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Par hinachii le 21 Décembre 2006 à 14:56
DROIT DU TRAVAIL<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Introduction :<o:p></o:p>
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Définition (générale) du Droit : lorsquon parle de droit il sagit dorganisations juridiques via des règles juridiques (ex : non respect peut donner lieu a des sanctions), des rapports entre les individus que nous sommes (groupement de personne, personne morale)<o:p></o:p>
1884 : législation des syndicats <o:p></o:p>
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Ø L'organisation (juridique) des rapports entre les individus (personnes physiques, personnes morales)<o:p></o:p>
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Ø En ce qui concerne les rapports entre les individus au travail<o:p></o:p>
S'agissant du droit du travail : les rapports individuels et collectifs de travail il y a une distinction entre :<o:p></o:p>
▪ Les rapports individuels de travail<o:p></o:p>
▪ Les rapports collectifs de travail <o:p></o:p>
Individuel : embauche, exécution, licenciement, rémunération<o:p></o:p>
Collectif : droit syndical, représentation du personnel, négociation collective, conflit collectif<o:p></o:p>
Dans les entreprises dau moins 50 salariés doit être mis en place un comité dentreprise au sein duquel il y a une délégation du personnel élus. Lorsquune direction envisage dengager un licenciement, lemployeur doit passer devant le comité dentreprise.<o:p></o:p>
1996 : en France il existe des comités dentreprises européens.<o:p></o:p>
2000 : nouvelle loi Aubry, cadre autonome, limportant cest quils accomplissent leur mission.<o:p></o:p>
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Pourquoi cette organisation du travail pour civiliser les individus ?<o:p></o:p>
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Lobjet de cette organisation juridique : <o:p></o:p>
Ø Civilisation des rapports entre les individus<o:p></o:p>
Ø Subsistance des rapports de force : <o:p></o:p>
Le droit de grève (chiffres, exemples, questions, accords de prévention et gestion des conflits)<o:p></o:p>
Au fil des siècles on passe des rapports de forces à des rapports civilisés.<o:p></o:p>
Le droit de grève est un droit constitutionnel par rapport à des règles constitutionnelles : déclaration de 1789, préambule de 1946, de la 4éme république, constitution de 1958.<o:p></o:p>
1946 : « droit de pas de grève sexerce dans le cadre des règles constitutionnelles qui le règlement ». Dans le public (respect des lois, préavis, grèves) et privée (pas de règles, plus de grèves). <o:p></o:p>
Dans un contrat de travail il y a des contraintes légitimes, lemployeur doit exécuter les ordres de son supérieur. Le contrat de travail repose sur une inégalité juridique. <o:p></o:p>
L 212-4 : loi Aubry 1 de 1998 sur les 35h, « la durée de travail sentend du travail effectif à lexclusion du temps de travail nécessaire à lhabillage, casse croûte, ainsi que des périodes dinaction dans les industries et commerces déterminés par les décrets »<o:p></o:p>
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La difficulté de la mise en uvre de cette organisation : <o:p></o:p>
Ø nature humaine et comportements humains : harcèlements, discriminations, cas dexploitations<o:p></o:p>
Ø et dés lors nécessité de cette organisation : hier, rapport Villermé 1840 et loi la première de 1841, début de toute une évolution<o:p></o:p>
Depuis notre première loi du travail 1841, qui était déjà une loi de réduction de travail, il en est résulté toute une organisation juridique.<o:p></o:p>
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Organisation juridique <o:p></o:p>
Ensemble de règles juridiques de conduite faites dobligations et de droits.<o:p></o:p>
Ø Obligations résultant des comportements (conventionnelles et non conventionnelles) <o:p></o:p>
Ø Obligations résultant des lois : toute une évolution depuis 1941<o:p></o:p>
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→ Obligations résultant des comportements : ces comportements peuvent résulter de ce quon appelle les actes que lon peut qualifier dactes juridiques ou encore ces comportements peuvent provenir de faits que lon peut qualifier de faits juridiques.<o:p></o:p>
● Les actes juridiques reposent sur des comportements volontaires car les obligations qui vont en résulter vont être voulus.<o:p></o:p>
