• INITIATION A L’ETHNOLOGIE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    INTRODUCTION : <o:p></o:p>

    -          L’anthropologie : regard porter sur l’autre, volonté de connaître l’autre et en même temps essayer de se connaître soi même. <o:p></o:p>

    -          Société : groupe d’individu relativement nombreux et tout les individus se reconnaissent comme appartenant à ce même groupe. Volonté de comprendre les motivations intérieures, système de valeurs. Toutes sociétés a toujours cherché à comprendre, cette volonté date du 18ème siècle, grand tournant l’homme passe du sujet de la connaissance à objet de la science.<o:p></o:p>

    L’homme devient un objet d’étude difficile à cerner car imprévisible, partis pris. On veut connaître l’humain de l’intérieur, la démarche anthropologique est une démarche réflexive car quand on étudie quelqu’un, on doit s’étudier soi même.<o:p></o:p>

    L’anthropologie c’est une découverte de toutes sortes de société humaine. L’objectif : est de connaître la diversité de la nature humaine, étudier toutes les formes de vie humaine. On essaye de mettre en évidence les différences pour comprendre ce que nous sommes.<o:p></o:p>

    -          L’ethnologie : la science des différences<o:p></o:p>

    -          Anthropologie : étape de la synthèse.<o:p></o:p>

    -          L’inceste : une règle qui existe dans toutes les sociétés, il y a partout un interdit, c’est une règle qui se comporte comme une loi comme si c’était nécessaire pour structurer sa façon de vivre, (ex : pour communiquer avec d’autre famille).<o:p></o:p>

    Rousseau « pour étudier les hommes il fallait regarder près de soi ».<o:p></o:p>

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    Chapitre I : Ethnographie, ethnologie, anthropologie<o:p></o:p>

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    1)       de l’ethnographie à l’anthropologie <o:p></o:p>

    D’après Claude Lévi Strauss  dans son article « place de l’anthropologie dans les sciences sociales et problème posé par son enseignement » paru en 1954, rediffusé dans son livre « anthropologie structurale ». Dans sa conception, l’ethnographie correspond au premier stade de la recherche : observation et description, travail sur le terrain. On ne peut pas la réduire à une simple discipline descriptive car « elle englobe aussi les méthodes et techniques se rapportant au travail sur le terrain, classement, à la description et à l’analyse de phénomènes culturels particuliers (qu’il s’agisse d’arme, outil, croyance ou institution) ».<o:p></o:p>

    Donc c’est une phase d’observation, on ne commente pas et ne juge pas car sa oriente l’observation.<o:p></o:p>

    L’ethnologie  se situe à un niveau supérieur de généralité, « par rapport à l’ethnographie…elle représente un premier pas vers la synthèse. Sans exclure l’observation directe, elle tend à des conclusions suffisamment étendues pour qu’il soit difficile de les fonder exclusivement sur une connaissance de première main. Cette synthèse peut s’opérer dans 3 directions : géographique, si l’on veut intégrer des connaissances relatives à des groupes voisins, historique si l’on vise à reconstituer le passé d’une ou plusieurs populations, systématique enfin si l’on isole, pour lui donner une attention particulière, telle type de technique, couture ou institution ». Les ethnologues sont spécialisés par aire culturelle.<o:p></o:p>

    L’anthropologie se situe au niveau le plus élevé de généralité, elle correspond « à une seconde et dernière étape de la synthèse, prenant pour base les conclusions de l’ethnologie et l’ethnographie et elle vise à une connaissance globale de l’homme, embrasant son sujet dans toutes son extension historique et géographique, aspirant à une connaissance applicable à l’ensemble du développement humain, depuis, 10ans, les omni dés (espèce humaine) jusqu’au race moderne, et tendant à des conclusions positives ou négative, mais valable pour toutes les sociétés humaines, depuis la plus grande ville moderne jusqu'à la plus petite tribu mélanésienne ».<o:p></o:p>

    L’ethnographie, ethnologie, anthropologue : comme trois étapes d’une même recherche. Les trois termes connotent des attitudes personnelles. Ethnographe : celui qui accorde la spécialité au terrain, ethnologue : se spécialise dans un domaine ou ère culturelle précise, anthropologue : c’est celui qui par de la diversité des cultures et sociétés, cherche a retrouver « l’unité de l’homme »→ LEACH<o:p></o:p>

    Ces trois approches loin d’être contradictoire, s’impliquent mutuellement.<o:p></o:p>

    Ethnologie : étudier la condition humaine en générale, elle s’appuie sur les données de l’ethnographie, vise à constituer un savoir positif fondé sur des faits, on observe la diversité humaine (organisation sociale, culture), c’est pourquoi l’ethnologie, c’est une science des différences qui s’intéresse a priori d’avantage aux variations entre les sociétés qu’a leur point commun.<o:p></o:p>

    Anthropologie : se situe dans une perspective opposée, c’est la science de l’homme, cette opposition n’est qu’apparente car il n’est possible d’interpréter des différences que si l’on postule l’existence de dénominateur commun et parce que l’anthropologie n’est pas une science spéculative mais du concret. Elle s’efforce de formuler des hypothèses qui permettent d’interpréter la diversité réelle des sociétés.<o:p></o:p>

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    L’anthropologie dresse devant l’homme un immense miroir ou il peut se regarder lui-même dans son infinie diversité. KLUCKHON<o:p></o:p>

    L’ethnologie se transforme en anthropologie quand il cesse de se contenter d’enregistrer les différences pour chercher à les expliquer. Il élabore des hypothèses théoriques et essaye de tourner sa recherche vers des invariants universels. Avec l’anthropologie il ne s’agit pas de faire une recherche sur la nature humaine de façon abstraite, cette discipline a posé des notions a priori, raison, nature, humaine, progrès. La philosophie a plus réduit la notion de l’homme, penser la différence implique la diversité humaine, alors que la philosophie pense l’homme en tant que tel. L’anthropologie se présente comme la continuation logique de l’ethnologie sans s’en distinguer.<o:p></o:p>

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    2)       l’objet de l’anthropologie <o:p></o:p>

    L’anthropologie constitue la science totale de l’homme, c’est ainsi que Strauss la définie. Elle devrait faire la synthèse de toutes les sciences (psychologie, biologie, histoire, économie…), le discours anthropologique a porté sur le phénomène humain soit dans sa dimension sociale soit dans se dimension culturelle. L’anthropologie sociale c’est avant tout l’étude de la structure sociale et des institutions, l’anthropologie culturelle privilégie l’étude des comportements sociaux des représentations. De nos jours, elle tend a disparaître (la différence) pour une anthropologie générale étant une science des sociétés et des cultures humaines. La culture est un phénomène purement social, il n’y a pas de culture sans société, phénomène purement social lié au langage.<o:p></o:p>

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    Culture : possibilité de variation non fondée biologiquement des comportements sociaux<o:p></o:p>

    Qu’est ce que l’homme à travers sa différence ou sa continuité avec l’animal ?<o:p></o:p>

    Ethnologie : science des comportements animaux<o:p></o:p>

    Anthropologie : science des sociétés et cultures humaines.<o:p></o:p>

    L’existence des sociétés n’est pas un fait purement anthropologique, la plus part des êtres vivants vivent en société, il y a des variations dans les cultures (on mange à telle ou telle heure). Chez les animaux, il y a aussi des cultures, rituels. Ces rituels, techniques, outils sont susceptibles de varier à l’intérieur d’une même espèce animal et susceptible d’être retransmis de génération en génération, comme les êtres humains ils sont capables de transmettre, bien que ce phénomène soit rare dans le règne animal, c’est le début de la différence car chez les hommes c’est automatique, chaque groupe entraîne une organisation sociale.<o:p></o:p>

    Chez les singes : innovation culturelle, comportements culturels. On a glissé d’étude de culture à de ce qui a de proprement humain dans les cultures. L’anthropologie cesse de se confondre avec une science de la culture et devient une science de la culture et de la société humaine. Il reste donc a comprendre : qu’est ce qu’il y a de spécifique dans les sociétés et cultures humaines ?<o:p></o:p>

    Ex 1 : dans le domaine culturel, on va parler de l’outil et invention technique<o:p></o:p>

    Ex 2 : dans le domaine social, hiérarchie et rapport de pouvoir<o:p></o:p>

    Certains animaux utilisent des objets qui permettent d’améliorer leur performance, extension de leur propre corps, ils utilisent des outils comme l’homme il se donne les moyens de réussir, chez les singes le comportement est acquis donc on peut définir comme des comportements culturels.<o:p></o:p>

    Qu’est ce qui distingue l’outil humain de l’outil animal ?<o:p></o:p>

    Le savoir technologique humain est cumulatif alors que celui de l’animal est répétitif (le chimpanzé a peut être inventé le bâton mais ne la pas perfectionné).<o:p></o:p>

    La technologie animale est utilisée mais elle est transmise à l’intérieur d’un groupe restreint à l’intérieur duquel il y a un caractère informel. La technologie humaine n’a cessé de progresser, c’est une activité sociale qu’il est impossible d’analyser indépendamment du mode de production et de la répartition des tâches entre les catégories sociales, pour comprendre la technologie humaine il faut savoir : comment elle a été fabriqué et qui fait quoi.<o:p></o:p>

    La technologie es inséparable du langage, il rend possible la transmission des idées et donc la conceptualisation. Cette conceptualisation permet une multiplication vertigineuse des possibilités de communication entre les hommes et la conséquence de cette multiplication c’est l’apparition de la possibilité d’échanges cognitifs.<o:p></o:p>

    Chacun a le moyen de ressentir le savoir communiqué par rapport aux animaux qui ne peuvent pas. Même avant l’invention de l’écriture le langage articulé permet le stock d’une mémoire collective, tradition collective. L’homme ne part jamais de zéro, il a toujours a sa disposition des inventions crée par d’autres. Seul l’homme fabrique des outils dont l’unique fonction est la fabrication d’autres outils.<o:p></o:p>

    D’après l’ethnologie, toutes les sociétés sont organisés et hiérarchisés. Michael Chance a décri deux types d’organisations sociales : <o:p></o:p>

    -          chez les babouins, en terrain découvert ils affrontent les périls des fauves et parce qu’ils sont menacés on une organisation de type militaire. les groupes sont espacés fortement hiérarchisés et sont placés sous l’autorité des males dominants étant eux-mêmes dominés par les plus agressifs. Dans ce cotexte les relations sociales sont basées sur la déférence (respect, politesse), sur la crainte et l’évitement, cette hiérarchie est stable car elle marche sur l’agressivité et non la force physique.<o:p></o:p>

    -          Chez les chimpanzés, ils vivent dans la forêt équatorial aucun prédateur ne les menaces concrètement ils vivent en petit groupe organisé d’une manière  démocratique, organisation qui se caractérise par sa flexibilité, pas de leader permanent mais des leaders qui varient en fonction des situations. Cette organisation recherche des contacts et gratification mutuelle, le contact du leader est le plus recherché, on l’appelle agonistique l’organisation chez les babouins et chez les chimpanzés, hidonique.<o:p></o:p>

    Chez ces deux espèces,   les relations sociales revêtent un caractère spontané et sont interprétables dans les termes d’une logique comportementale.  <o:p></o:p>

    Chez les primates l’organisation peut être déduite par deux facteurs : le milieu (savane forêt), les déterminations biopsychiques.<o:p></o:p>

    Chez les humains la logique sociale et indépendante et ne dépend pas de la logique comportementale. Il n’y a pas deux sociétés humaines qui ont les mêmes structures de parenté. Toute organisation sociale humaine est arbitraire, la logique dont elle procède n’est pas irréductible aux réactions affectives et à son milieu.<o:p></o:p>

    On peut comprendre les comportement humains que dans un contexte socio culturelle, car l’homme possède un double registre de signification, les comportements et événements ont un sens en fonction de ses désirs et besoins et d’autre part les comportements ont un sens en fonction des normes sociales : cela traduit les impératifs de la reproduction sociale.<o:p></o:p>

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    Les comportements ont un sens : <o:p></o:p>

    Par rapport à ses désirs et besoins<o:p></o:p>

    Par rapport aux normes sociales. Celles-ci ne se réduisent pas au besoin de survie de l’individu donc aux impératifs de la reproduction sociale non plus.<o:p></o:p>

    Chez l’homme les relations de pouvoir ne se réduisent pas au dominant dominé contrairement aux babouins. Tous les rapports sociaux doivent se référer à une norme extérieure, ils doivent se légitimer, faire référence à des normes qui légitiment. On peut dire qu’il existe un rapport dominant dominé chez les humains différent de celui de l’animal si chez les humains le plus fort veut être maître il faut qu’il fasse référence à des normes contrairement aux babouins qui n’en n’a pas besoin. <o:p></o:p>

    Les sociétés humaines se caractérisent par un effet permanent de légitimation du pouvoir. Cette légitimation du pouvoir se fait par le biais d’un discours : idéologique, mythique.<o:p></o:p>

    Pourquoi doit on passer par une règle, loi ?<o:p></o:p>

    La notion de règle et de loi se pose d’emblé comme transcendante, au dessus par rapport au contenu. La règle dépasse la société humaine et celle ainsi qu’une loi est une des caractéristiques des sociétés humaines. <o:p></o:p>

    Chaque société a ses propres règles et lois : le règle sociale présente deux attributs : une sorte d’intemporalité et extériorité par rapport aux situations concrètes car on peut les conceptualiser et formuler au moyen du langage. <o:p></o:p>

    Qu’est ce qu’autorise ce langage ?<o:p></o:p>

    La pérennisation donc la retransmission de génération en génération. Donc cette règle est irréductible à toute logique comportementale et demeure identique à elle-même. Elle reste la même indépendamment des rapports de force et indépendante des relations de sympathie ou anti pathie.  <o:p></o:p>

    Ce qui fait la spécificité des sociétés et culture humaine c’est la possession du langage, accès au symbolisme. <o:p></o:p>

    L’ordre social humain n’est pas entièrement réductible aux relations objectives entre les partenaires sociaux, il est inséparable de la connaissance et reconnaissance des règles sociales et sa reproduction est subordonnée à la production collective d’un discours de légitimation. Donc c’est un ordre social, humain ou partiellement symbolique donc naturel mais dont la réalité est à la fois mentale, verbale et sociale.<o:p></o:p>

    C’est différent avec le règne animal : <o:p></o:p>

    Les manifestations culturelles de l’espèce humaine ne sont pas comparable de celles de  l’animal tant dans l’ampleur  que dans leur possibilité quasi infini de variation. Outre le développement spectaculaire de l’être humain le langage est à l’origine de l’apparition d’un univers mental, un monde des idées.<o:p></o:p>

    Nous pouvons donc admettre la définition suivante : <o:p></o:p>

    «  L’anthropologie est la science des sociétés et cultures dans ce qu’elles ont de spécifiquement humain à savoir dans leur dimension symbolique ».<o:p></o:p>

    Les animaux n’ont pas accès au symbolisme et n’ont pas de rites symboliques.<o:p></o:p>

    Tout groupe produit des règles se sens, symbole et celles-ci ont un but assurer la cohésion.<o:p></o:p>

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    3)       le champ d’étude de l’ethnologie <o:p></o:p>

    L’ethnologie : la science qui étudie les sociétés pré industrielles de préférence non occidentale et qu’on qualifie parfois de traditionnelle. Sociologie : étude des sociétés industrielles qu’on qualifie parfois de moderne. <o:p></o:p>

    Il y a plusieurs types de sociétés traditionnelles : au début l’ethnologie s’est porté sur les sociétés primitives, simples. On peu distingué trois grands champs d’études possibles :  <o:p></o:p>

    -          sociétés simples (ethno), société pré- agricole<o:p></o:p>

    -          sociétés agricoles et agro pastorales (ethno, socio)<o:p></o:p>

    -          sociétés industrielles (sociologie), société complexes<o:p></o:p>

    Même si il y a trois domaines et qu’on peut les distinguer l’ethno et la sociologie ne sont pas deux sciences dépendantes, les objets de recherche ne sont pas essentiellement différents.<o:p></o:p>

    Les sociétés simples : elles sont de volume restreint et possibilité d’étudier la vie sociale dans toutes ces dimensions et priorité accordé sur le terrain avec des méthodes fondées sur l’observation directe. Donc observation directe et participation de l’enquêteur à la vie quotidienne. Ces sociétés sont fondées sur des relations personnelles, rapports concrets entre les individus.<o:p></o:p>

