </o:p>
- Stratégie guerrière : attention en attaquant le concurrent : Légistateur.
- Stratégie défensive ou contre offensive
- Stratégie de positionnement sur le marché : leader, suiveur, spécialiste, challenger.
<o:p> </o:p>
1 Démarche comparative
Comparaison aux concurrents sur des critères importants (Attention Législation)
<o:p> </o:p>
2 Démarche financière
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