Ex : convention synonyme avec le contrat, « le contrat de travail salarié qui repose sur les comportements volontaires dun individu » ou « le contrat : convention de stage, acte juridique qui résulte dune volonté ».<o:p></o:p>
Ces obligations voulus on va donc les appeler obligations conventionnelles qui provient de nos comportements.<o:p></o:p>
● Les actes sont différents des faits personnels qui sont également des comportements qui peuvent être volontaire ou non intentionnel et doù il va résulter également des conséquences juridiques donc des obligations qui nont pas été recherchés. Donc on peut parler des obligations non conventionnelles qui résultent des faits personnels.<o:p></o:p>
Codes comporte : le code civil de 1804, il constitue le droit commun a toutes les branches du droit et obligations conventionnelles. Ensuite le code du travail, on a commencé de perler de rassembler les règles du travail en 1910. Puis par branche le code bis, accords ou conventions collectives (conventions dordre juridique). <o:p></o:p>
L 135-7 : La convention collective cest celle qui traite des conditions demplois (période dessai), de travail (jour de congés supplémentaires, décès) et les garanties sociales (maladie, indemnisation). Ce sont des actes juridiques entre les syndicats salariés et les employeurs.<o:p></o:p>
L 143-2 : convention et accords collectifs nationaux et mention du bulletin de paie.<o:p></o:p>
La structure des règles de droit est une structure syllogistique.<o:p></o:p>
Syllogisme : cest ce qui va nous permettre de relier une conclusion à des prémisses (hypothèses). Ces prémices ou hypothèses sont majeures ou mineures.<o:p></o:p>
Ex : majeure : tout les hommes sont mortels, mineure : Socrate est un homme donc conclusion : Socrate est un homme mortel.<o:p></o:p>
La majeure est constituée de la présupposition qui est la situation visée par la règle de droit et qui repose sur 1à 4 conditions selon la règle en question.<o:p></o:p>
La mineure cest la situation dans laquelle on se trouve et il va sagir de vérifier, on va parler dun travail de qualification juridique et on va faire rentrer les conditions.<o:p></o:p>
La règle de droit est syllogistique car on retrouve les deux éléments du syllogisme, conclusion et prémices.<o:p></o:p>
Ex : article 1382 « tout fait quelconque de lhomme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. Il faut trois conditions : 1er il faut un fait quelconque, fautif, 2ème qui cause un autrui un dommage, 3ème il faut un lien de cause à effet du fait du dommage.<o:p></o:p>
Il n y a pas dobligations à réparer si les trois conditions ne sont pas réunies.<o:p></o:p>
1384 : exemple qui montre que toutes les conditions ne sont pas réunis.<o:p></o:p>
23/11/1993 : aménagement du temps de travail, « on entend par temps de travail toute période durant laquelle le travailleur est au travail à la disposition de lemployeur et dans lexercice de son activité et de ses fonctions ». Il en est résulté la définition actuelle du temps de travail effectif voir L212-4 voir les trois conditions.<o:p></o:p>
Première variante : la question des déplacements professionnels ? <o:p></o:p>
Un accident de trajet ne protége pas le contrat de travail alors que un accident de travail protége le contrat de travail. Des lors que lon part de chez soi ou de notre lieu de travail on se rend à un autre lieu cela est du temps de travail effectif.<o:p></o:p>
Avec la loi de janvier 2005, borlot : remise en cause entre deux lieux de travail le principe est maintenu cest du temps de travail effectif mais si on pars de chez soi pour faire une visite ce nest du temps de travail.<o:p></o:p>
Voir les exemples de syllogisme avec L 122-46 : sexuel et L122-49 : moral <o:p></o:p>
En 2002, lorsque le harcèlement moral est arrivé on a redéfinit la définition du harcèlement.<o:p></o:p>
La question du pré de main duvre, ex : lintérim est légalisé en France depuis 1972.<o:p></o:p>
Ca tient la route ou non ? Voir L125-3, les trois conditions<o:p></o:p>
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I Le Droit du travail : Pourquoi en parler ?<o:p></o:p>
Car certains aimeraient bien « brûler » le code du travail..., <o:p></o:p>
- Les déclarations.<o:p></o:p>
- Les accusés.<o:p></o:p>
- Les mesures.<o:p></o:p>