    Chez les industrielles, la communication ne se comprend pas de personne à personne, mode de communication plus générale. Leur économie est spécifique : accès sur la chasse et cueillette. Elles se caractérisent par la faible division du travail social, l’organisation souvent limité aux classes de sexe et âge. Leur spécificité est : la non autonomie aux structures de parenté et la non autonomie des structures religieuses par rapport aux structures de parenté.<o:p></o:p>

    La circulation des biens, titres et échanges de prestations suivent la circulation des femmes entre les lignées.<o:p></o:p>

    L’interaction sociale repose sur l’apparenté, c’est ce qu’appelle Durkheim « la solidarité mécanique ». <o:p></o:p>

    Les classes matrimoniales n’existent pas en nature, ce sont des règles symboliques de l’espèce humaine qu’on verra chez les sociétés simples, agricoles, industrielles. Ces rapports de parenté ne se justifient ni économiquement ni biologiquement. Ces règles de parenté sont des réalités symboliques liées à la transmission des noms. Il existe une infinité de système de parenté concevable qui sont fonctionnellement efficace, être efficace dans une société c’est assurer la cohésion sociale. Et celle-ci dans les sociétés simples est assurée par la circulation des femmes dans les lignées.<o:p></o:p>

    La réalité d l’organisation sociale est inséparable de sa représentation dans les esprits.<o:p></o:p>

    Les règles basées sur la parenté, tous les systèmes de parenté sont naturels. <o:p></o:p>

    Les sociétés agricoles et agro-pastorales : l’intégration sociale repose sur des structures économiques de caractères objective, elles existent indépendamment de leur représentation dans leur esprit, elles sont rendues autonomes par rapport aux structures de parenté. Cette autonomisation, division du travail entraîne ce que Durkheim appel « la solidarité organique » c'est-à-dire les groupes sociaux deviennent mutuellement inters dépendants. Outre cette division du travail il y a un développement de la stratification sociale car les rapports économiques deviennent des rapports de pouvoir. Le fondement du pouvoir économique, richesse existe matériellement alors que dans les sociétés simples il n’y a pas de richesse. Dans ces sociétés il y a une constitution de la richesse, celle-ci est réelle alors que si les hommes cessent de croire aux règles de parenté (père, mère, oncle) la parenté elle-même  disparaît aussitôt. Il y a autonomisation des structures de pouvoir : création d’une structure d’administration. Les statuts sociaux vont être pensé sur le modèle de la parenté mais il ne lui est pas réductible. 3ème point : la religion s’autonomise aussi et assure un rôle de plus en plus idéologique, elle s’autonomise aussi à son tour par rapport à l’apparenté. C’est l’apparition des grandes religions, on passe du culte des ancêtres à l’autonomisation, les religions vont avoir une vocation universaliste comme si tout d’un coup avec ces sociétés ont s’étaient inscrit dans un schéma de conquête.<o:p></o:p>

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    Les sociétés industrielles : s’inscrivent dans ce processus de transformation, c’est plus une accélération qu’une modification du phénomène. La société industrielle voit la prédominance du mode de vie urbain, le développement de l’état qui devient omniprésent. L’organisation sociale dans les sociétés agricoles, agro pastorales et industrielle a cessé d’y être le reflet de l’ordre symbolique. Cette organisation sociale s’appuie sur des critères objectifs qui sont basé sur des structures politico économique. <o:p></o:p>

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    Les sociologues travaillent sur des sociétés très étendus, urbanisés et industrialisés dans lesquelles les structures sociales sont largement objectivées. Ils ont recours de préférence à des méthodes quantitatives et s’attachent à dévoiler l’action des mécanismes objectifs de reproduction des inégalités. Inégalité dont les effets réels sont masqués ou déniés par le discours idéologique.<o:p></o:p>

    Les ethnologues travaillent en revanche le plus souvent dans les sociétés où ces mécanismes sont inexistants ou quasi inexistant (domaine privilégié). Les structures sociales se déduisent principalement des règles de parenté, le discours collectif ne vise à justifier idéologiquement des inégalités objectivement déterminées, il vise à fonder mythiquement, symboliquement les règles qui définissent les statuts sociaux et positions respectives qu’occupent les acteurs sociaux dans l’ordre symbolique des échanges. Les ethnologues privilégieront les méthodes qualitatives et s’intéressent plus particulièrement à la dimension symbolique du phénomène humain.  <o:p></o:p>

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    4)       l’expérience du terrain et l’approche ethnographique <o:p></o:p>

    La dualité entre l’observateur et l’objet étudié, la difficulté est que l’objet étudié est à la fois sujet. Le regard spontané qu’on portait sur les autres n’a rien d’objectif. Spontanément on perçoit notre société, culture comme normal, naturelle, sans avoir conscience que les autres groupe nous perçoit comme étrangers. Lorsqu’on est confronté à l’exotique, au non familier on est régit de deux manières : <o:p></o:p>

    -          soit on dénie toute signification donc on dénie toute l’humanité (coutumes). Cependant celle qui ne nous sont pas familiers : on les qualifie d’irrationnel, sauvage.<o:p></o:p>

    -          On les réinterprète en fonction de nos propres catégories socio culturelle. On cherche a expliquer les symboles de chaque société, sachant que chaque société réponde à la même logique d’ordre, c’est pour cela que le terrain est long il faut oublier nos traditions.<o:p></o:p>

    L’ethnologie applique un double renversement d’attitude : <o:p></o:p>

    -          Il faut reconnaître l’humanité de l’autre (croyance, coutume, comportement) afin que l’exotique devienne quotidien.<o:p></o:p>

    Sperber : «  il est important de bien décrire un phénomène culturel sans tenir compte de l’idée que sans font ceux qui y participe ». Pour comprendre ces phénomènes il faut comprendre les représentations culturelles auxquelles adhérent les participants de tel ou tel rite. L’enquête devient ethnologique à partir du moment ou l’observateur est capable de déchiffrer le sens des pratiques (a quoi ils croient et pourquoi).<o:p></o:p>

    -          Il faut prendre conscience de la singularité de notre propre culture. Pour cela il faut s’étonner de ce qui nous est familier, naturel, universel et nous dire que toutes ses valeurs sont partiellement arbitraires ainsi ce qu’on peut appeler le regard ethnologique n’a rien de spontané c’est une véritable conversion, aventure personnelle.<o:p></o:p>

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    Chap II : les grands courants de la pensée anthropologique<o:p></o:p>

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    I les origines de l’anthropologie <o:p></o:p>

    Elle est née des récits des voyageurs européens, des la fin du 13ème siècle, le 1er grand voyageur : Marco Polo. A l’origine c’est le discours sur l’autre c'est-à-dire le discours des sociétés occidentales sur les sociétés qui paraissent exotiques, le discours sur l’autre c’est comme une étude spontanée, quasi scientifique. Sociologie : née de la philosophie politique. Toute société est faite de règle qui posent obstacle des la naissance et en même temps des règles nouvelles quelle va imposer à son tour donc la mission principale de l’ethnologie s’est de faire en sorte qu’il existe des témoignages irremplaçables de la richesse et diversité humaine. Rapport nature/ culture. Cette corrélation est inséparable des processus psycho socio élémentaires qui accompagne la genèse (création, naissance) des identités collectives.<o:p></o:p>

    Pour le sujet, l’identification à l’image du groupe implique toujours la valorisation du groupe en même temps implique une dépréciation de l’autre groupe. Le sentiment d’appartenance passe par une valorisation des signifiants de l’identité (langue, croyance, coutume, genre de vie) et en même temps une dépréciation des signifiants différents. C’est ce qui explique le caractère dangereux de l’ethnocentrisme. Il faut attendre la renaissance pour que le discours évolue, avec la découverte du nouveau monde, il y a un décentrement de l’homme, le monde s’élargie. <o:p></o:p>

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    II fondements épistémologique de l’anthropologie <o:p></o:p>

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    Comment ça se construit ?<o:p></o:p>

    Le thème de la sauvagerie (méconnaissance des sociétés), pour les penseurs de l’époque la civilisation n’est pas le résultat d’une évolution historique mais un événement soudain : c’est le thème du contrat sociale. Pour Hobbes : le passage de la nature à la culture c’est la conséquence d’une décision rationnelle. Pour Rousseau : l’homme est un être qui est naturellement social, l’enjeu pour lui est le passage de la famille à la société globale (petit groupe, grand groupe). Pour lui l’ordre social est fondé sur la violence puis légitimé par le droit car le plus fort n’est pas assez fort  pour rester toujours le maître si il ne transforme pas sa force en droit et l’obéissance en devoir, le problème est de passer de la force à un ordre social fondé réellement sur des rapports de pouvoir. Le seul ordre social acceptable pour tous est un ordre conforme à l’intérêt général : c’est l’élément clé de toutes sociétés modernes.<o:p></o:p>

    Lévi Strauss, structuralisme : il se réclame de la postérité de Rousseau, il est passé de la notion d’un contrat tacite fondé sur la réciprocité (Rousseau) à la notion de contrat inconsciente (Lévi Strauss). Pour Rousseau ce contrat se situe au niveau d’une exigence morale donc contrat idéal, pour Lévi Strauss l’échange répond à une exigence de l’ordre de la pensée, cette exigence de réciprocité se trouve à l’origine des schèmes conceptuels. Ceux-ci ont un caractère universel. Dans la pensée structuraliste il y a des dispositifs mentaux inconscients mis en œuvre qui dans la mesure ou il dispose d’une dimension symbolique, ils se trouvent à l’origine de ce qu’il appel la culture donc l’homme peut s’opposer à la nature. C’est cet accès au symbolisme qui définit ce qui fait l’homme. <o:p></o:p>

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    2 commentaires
  • Les nouvelles technologies et le numérique<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    1er cours : texte « lieu d’être », porte sur les fonctions de l’art. L’art attire ou non une utilité ? Comment la question des fonctions de l’art a évolué ?<o:p></o:p>

    La fin du 19ème siècle est une période qui temps à reléguer l’artiste en marge de la société.  Il a moins de pouvoir et se voit dégagé des soucis du monde. A la renaissance l’artiste a un rôle social, médiateur entre peuple et pouvoir, il est là pour dire le bien et le mal, le peintre lui est là pour peindre des sentiments, vérités, croyances pour agir au service de la monarchie.<o:p></o:p>

    19ème siècle : l‘artiste : Manet et ses artistes sont lassés qu’on veuille les transformer en médiateur, journaliste, pédagogue, qu’on veuille faire dire autre chose à leur peinture. Le 19ème siècle voit surgir au cœur du tableau la peinture elle-même dans ces formes, couleurs et esthétique. La peinture se met à exister pour elle-même dans ce sens on peut parler de l’art pour l’art. Si l’art devient une beauté le rapport entre l’art et la société disparaît il y a une juste une fonction décorative et se coupe de sa fonction sociale.<o:p></o:p>

    Au 20ème siècle : l’art n’est pas là pour faire beau mais pour faire avancer le monde, faire la révolution, pour montrer l’horreur du monde, la tragédie. Le passage du 19ème au 20ème siècle c’est le passage de la beauté à la laideur et le mot qui fait le lien c’est avant-garde, utiliser pour montrer que les artistes sont du coté de ceux qui font avancer le monde. Donc le 20ème siècle est celui des contradictions (réelle\ abstrait, l’individu qui affirme sa liberté \  pouvoir des médias) car l’art veut en finir avec le culte du beau mais en même temps ne veut pas se placer que sous la fonction du politique ou religieux.<o:p></o:p>

    Problème du 20ème siècle : comment affirmer un art libre qui ne dépende pas du pouvoir politique  et religieux mais un art qui soit lié avec la société, le politique.<o:p></o:p>

    On verra des peintres à la fois révolutionnaires et des scultures, peinture détaché de la société.<o:p></o:p>

    Malevitch et d’autres, n’hésite pas à provoquer le classicisme en faisant « le carré noir sur fond blanc ». Pour communiquer avec la réalité, ils utilisent les esthétiques du banale ou transfiguration du banale. Une immense partie du 20ème siècle est gouverné par les artistes ayant la volonté de renouer avec la société en utilisant des objets, matériaux pauvres, images issus du quotidien et on les transforme, ex : Warhol et le pop art. <o:p></o:p>

    Le 20ème siècle cherche la vérité dans les formes pures, cherche a inventé un mouvement et de l’autre coté cherche à renouer un lien avec la réalité, culture.<o:p></o:p>

    L’un des grands paradoxe du 20ème siècle : être à la fois dans l’abstraction pure et la réalité, « Less is more », phrase clé du 20ème, le plus c’est le moins, pour donner l’image d’une vérité puissante avec peu de chose appelé minimalisme, on veut des choses brutes, simples et efficaces, faire un monde avec le moins de choses possible.<o:p></o:p>

    Réalisme, socialisme : répression  par rapport a ce qu’a été l’art du 19ème siècle car l’art du 19ème a affirmé la liberté de l’art, l’autonomie de l’œuvre d’art, s’affirme le caractère auto référentiel c'est-à-dire l’œuvre d’art ne trouve pas son sens ailleurs qu’en elle-même : libération de la couleur. Le 20ème siècle aura été celui d’un mouvement le Fauvisme, affirmation de la liberté et crudité de la couleur, mise en évidence du jeu des couleurs primaires. Les artistes du 20ème siècle sont des enfants qui peignent  comme des enfants (Miro, Mondrian). Autre concept du 20éme siècle : primitivisme, renouer un lien avec les âges et cultures, volonté de revenir aux sources.<o:p></o:p>

    La question est de savoir si l’on peut inventer quelque chose de neuf ou alors si la solution est de recycler, se réapproprier les choses ? Tout l’avant-garde déclare une rupture totale avec les chaînes antérieures, porteuse d’un pouvoir de destruction d’un consensus formelle : l’art. Il y a pouvoir de destruction pour construire quelque chose de nouveau. Le 20ème siècle est un rapport entre auto destruction et construction, il faut en finir avec l’idée que la peinture doit ressembler au monde, idée de dissemblance.<o:p></o:p>

    2ème cours <o:p></o:p>

    → Etude des fonctions de l’art<o:p></o:p>

    Il y a une dimension pragmatique dans l’esthétique : c’est le cas dans les arts appliqués, opposition entre utilitarisme et esthétisme n’est pas depuis toujours. Nous avons fait de l’art un territoire privilégié, autonome. Les arts comme la culture, peinture sont réservés à une élite, désormais musique, opéra, chanson sont devenus accessible à tout le monde. L’art a évolué dans ces formes de diffusion, dans son statut, identité. Une œuvre d’art est devenu diffère, varié ce qui pose problème car l’art fonctionne en opposition avec la société. L’art du 20ème siècle est choquant, provocateur et n’utilise plus les matériaux de la noblesse. Il est en retrait, il y a un mal entendu avec le monde. L’art du 20ème siècle ne va pas à l’unisson des attentes du 20ème siècle, il est là pour poser des questions, il oublie les autres époques durant lesquelles l’art était immergé dans la société de son temps.<o:p></o:p>

    Avant les œuvres d’art habités l’architecture des palais, temples, églises, elles servaient à certaine fin politique. Elles avaient une vocation sociale, politique voir sacramentelle. On trouve déjà le problème de l’élitisme, tout le monde n’avait pas le droit de regarder certains objets dont le sens était réservé (sorcier, prêtre). On peut considérer l’histoire de l’art comme : du sacré au plus profond au non sacré. Les premières manifestations de l’art sont liées à la vie ou la mort. La vérité de l’œuvre d’art ne deviendra qu’une beauté esthétique quand l’art se détachera du sacré, religieux. Histoire de l’art : successif détachement qui correspond à l’essor de la modernité (voyage, commerce, rencontre), c’est l’histoire d’un viol ou d’un vol.<o:p></o:p>

    3ème cours : « ceci tuera cela » Victor Hugo, il montre dont les arts se sont libérés des contraintes.<o:p></o:p>

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    Fin 19ème siècle des courants montrent l’autonomie et l’autoréférence de l’œuvre (cubisme, surréalisme) : modernité, l’art se coupe du public qui ne comprend pas toujours la portée de l’œuvre → avant-garde, c’est être en avance sur son temps : les artistes avant-gardistes sont marginalisés, c’est le mythe du peintre maudit (ex : Van Gogh). <o:p></o:p>

