•                    PROGRAMMATION NEURO LINGUINSTIQUE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Définition personnelle :<o:p></o:p>

    Mise au point dans les années 1970 par Grinder (psychologue et linguiste) et Bandler (psychologue et mathématicien). Cet outil propose différentes grilles d’analyse aidant à mieux comprendre le comportement, le langage, et par la même, à mieux communiquer.<o:p></o:p>

    Les deux fondateurs de la P.N.L. ont travaillé sur la modélisation de Satir, Erickson et Perls pour mettre au point leur théorie.<o:p></o:p>

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    La carte du monde :<o:p></o:p>

    Représentation personnelle de la réalité qui constitue le centre de notre univers vécu et perçu par Vakog et donc construit selon les facteurs environnementaux, culturels et familiaux. Elle est l’idée que nous nous faisons du monde, mais comme « la carte n’est pas le territoire », elle n’est pas « le monde ».<o:p></o:p>

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    Modélisation de l’Excellence :<o:p></o:p>

    Observer des gens excellents dans leur domaine et analyser leurs comportements spécifiques. <o:p></o:p>

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    Modèle : La représentation de quelque chose / le processus de représentation de quelque chose : un carte par exemple. Ce processus implique les trois phénomènes de distorsion, de généralisation et de sélection.<o:p></o:p>

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    Processus universels de modélisation : dans les méta - modèles <o:p></o:p>

    Distorsion : <o:p></o:p>

    Celui par lequel certains éléments d’un ensemble / d’une situation se trouvent représentés autrement qu’ils seraient censés l’être. Au niveau de l’expérience sensorielle, la distorsion se caractérise par une déformation introduite dans les perceptions ou par une extrapolation à partir de celles-ci. <o:p></o:p>

    Exemple : Nominalisation : <o:p></o:p>

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    Généralisation : <o:p></o:p>

    Une expérience spécifique se trouve étendue jusqu’à représenter une catégorie entière dont elle n’était qu’un élément.<o:p></o:p>

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    Sélection :<o:p></o:p>

    Nous retenons certaines portions de notre environnement et en excluons d’autres. Dans le langage, la sélection est le processus transformationnel par lequel certaines portions de la structure profonde sont supprimées et pas conséquent n’apparaissent pas au niveau de la structure de surface.<o:p></o:p>

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    Synchronisation :<o:p></o:p>

    Méthode utilisée pour établir rapidement le contact avec un interlocuteur en reproduisant certains de ses comportements, attitudes et processus de pensée.<o:p></o:p>

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    Calibration : Processus qui consiste à repérer les indicateurs comportementaux associés à un état interne afin de pouvoir utiliser cette information plus tard.<o:p></o:p>

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    Prédicats : Ce sont des mots (verbes, adverbes et adjectifs) qui évoquent un processus. En PNL, on les observe pour identifier le système de représentation qu’une personne utilise à un moment donné.<o:p></o:p>

    Et au besoin, pour aider à synchroniser.<o:p></o:p>

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    Rapport : L’établir, en PNL, c’est mettre en place un climat de confiance et de coopération dans la relation à l’autre. En PNL, le rapport est obtenu principalement grâce à la synchronisation verbale et non verbale.<o:p></o:p>

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    Les mouvements oculaires<o:p></o:p>

    Grinder et Bandler se sont aperçu que certains micro- comportements allait de pair avec certains systèmes de représentation.<o:p></o:p>

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    Chacun sa carte du monde <o:p></o:p>

    Pour communiquer entre deux cartes du monde différentes : <o:p></o:p>

    Calibration : déterminer l’état actuel de l’autre, <o:p></o:p>

    Synchronisation verbale et non verbale : entrer dans le système de représentation de l’autre en « imitant » son comportement verbal (avec l’aide des prédicats) et non verbal. <o:p></o:p>

    Evaluer la congruence par exemple.<o:p></o:p>

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    Tout ceci dans le but d’établir un bon rapport pour mieux communiquer et utiliser les :<o:p></o:p>

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    Les méta modèles : traverser les différents filtres des représentations et du langage pour accéder à l’expérience primaire, pour comprendre la réalité de la situation<o:p></o:p>

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    Les critères d’un objectif bien formulé :<o:p></o:p>

    1. Formuler le positionnement<o:p></o:p>

              Pas de négation<o:p></o:p>

    1. Placer sous notre responsabilité.<o:p></o:p>
    2. Contextualisé et spécifique<o:p></o:p>
    3. Ecologique pour nous même : « Quelle est la pire chose qui peut arriver quand j’aurais atteint mon objectif ».<o:p></o:p>
    4. Réalisable et Testable (« qu’est ce qui m’en empêcherait ? »)<o:p></o:p>

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