Il y a eu un accord national inter professionnel qui va être conclu sur lemploi des seniors pour la création dun CDD (âgé au moins de 57 ans pour permettre à ces salariés de faire valoir leurs droits à la retraite). <o:p></o:p>
De 1997 à 2005 : le SMIC a augmenté de 30 à 40% en Angleterre.<o:p></o:p>
Le 27 et 28 octobre, doit se dérouler un sommet social, idée maîtresse est détendre à tous le bénéfice de lécole via tous et le bénéfice de la sécurité sociale pour se procurer des revenus différés afin de nous protéger des aléas de la vie.<o:p></o:p>
Préambule de la constitution de 46 repris en 58, « création de la sécurité sociale en 46 », « la nation assure aux individus et à la famille des revenus nécessaires, elle garantie à tous la protection de la santé, matérielle, les repos et loisirs ». « Tout être humain malade ayant le droit dobtenir des aides financières »<o:p></o:p>
Mais est ce que avec le code civil la France ne cumulerait pas un certains nombres dhandicaps ?<o:p></o:p>
→ Déclaration allant dans le sens de la rupture : <o:p></o:p>
- déclarations et revendications : <o:p></o:p>
Ce nest pas nouveau : 1986 et la suppression de lautorisation administrative du licenciement pour motif économique.<o:p></o:p>
Ø 75 : jacques Chirac fait adopté un texte indiquant un système dadministration autorisant le licenciement uniquement pour motif économique.<o:p></o:p>
Ø 86 : il est nommé à nouveau premier ministre, il veut supprimer le texte de 75 qui a libéré beaucoup demployeurs et qui a crée beaucoup demplois.<o:p></o:p>
Ø Entre 75 et 86 : ladministration autorisé à hauteur de 86 à 90% les licenciements pour raisons économiques. <o:p></o:p>
Aujourdhui la question de licenciement économique revient entre les seules mains du juge judiciaire qui doit prendre à la fois le sérieux et la réalité. Il faut se séparer du salarié que si cest vraiment impossible de faire autrement, une cause réelle et sérieuse.<o:p></o:p>
- mais aujourdhui le code du travail est de plus en plus vilipendé : <o:p></o:p>
Ø Le code du travail serait de plus en plus difficile à appliquer (question de recodification)<o:p></o:p>
Ø Le code du travail serait un frein à la liberté dentreprendre<o:p></o:p>
Mais malgré tout on a à faire à des déclarations tel que « la liberté de pensée sarrête là ou commence le temps de travail » cela signifie que larrêt juridique est une contrainte pour nous employeurs.<o:p></o:p>
Le point de départ qui fonde notre société : 1789 « le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et indescriptibles de lhomme » (liberté, sécurité, propriété et ordre).<o:p></o:p>
Ce qui permet de dire en autre que notre code du travail serait constitué dun certains nombres de piliers quil conviendrait de réviser, au nombre de 3 appelés les accusés : CDI, RTT, seuil deffectif. <o:p></o:p>
→ Les griefs, les accusés <o:p></o:p>
1er accusé : le CDI, les chefs dentreprises désirent embauchés mais cest un risque quasi mortel car le coût du travail est élevé et on a un environnement juridique et psychologique non favorable.<o:p></o:p>
Le CDI est appelé le contrat de travail de droit commun, article 1780, on ne peut engager ses services qua temps ou pour une entreprise déterminée, plus précisément on était en 1804 avec les idées de 1889, liberté, égalité, il convenait de faire en sorte que les contrats esclavagistes étaient plus valables, seul les CDI peuvent être rompus à tout moment donc je sui sûr que ce ne sera pas un contrat trop long, pas esclavagiste et juste.<o:p></o:p>
Le CDI est un contrat de travail à droit commun car il peut être rompus à tout moment.<o:p></o:p>
Voir L 121-4, conséquence de cet article L 121-5<o:p></o:p>
Aujourdhui sagissant de la rupture du CDI ça a donné lieu à un encadrement.<o:p></o:p>
En 1980, une loi vient ajouter deux paragraphes à notre article 1780.<o:p></o:p>
1973 que à larticle L 122-4 du code du travail (règles de forme et de fond), voir règle de fond avec larticle 122-14-3<o:p></o:p>
1958 : un salarié ne peut pas être licencié sans motif valable<o:p></o:p>
1949 : conseil de lEurope deux textes : 1950, une convention européenne des droits de lhomme et une charte sociale en 1961 révisé en 1987<o:p></o:p>
Le CDI est un contrat de principe pour tous les employeurs de lunion européenne, le texte est accord européen sur les CDD, donc il deviendra le contrat de droit commun.<o:p></o:p>
Ø CDI, CDD<o:p></o:p>