    Naissance de l’industrie culturelle : représentation standardisée (M.Monroe), industrie de l’imaginaire, du rêve. Auparavant on reconnaissait l’origine de l’œuvre par ses caractéristiques propres (couleurs, ombres…) : aujourd’hui tout tend à s’uniformiser, Hollywood s’étend aussi à l’art par les médias. Il y a une perte de responsabilité du spectateur (abruti devant la TV), le numérique tend à l’interaction c’est ce qu’on appelle le Self Média (Internet, jeux vidéos). <o:p></o:p>

    Texte « ceci tuera cela » de Victor Hugo en 1831, récit d’une scène dans l’église où le prêtre parle : il dit que les livres tueront l’église : signification de l’angoisse face à une science nouvelle (l’imprimerie) : idée que l’intelligence va menacer la religion, l’opinion détrôné la croyance. Il y a une relation logique entre la religion et l’imprimerie : au moyen orient par exemple les livres se vendent moins car la religion est plus forte. Victor Hugo donne l’idée qu’un changement technologique engendre un changement de message, cf. Mac Luhan : changer les formes artistiques et donc les formes de pensée.<o:p></o:p>

    Relation ancien support et leur signification profonde : <o:p></o:p>

    Jusqu’au 15ème siècle l’architecture est l’œuvre principale reflet du développement, de l’histoire et de la connaissance, des traditions sous chaque monument. La tradition orale ne suffit plus il faut fixer la mémoire dans le sol, la pierre, la terre : le monument est une forme d’écriture dans la terre (hiéroglyphe), volonté de signifier quelque chose, pour tous les peuples, souvent sens religieux. Passer de la lettre aux mots, des symboles aux phrases : les messages deviennent de plus en plus compliqués. <o:p></o:p>

    Au fur et à mesure que la pensée à besoin de support pour s’exprimer, l’architecture se développe, elle est une forme d’écriture (cf pyramide de Louxor entièrement recouverte de signes graphiques) : complication des messages. L’humanité invente des formes d’architecture qui sont des formes d’intelligence, mélanger les disciplines (linguistique, math), transformation des supports l’architecture évolue en fonction des besoins de la pensée humaine. L’art de la mémoire est aussi un art de la parole : répétition du même motif qui fait qu’il s’apprend vite. La connaissance doit se fixer dans l’écriture pour se populariser, la civilisation commence par la théocratie et finit dans la démocratie, l’architecture n’est pas seulement le lieu de l’expression divine mais aussi de la liberté des peuples, artistes, maçons. La construction humaine est toujours en construction, on voit apparaître une grande liberté dans l’architecture. L’architecture n’est plus à la religion mais à l’imaginaire, au peuple : imagination populaire (vision, scène d’amour entre prêtre et nonne) grâce à la réforme de l’imprimerie. Jusqu'à Gutenberg l’architecture était la forme principale d’écriture : l’art, la culture sous la tutelle de l’architecture, tous les autres arts se mettaient à la disposition de l’architecture, écriture universelle jusqu’au moyen âge.<o:p></o:p>

    L’architecture jusqu’au 15ème siècle a été le registre de l’humanité : le genre humain n’a rien écrit d’important qui soit écrit dans la pierre. Au 15ème siècle nouvelle forme de perdurer est inventé : le livre va tuer l’édifice, c’est le plus grand événement de l’histoire, c’est la révolution mère, le livre est indestructible il voyage se transporte : image aérienne de V Hugo du livre comme un oiseau.  <o:p></o:p>

     4ème cours : l’architecture : en centrant sur la question du minimalisme, l’architecture : fonctionnalisme, rationalisme.<o:p></o:p>

    L’idée d’épurer, dévider, de rendre les choses évidentes. Evidence : faire le vide de ce trop plein de signes qui encombre la mémoire. L’archi du 20ème siècle va chercher a épurer les choses jusqu'à presque rien.<o:p></o:p>

    Le modèle de pensé de l’architecture : <o:p></o:p>

    Fin 19ème siècle on a vu se développer l’art nouveau, qui est le reflet architectural du romantisme. Le romantisme c’est l’affirmation de l’individu, de la passion, nature. Il a cherché a retrouver la puissance originel de la nature contre la raison. La société européenne c’est lassée de cette rigueur classique et a voulu retrouver le désordre. La nature est décrite en langage mathématique, c’est une forme de géométrisation, mathématisation, rationalisation. Le 19ème siècle est le retour au désordre donc arrivé du courant romantique avec la mise en évidence de la nature sauvage, on va imiter les jardins en désordre et ce phénomène de désordre se retrouve en architecture.<o:p></o:p>

    Une culture classique faite de droite, rigueur et la culture romantique avec le coté sérieux, courbe.les fractales : derrière le désordre apparent il y a un ordre. C’est une manière de s’opposer à une trop grande rigueur qui définit l’âge moderne, dans le style nouveau il y a l’idée d’ornement, idée d’une esthétique qui s’oppose à l’industrie, cette architecture décorative, ornementale est là juste pour décorer et devient l’incarnation de la société bourgeoise. Il y a une coupure entre une architecture décorative et les ouvriers de la réalité.<o:p></o:p>

    Louis Sullivan : 1er grand architecte du moderne, 1992 «  il serait souhaitable de renoncer pendant quelques années à tout ornement de manière à concentrer notre pensée sur la construction de bâtiment agréable par leur nudité ». On commence à critiquer l’art nouveau, style nouille aux choses authentiques.<o:p></o:p>

    La machine est au cœur de la vie sociale, certains vont chercher a promouvoir l’esthétique de la machine. Loos « le délire ornemental de l’art nouveau auquel il préfère le fonctionnalisme du verre et de l’acier ». <o:p></o:p>

    Fonctionnalisme : idée de fonction, machine qui tourne et marche, aller à l’essentiel de ce qui est utile. Gilbert Simondon : à analyser le fonctionnement des machines. L’architecture du 20ème siècle est devenu performante pour cela elle s’est adaptée aux matériaux de son temps. Loos, Wagner et d’autres, entendent s’opposer au style ornemental, capricieux, décoratif, naturel, art nouveau et entendent de promouvoir un style fondé sur le modèle industriel.<o:p></o:p>

    L’architecture répond aux problèmes de l’habitat avec des solutions efficaces et simples : Bauhaus, idée d’un accord entre la forme et fonction de l’objet en recherchant l’utilité, la fonctionnalité qu’on trouve, la beauté des formes. Dans le fonctionnalisme les formes des objets se rapprochent du vivant. On voit se développer une archi sous un jour collectif pour répondre aux besoins de logement, habitat. Tony Garner : 1er a avoir inventé les logements sociaux. Contre le style nouille on cherche a faire une architecture collective valable internationalement (béton armé). On passe d’une architecture individuelle fondée sur la maison à une architecture collective fondé sur l’immeuble. Un modèle ornemental différent d’un modèle sur l’idée de la rigueur, dépouillement archi cela se traduit par une prise de conscience de l’espace public. Le problème de l’architecture moderne : imposé son modèle rationaliste au monde, planète donc tous se ressemble. L’homme est sur terre pour vivre, rêver et l’archi moderne a fait abstraction de ce besoin, l’archi moderne par son sens du dépouillement a su répondre aux besoins de l’âge industriel mais elle a oublié tout ce qui ne relève pas de la raison, fonction. Aujourd’hui nous sommes sortit de la modernité rationnelle, fonctionnelle mais dans la post modernité : idée que le temps, plusieurs époques, espaces et croyances coexistent dans le même monde, l’ancien et le nouveau voisine dans le même monde. <o:p></o:p>

    5éme cours <o:p></o:p>

    L’archi est un art mais aussi le 1er de tous les arts, elle porte les autres arts. Peinture, musique, poésie et culture : tous ces arts proviennent de l’archi. Mais c’est aussi un langage et système de communication porteur d’un discours. Donc l »archi est un art, média et langage, elle épouse le devenir industriel (invention béton armé, mur de pierre). L’archi oblige la ville à s’organiser à se structurer autrement que la ville traditionnelle. Il faut un noyau dur pour penser la structuration de la ville ça s’appelle un réseau qui gouverne l’essor industriel de la ville et les relations entre les villes. Invention des locomotives, trains pour cela construire des rails donc invention du réseau ferroviaire. Donc invention de réseaux de communication qui vont permettre à l’information et loisir de circuler à grande échelle (TV, radio). Le réseau gouverne la totalité du monde industriel.<o:p></o:p>

    Quelle est l’histoire de cette notion de réseau ?<o:p></o:p>

    Il faut voir l’omniprésence du réseau, tout d’abord la notion de réseau a pris la place de la notion de système, structure. « Le réseau » : processus dominant dans la pensée contemporaine. Réseau : la double référence : à la fois les techniques et l’organisme, la vie. Réseau : rétis qui signifie l’idée de filet, ensemble de files entrelacés composé de lignes et nœuds. Réseau renvoi à la technique (fabrication de textile), idée de maillage. A la renaissance : résel et non plus résil, résel est un tissus à large maille qui couvre le corps, filet des femmes sur la taille, ensuite résil, résel et résille.<o:p></o:p>

    Idée centrale avec le réseau : c’est de cacher et montrer en même temps, laisser paraître en obstruant un peu. (Ex : bas résille montre tout en cachant). Jeu de liberté et contrainte. Du tissu à l’information il y a un lien direct, le réseau couvre le corps et le laisse respirer, il est à la fois utilitaire et décorative. Tisser sa toile c’est construire sa vie qui s’oppose à l’idée de rupture, il y a une ambiguïté avec le fil d’un coté et le ciseau de l’autre.<o:p></o:p>

    La relation avec le corps : l’organisme vivant est décrit comme un réseau qui permet au fluide de circuler, dés le début de la médecine, le réseau est lié au corps. Le corps en tant que réseau est un lieu de passage entre le centre du corps et la périphérique du corps. Au 18-19ème siècle : se dessine un nouveau concept de réseau, le réseau sort du corps ou des images du corps, il peut être construit comme un artifice mécanisé, des lors le réseau change est devient machine industriel inventé et fabriqué par l’ingénieur. Passage d’un système féodal, militaire donc artisanal à un système industriel. St Simon : 1er théorie moderne du réseau 1760-1820. L’idée centrale entre argent et circulation car l’argent permet la circulation mais aussi l’idée de contenir sous contrôle et laisser passer la libre circulation des hommes dans le réseau. Il y a une double image surveiller, circuler et communiquer. <o:p></o:p>

    Dans les années 45-50, invention de l’information, MC Cul loch «  le cerveau peut être apparenté à un calculateur numérique consistant en 10 milliards de relais appelés neurones ». L’idée que le cerveau est le réseau idéal, un idéal à atteindre par le système technique doit être partagé l’idée d’intelligence. <o:p></o:p>

    Il y a les réseaux de la 1er modernité industrielle (ferroviaire, hydraulique, médias). L’idée des réseaux classiques c’est qu’il y a un centre de réseau qui les nourrit. Les réseaux techniques industrielles ont la particularité de fonctionner du haut vers le bas (périphérie et centrale). Ce modèle de réseau est pyramidal, aujourd’hui les réseaux fondés sur Internet sont du bas vers le haut, c’est un média a double sens, on peut devenir émetteur, producteur et non plus que consommateur, c’est le bottom up, bas vers le haut. Les réseaux industriels contre les réseaux Internet. Internet donne la possibilité d’être consommateur et source d’information, c’est un espace de grande liberté avec une double polarité de liberté et contrainte.<o:p></o:p>

    6ème cours<o:p></o:p>

    Les nouveaux réseaux c’est l’ensemble des connections qui s’opèrent et agissent entre les neurones qui produisent un résultat, capables de faire plusieurs chose en même temps comme un cerveau. Réseau connexionniste : modèle capable d’apprendre, produire des résultats qui n’ont pas été prévu dans le programme initial, auto programmation. Internet est un réseau de neurones, intelligence artificielle échappe aux réseaux d’avant et se rapproche de plus en plus de l’être humain.<o:p></o:p>

    « La danseuse artificielle de Michel Bret, cette installation donne au spectateur la possibilité d’interagir avec une danseuse virtuelle. Elle est dotée de perception artificielles et de réseaux de neurones, qui après un apprentissage de pas de danse, lui permette de développer des comportements gestuels autonomes et également d’interpréter la musique. Cela contribue a passer les frontières entre : vie réelle et vie artificielle, homme et machine ».<o:p></o:p>

    La logique de l’intelligence artificielle et des nouvelles technologies tend vers le vivant, (on arrive dans le regard des robots à simuler la peur). Les machines et la chimie se rapprochent du vivant (expérience avec l’épiderme de la peau pour se connecter). Les réseaux sont de plus en plus comparable à une intelligence collective. Le mot réseau est devenu le concept clé qui permet de rendre compte de toute technique, théorie sur la notion de passage, le réseau a remplacé la cathédrale (comparaison entre réseau et religion).<o:p></o:p>

    Problème posé : celui de notre statut nouveau de nomade, ça nous conduit au réseau du passage permanent vers le futur, forme de mobilité accru vers les réseaux lié au processus de mondialisation. On vit dans une société fondée sur le passage, transition.ns objets.<o:p></o:p>

    7ème cours<o:p></o:p>

    Dada : assembler, coller des objets qui ne se ressemblent pas, hétérogène, toutes les techniques, supports, médias peuvent être au service de ce courant. Le Dada semble constituer une tendance à la construction du nouveau, objets et une tendance réciproque à la destruction des anciens objets. Le 20ème siècle aura particulièrement pensée et produit des artistes qui joue sur la construction/ déconstruction.  <o:p></o:p>

    Tendance qui introduit de l’originalité, nouveauté dans la manière d’appréhender l’art, manifestation, affirmation de l’individualisme : essor de la démocratie donc on affiche son individualisme. La peinture avait pour fonction l’imitation du réel, respect de l’académisme, imitation de la peinture, la photo et la peinture remettent en cause tout ça, concurrence avec le peintre.<o:p></o:p>

    A partir de l’impressionnisme, les peintres cherchent à se différencier des autres, c’est pourquoi dada fait table rase de l’héritage passé. Dada est un mouvement mondialisé, il ignore les frontières, dada veut placer l’œuvre au centre même de la vie sociale. <o:p></o:p>

    Marcel Duchamp : fondateur de l’art provocateur, tout l’art du 20ème siècle est fondé sur ce mouvement qui conduit le spectateur d’une contemplation extérieur à une participation active de l’œuvre : déplacement de la position du spectateur. Le spectateur accepte dans sa tête que cette œuvre est une œuvre d’art et non plus du bricolage, mentalement et aussi physiquement le spectateur participe.<o:p></o:p>

    L’art de la renaissance serait une fenêtre qui montre le monde, d’une image à distance on est passé à une immersion (jeux vidéos, cinéma).<o:p></o:p>

    Aspect politique du dadaïsme : <o:p></o:p>

    Courant révolutionnaire sortir l’art pour l’art et l’introduire dans la politique. Il y a un conflit entre l’intérêt général et sa nécessaire liberté individuelle. Ce conflit entre liberté et politique est toujours d’actualité.<o:p></o:p>

    Dadaïsme : anarchisme, désordre…<o:p></o:p>

    Surréalisme : communiste socialiste<o:p></o:p>

    Le surréalisme s’écartera de dada. Chez dada il y a un mélange de la photo, littérature, figure/ signe, volonté d’en finir avec la séparation des lettres et art. il y a un lien entre dadaïsme et pub : rassembler sur même support texte et image. Dada remet en cause la relation œuvre spectateur. Les artistes anticipent un phénomène Deejee : remix de morceaux existants. Début de dada 5 février 1916 Cabaret Voltaire avec des artistes comme Tzara. Fin de la guerre dada est supplanté par le surréalisme.<o:p></o:p>

    1924 manifeste du surréalisme de Breton qui marque la cession dada / surréalisme.<o:p></o:p>

    LE POP ART<o:p></o:p>

    Si dada est un courant développé pendant la 2 G.M, le pop art s’est développé à la fin de la 2 G.M et le baby boom. Cette célébrité est la conséquence du langage pop artiste avec le spectaculaire et le vocabulaire des images quotidiennes. Il y a un écho immédiat avec le public. Imitation de la réalité du monde, mise en scène du spectacle urbain. Notre réalité est scénarisé. Ces artistes sont les premiers à dialoguer avec la culture populaire, effacer les frontières. On entre dans une période art de masse. Ils ont voulu révéler ces images que nous ne voyons plus à force de les voir, ils s’attaquent au banal, populaire. Magazines, stars, idoles sont au cœur de ce mouvement, par le passé c’était la bible, ici domaine cinématographique (Marilyn Monroe). <o:p></o:p>