La rupture avancée dun CDD ne peut être envisagée il faut une faute grave quil ne peuve pas faire autrement que de sen séparer de lui du jour au lendemain ou autre raison de lévénement de force majeur : événement contre la volonté de lemployeur, force majeur. Autre raison laccord commun, si le salarié est licencié avant la fin de son contrat il peut prouver quil na rien fait et donc toucher la différence de ses mois restants.<o:p></o:p>
_ CDI à période dessai : L122-4<o:p></o:p>
Du premier jour au dernier jour, lemployeur durant sa période dessai à une totale liberté et un pouvoir de rompre sans procédure, indemnité et justification.<o:p></o:p>
Mais à quoi moi employeur je moblige avec un CDI à périodes dessai à tester les conditions de travail.<o:p></o:p>
La période dessai est très précaire. Il y a des conventions qui rendent obligatoires pour tel ou tel individu une période dessai obligatoire. Il y a des moyens de ripostes : <o:p></o:p>
Ø A quoi je moblige lessentiel : notion dobjet pour lemployeur, cest tester les compétences et pour lemployeur cest tester lhumeur.<o:p></o:p>
Si le salarié a le ressenti que sa période dessai ne se prolongera des le début, il peur revendiquer, certaines entreprises ne marche que sur ce système.<o:p></o:p>
La seule possibilité est le moyen de riposte qui tient à cette notion dobjet, si je peux prouvais que lemployeur ne comptait pas renouveler la période dessai, il y a donc détournement dobjet.<o:p></o:p>
Pour quoi je moblige à être en période dessai ?<o:p></o:p>
Le CDD peut tenir une période dessai tout dépend du contrat et du temps du contrat. Par rapport au CDD ou il faut une faute grave, il faut juste une faute sérieuse dans le CDI.<o:p></o:p>
Le CDI limité à la mission, limité dans le temps qui peut être rompu à tout moment, le CDD est un contrat dexception soit pour un remplacement, courte durée, le code du travail dit que le contrat peut être conclut pour une durée déterminée.<o:p></o:p>
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2ème accusé : Les RTT : réduction de la durée de travail via les 35h<o:p></o:p>
1er loi : 1841 : loi de la réduction du temps de travail, semaine à 84h et maintenant 35h.<o:p></o:p>
Je peux instituer dans ma boite des équipes de gestion de fin de semaines : VSD, ce sont des heures de travail à temps partiel, rémunérés à 50% de plus que les heures normales.<o:p></o:p>
Sujet possible au partiel : réduction du temps de travail, ce quil entend par temps de travail <o:p></o:p>
L 212-4 : temps de travail effectif<o:p></o:p>
Sagissant des 35h, il y a pour le meilleur et pour le pire (jours de RTT)<o:p></o:p>
L212-9 paragraphe 1 et 2<o:p></o:p>
Il y a 11jours fériés dans le code du travail et les jours travaillés engendre une obligation pour le salarié donc en retour une obligation pour la travailleur.<o:p></o:p>
L212-8. Le but de la modulation est déviter de payer les heures supplémentaires.<o:p></o:p>
L212-2, L212-3, L212-15-1<o:p></o:p>
Ø Cadre de responsabilité à qui on na plus besoin dappliquer la réglementation du travail<o:p></o:p>
Ø Cadre intégré : bénéficier de la réglementation sur la durée de travail<o:p></o:p>
Ø Cadre autonome que lon va soumettre au régime du forfait<o:p></o:p>
L212-15-3, avec la 2ème loi Aubry, elle crée le système de forfait annuel, jour de travail. Cet certes il y a un plafond de 217 jours dans lannée mais le 217 aujourdhui je vais le soumettre au régime du forfait.<o:p></o:p>
Avec la 2ème loi Aubry il y a 3 conditions : <o:p></o:p>
1. fonction<o:p></o:p>
2. responsabilité<o:p></o:p>
3. autonomie<o:p></o:p>
Au niveau du meilleur et du pire aux 35h il y a la rémunération des salariés. Avec le SMIC la 2ème loi Aubry, institut un complément différentiel.<o:p></o:p>
1887 : principe dégalité de rémunération.<o:p></o:p>
13 juin 98 : on passe au 35h et cela permet lembauche, il sest avérer que les 35h pourrait se finir par la rupture du contrat de travail, seule diminution du contrat de travail sans changer la rémunération mais modifier la répartition du travail, si il y refus cela entraîne donc une faute grave.<o:p></o:p>
Il y a une calamité du coût économique sur les 35h, elles ne sont pas centrées sur linégalité, elles reposent sur une véritable calamité culturelle.<o:p></o:p>
Le CDI ne signifie pas nécessairement un emploi à temps plein, le CDI intermittent donne la possibilité pour lemployeur de faire varié le salarié avec des périodes de non travail. L 932-2<o:p></o:p>
Jusquen 1991, les heures de formation étaient effectués comme les heures de travail et payés comme telles. <o:p></o:p>
Ø Le compte épargne temps : possibilité au salarié dépargner un certains nombres de jours de repos afin de pouvoir les réutiliser en temps libre.<o:p></o:p>
L227-1 : Aubry a donner un petit coup de pouce au compte épargne temps, si vous négocier les 35h, il y a la possibilité pour les comptes épargnes temps.<o:p></o:p>
Fin décembre 2001 : sur les 16 millions de salariés du secteur privé, 8 millions six cent milles bénéficient de la RTT (53%) donc les entreprises se sont lancées dans les négociations.<o:p></o:p>
Pour toutes ces possibilités de souplesse, les entreprises se sont lancées dans les négociations des 35h y compris les petites entreprises.<o:p></o:p>
Fin 2002 : 16% des entreprises de 20 salariés où moins avait réduit la durée de travail et dans les 16%, 1 sur 2 avait même réduit le temps de travail avant léchéance légal.<o:p></o:p>
L132-6 : convention ou accord collective, ce que une loi fait une convention peut la défaire. Si il y a négociation il faut quil y est soi accort soit refus du salarié.<o:p></o:p>
Cest une grande tendance du droit du travail que ce passage au fil des textes de lindividuel au collectif afin de pouvoir obtenir plus, sûrement sur ce terrain collectif un équilibre qui nexiste pas sur le plan individuel, lemployeur en cas de non respect va pouvoir exercer son pouvoir qui peut être matérialisé via le bois documentaire appelé document intérieur.L 132-34 : règlement intérieur est un règlement patronale.<o:p></o:p>
Avec le contrat de travail salarié, on a à faire à une collaboration inégalitaire, on a estimer quil faudrait mieux changer de terrain, aller vers le collectif.<o:p></o:p>
1864 : légalisation du droit de grève, relève des libertés individuelles et qui sexerce de façon collective. <o:p></o:p>
1884 : on a reconnu les associations syndicales <o:p></o:p>
1919 : 1er loi de négociation collective<o:p></o:p>
1936 : front populaire qui a parlé pour la 1er fois des délégués douvriers<o:p></o:p>
1945 : création comité dentreprise <o:p></o:p>
1946 : délégués du personnel<o:p></o:p>
1968 : reconnaissance <o:p></o:p>
1982 : il existe un comité dhygiène de sécurité et de commission de travail<o:p></o:p>
1996 : sous Chirac, Dupet on reconnaît un comité dentreprise européen<o:p></o:p>
Il conviendrait de revenir à des rapports plus individualisés entre ouvriers et employeurs et il y a un retour à une individualisation à travers les droits et libertés des salariés.<o:p></o:p>
L120-2 voir accompagné de lexemple de la clause de non concurrence, je vous engage mais avec une clause de non concurrence au cas où il y a des relations rompus je tinterdit de passer à la concurrence. 10 juillet 2002 : la clause de non concurrence devient lexception car elle porte atteinte à la liberté du travail.<o:p></o:p>
Mise en place de délégués personnels, délégués syndicaux en lien avec la taille de lentreprise pour la représentation du personnel. Les délégués personnels sont des organismes de communication interne. L421-1. Certains employeurs vont faire exprès de ne pas dépasser 11 employeurs car les délégués ont pour but de transmettre des réclamations à lapplication du droit de travail conventionnel.<o:p></o:p>
En labsence de comité dentreprise les fonctions du comité dentreprise sont dé voulus entre les mains du délégué personnel.<o:p></o:p>
L431-3 L236-1 L422-1-1<o:p></o:p>
1945 : création du comité dentreprise, ils doivent être mis en place dans toutes les entreprises dau moins 50 salariés.<o:p></o:p>
L 431-1 : il en résulte de cet article que il y a des inégalités entre les salariés qui travaillent dans une entreprise de 5à salariés ou pas.<o:p></o:p>
Attributions sociales et culturelles dans lordre économique. Dans lordre économique ce sont des droits à être informés et consultés (L432-1), les droits des comités.<o:p></o:p>
Pour exercer ces droits le CE détient un budget, budget de fonctionnement, il dispose de moyen et de possibilités pour les attributions sociales tel quun expert comptable qui va pouvoir examiner des documents. L436-4 L432-4<o:p></o:p>
Dans les entreprises de 300 salariés, lexpert comptable peut examiner les documents prévisionnels concernant le bilan, le compte de résultat, tableau et plan de financement. (432-5) <o:p></o:p>