    Le pop art a été révélateur de cette culture pop. Le mouvement se déplace aux USA (Jasper Johns…). Le but étant d’instituer un dialoguer avec les objets du quotidien et l’art.<o:p></o:p>

    8ème cours <o:p></o:p>

    Andy Warhol : personnage centrale de l’art du 20ème siècle car il a été le premier artiste a avoir cherché à inscrire son art dans un âge industriel. Il pense positivement la question des machines, il interrompt une tradition qui consiste à opposer deux niveaux : le sensible tel que le romantisme et la rationalisation, calcul tel que les machines. Comme si la sensibilité devenait une affaire industrielle, machinique. Il fait le lien entre l’art des nobles majeurs et les arts appliqués mineurs : pensée totalement nouvelle, c’est le premier a essayer de travailler sur le thème de la mode dans les arts. Il incarne dans sa manière de produire ses œuvres un modèle industriel, il est au sommet de l’individualisme et le premier a penser l’art comme collectif.<o:p></o:p>

    Roy Lichtenstein : fait un lien entre les arts majeurs et mineurs. Il reprend l’imaginaire des bandes dessinées pour en faire des œuvres d’art. Dans ses peintures il reproduit le thème, les images mais aussi la texture des bandes dessinées. Il ouvre un dialogue entre le support et les médias.<o:p></o:p>

    Rauschenberg : il fait des peintures combinées (mélange d’oiseau empaillé avec la peinture). Il prolonge l’esthétique des cubistes, manière de peindre qui tente de réconcilier en mélangent le monde réel et monde des images. <o:p></o:p>

    L’art du 20ème siècle veut réconcilier l’art et le,  monde<o:p></o:p>

    Les courants comme le pop art ont la question du 20ème siècle : ils veulent changer le monde, l’ouverture de l’art moderne et contemporain a une volonté de renouer un contact avec le peuple.<o:p></o:p>

    Johns Jasper : il peint des icônes présentent de manière redondante dans la société (drapeau américain, canette de bière), il s’intéresse aux objets utilitaires considérés comme banalisés.<o:p></o:p>

    Avec le pop art se produit un phénomène : avant l’Europe avait le monopole et désormais c’est l’Amérique.<o:p></o:p>

    Rapport Quémin : volonté de l’état français d’aider les artistes et cela finit par fausser le jeu, c’est l’état qui décide quel artiste il faut acheter ou non, le processus de reconnaissance des artistes passe par l’état.<o:p></o:p>

    Dans les années après le pop art, nous avons vu à Nice un développement de courant : équivalent français du pop art américain c'est-à-dire le nouveau réalisme.<o:p></o:p>

    Le nouveau réalisme : Pierre Restany a était le théoricien fondateur du nouveau réalisme, sorte de promoteur de la scène nationale française a travers le nouveau réalisme. 1960-1963 : le mouvement a durer 3 ans au cours desquels les artistes vont penser un nouveau courant. <o:p></o:p>

    Le pop art a centré son existence sur la réalité des images, il traite, recycle, interroge des images et le nouveau réalisme s’intéresse aux objets réels, aventure de l’objet.  <o:p></o:p>

    César : objets industriels, il fonde son œuvre sur un geste tel que les voitures et la casse. Il transpose le geste de compression dans l’art.<o:p></o:p>

    Arman : ce qui est en cause c’est une critique du monde industriel c’est un monde qui repose sur le principe de la consommation et sur consommation et donc des problèmes de recyclage, déchets, pollution. <o:p></o:p>

    Les artistes du nouveau réalisme : travaillent sur la vie et la mort de l’objet en faisant des sortes de cimetière et accumulation. Il prolonge les objets en série, il veut rapatrier le monde réel dans le monde de l’art, ils capturent les objets réels avec des techniques industrielles. <o:p></o:p>

    Yves Klein : a voulu capturer le ciel, il fait lavéliser le bleu comme dans l’industrie et obtient un bleu. <o:p></o:p>

    Action painting : engagement physique du corps.<o:p></o:p>

    Technique de recyclage des images de la pub : <o:p></o:p>

    Villéglé : peint à partir de la logique du deejee images lacérées.  <o:p></o:p>

    Hains : accumulateur d’image de pub pour en faire une œuvre d’art.<o:p></o:p>

    Ces artistes ont beaucoup travaillé sur l’univers de la machine tel que : Tinguely, Spoerri (objets de la table, cuisine dans ses œuvres), Raysse (image du quotidien), Christo travaille sur le réel à l’échelle de la ville.<o:p></o:p>

    Nouveau réalisme : prolongement du pop art substituer à l’idée de l’art comme banalité, quotidienneté. Capturer le réel tel qu’il se présente.<o:p></o:p>

    9ème cours<o:p></o:p>

    Niki de st Phalle, prolongement de l’art brut, forme d’expression naïve. Elle fait un usage particulier de la violence dans ces œuvres.<o:p></o:p>

    ð      la redécouverte du réel, question des lieux et milieux ?<o:p></o:p>

    Époque de la mondialisation, les acteurs de cet art contemporain se retrouvent dans des manifestations mondiales tel que Biennal à Venise. Il y a phénomène de multiplication des biennales qui conduit à un phénomène de standardisation des critères de l’art.<o:p></o:p>

    Jeff Koons, mélange des registres (cochon dans l’église). Ce qui est en cause c’est le phénomène de marchandisation (tout ce qui est possible de marchandiser, culture, sexe…) <o:p></o:p>

    L’art est un marché, l’argent est en cause et on peut dire qu’il y a un lien entre le phénomène de mondialisation, marchandisation et standardisation.<o:p></o:p>

    Le sens de l’œuvre d’art est dans l’effet de leur présence aux yeux de la communauté, fidèles.<o:p></o:p>

    De plus en plus d’artistes cherchent à faire redescendre l’art sur terre car si l’œuvre ne prend pas sa place dans un lieu, contexte elle perd son sens.<o:p></o:p>

    Le but est de retrouver le lien entre l’œuvre et le lieu, entre l’œuvre et la société.<o:p></o:p>

    LAND ART <o:p></o:p>

    Le mouvement est né aux EU ce n’est pas au hasard car les EU est un pays qui n’a pas d’histoire, mémoire aussi ancienne que l’europe. Les EU rime avec idée de conquête. Les EU ont une profondeur de champ, beaucoup d’espace mais pas une profondeur de temps comme en europe. <o:p></o:p>

    Les artistes du land art vont utiliser cette profondeur de champ pour marquer le passage de l’homme, le temps.<o:p></o:p>

    Robert Smithson, « spiral Jetty », utilisation de matériaux naturels pour marquer la trace du passage de la civilisation.<o:p></o:p>

    Christo, fait des œuvres en grandeur nature « umbrellas », ce qui est en cause dans ces œuvres : travailler à l’échelle du paysage en grandeur nature et l’idée de marquer le territoire.<o:p></o:p>

    Walter de Maria, travaille avec la foudre. <o:p></o:p>

    Il y a une volonté de renouer un lien avec l’espace public car le propre de la modernité c’est de s’être détaché d’un milieu.<o:p></o:p>

    Maurizio cattelan, il a transposé les lettres qui sont l’enseigne du site réel d’Hollywood dans une décharge public en Sicile dans le but de déplacer le regard que nous portons sur des images gravées dans nos têtes. Provocation dans la fait d’avoir voulu intégrer ces œuvres dans un endroit valorisant.<o:p></o:p>

    Le commercial, l’artistique et le médiatique se même à haut niveau. Ex : jean Paul II blessé par une météorite.<o:p></o:p>

    Carl André, fait de l’art à l’échelle horizontale. « L’œuvre d’art idéale ce n’est pas une sculture grecque mais l’idée de route horizontale ».<o:p></o:p>

    IN SITU<o:p></o:p>

    Dialogue entre l’espace du passé et l’art contemporain, réappropriation des lieux pour leur donner une nouvelle image. Ex : colonne de Buren. Il y a une harmonie, tension avec le lieu originel. <o:p></o:p>

    Richard Serra, il invite le spectateur à pénétrer dans ces œuvres, impression de vertige.<o:p></o:p>

    Autre aspect, les artistes veulent révéler l’envers du décor.<o:p></o:p>

    Tania Mouraud, tension spatiale, culturelle dans lesquelles les artistes de l’art in situ veulent travailler. Elle prend des panneaux pub et inscrit NI (négatif) pour renverser l’image positive de la pub.<o:p></o:p>

    Œuvre les pages images : de Moulene c’est le modèle idéal fondé sur la médiation culturelle et sociale.<o:p></o:p>

    Gerz, « steine » il y a un dialogue entre l’art contemporain et la mémoire.<o:p></o:p>

    L’hypernésie, trop plein de mémoire donc tendance a oublier amnésie. <o:p></o:p>

    Chaque société doit se souvenir mais aussi oublier donc problème de choix. Il a voulu renvoyer les gens à la faculté d’oublie en enterrent les noms des déportés. Phénomène de les sis more, il a fait du moins qu’il a enterré et montre le plus.<o:p></o:p>

    Les artistes ont choisi de travailler sur le temps, les sociétés traditionnelles se caractérisent par un emploi des matériaux de longue durée.<o:p></o:p>

    On a une croissance de la communication qui le problème de saturation de la mémoire.  Les sociétés pour se souvenir ont besoin d’oublier. Certains artistes ont décidé de traiter ce thème.<o:p></o:p>

    Gerz, son œuvre ; il a posé une question aux habitants est à inscrit leur réponse sur des plaques, désormais les gens s’y intéressent : le monument vivant Biron. <o:p></o:p>

    Aujourd’hui le lieu de l’œuvre d’art est partout, d’après les grecs : deux distinctions de lieux. Le topos (dimension de lieu) et chôra (lieu en tant qu’il est approprié par les hommes).<o:p></o:p>

    Aujourd’hui beaucoup d’artistes délocalisent leur production artistique, ils ont voulu inscrirent les réseaux numériques au service de l’œuvre. Beaucoup d’artistes utilisent leurs corps comme œuvre d’art comme Orlan par exemple.


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  • DROIT DU TRAVAIL<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Introduction :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Définition (générale) du Droit : lorsqu’on parle de droit il s’agit d’organisations juridiques via des règles juridiques (ex : non respect peut donner lieu a des sanctions), des rapports entre les individus que nous sommes (groupement de personne, personne morale)<o:p></o:p>

    1884 : législation des syndicats <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø      L'organisation (juridique) des rapports entre les individus (personnes physiques, personnes morales)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø      En ce qui concerne les rapports entre les individus au travail<o:p></o:p>

     S'agissant du droit du travail : les rapports individuels et collectifs de travail il y a une distinction entre :<o:p></o:p>

    ▪ Les rapports individuels de travail<o:p></o:p>

    ▪ Les rapports collectifs de travail <o:p></o:p>

    Individuel : embauche, exécution, licenciement, rémunération<o:p></o:p>

    Collectif : droit syndical, représentation du personnel, négociation collective, conflit collectif<o:p></o:p>

    Dans les entreprises d’au moins 50 salariés doit être mis en place un comité d’entreprise au sein duquel il y a une délégation du personnel élus. Lorsqu’une direction envisage d’engager un licenciement, l’employeur doit passer devant le comité d’entreprise.<o:p></o:p>

    1996 : en France il existe des comités d’entreprises européens.<o:p></o:p>

    2000 : nouvelle loi Aubry, cadre autonome, l’important c’est qu’ils accomplissent leur mission.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pourquoi cette organisation du travail pour civiliser les individus ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’objet de cette organisation juridique : <o:p></o:p>

    Ø      Civilisation des rapports entre les individus<o:p></o:p>

    Ø      Subsistance des rapports de force : <o:p></o:p>

    Le droit de grève (chiffres, exemples, questions, accords de prévention et gestion des conflits)<o:p></o:p>

    Au fil des siècles on passe des rapports de forces à des rapports civilisés.<o:p></o:p>

    Le droit de grève est un droit constitutionnel par rapport à des règles constitutionnelles : déclaration de 1789, préambule de 1946, de la 4éme république, constitution de 1958.<o:p></o:p>

    1946 : « droit de pas de grève s’exerce dans le cadre des règles constitutionnelles qui le règlement ». Dans le public (respect des lois, préavis, grèves) et privée (pas de règles, plus de grèves). <o:p></o:p>

    Dans un contrat de travail il y a des contraintes légitimes, l’employeur doit exécuter les ordres de son supérieur. Le contrat de travail repose sur une inégalité juridique.  <o:p></o:p>

    L 212-4 : loi Aubry 1 de 1998 sur les 35h, « la durée de travail s’entend du travail effectif à l’exclusion du temps de travail nécessaire à l’habillage, casse croûte, ainsi que des périodes d’inaction dans les industries et commerces déterminés par les décrets »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    La difficulté de la mise en œuvre de cette organisation : <o:p></o:p>

    Ø      nature humaine et comportements humains : harcèlements, discriminations, cas d’exploitations<o:p></o:p>

    Ø      et dés lors nécessité de cette organisation : hier, rapport Villermé 1840 et loi la première de 1841, début de toute une évolution<o:p></o:p>

    Depuis notre première loi du travail 1841, qui était déjà une loi de réduction de travail, il en est résulté toute une organisation juridique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Organisation juridique <o:p></o:p>

    Ensemble de règles juridiques de conduite faites d’obligations et de droits.<o:p></o:p>

    Ø      Obligations résultant des comportements (conventionnelles et non conventionnelles) <o:p></o:p>

    Ø      Obligations résultant des lois : toute une évolution depuis 1941<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → Obligations résultant des comportements : ces comportements peuvent résulter de ce qu’on appelle les actes que l’on peut qualifier d’actes juridiques ou encore ces comportements peuvent provenir de faits que l’on peut qualifier de faits juridiques.<o:p></o:p>

    ● Les actes juridiques reposent sur des comportements volontaires car les obligations qui vont en résulter vont être voulus.<o:p></o:p>

    Ex : convention synonyme avec le contrat,  « le contrat de travail salarié qui repose sur les comportements volontaires d’un individu » ou « le contrat : convention de stage, acte juridique qui résulte d’une volonté ».<o:p></o:p>

    Ces obligations voulus on va donc les appeler obligations conventionnelles qui provient de nos comportements.<o:p></o:p>

    ● Les actes sont différents des faits personnels qui sont également des comportements qui peuvent être volontaire ou non intentionnel et d’où il va résulter également des conséquences juridiques donc des obligations qui n’ont pas été recherchés. Donc on peut parler des obligations non conventionnelles qui résultent des faits personnels.<o:p></o:p>

    Codes comporte : le code civil de 1804, il constitue le droit commun a toutes les branches du droit et obligations conventionnelles. Ensuite le code du travail, on a commencé de perler de rassembler les règles du travail en 1910. Puis par branche le code bis, accords ou conventions collectives (conventions d’ordre juridique). <o:p></o:p>

    L 135-7 : La convention collective c’est celle qui traite des conditions d’emplois (période d’essai), de travail (jour de congés supplémentaires, décès) et les garanties sociales (maladie, indemnisation). Ce sont des actes juridiques entre les syndicats salariés et les employeurs.<o:p></o:p>

    L 143-2 : convention et accords collectifs nationaux et mention du bulletin de paie.<o:p></o:p>

    La structure des règles de droit est une structure syllogistique.<o:p></o:p>

    Syllogisme : c’est ce qui va nous permettre de relier une conclusion à des prémisses (hypothèses). Ces prémices ou hypothèses sont majeures ou mineures.<o:p></o:p>

    Ex : majeure : tout les hommes sont mortels, mineure : Socrate est un homme donc conclusion : Socrate est un homme mortel.<o:p></o:p>

    La majeure est constituée de la présupposition qui est la situation visée par la règle de droit et qui repose sur 1à 4 conditions selon la règle en question.<o:p></o:p>

    La mineure c’est la situation dans laquelle on se trouve et il va s’agir de vérifier, on va parler d’un travail de qualification juridique et on va faire rentrer les conditions.<o:p></o:p>

    La règle de droit est syllogistique car on retrouve les deux éléments du syllogisme, conclusion et prémices.<o:p></o:p>

    Ex : article 1382 «  tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. Il faut trois conditions : 1er il faut un fait quelconque, fautif, 2ème qui cause un autrui un dommage, 3ème il faut un lien de cause à effet du fait du dommage.<o:p></o:p>

    Il n’ y a pas d’obligations à réparer si les trois conditions ne sont pas réunies.<o:p></o:p>

    1384 : exemple qui montre que toutes les conditions ne sont pas réunis.<o:p></o:p>

    23/11/1993 : aménagement du temps de travail, « on entend par temps de travail toute période durant laquelle le travailleur est au travail à la disposition de l’employeur et dans l’exercice de son activité et de ses fonctions ». Il en est résulté la définition actuelle du temps de travail effectif voir L212-4 voir les trois conditions.<o:p></o:p>

    Première variante : la question des déplacements professionnels ? <o:p></o:p>

    Un accident de trajet ne protége pas le contrat de travail alors que un accident de travail protége le contrat de travail. Des lors que l’on part de chez soi ou de notre lieu de travail on se rend à un autre lieu cela est du temps de travail effectif.<o:p></o:p>

    Avec la loi de janvier 2005, borlot : remise en cause entre deux lieux de travail le principe est maintenu c’est du temps de travail effectif mais si on pars de chez soi pour faire une visite ce n’est du temps de travail.<o:p></o:p>

    Voir les exemples de syllogisme avec L 122-46 : sexuel et L122-49 : moral <o:p></o:p>

    En 2002, lorsque le harcèlement moral est arrivé on a redéfinit la définition du harcèlement.<o:p></o:p>

    La question du pré de main d’œuvre, ex : l’intérim est légalisé en France depuis 1972.<o:p></o:p>

    Ca tient la route ou non ? Voir L125-3, les trois conditions<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I – Le Droit du travail : Pourquoi en parler ?<o:p></o:p>

    Car certains aimeraient bien « brûler » le code du travail..., <o:p></o:p>

    - Les déclarations.<o:p></o:p>

    - Les accusés.<o:p></o:p>

    - Les mesures.<o:p></o:p>

    Il y a eu un accord national inter professionnel qui va être conclu sur l’emploi des seniors pour la création d’un CDD (âgé au moins de 57 ans pour permettre à ces salariés de faire valoir leurs droits à la retraite). <o:p></o:p>

    De 1997 à 2005 : le SMIC a augmenté de 30 à 40% en Angleterre.<o:p></o:p>

    Le 27 et 28 octobre, doit se dérouler un sommet social, idée maîtresse  est d’étendre à tous le bénéfice de l’école via tous et le bénéfice de la sécurité sociale pour se procurer des revenus différés afin de nous protéger des aléas de la vie.<o:p></o:p>

    Préambule de la constitution de 46 repris en 58, « création de la sécurité sociale en 46 », « la nation assure aux individus et à la famille des revenus nécessaires, elle garantie à tous la protection de la santé, matérielle, les repos et loisirs ». « Tout être humain malade ayant le droit d’obtenir des aides financières »<o:p></o:p>

    Mais est ce que avec le code civil la France ne cumulerait pas un certains nombres d’handicaps ?<o:p></o:p>

    → Déclaration allant dans le sens de la rupture : <o:p></o:p>

    - déclarations et revendications : <o:p></o:p>

    Ce n’est pas nouveau : 1986 et la suppression de l’autorisation administrative du licenciement pour motif économique.<o:p></o:p>

    Ø      75 : jacques Chirac fait adopté un texte indiquant un système d’administration autorisant le licenciement uniquement pour motif économique.<o:p></o:p>

    Ø      86 : il est nommé à nouveau premier ministre, il veut supprimer le texte de 75 qui a libéré beaucoup d’employeurs et qui a crée beaucoup d’emplois.<o:p></o:p>

    Ø      Entre 75 et 86 : l’administration autorisé à hauteur de 86 à 90% les licenciements pour raisons économiques. <o:p></o:p>

    Aujourd’hui la question de licenciement économique revient entre les seules mains du juge judiciaire qui doit prendre à la fois le sérieux et la réalité. Il faut se séparer du salarié que si c’est vraiment impossible de faire autrement, une cause réelle et sérieuse.<o:p></o:p>

    - mais aujourd’hui le code du travail est de plus en plus vilipendé : <o:p></o:p>

    Ø      Le code du travail serait de plus en plus difficile à appliquer (question de recodification)<o:p></o:p>

    Ø      Le code du travail serait un frein à la liberté d’entreprendre<o:p></o:p>

    Mais malgré tout on a à faire à des déclarations tel que « la liberté de pensée s’arrête là ou commence le temps de travail » cela signifie que l’arrêt juridique est une contrainte pour nous employeurs.<o:p></o:p>

    Le point de départ qui fonde notre société : 1789 «  le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et indescriptibles de l’homme » (liberté, sécurité, propriété et ordre).<o:p></o:p>

    Ce qui permet de dire en autre que notre code du travail serait constitué d’un certains nombres de piliers qu’il conviendrait de réviser, au nombre de 3 appelés les  accusés : CDI, RTT, seuil d’effectif. <o:p></o:p>

    → Les griefs, les accusés <o:p></o:p>

    1er accusé : le CDI, les chefs d’entreprises désirent embauchés mais c’est un risque quasi mortel car le coût du travail est élevé et on a un environnement juridique et psychologique non favorable.<o:p></o:p>

    Le CDI est appelé le contrat de travail de droit commun, article 1780, on ne peut engager ses services qu’a temps ou pour une entreprise déterminée, plus précisément on était en 1804 avec les idées de 1889, liberté, égalité, il convenait de faire en sorte que les contrats esclavagistes étaient plus valables, seul les CDI peuvent être rompus à tout moment donc je sui sûr que ce ne sera pas un contrat trop long, pas esclavagiste et juste.<o:p></o:p>

    Le CDI est un contrat de travail à droit commun car il peut être rompus à tout moment.<o:p></o:p>

     Voir L 121-4, conséquence de cet article L 121-5<o:p></o:p>

    Aujourd’hui s’agissant de la rupture du CDI ça a donné lieu à un encadrement.<o:p></o:p>

    En 1980, une loi vient ajouter deux paragraphes à notre article 1780.<o:p></o:p>

    1973 que à l’article L 122-4 du code du travail (règles de forme et de fond), voir règle de fond avec l’article 122-14-3<o:p></o:p>

    1958 : un salarié ne peut pas être licencié sans motif valable<o:p></o:p>

    1949 : conseil de l’Europe deux textes : 1950, une convention européenne des droits de l’homme et une charte sociale en 1961 révisé en 1987<o:p></o:p>

    Le CDI est un contrat de principe pour tous les employeurs de l’union européenne, le texte est accord européen sur les CDD, donc il deviendra le contrat de droit commun.<o:p></o:p>

    Ø      CDI, CDD<o:p></o:p>

    La rupture avancée d’un CDD ne peut être envisagée il faut une faute grave qu’il ne peuve pas faire autrement que de s’en séparer de lui du jour au lendemain ou autre raison de l’événement de force majeur : événement contre la volonté de l’employeur, force majeur. Autre raison l’accord commun, si le salarié est licencié avant la fin de son contrat il peut prouver qu’il n’a rien fait et donc toucher la différence de ses mois restants.<o:p></o:p>

    _ CDI à période d’essai : L122-4<o:p></o:p>

    Du premier jour au dernier jour, l’employeur durant sa période d’essai à une totale liberté et un pouvoir de rompre sans procédure, indemnité et justification.<o:p></o:p>

    Mais à quoi moi employeur je m’oblige avec un CDI à périodes d’essai à tester les conditions de travail.<o:p></o:p>

    La période d’essai est très précaire. Il y a des conventions qui rendent obligatoires pour tel ou tel individu une période d’essai obligatoire. Il y a des moyens de ripostes : <o:p></o:p>

    Ø      A quoi je m’oblige l’essentiel : notion d’objet pour l’employeur, c’est tester les compétences et pour l’employeur c’est tester l’humeur.<o:p></o:p>

    Si le salarié a le ressenti que sa période d’essai ne se prolongera des le début, il peur revendiquer, certaines entreprises ne marche que sur ce système.<o:p></o:p>

    La seule possibilité est le moyen de riposte qui tient à cette notion d’objet, si je peux prouvais que l’employeur ne comptait pas renouveler la période d’essai, il y a donc détournement d’objet.<o:p></o:p>

    Pour quoi je m’oblige à être en période d’essai ?<o:p></o:p>

    Le CDD peut tenir une période d’essai tout dépend du contrat et du temps du contrat. Par rapport au CDD ou il faut une faute grave, il faut juste une faute sérieuse dans le CDI.<o:p></o:p>

    Le CDI limité à la mission, limité dans le temps qui peut être rompu à tout moment, le CDD est un contrat d’exception soit pour un remplacement, courte durée, le code du travail dit que le contrat peut être conclut pour une durée déterminée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2ème accusé : Les RTT : réduction de la durée de travail via les 35h<o:p></o:p>

    1er loi : 1841 : loi de la réduction du temps de travail, semaine à 84h et maintenant 35h.<o:p></o:p>

    Je peux instituer dans ma boite des équipes de gestion de fin de semaines : VSD, ce sont des heures de travail à temps partiel, rémunérés à 50% de plus que les heures normales.<o:p></o:p>

    Sujet possible au partiel : réduction du temps de travail, ce qu’il entend par temps de travail <o:p></o:p>

    L 212-4 : temps de travail effectif<o:p></o:p>

    S’agissant des 35h, il y a pour le meilleur et pour le pire (jours de RTT)<o:p></o:p>

    L212-9 paragraphe 1 et 2<o:p></o:p>

    Il y a 11jours fériés dans le code du travail et les jours travaillés engendre une obligation pour le salarié donc en retour une obligation pour la travailleur.<o:p></o:p>

    L212-8. Le but de la modulation est d’éviter de payer les heures supplémentaires.<o:p></o:p>

    L212-2, L212-3, L212-15-1<o:p></o:p>

    Ø      Cadre de responsabilité à qui on n’a plus besoin d’appliquer la réglementation du travail<o:p></o:p>

    Ø      Cadre intégré : bénéficier de la réglementation sur la durée de travail<o:p></o:p>

    Ø      Cadre autonome que l’on va soumettre au régime du forfait<o:p></o:p>

    L212-15-3, avec la 2ème loi Aubry, elle crée le système de forfait annuel, jour de travail. Cet certes il y a un plafond de 217 jours dans l’année mais le 217 aujourd’hui je vais le soumettre au régime du forfait.<o:p></o:p>

    Avec la 2ème loi Aubry il y a 3 conditions : <o:p></o:p>

    1.       fonction<o:p></o:p>

    2.       responsabilité<o:p></o:p>

    3.       autonomie<o:p></o:p>

    Au niveau du meilleur et du pire aux 35h il y a la rémunération des salariés. Avec le SMIC la 2ème loi Aubry, institut un complément différentiel.<o:p></o:p>

    1887 : principe d’égalité de rémunération.<o:p></o:p>

    13 juin 98 : on passe au 35h et cela permet l’embauche, il s’est avérer que les 35h pourrait se finir par la rupture du contrat de travail, seule diminution du contrat de travail sans changer la rémunération mais modifier la répartition du travail, si il y refus cela entraîne donc une faute grave.<o:p></o:p>

    Il y a une calamité du coût économique sur les 35h, elles ne sont pas centrées sur l’inégalité, elles reposent sur une véritable calamité culturelle.<o:p></o:p>

    Le CDI ne signifie pas nécessairement un emploi à temps plein, le CDI intermittent donne la possibilité pour l’employeur de faire varié le salarié avec des périodes de non travail. L 932-2<o:p></o:p>

    Jusqu’en 1991, les heures de formation étaient effectués comme les heures de travail et payés comme telles. <o:p></o:p>

    Ø      Le compte épargne temps : possibilité au salarié d’épargner un certains nombres de jours de repos afin de pouvoir les réutiliser en temps libre.<o:p></o:p>

    L227-1 : Aubry a donner un petit coup de pouce au compte épargne temps, si vous négocier les 35h, il y a la possibilité pour les comptes épargnes temps.<o:p></o:p>

    Fin décembre 2001 : sur les 16 millions de salariés du secteur privé, 8 millions six cent milles bénéficient de la RTT (53%) donc les entreprises se sont lancées dans les négociations.<o:p></o:p>

    Pour toutes ces possibilités de souplesse, les entreprises se sont lancées dans les négociations des 35h y compris les petites entreprises.<o:p></o:p>

    Fin 2002 : 16% des entreprises de 20 salariés où moins avait réduit la durée de travail et dans les 16%, 1 sur 2 avait même réduit le temps de travail avant l’échéance légal.<o:p></o:p>

    L132-6 : convention ou accord collective, ce que une loi fait une convention peut la défaire. Si il y a négociation il faut qu’il y est soi accort soit refus du salarié.<o:p></o:p>

    C’est une grande tendance du droit du travail que ce passage au fil des textes de l’individuel au collectif afin de pouvoir obtenir plus, sûrement sur ce terrain collectif un équilibre qui n’existe pas sur le plan individuel, l’employeur en cas de non respect va pouvoir exercer son pouvoir qui peut être matérialisé via le bois documentaire appelé document intérieur.L 132-34 : règlement intérieur est un règlement patronale.<o:p></o:p>

    Avec le contrat de travail salarié, on a à faire à une collaboration inégalitaire, on a estimer qu’il faudrait mieux changer de terrain, aller vers le collectif.<o:p></o:p>

    1864 : légalisation du droit de grève, relève des libertés individuelles et qui s’exerce de façon collective. <o:p></o:p>

    1884 : on a reconnu les associations syndicales <o:p></o:p>

    1919 : 1er loi de négociation collective<o:p></o:p>

    1936 : front populaire qui a parlé pour la 1er fois des délégués d’ouvriers<o:p></o:p>

    1945 : création comité d’entreprise <o:p></o:p>

    1946 : délégués du personnel<o:p></o:p>

    1968 : reconnaissance <o:p></o:p>

    1982 : il existe un comité d’hygiène de sécurité et de commission de travail<o:p></o:p>

    1996 : sous Chirac, Dupet on reconnaît un comité d’entreprise européen<o:p></o:p>

    Il conviendrait de revenir à des rapports plus individualisés entre ouvriers et employeurs et il y a un retour à une individualisation à travers les droits et libertés des salariés.<o:p></o:p>

    L120-2 voir accompagné de l’exemple de la clause de non concurrence, je vous engage mais avec une clause de non concurrence au cas où il y a des relations rompus je t’interdit de passer à la concurrence. 10 juillet 2002 : la clause de non concurrence devient l’exception car elle porte atteinte à la liberté du travail.<o:p></o:p>

    Mise en place de  délégués personnels, délégués syndicaux en lien avec la taille de l’entreprise pour la représentation du personnel. Les délégués personnels sont des organismes de communication interne. L421-1. Certains employeurs vont faire exprès de ne pas dépasser 11 employeurs car les délégués ont pour but de transmettre des réclamations à l’application du droit de travail conventionnel.<o:p></o:p>

    En l’absence de comité d’entreprise les fonctions du comité d’entreprise sont dé voulus entre les mains du délégué personnel.<o:p></o:p>

    L431-3  L236-1  L422-1-1<o:p></o:p>

    1945 : création du comité d’entreprise, ils doivent être mis en place dans toutes les entreprises d’au moins 50 salariés.<o:p></o:p>

    L 431-1 : il en résulte de cet article que il y a des inégalités entre les salariés qui travaillent dans une entreprise de 5à salariés ou pas.<o:p></o:p>

    Attributions sociales et culturelles dans l’ordre économique. Dans l’ordre économique ce sont des droits à être informés et consultés (L432-1), les droits des comités.<o:p></o:p>

    Pour exercer ces droits le CE détient un budget, budget de fonctionnement, il dispose de moyen et de possibilités pour les attributions sociales tel qu’un expert comptable qui va pouvoir examiner des documents. L436-4  L432-4<o:p></o:p>

    Dans les entreprises de 300 salariés, l’expert comptable peut examiner les documents prévisionnels concernant le bilan, le compte de résultat, tableau et plan de financement. (432-5) <o:p></o:p>

    3ème accusé : le seuil d’effectif<o:p></o:p>

    Le CE a des attributions particulières concernant le projet de licenciement économique mais si la procédure de licenciement concerne au moins 10 salariés, sur une même période de 30 jours, attributs économiques dans les licenciements économiques. L 321-3  L 434-6. Dans les entreprises d’au 1000 salariés doit être crée une commission économique et l’expert comptable choisit par le CE peut assister à la commission, L442-19.<o:p></o:p>

    Le CE doit être convoqué une fois par mois quand l’effectif est à 150 salariés et moins de 150 salariés tous les deux mois.<o:p></o:p>