3ème accusé : le seuil deffectif<o:p></o:p>
Le CE a des attributions particulières concernant le projet de licenciement économique mais si la procédure de licenciement concerne au moins 10 salariés, sur une même période de 30 jours, attributs économiques dans les licenciements économiques. L 321-3 L 434-6. Dans les entreprises dau 1000 salariés doit être crée une commission économique et lexpert comptable choisit par le CE peut assister à la commission, L442-19.<o:p></o:p>
Le CE doit être convoqué une fois par mois quand leffectif est à 150 salariés et moins de 150 salariés tous les deux mois.<o:p></o:p>
Depuis une loi de 1996 sous Chirac : <o:p></o:p>
Dans les entreprises dau moins 1000 salariés et ayan dans au moins deux états membres de lunion européenne, au moins deux établissements de 150 salariés doit être mis en place un comité dentreprise européen.L439-6<o:p></o:p>
Après les délégués personnels, le CE, il y a les délégués syndicaux : ce sont à la fois les effets pervers de touts ces seuils deffectifs.<o:p></o:p>
Depuis une loi du 12 décembre 1968, suite aux événements de mai 1968, la présence de syndicats dans les entreprises, les organisations syndicales pouvaient exercer leur profession au niveau des branches professionnelles. Depuis cette loi les syndicaux sont permis à lintérieur des entreprises françaises, ils peuvent être désignés par les syndicaux représentatifs dans toutes les entreprises dau moins 50 salariés.<o:p></o:p>
Ø Dans une boite dau moins 1000 salariés, 2 DS<o:p></o:p>
Ø « « « « « « « « « « « « « « « 2000 salariés 3 DS<o:p></o:p>
Ø « « « « « « « « « « « « « « « 4000 salariés 5 DS<o:p></o:p>
Ø « « « « « « « « « «dau moins 50 à 999 1DS<o:p></o:p>
Leur mission : négociation collective et pour le CE cest lapplication du droit, L132-27, 28, 29, 30. Cette obligation de négocier résulte de la loi du 13 novembre 1982.<o:p></o:p>
L132-20 : les délégations syndicales peuvent être complétées par des salariés<o:p></o:p>
Thèmes des négociations collectives : salaire effectif, durée effective de lépargne salariale, organisation du temps de travail, régime de prévoyance, égalité professionnelle, question des travailleurs handicapés, accès de lemploi des salariés âgés.<o:p></o:p>
Loi du 18 janvier 2005 : impose aux entreprises la gestion prévisionnelle des emplois et compétences. Imposer aux entreprises de plus de 300 salariés de négocier au moins tout les trois ans sur ce thème.<o:p></o:p>
Les délégués syndicaux dispose de crédit, dheures de délégation pour remplir leurs missions payées comme du temps de travail.<o:p></o:p>
Ø 1000 salariés, 10h de crédit<o:p></o:p>
Ø au moins de 1000 salariés 15h de crédit<o:p></o:p>
Pour les entreprises dau moins 300 salariés, obligation détablir un bilan social, loi de 1997<o:p></o:p>
A la suite du décret du 31 août 2005, les entreprises dau moins 1000 salariés sont obligés en cas de licenciement de faire une ré industrialisation demplois.<o:p></o:p>
Des sections syndicales peuvent être crées dans les entreprises de moins de 50 salariés.<o:p></o:p>
Dans les établissement de moins de 11 salariés, dun même site, mais ou sont employés sur le site au moins 50 salariés, ladministration du travail peut imposer lélection délégué de site, L421-1 résulte dune loi du 28 octobre 1982.<o:p></o:p>
Indépendance juridique des entreprises : <o:p></o:p>
Il y a eu dabord lintervention de la jurisprudence et le législateur L431-1.<o:p></o:p>
Le code du travail est truffé de seuil ce qui a des conséquences perverses. Donc des groupements demployeurs revendiquent la prise en compte des effectifs de telle ou telle catégorie.<o:p></o:p>
Ordonnance du 2 août 2005 : les jeunes jusqu'à 26 ans pouvaient faire lobjet dune embauche jusquen 2007, sans être compté dans les effectifs dune entreprise.Mais le conseil détat estime quil il y a un problème.<o:p></o:p>
Les mesures <o:p></o:p>
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Ø légales : au plan des rapports individuels : embauche du salarié et le CNE : au plan des rapports collectifs : seuils deffectifs et mesures dexclusions ainsi que la hiérarchie et articulation des sources.<o:p></o:p>
Rapports individuels : mesures légales individuelles<o:p></o:p>