    Depuis une loi de 1996 sous Chirac : <o:p></o:p>

    Dans les entreprises d’au moins 1000 salariés  et ayan dans au moins deux états membres de l’union européenne, au moins deux établissements de 150 salariés doit être mis en place un comité d’entreprise européen.L439-6<o:p></o:p>

    Après les délégués personnels, le CE, il y a les délégués syndicaux : ce sont à la fois les effets pervers de touts ces seuils d’effectifs.<o:p></o:p>

    Depuis une loi du 12 décembre 1968, suite aux événements de mai 1968, la présence de syndicats dans les entreprises, les organisations syndicales pouvaient exercer leur profession au niveau des branches professionnelles. Depuis cette loi les syndicaux sont permis à l’intérieur des  entreprises françaises, ils peuvent être désignés par les syndicaux représentatifs dans toutes les entreprises d’au moins 50 salariés.<o:p></o:p>

    Ø      Dans une boite d’au moins 1000 salariés, 2 DS<o:p></o:p>

    Ø      « « « « « « « « « « « « « « « 2000 salariés 3 DS<o:p></o:p>

    Ø      « « « « « « « « « « « « « « « 4000 salariés 5 DS<o:p></o:p>

    Ø      « « « « « « « « « «d’au moins 50 à 999 1DS<o:p></o:p>

    Leur mission : négociation collective et pour le CE c’est l’application du droit, L132-27, 28, 29, 30. Cette obligation de négocier résulte de la loi du 13 novembre 1982.<o:p></o:p>

    L132-20 : les délégations syndicales peuvent être complétées par des salariés<o:p></o:p>

    Thèmes des négociations collectives : salaire effectif, durée effective de l’épargne salariale, organisation du temps de travail, régime de prévoyance, égalité professionnelle, question des travailleurs handicapés, accès de l’emploi des salariés âgés.<o:p></o:p>

    Loi du 18 janvier 2005 : impose aux entreprises la gestion prévisionnelle des emplois et compétences. Imposer aux entreprises de plus de 300 salariés de négocier au moins tout les trois ans sur ce thème.<o:p></o:p>

    Les délégués syndicaux dispose de crédit, d’heures de délégation pour remplir leurs missions payées comme du temps de travail.<o:p></o:p>

    Ø      1000 salariés, 10h de crédit<o:p></o:p>

    Ø      au moins de 1000 salariés 15h de crédit<o:p></o:p>

    Pour les entreprises d’au moins 300 salariés, obligation d’établir un bilan social, loi de 1997<o:p></o:p>

    A la suite du décret du 31 août 2005, les entreprises d’au moins 1000 salariés sont obligés en cas de licenciement de faire une ré industrialisation d’emplois.<o:p></o:p>

    Des sections syndicales peuvent être crées dans les entreprises de moins de 50 salariés.<o:p></o:p>

    Dans les établissement de moins de 11 salariés, d’un même site, mais ou sont employés sur le site au moins 50 salariés, l’administration du travail peut imposer l’élection délégué de site, L421-1 résulte d’une loi du 28 octobre 1982.<o:p></o:p>

    Indépendance juridique des entreprises : <o:p></o:p>

    Il y a eu d’abord l’intervention de la jurisprudence et le législateur L431-1.<o:p></o:p>

    Le code du travail est truffé de seuil ce qui a des conséquences perverses. Donc des groupements d’employeurs revendiquent la prise en compte des effectifs de telle ou telle catégorie.<o:p></o:p>

     Ordonnance du 2 août 2005 : les jeunes jusqu'à 26 ans pouvaient faire l’objet d’une embauche jusqu’en 2007, sans être compté dans les effectifs d’une entreprise.Mais le conseil d’état estime qu’il il y a un problème.<o:p></o:p>

    Les mesures <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø      légales : au plan des rapports individuels : embauche du salarié et le CNE                                              : au plan des rapports collectifs : seuils d’effectifs et mesures d’exclusions ainsi que la hiérarchie et articulation des sources.<o:p></o:p>

    Rapports individuels : mesures légales individuelles<o:p></o:p>

    Rapports collectives : mesure d’exclusion soit les jeunes de moins de 26 ans pour permettre a des entreprises de franchir tel ou tel seuil sans mettre en place certaines conditions.<o:p></o:p>

    Phase de l’embauche du salarié par le CDI, CNE : il s’agit de l’étape de recrutement et conclusion du contrat de travail, le choix du contrat de travail.<o:p></o:p>

    Le CDI apparaît comme la norme de référence au plan européen et le CDD comme une exception alors l’ordonnance du 2 août 2005 élargie la possibilité en créant le CDI CNE, légal depuis le 4 août.<o:p></o:p>

    Le CDI CNE : concerne que les petites entreprises jusqu'à 20 salariés mais il n’y a pas de limite au nombre d’embauche au CDI CNE car le respect du seuil de 20 salariés s’apprécie à la date de prise en effet des embauche. (Quand l’entreprise embauche il faut moins de vingt salariés).<o:p></o:p>

    Si je suis en CDD et que je poursuis en CDI, il faut que je mette en place un système pour ma période d’essai puisque j’ai déjà exercé mes preuves il faut voir avec L122-3-10, il faut déduire la durée de CDD de la période d’essai.<o:p></o:p>

    Si on est sous CDD et qu’on passe sous CDI CNE ce n’est pas une période d’essai on parle de période de consolidation mais l’employeur considère comme une période d’essai car au bout de 2 ans tout peut s’arrêter.<o:p></o:p>

    Si je décide de réembaucher le salarié en CDI CNE je dois respecter une période de 3 mois mais si c’est une personne différente ce n’est pas le cas.la rupture d’un CDI CNE peu intervenir a tout moment sans justification, on a la possibilité de contester cette rupture, par exemple, 1804- 1973 : théorie générale de l’abus de droit. Lorsqu’on veut contester u licenciement en théorie on a 30ans, mais l’ordonnance CDI CNE ramène ce délai à un ans.<o:p></o:p>

    L’idée est de remédier à un fort taux de chômage et si les employeurs ont la possibilité de licencier plus facilement alors il embauche plus.<o:p></o:p>

    Le problème de la validité du CDI CNE  se pose avec le conseil d’état le 19 octobre 2005 car avec le CDI CNE on a à faire à une durée fixée d’avance et raisonnable de 2 ans mais c’est pour la bonne cause, lutter contre le chômage. Mais le problème du licenciement réside car avec le CDI CNE la durée n’est pas vraiment fixé d’avance puisque le salarié peut être licencié a tout moment sans contrainte, c’est pour cela qu’il il y a la jurisprudence pour se révolter contre les injustices : L 122-14-3   L122-3-8 ;<o:p></o:p>

    Dans le CDI après 6 mois d’ancienneté l’employeur à un mois d’indemnité à respecter alors que pour le CDI CNE l’ordonnance dit que pendant le premier mois pas de préavis, entre 2 et 5 mois prévis de 15 jours et entre 6 mois et 2 ans, un mois de préavis.<o:p></o:p>

    On peut craindre que le CDI CNE remplace des embauches sous CDD.<o:p></o:p>

    2 août 2005 : loi sur les PME, mesure d’allégement L125-3 : relatif à la mise à disposition de salarié sous entendu par une entreprise à une autre entreprise, donc prêt de main d’œuvre.<o:p></o:p>

    1982 : réglementation de l’intérim. « Toute opération a but lucratif ayan pour objet exclusif le prêt de main  d’œuvre en dehors de l’intérim, cette opération est interdite et sanctionnée pénalement ».<o:p></o:p>

    janvier 1986 : loi est adoptée, elle permet la constitution de groupement d’employeur, L127-1, de la même branche professionnelle de se regrouper sous forme d’association.<o:p></o:p>

    Loi de 1901 : possibilité de se regrouper par CDI n mettant les salariés à disposition des différents membres, possibilité de mise à disposition.<o:p></o:p>

    2 août 2005 : nouveau type de mise à disposition du personnel, l’entreprise de travail à temps partagé, L124-24 et L124-25.<o:p></o:p>

    Une entreprise de travail partagé : recrute un salarié qu’elle va mettre à disposition de différente entreprise cliente , où il effectuera une mission de plus ou moins longue durée, a condition que ces entreprises ne puissent pas en raison de leur taille, moyen, recruter des salariés qualifiés.<o:p></o:p>

    C’est une nouvelle forme de dérogation : L125-3 <o:p></o:p>

    L124-31 : entreprise à temps temporaire peut exercer le temps de travail partagé sans les obligations d’intérim.le temps de travail partagé concerne que les boites qui en raison de leur effectif moyen on besoin de salarié qualifié.<o:p></o:p>

    Le travail partagé va permettre de créer des emplois permanents.La Loi du 2 août 2005, permet a des boites d’intérim de aire du travail partagé sans les conditions d’intérim.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø      Les mesures sur la durée et temps de travail, dé tricotage et remise en cause.<o:p></o:p>

    Tout d’abord ce qui concernait les aides financières, les 35h façon Aubry était accompagné  d’ide sous forme d’allégement de charges sociales.<o:p></o:p>

    1.       On a commencé par faire les aides lié à la loi Aubry 2 et on a laissé entendre qu’on maintenait le aides de la loi Aubry 1, soit tu choisit, la loi Aubry 1 : de bénéficier des aides rattachés au temps de travail mais tu pourras pas toucher les aides liés à la loi Aubry 2 liés aux bas salaires.<o:p></o:p>

    2.       Autres séries de mesures : «  travailler plus pour gagner plus », depuis mai 2002 cela est permis. Les accords sur les 35h ont pu avoir des incidents sur le pouvoir d’achat.Cela va concerner la matière des heures supplémentaires : contage annuel d’heures supplémentaires par salarié qui doit être de 130. Décembre 2002 : il passe à 180, soit 4 supplémentaires par semaine au delà des 35h.Décembre 2004 : 220.<o:p></o:p>

    3.       3ème illustration du dé tricotage, 3ème série de mesure concernant les nouvelles possibilités de négocier de la loi de  François Fillon du 17 janvier 2003.<o:p></o:p>

    Rémunération des heures supplémentaires : la loi Fillon donne la possibilité de négocier les 4 heures supplémentaires à 10% au lieu de 25%.<o:p></o:p>

    Possibilité de négocier sur la modélisation des horaires sur l’année, depuis la loi 1982 : possibilité pour l’employeur de faire coller les heures de salariés sur la frustration de l’entreprise.L132-7  L132-8 : révision du temps de travail.<o:p></o:p>

    4.       allégements légaux concernant la question des astreintes. Ce sont des heures de disponibilités effectuées à notre domicile ou proximité.<o:p></o:p>

    10 juillet 2002 : on ne peut mélanger le travail et le repos, torchon et serviette<o:p></o:p>

    17 janvier 2003 : permet, légalise la possibilité de travailler, torchon et serviette<o:p></o:p>

    22 novembre 1993 : le temps de travail, c’est toute période où le salarié est au travail, présent et le temps d repos, c’est où le salarié n’est pas au travail.les astreintes ne peuvent être considérés comme des temps de repos donc cette loi de janvier 2003 ne tient pas la route.<o:p></o:p>

    Remise en cause des 35h<o:p></o:p>

    Ø      les heures supplémentaires dont le régime a été aménagé pour pouvoir travailler plus et gagner plus<o:p></o:p>

    Ø      nouvelles règles légales sur un certains nombres de points : la loi ne tenait pas la route au regard du droit communautaire, la directive sur l’aménagement du temps de travail est sur les rails<o:p></o:p>

    Ø      nouvelle règle légale concernant la catégorie des cadres<o:p></o:p>

     31 mars 2005 : sur les 35h (document). La 2ème loi Aubry, 19 janvier 2000, permettait par accord collectif d’instituer la catégorie des cadres autonomes et la possibilité au employeur de leur proposer un forfait jour de travail annuel, L212-15-3. Pour que le cadre devienne autonome il faut que ce ne soit plus possible de prédéterminer l’organisation du temps de travail en raison des fonctions, responsabilité, autonomie.<o:p></o:p>

    Ø      Avec la loi du 17 janvier 2003 de F Fillon on élargie la possibilité pour les employeurs de proposer de devenir cadre autonome à seule condition qu’il soit bien devenus des salariés autonomes donc on fait passer à la trappe les deux autres fonctions.<o:p></o:p>

    Ø      Loi du 2 août 2005 : étend la possibilité de soumettre des salariés au forfait annuel jour, de l’appliquer à des salariés non cadres, à condition qu’il ne soit pas possible de prédéterminer l’organisation du temps de travail et qu’il soit autonome en raison de leur responsabilité.<o:p></o:p>

    Ø      Pour les cadres : loi du 31 mars 2005 : c’est ce qui concerne la question du dépassement du forfait, on est cadre autonome il y a un plafond de 218 jours, il peut arriver qu’on dépasse et avec la loi Aubry l’idée était qu’on libère du temps<o:p></o:p>

    Ø      On a introduit une partie de monétisation, avec la loi de janvier 2003 on peut retrouver ce qu’on a épargné en argent et avec la loi du 31 mars 2005 extension du recours au compte épargne temps, il y a plus de plafond dans ce qu’on peut épargner. la seule limite est le congés principal de 4 semaines et au niveau de l’utilisation on peut retrouver ce qu’on a épargné en repos ou rémunération la seule limite est la 5ème semaine juste en repos.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    votre commentaire
  • OBJET ET COMMUNICATION<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tous les objets sont des vecteurs de communication, le vêtement est une 2éme peau, lié à la publicité, marque et logo<o:p></o:p>

    Des le plus jeune âge nous sommes formatés par nos parents puis rapidement socialisé cela s’effectue par nos vêtements<o:p></o:p>

    Est-ce que le vêtement est un facteur de différenciation ou d’intégration ?<o:p></o:p>

    Les 2 , un moment ou à un autre on a besoin de s’intégrer vis-à-vis des autres ou alors de se différencier , le vêtement c’est la communication par l’apparence et un élément essentiel<o:p></o:p>

    Notre corps est il objet ? C’est une marchandise sociale de rapport, un objet de communication<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I-                   communication par l’objet<o:p></o:p>

    Objet : est une chose matérielle, des qu’il y intervention humaine, il y a un message qui est envoyé aux autres. Il y a toute l’intention de l’humain qui est interprété, analysé. L’objet devient une médiation de contact entre les individus dans une société, le monde des objets a pris une importance plus grande de manière récente qui c’est développé au niveau de la mécanisation pour exploser au 20éme siècle .Avant tout objet était fabriqué, lié à la main de l’homme ou de la femme, en moins grande quantité .Depuis 50, 70 ans nous sommes rentrés dans une société de consommation , ce foisonnement d’objets à un certains nombres de causes : mécanisation, bourgeoisie qui apparaît au milieu des aristocrates et paysans (construction de maisons pleine d’objets) , à partir du 19éme siècle il y a une apparition des journaux et magazines<o:p></o:p>

    1er cause : possession d’objets<o:p></o:p>

    2éme cause : développement de l’objet de série (identification au objet)<o:p></o:p>

    3éme cause : la consommation et la consommation ostentatoire (objet indique statut social)<o:p></o:p>

    Avec la consommation il y a une multiplication d’objets, l’objet perd de plus en plus de sa fonctionnalité pour acquérir une fonction de socialisation et sociabilité. L’objet est la manifestation concrète de la  culture et s’inscrit au rang des messages que nous nous envoyons, à l’heure actuelle on se touche par objet interposé, tout objet du quotidien a un design et donc porteur d’une forme, il a été conçu dans un but précis d’envoyer un message à celui qui le désir ou le possède, ces messages sont de sensualité ou sexualité<o:p></o:p>

    Tout objet est communication, « the medium is a message » MAC LUHAN, on doit distinguer plusieurs aspects dans le rôle de l’objet comme mode de communication :<o:p></o:p>

    1)      un objet est porteur de forme et celle-ci doit éveiller un désir d’achat<o:p></o:p>

    2)      le rôle avec le contact et les autres, c le lien culturel ; rôle de l’imitation et de la différenciation<o:p></o:p>

    3)      l’objet comme contact humain inter individuel ; le cadeau<o:p></o:p>

    4)      l’objet comme occasion de contact et de lien<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II-                la consommation ostentatoire : la communication ostentatoire<o:p></o:p>

    Communication ou consommation de prestige, comme l’objet lui-même qui va véhiculer le message.<o:p></o:p>

    Théodore VEBLEN a écrit un livre en 1899 qui s’appelle la société de loisir , ce qu’il raconte est daté , la vie de la bourgeoisie américaine ,le phénomène de loisir s’associe à l’oisiveté .La femme ne doit pas travailler c’est le faire valoir du statut de l’homme , cette consommation ostentatoire, cette oisiveté se traduit par la préservation de l’ordre hiérarchique<o:p></o:p>

    1936 : congés payés et apparition du bronzage<o:p></o:p>

    Dans la société actuelle nous devons toujours créer ou manifester du désir  c’est pour cela que tous les objets sont fait lié au désir , la consommation peut être envisagée comme un destin social affectant certains groupes et certaines classes c'est-à-dire qu’il y a des classes qui créer des modèles et d’autres qui vont chercher à se les approprier .<o:p></o:p>

    Comment fonctionne se phénomène de modèle culturel ?<o:p></o:p>

    On part du principe qu’il y a un modèle dominant, qui va montrer a tout le monde que cette dominante a le fric, on divise la société en trois classes :<o:p></o:p>

    • classe dominante crée le modèle<o:p></o:p>
    • classe moyenne va essayer de s’approprier un certain nombre de ces modèles<o:p></o:p>
    • classe basse<o:p></o:p>

    Nous allons de plus en plus dans ce qu’on appelle le simulacre fonctionnel, tout objet se doit de manifester une communication avec l groupe social , l’objet fonctionnel se met de plus en plus d’inutilité , l’important c de savoir lire au-delà de l’évidence et à travers l’apparente spontanéité des comportements . La communication ostentatoire de l’oisiveté est un travail symbolique de la production sociale c'est-à-dire qu’on fabrique les objets comme une sorte de preuve, de valeur sociale. La consommation est la fin de la jouissance et de l’usage des objets, nous sommes dans une économie complètement différente car avant c’était la terre qui produisait et le travail qui crée la richesse, avec l’arrivée du capitalisme au 19éme siècle ce n’est plus la terre qui produit mais le capital.<o:p></o:p>

    Avec la consommation on passe du stade jouir au faire jouir, dans les 2 cas l’auxiliaire « faire » montre qu’il s’agit d’une opération et pas dune action , il s’agit d’une production d’échange , l’homme met en place un dispositif d’objets simulacre , de signes caractéristiques qui doivent indiquer le bonheur . On met en place de nos jours des systèmes de communication avec de hautes technologies qui n’empêche pas la communication réelle<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III-             la communication par l’environnement<o:p></o:p>

    Si on part du principe que le statut social d’un individu est déterminé d’après le standard des biens culturels qui l’environne, on devrait pouvoir déterminé et mettre en place une hiérarchie de toutes les habitations (appartements, maisons) qui entoure les individus, on en arrive ainsi a des structures familiales et sociales de communication. On va essayer de voir que selon les différentes époques, les structures d’ameublement,  de forme des pièces de l’appartement, d’éclairage, chauffage, ont changé et sont devenus des systèmes sociaux  .Il faut différencier les objets fonctionnels t non fonctionnels, il peut y avoir dans la fonction une fonctionnalité ou alors pluri fonctionnalité ou il peut y avoir des objets amovibles et inamovibles .Il est évident que les objets vont suivre l’évolution des membres de la famille (avant on ne manger que dans la salle à manger sur une table et maintenant on mange partout)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comment sont structurés les appartements depuis un siècle voir un siècle et demi ?<o:p></o:p>

    Structure par pièce avec espaces publiques et espaces privés<o:p></o:p>

    Salon : pièce de réception qui ne donne pas accès à la nourriture<o:p></o:p>

    Salle de bain : très privé<o:p></o:p>

    On n’amène pas n’importe qui, n’importe ou<o:p></o:p>

    Comment sont faites les salles à manger ? Table, endroit privilégié pour discuter, la 1ère table est longue, il y a 1 ou 2 places de pouvoir, la table ronde, les positions ne sont pas prédéterminés contrairement à la table longue<o:p></o:p>

    La table est l’élément essentiel  au niveau de la structuration de la famille, pour la communication et les échanges<o:p></o:p>

    Dans une salle à manger, il y a aussi un buffet qui contient la vaisselle qui vient du mariage, ce que traduit la constitution en particulier de l’intérieur des meubles c’est le dot (service), dans toutes les pièces on a des éléments stables et instables (chaises)<o:p></o:p>

    Aujourd’hui le cœur de la famille c’est la table ; elle disparaît avec l déclin de la famille, avant le centre de l’attention de tous les groupes était la cheminée<o:p></o:p>

    2éme pièce essentielle : la chambre<o:p></o:p>

    D’un point de vue relationnel, c’est la reproduction, dans la religion catholique si on copule ce n’est pas pour prendre du plaisir mais pour assurer les générations, le couple catholique doit dormir ensemble et par la suite on peut dormir séparément. Dans la chambre il y a un problème , le couple doit être séparés des enfants alors que dans les familles populaires tout le monde dors avec tout le monde .<o:p></o:p>

    La notion de miroir se trouve généralement dans la chambre, c’est l’élément de visualisation et de représentation de l’image naturelle de la femme. En même temps que les relations sociales et familiales changent la communication et le décor change aussi, il y a relation constante entre l’évolution humaine et le décor.<o:p></o:p>

    1er objet : le miroir tel que nous le connaissons est un phénomène relativement récent, la grande invention du miroir « galerie des glaces de louis 14, avant le miroir existait sous forme différente avec un reflet beaucoup moins fort comme nous le connaissons.<o:p></o:p>

    L’homme a toujours cherché a voir et laisser une trace de son image, comme le miroir n’était pas comme maintenant on a inventé la reproduction de portrait, cela permettait de laisser une trace, le miroir reflète l’image de soi mais avant l’intérieur dans lequel il est (richesse) , redondance .La bai vitrée est le contraire du miroir qui lui est une communication close alors qu’elle signifie une communication ouverte , elle marque une évolution , aussi bien le miroir , le portrait, traduise avant tout la vie .<o:p></o:p>

    2éme objet : horloge, pendule, le temps c’est la même chose que le miroir, la pendule c’est le temps, la vie. Le temps, l’horloge c les battements de cœur, chez les personnes âgées la marque du temps est pus importante, le temps rythme la vie sociale<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    IV-              les modalités stylistiques<o:p></o:p>

    Elle est régit par différents systèmes :<o:p></o:p>

    §        redondance, saturation ou au contraire le vide<o:p></o:p>

    §        symétrie et la hiérarchie, l’ordre c’est l’équilibre (sur la cheminée toujours 2bougoirs) ça marche par paire, la symétrie amène la hiérarchie<o:p></o:p>

    Dans les modalités stylistiques il y en t’autre la lumière qui est facteur de communication essentiel, la lumière est liée à la richesse avant les pauvres s’éclairaient aux bougies. Vers 1900, la lumière est arrivée dan les immeubles, l’apparition du variateur permet de crée une lumière d’ambiance. On a tous dans nos mémoires un projecteur dans la figure qui permet l’interrogatoire, il y a une grande différence entre le naturel et l’artificiel :<o:p></o:p>

    La matière la plus naturelle est le bois qui utilisé par l’environnement  d’un point de vue d’objet, le verre c associé à la propreté c la transparence contrairement au bois, le verre lui est fragile, le plastique est associé à la pauvreté, le positif est que le plastique ne se casse pas<o:p></o:p>

    LES SIEGES : on change la relation selon la manière ou on fait asseoir une personne (chaise, fauteuil) cela détermine soit une position dominante ou position de survie. Ce qui caractérise chaise et fauteuil, c la place pour une personne alors que le canapé c’est à plusieurs, la technique d’approche est différente. Il y a une bataille entre ancien et moderne, l’ancien ce sont les origines, l’histoire, c’est la mystique du passé, l’ancien est le vécu. D’un point de vue relationnel, on ne véhicule pas la même chose quand on fait rentré de l’ancien ou du moderne, le moderne on l’achète maintenant l’ancien c’est différent c’est devenu la réussite sociale alors qu’avant c’était le moderne, on se crée l’hérédité.<o:p></o:p>

    → Le phénomène de la propreté et du ménage, une maison doit être propre et ce qui fait propre c’est la femme, il y a une morale de la propreté on ne peut pas recevoir quelqu’un dans un appartement sale, on tombe très vite dans l’obsession du ménage, quand un couple fonctionne parfaitement et que vous avez des choses à faire ensemble on n’a pas d’intérêt à faire le ménage<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    V-                 Le corps objet et la communication par l’apparence<o:p></o:p>

    De l’objet corps : l’apparence corporelle a toujours été un objet de communication, comme nous avions vu déjà la relation que nous avons avec les objets, nous faisons pareil avec le corps de l’autre, nous tombons dans un système des apparences partant du principe que un des facteurs de cette interprétation c l’attribution qui est faite à l’autre de vouloir communiquer avec ce que nous appelons une stratégie des apparences<o:p></o:p>

    ▪ Dans les sociétés l’objet corps , le corps est caché ce n’est que dans une période récente ou une période véritablement antique ;le  corps n’était pas traité d’objet de séduction, le corps est devenu un mythe corporel de la beauté ,jouissance<o:p></o:p>

    Avant ce qui comptait c’était l’âme qui ne se voit pas et aujourd’hui c le corps, l’objet corps est donc devenu un instrument non plus de travail, mail lié uniquement à la relation, maintenant c n’est plus l’âme qui encadre l’individu, c la peau et la peau devient un super vêtement de prestige , tout corps est investit, tout corps bénéficie d’un investissement financier pour essayer de mieux se vendre , il y a une valeur ajoutée sur le corps donc c obtenir une meilleur relation avec l’autre , c’est la séduction , nous cherchons toujours par différents moyens à séduire l’autre .<o:p></o:p>

    Il existe , au point de vue analyse origine psychologique et psychanalytique de ce phénomène , une relation narcissique qui est indispensable car c le corps qui va monopoliser toute l’affectivité  , le corps est donc physiquement et psychiquement manipuler<o:p></o:p>

    C’est le corps qui donne le statut social et on tombe dans un rapport que l’on peut appeler beauté fonctionnelle, le corps est un élément de tactique dans le rituel qui balance entre beauté et érotisation corporelle<o:p></o:p>

    Beauté : réduction de toutes les valeurs concrètes, valeurs d’usages énergétiques du corps valeurs gestuels, sexuelle donc réduction de ces valeurs en une seule c’est à dire valeur d’échange fonctionnelle lié à la jouissance et désir<o:p></o:p>

    La femme a été la 1er a utiliser son esthétique et a se designer, cet impératif de beauté est un impératif de faire valoir et faut toujours  différencier dans ce faire valoir la sexualité de l’érotisme, le corps énergétique  est un support de signe du désir avec une fonction sociale d’échange, le corps sexuel est une source de fantasme est bien sur fait vendre, c un objet intermédiaire dans la vente<o:p></o:p>

    → C’est la publicité de la culture qui a véhiculé toutes ses images, en dehors de la beauté l’image véhiculer c’est celle de la jeunesse : virilité pour les hommes et féminité pour les femmes, toute la communication par le corps est envisagée bien sur comme une médiation ou le corps est le médiateur et elle repose sur un imaginaire social avec des représentations sociales sachant que ces représentations sociales varient selon les cultures et époques de la société<o:p></o:p>

    On ne peut pas éviter une partie sur l’histoire de l’apparition du phénomène sur la mise en évidence du corps qui s’appelle le CORPORISME, l’image spéculaire du corps est récente, dans l’histoire de l’humain elle a 2 siècles, nous avons une conscience de notre corps et nous avons  une conscience qui est souvent mitigé entre différents facteurs. Donc nous avons à la fois une bonne et mauvaise conscience qui n’a rien à voir avec la réalité. C une psychologie qui s’appelle DISMORPHOBIE, la phobie d’avoir quelque chose de pas normal, il y a des techniques pour lutter contre ce phénomène de réticence réalisé par TOM KEVITZ, il y a au après la guerre le phénomène du corporéisme, c la montée en  puissance de la mise en scène du corps dans le système contemporain relationnel. Nous sommes passés en très peu de temps d’un corps sous contrôle plein de tabous , d’interdit à une libération et un accomplissement physique , le corps moderne se doit de montrer sa libido , ses pulsions et la société créer les modèles relationnelles factices<o:p></o:p>

    D’après Freud, le « moi » est avant tout un moi corporel et la pulsion à des bases organiques et nous trouvons l’accomplissement de ces pulsions dans des images, fantasmes avec évidemment le « ça »  et les contraires du « surmoi », à la fois Freud reconnaît que le « moi » est corporel et le phénomène psychologique et psychanalytique est basé sur la parole<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Peur sur la pub » RIOU NICOLAS, EYROLLES<o:p></o:p>

    REICH : conflit psychologique entre le  fonctionnement naturel de l’organisme et les contraintes des conflits de la société ou personnelles, tout cela visant a réprimer la jouissance des individus et la répression de la jouissance sexuelle, il va plus loin et dit que la répression de ces jouissances sexuelles est la source de nombreuses maladies , l’individu somatique tout un nombre de maladies , il explique ce phénomènes par un certain nombre de mécanisme et de type de flux énergétique, son schéma est un schéma de tension ou décharge lié au plaisir et non plaisir . Reich est le 1er a intégrer la notion de somatisation, d’autres théoriciens sont allés dans la conception de Reich, comme Frédéric PERLS qui a mis en évidence la notion du soi ainsi que ROGERS qui a introduit la notion du développement personnel .Pour tous ces théoriciens il n’y a pas de communication sans communication corporel , qui va du contact physique mais ils intègrent  que la communication  par le regard est une communication corporel .LOWEN, PERLS et ROGERS ont lancés tous les groupes de communication personnel  . Tous les groupes de communication ont donné lieu a une certaine mode lié à l’expression corporelle et au travail du corps, tous les groupes basés sur la manifestation des émotions pour essayer de lutter contre le refoulement, solitude et manque de communication, il s’agissait de recréer un contact affectif passant par du tactile et du corporel<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le corps a un certains nombres de vecteurs sociaux de communication<o:p></o:p>

    Ø      Les sensations : chaque sujet dispose d’une échelle sensorielle qui varie en intensité et en tonalité, il y a souvent besoin du langage pour partager une sensation<o:p></o:p>

    Ø      La gestualité d’interaction : a) tout d’abord toutes les expressions qui sont ritualisées pour exprimer des sentiments c'est-à-dire qui répondent à des conventions sociales, nous avons tous,  la compréhension de savoir ce que l’autre exprime, b) mise en jeu du corps qui accompagne l’acte de parole et l’interaction sociale c'est-à-dire conduite corporelle, mimiques du visage, etc.<o:p></o:p>

    BIRDWISTELL : a mis au point une science appelé kinésie, gestualité différente selon la langue parlée .Dans tous le langage corporel qui accompagne l’acte de parole il y a polysémie qui entraîne de la part du récepteur des erreurs d’interprétation pouvant venir de tant en tant de la part du locuteur, c l’ancrage du corps dans une culture et tissu social qui induit les lignes dominantes de communication c à dire les différentes relations avec les autres, c) les techniques du corps : anthropologue français : Marcel MAUSS a mis en évidence que tout est technique corporel et que ces techniques corporelles sont acquises principalement par l’éduction , technique corporel : sexualité, propreté, accouchement<o:p></o:p>

    Tout ce qui est la mémoire des gestes : transmission professionnelle<o:p></o:p>

    → Mémoire collective ne réside pas seulement dans des mythes et légendes, elle est aussi inscrite dans l’éphémère des gestes , la communication sociale corporelle quotidienne n’est pas celle de l’histoire puisque l’histoire reste avant tout de l’écrit<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    De nos jours on ne fait que ça, toute communication humaine est basée par l’apparence, dans l’apparence il y a le corps et sur celui-ci il y a des vêtements, dans l’apparence il y a un certain nombre de représentation sociale lié à ce phénomène : attitude, stéréotype, elle est importante car toutes les études sur l’interaction montre que nous nous faisons tous une idée relativement précise dans les 3-4 minutes du premier entretien. Dans cette communication par l’apparence nous offrons à l’autre une information psycho sociologique sachant que nous sommes tous dans cette interaction, émetteur, récepteur. Emetteur peut plus ou moins contrôler les informations qu’il veut donné: il y a un usage interactionnel de l’apparence comme instrument de communication<o:p></o:p>