Rapports collectives : mesure dexclusion soit les jeunes de moins de 26 ans pour permettre a des entreprises de franchir tel ou tel seuil sans mettre en place certaines conditions.<o:p></o:p>
Phase de lembauche du salarié par le CDI, CNE : il sagit de létape de recrutement et conclusion du contrat de travail, le choix du contrat de travail.<o:p></o:p>
Le CDI apparaît comme la norme de référence au plan européen et le CDD comme une exception alors lordonnance du 2 août 2005 élargie la possibilité en créant le CDI CNE, légal depuis le 4 août.<o:p></o:p>
Le CDI CNE : concerne que les petites entreprises jusqu'à 20 salariés mais il ny a pas de limite au nombre dembauche au CDI CNE car le respect du seuil de 20 salariés sapprécie à la date de prise en effet des embauche. (Quand lentreprise embauche il faut moins de vingt salariés).<o:p></o:p>
Si je suis en CDD et que je poursuis en CDI, il faut que je mette en place un système pour ma période dessai puisque jai déjà exercé mes preuves il faut voir avec L122-3-10, il faut déduire la durée de CDD de la période dessai.<o:p></o:p>
Si on est sous CDD et quon passe sous CDI CNE ce nest pas une période dessai on parle de période de consolidation mais lemployeur considère comme une période dessai car au bout de 2 ans tout peut sarrêter.<o:p></o:p>
Si je décide de réembaucher le salarié en CDI CNE je dois respecter une période de 3 mois mais si cest une personne différente ce nest pas le cas.la rupture dun CDI CNE peu intervenir a tout moment sans justification, on a la possibilité de contester cette rupture, par exemple, 1804- 1973 : théorie générale de labus de droit. Lorsquon veut contester u licenciement en théorie on a 30ans, mais lordonnance CDI CNE ramène ce délai à un ans.<o:p></o:p>
Lidée est de remédier à un fort taux de chômage et si les employeurs ont la possibilité de licencier plus facilement alors il embauche plus.<o:p></o:p>
Le problème de la validité du CDI CNE se pose avec le conseil détat le 19 octobre 2005 car avec le CDI CNE on a à faire à une durée fixée davance et raisonnable de 2 ans mais cest pour la bonne cause, lutter contre le chômage. Mais le problème du licenciement réside car avec le CDI CNE la durée nest pas vraiment fixé davance puisque le salarié peut être licencié a tout moment sans contrainte, cest pour cela quil il y a la jurisprudence pour se révolter contre les injustices : L 122-14-3 L122-3-8 ;<o:p></o:p>
Dans le CDI après 6 mois dancienneté lemployeur à un mois dindemnité à respecter alors que pour le CDI CNE lordonnance dit que pendant le premier mois pas de préavis, entre 2 et 5 mois prévis de 15 jours et entre 6 mois et 2 ans, un mois de préavis.<o:p></o:p>
On peut craindre que le CDI CNE remplace des embauches sous CDD.<o:p></o:p>
2 août 2005 : loi sur les PME, mesure dallégement L125-3 : relatif à la mise à disposition de salarié sous entendu par une entreprise à une autre entreprise, donc prêt de main duvre.<o:p></o:p>
1982 : réglementation de lintérim. « Toute opération a but lucratif ayan pour objet exclusif le prêt de main duvre en dehors de lintérim, cette opération est interdite et sanctionnée pénalement ».<o:p></o:p>
janvier 1986 : loi est adoptée, elle permet la constitution de groupement demployeur, L127-1, de la même branche professionnelle de se regrouper sous forme dassociation.<o:p></o:p>
Loi de 1901 : possibilité de se regrouper par CDI n mettant les salariés à disposition des différents membres, possibilité de mise à disposition.<o:p></o:p>
2 août 2005 : nouveau type de mise à disposition du personnel, lentreprise de travail à temps partagé, L124-24 et L124-25.<o:p></o:p>
Une entreprise de travail partagé : recrute un salarié quelle va mettre à disposition de différente entreprise cliente , où il effectuera une mission de plus ou moins longue durée, a condition que ces entreprises ne puissent pas en raison de leur taille, moyen, recruter des salariés qualifiés.<o:p></o:p>
Cest une nouvelle forme de dérogation : L125-3 <o:p></o:p>
L124-31 : entreprise à temps temporaire peut exercer le temps de travail partagé sans les obligations dintérim.le temps de travail partagé concerne que les boites qui en raison de leur effectif moyen on besoin de salarié qualifié.<o:p></o:p>
Le travail partagé va permettre de créer des emplois permanents.La Loi du 2 août 2005, permet a des boites dintérim de aire du travail partagé sans les conditions dintérim.<o:p></o:p>
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Ø Les mesures sur la durée et temps de travail, dé tricotage et remise en cause.<o:p></o:p>
Tout dabord ce qui concernait les aides financières, les 35h façon Aubry était accompagné dide sous forme dallégement de charges sociales.<o:p></o:p>
1. On a commencé par faire les aides lié à la loi Aubry 2 et on a laissé entendre quon maintenait le aides de la loi Aubry 1, soit tu choisit, la loi Aubry 1 : de bénéficier des aides rattachés au temps de travail mais tu pourras pas toucher les aides liés à la loi Aubry 2 liés aux bas salaires.<o:p></o:p>
2. Autres séries de mesures : « travailler plus pour gagner plus », depuis mai 2002 cela est permis. Les accords sur les 35h ont pu avoir des incidents sur le pouvoir dachat.Cela va concerner la matière des heures supplémentaires : contage annuel dheures supplémentaires par salarié qui doit être de 130. Décembre 2002 : il passe à 180, soit 4 supplémentaires par semaine au delà des 35h.Décembre 2004 : 220.<o:p></o:p>
3. 3ème illustration du dé tricotage, 3ème série de mesure concernant les nouvelles possibilités de négocier de la loi de François Fillon du 17 janvier 2003.<o:p></o:p>
Rémunération des heures supplémentaires : la loi Fillon donne la possibilité de négocier les 4 heures supplémentaires à 10% au lieu de 25%.<o:p></o:p>
Possibilité de négocier sur la modélisation des horaires sur lannée, depuis la loi 1982 : possibilité pour lemployeur de faire coller les heures de salariés sur la frustration de lentreprise.L132-7 L132-8 : révision du temps de travail.<o:p></o:p>
4. allégements légaux concernant la question des astreintes. Ce sont des heures de disponibilités effectuées à notre domicile ou proximité.<o:p></o:p>
10 juillet 2002 : on ne peut mélanger le travail et le repos, torchon et serviette<o:p></o:p>
17 janvier 2003 : permet, légalise la possibilité de travailler, torchon et serviette<o:p></o:p>
22 novembre 1993 : le temps de travail, cest toute période où le salarié est au travail, présent et le temps d repos, cest où le salarié nest pas au travail.les astreintes ne peuvent être considérés comme des temps de repos donc cette loi de janvier 2003 ne tient pas la route.<o:p></o:p>
Remise en cause des 35h<o:p></o:p>
Ø les heures supplémentaires dont le régime a été aménagé pour pouvoir travailler plus et gagner plus<o:p></o:p>
Ø nouvelles règles légales sur un certains nombres de points : la loi ne tenait pas la route au regard du droit communautaire, la directive sur laménagement du temps de travail est sur les rails<o:p></o:p>
Ø nouvelle règle légale concernant la catégorie des cadres<o:p></o:p>
31 mars 2005 : sur les 35h (document). La 2ème loi Aubry, 19 janvier 2000, permettait par accord collectif dinstituer la catégorie des cadres autonomes et la possibilité au employeur de leur proposer un forfait jour de travail annuel, L212-15-3. Pour que le cadre devienne autonome il faut que ce ne soit plus possible de prédéterminer lorganisation du temps de travail en raison des fonctions, responsabilité, autonomie.<o:p></o:p>
Ø Avec la loi du 17 janvier 2003 de F Fillon on élargie la possibilité pour les employeurs de proposer de devenir cadre autonome à seule condition quil soit bien devenus des salariés autonomes donc on fait passer à la trappe les deux autres fonctions.<o:p></o:p>
Ø Loi du 2 août 2005 : étend la possibilité de soumettre des salariés au forfait annuel jour, de lappliquer à des salariés non cadres, à condition quil ne soit pas possible de prédéterminer lorganisation du temps de travail et quil soit autonome en raison de leur responsabilité.<o:p></o:p>
Ø Pour les cadres : loi du 31 mars 2005 : cest ce qui concerne la question du dépassement du forfait, on est cadre autonome il y a un plafond de 218 jours, il peut arriver quon dépasse et avec la loi Aubry lidée était quon libère du temps<o:p></o:p>
Ø On a introduit une partie de monétisation, avec la loi de janvier 2003 on peut retrouver ce quon a épargné en argent et avec la loi du 31 mars 2005 extension du recours au compte épargne temps, il y a plus de plafond dans ce quon peut épargner. la seule limite est le congés principal de 4 semaines et au niveau de lutilisation on peut retrouver ce quon a épargné en repos ou rémunération la seule limite est la 5ème semaine juste en repos.<o:p></o:p>
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