    Comment se pratique cette intention et interprétation ?<o:p></o:p>

    On fonctionne tous par clichés, ces clichés définissent des catégories sociales et professionnelles mais l’interprétation est lié à la capacité du récepteur d’interpréter et cette interprétation est lié à son univers sociale, après cette perception qui est une perception globale, les gens donnent un certain nombre de caractères précis très souvent lié à une projection, rejet affective, nos propres projections sont liés à notre vie affective.<o:p></o:p>

    Un individu contrôle t’il son apparence ?<o:p></o:p>

    Nous contrôlons tous notre apparence sachant que même quand on ne veut pas avoir d’apparence, il y a de gens qui passent leur temps a ne pas avoir de look donc il passe leur temps à se dissimuler, c un jeu de masque<o:p></o:p>

    Dans le contrôle du look, il y a différentes catégories :<o:p></o:p>

    ü      Si j’avais du fric, je ne m’habillerais pas comme ça<o:p></o:p>

    ü      Choix du goût<o:p></o:p>

    ü      Objets marginaux (détail, ceinture, bague)<o:p></o:p>

    Ces détails font réellement la différence sachant qu’il y a une valeur sociale ajoutée par rapport au look. Il peut y avoir très souvent une provocation de la part de l’émetteur pour déplaire au récepteur, derrière la communication par l’apparence il y a la communication par la séduction.<o:p></o:p>

    Tout le monde évolue entre intégration et originalité, mais de toutes les manières l’intention de communiquer est présente mais est ce que l’apparence c le miroir de ce que nous sommes à l’intérieur ou alors un masque projecteur par rapport à autrui ?<o:p></o:p>

    Quand on s’habille et déshabille, elle crée une personne sachant que dans notre propre histoire, s’habiller c lié à l’imaginaire qui est à l’origine de sa mère, ce n’est pas nous qui choisissons notre 1er personnage, cela entraîne très vite des choses au niveau de l’adolescence ou peut être en accord avec la personne ou au contraire être en désaccord totale<o:p></o:p>

    A l’adolescence le vêtement est le moyen essentiel de socialisation, l’ado prend le contrôle de l’identité par l’image que le vêtement lui donne, le vêtement cache le corps de l’ado et lui donne en même temps une 2éme peau.*le vêtement va permettre à l’ado une succession d’identité et de projection, quand on essaye un vêtement on satisfait un plaisir immédiat avec  rapport avec le salon d’essayage et les sous vêtements. Le 1er vêtement important  est la robe  de mariée,   tous le désir que nous avons tous de relooker l’autre. A qui offre t’on offre t’on des vêtements, comment les choisit ont ? et qu’est ce qu’ils offrent comme critères ?     <o:p></o:p>


    votre commentaire
  • MODERNITE AU XX eme SIECLE : ARCHI ET DESIGN<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I-                    pourquoi l’architecture et le design ?<o:p></o:p>

    A)     qu’est ce que l’architecture et le design ?<o:p></o:p>

    Architecture : l’art de construire les bâtiments, jardins, échelle entre l’homme et urbanisme<o:p></o:p>

    Design : l’art de concevoir des objets dans le but de les reproduire en grande série, échelle intimité<o:p></o:p>

    On peut passer du design à l’archi<o:p></o:p>

    Les architectes sont des designers, se lien provient de ; on retrouve la question de l’applicabilité, utilité, l’archi a des fonctions qui ne sont pas qu’esthétique de même pour le design <o:p></o:p>

    Architecture : 3 fonctions, travailler, circuler, se divertir <o:p></o:p>

    Pourquoi l’archi comme art ? <o:p></o:p>

    L’archi comme le design a quand même par rapport à la peinture se plus c'est-à-dire, ce sont des constructions qui s’éprouvent <o:p></o:p>

    Zevi « il n’y a pas d’archi sans promenade architecturale »<o:p></o:p>

    La peinture est faite pour voir alors qu’une archi est faite pour être pénétrée, archi et design s’éprouvent, ils sont à l’échelle, il y a un rapport entre nous et l’objet, dans les 2 cas on fabrique des objets proportionnés à l’homme, archi et design sont des objets qui débouche sur la vie, actualité, ville <o:p></o:p>

    B)      design et archi sont aussi des objets <o:p></o:p>

    De culture, technique et langage <o:p></o:p>

    Culture : c’est l’ensemble des représentations d’une société car c’est en fonction que ce que représente la société qu’elle agit, c’est le regard sur le monde <o:p></o:p>

    Archi et design, expriment une vision du monde, des états historiques de la technique, archi et design empreinte des langages qui sont plastiques (utilisation de matériau, couleur, lumière et forme, des vides et des plaintes) .Cela crée donc un langage qui évolue<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II-                  qu’est ce que la modernité ? <o:p></o:p>

    A)     une délicate définition <o:p></o:p>

    1879 : 1er apparition du mot modernité, pour Baudelaire il faut entendre l’adéquation de l’œuvre d’art à son temps, une toile doit exprimer son époque et pour se faire représenter dans sa particularité éphémère<o:p></o:p>

    Modernité : reflet et rupture <o:p></o:p>

    Il y a eu une première modernité au moment de la renaissance, pour certains :<o:p></o:p>

    B)      la modernité c’est une nouvelle civilisation  <o:p></o:p>

    Meschonnic, la modernité se passe au niveau du sujet, c’est l’avenir du présent <o:p></o:p>

    Baudriar, la modernité s’est une civilisation fondée sur le changement <o:p></o:p>

    C)      la modernité c’est la nouvelle respiration du monde <o:p></o:p>

    1850-1880 : on lui résiste, on perçoit un changement du monde (par ex chemin de fer) mais on résiste à cette civilisation <o:p></o:p>

    1880-1890 : on est rentré dans quelque chose de nouveau <o:p></o:p>

    la modernité a compris que le monde était en croissance , les gens savent que la technique a le pouvoir d’envahir le monde , c’est la 1er mondialisation ( électricité,école,chemin de fer) , la raison capitaliste s’empare du monde <o:p></o:p>

    Durant 20-25ans, les gens croient au progrès, à la liberté, mais tous ça va s’effondrer autour de la guerre de 1914, ils vont prendre le progrès en pleine face , il y a une modernité politique de la révolution <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III-                notre approche, c’est l’approche d’une : <o:p></o:p>

    A)     histoire culturelle <o:p></o:p>

    L’histoire culturelle c’est une histoire de la représentation, de la totalité <o:p></o:p>

    B)      quel découpage <o:p></o:p>

    3 grands systèmes techniques : <o:p></o:p>

    ▪ Système technique de la 1er évolution industrielle (charbon, vapeur, textile), il va rendre possible une grande civilisation urbaine : 1870-1880<o:p></o:p>

    ▪ 1880-1890 : système de l’électricité, système de la chimie et sidérurgie, système de nouveaux objets qui vont durer longtemps, il va éclore, 1950-1970<o:p></o:p>

    ▪ 1975-1980, la société de l’information, du tertiaire, qualitatif (objet culte : TV, ordi) <o:p></o:p>

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    LES NOUVEAUX DECORS URBAINS <o:p></o:p>

    I-                    vers l’émergence d’un urbanisme systématique, comment l’ordre vint à la ville <o:p></o:p>

    1880-1890 : apparition du mot urbanisme ; toute tentative d’intervention ordonnée qui s’oppose à la construction instantanée donc c’est l’ordre <o:p></o:p>

    La ville est un espace aggloméré qui a gagné par croissance circulaire, phénomène de lotissement<o:p></o:p>

    Comment cet espace peu s’ordonnée ? <o:p></o:p>

    Processus d’ordonnément assez tôt dans le temps, processus de distinction, de mise à l’écart que les hommes connaissent dans l’histoire mais c’est aussi un processus de mise en spectacle , cet espace aggloméré peut être ordonné mais il doit gérer la croissance,penser à prévoir,lotir,écouter <o:p></o:p>

    Toute croissance est une forme de désordre et c’est une forme qu’il faut prévoir <o:p></o:p>

    Les 1ers apports de la modernité, les apports urbanistiques de la 1ère modernité :                                                              <o:p></o:p>

    • les places, elles vont se faire dans les villes de la renaissance, cette place sert à prévoir l’extension de la ville <o:p></o:p>
    • 18éme siècle , c’est le court, c une place allongée , c’est un espace qui montre qu’apparaît une sociabilité, à la même époque apparaît le boulevard , même fonction sauf que le boulevard est déjà dans une perspective de croissance <o:p></o:p>
    • fin 18éme, début 19éme siècle, (Blondel, Lodaux), ils ont pensés que la ville était un lieu de corruption et qu’il fallait garder les valeurs de la campagne, nature.<o:p></o:p>

    II-                  la révolution haussmannienne <o:p></o:p>

    A)     projet systématique <o:p></o:p>

    Il va répéter le même chemin jusqu'à l’écoeurement <o:p></o:p>

    1)       répéter le motif de l’îlot avec une courbe intérieure<o:p></o:p>

    2)       au carrefour de ces îlots, il y a regroupement, la répétition d’une façade assez monotone qui est la façade sur rue, les volumes sont majestueux, mise à l’écart des habitants par rapport à la rue, uniformité, répétition des motifs<o:p></o:p>

    3)       ce sont les points d’appuis, l’architecture haussmannienne est une archi qui converge vers les monuments  <o:p></o:p>

    4)       ce projet systématique est sain de boulevards circulaires, Haussmann a été urbaine en mesure de prévoir l’expansion urbaine <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     B- un projet controversé<o:p></o:p>

    Car les partisans disent que Haussmann est un bienfaiteur car paris échappe aux épidémies, incendies (mur en pierre). Il va penser à la circulation fluide, au tout à l’égout.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Maos on va l’accuser d’avoir permis la  spéculation humaine, il serait responsable de la succession de Paris Zola au Paris Balzac.<o:p></o:p>

    Haussmann fait que les pauvres vont aller en banlieue, phénomène de ségrégation des classes sans le vouloir, a-t-il crée ce nouvel urbanisme pour réprimer, surveiller les révoltes ouvrières ? <o:p></o:p>

                    C-La cruauté du Damier<o:p></o:p>

    1ere querelle : <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Modernit←">la Modernité</st1:PersonName> avec Haussmann, il y a une monotonie, tout se ressemble <o:p></o:p>

    2ème querelle : pas pratique (orthogonalité), mais c’est quand même une façon de générer la croissance <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    III-                Les décors intérieurs<o:p></o:p>

    Ils vont évoluer de façon importante, il y a 3 éléments : <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A-     la conquête de l’intimité conjugale, elle va se faire par <o:p></o:p>

    1-la complexification des pièces<o:p></o:p>

    Elles vont devenir plus nombreuses, plus spécialisés, plus complexes.<o:p></o:p>

    L’intimité va petit à petit émerger par l’invention de <o:p></o:p>

    2-l’enfance et de la conjugalité.<o:p></o:p>

     Qui est une révolution à caractère anthropologique qui se développe dans la bourgeoisie et noblesse au 19éme siècle .la femme va devenir la femme de maison, au service de son mari, triomphe d’un modèle bourgeois.<o:p></o:p>

    . Enfant prend de l’importance, primordiale, ne vont plus chez la nourrice, on prend soin de son éducation, l’architecture de la maison va changer, il va y avoir <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3-mise en profondeur<o:p></o:p>

    Nouveaux lieux dans la maison avec leur importance le salon, tout le monde peut être reçu, cuisine est fonctionnelle. Chambre endroit secret .Le corridor est la limitation qui montre l’espace intime de madame par rapport au salon  <o:p></o:p>

                    B-le confort<o:p></o:p>

    La façade haussmannienne a un langage avec des ouvertures (fenêtre) mais aussi le balcon qui est fait pour regarder de dehors mais pas pour être utilisé.<o:p></o:p>

    Le confort est donc empêché par une architecture qui privilégie l’ordonnancement.<o:p></o:p>

    Positif : lumière et propreté, invention de la salle de bain avec des meubles mobiles (baignoires), avec le propre on a choisit l’eau car avent c’était une substance maléfique mais devient au 19éme siècle positive on trouve des vertus hygiéniques .les évolutions de l’hygiène sont permis par le confort <o:p></o:p>

    Il y a une  profusion des objets, la modernité va se faire sous le signe de la profusion car les objets se spécialisent et on veut les avoir avec soit, ceux que les hygiénistes condamnent (poussière), revendication du luxe  <o:p></o:p>

    C-La question de la fonctionnalité<o:p></o:p>

    1er : la cuisine, Haussmann on met la cuisine en haut avec les domestiques car c’est mal vu quand le bourgeois s’ennuie il va vouloir voir comment fait l’ouvrière<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2éme : la salle de séjour, question du logement ouvrier avec Haussmann car on ne peut pas les loger dans les immeubles haussmannien, on va donc essayer de donner à l’ouvrier tout sur place avec la salle de séjour .Le confort descend du riche vers le bas alors que la fonctionnalité c’est le contraire, la modernité du XXéme siècle provient de la réémergence de la fonctionnalité.<o:p></o:p>

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    <st1:PersonName ProductID="LA DECONSTRUCTION DU">LA DECONSTRUCTION DU</st1:PersonName> LANGAGE CLASSIQUE (1860-1920)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I) Qu’est-ce que le langage classique ?<o:p></o:p>

    Déconstruction, c’est 3 notions, démontage, ensuite ça va se détraquer puis un état de dissémination<o:p></o:p>

    Comment s’est constitué et perpétué le langage classique en architecture ?<o:p></o:p>

    Dans un premier temps le langage classique est un héritage     <o:p></o:p>

    A) Comment le classique vint à l’homme<o:p></o:p>

    C’est <st1:PersonName ProductID="la Renaissance">la Renaissance</st1:PersonName>, 15 et 16ème siècle, qui fonde le langage classique en interprétant l’architecture romaine (arc de triomphe, Colysée et Panthéon d’Hadrien).Ces 3 formes vont être un véritable répertoire de formes .Les gens de la renaissance sont persuadés qu’en reproduisant ces formes, ils touchent à un art qui à la recette du beau (il est harmonie)<o:p></o:p>

    La renaissance rejette les autres traditions : elle se veut 1 rupture par rapport à l’architecture  gothique, c’est une rupture de langage avec l’architecture du moyen age <o:p></o:p>

     Par la suite, personne ne remet en cause se langage classique, l’académie codifie le LC, et celui ci va être dominant en peinture et design <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                    B) Les éléments du LC <o:p></o:p>

    1) c’est un vocabulaire important employé jusqu’à la fin du siècle (voir feuille)<o:p></o:p>

    2) La syntaxe du langage classique, les modalités d’articulation dont des ordres, règle de disposition, d’harmonie <o:p></o:p>

    Ex : Le Colysée, les trois syntaxes sont juxtaposés : ordre dorique, ionique, corinthien. Règle de disposition, d’harmonie.<o:p></o:p>

    Rapport entre la largeur de la colonne et sa longueur sont les caractéristiques des différentes colonnes  <o:p></o:p>

    3) le langage classique, c’est un idéal d’harmonie et de proportionnalité, régie par des règles mathématiques précises<o:p></o:p>

    .<o:p></o:p>

    Beauté grecque est différente de la beauté romaine, plus fine et subtile <o:p></o:p>

    La renaissance a eu lieu sans qu’on connaisse le Parthénon seulement au 18éme siècle  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                    C) Les interprétations historiques du langage classique<o:p></o:p>

    Il y a 3 interprétations<o:p></o:p>

    ▪ L’interprétation de la tradition française (Versailles, Louvre) <o:p></o:p>

    Le grand style classique car il y aune rigueur générale, rythme austère, régularité<o:p></o:p>

    ▪ Le classique français, il est droit, dépouillé<o:p></o:p>

    ▪ Le classique baroque, courbé, orné .Dans le baroque il y aura des innovations du LC (colonne torsadé), le baroque est un classique qui se déforme, c’est un art qui va dominer la période du 18éme siècle européen, avec des surcharges complexes, en réaction contre se baroque, quand les gens reviennent de Rome, ils vont repartir vers des choses plus pure, c’est la réaction néoclassique. Ils réagissent contre le baroque car ils se posent la question « que serait l’archi au service de l’homme et non au service d’une divinité et aussi car ils détiennent des croquis des ruines grecques qui est une archi plus subtile, il y a une admiration de l’antiquité.  Le néoclassique est une interprétation du LC qui va se passer dans le sens de dépouillement, de l’intimité, les gens se lancent à la recherche d’un style.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II-Les tâtonnements du 19ème siècle <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce qui est frappant c’est la volonté de créer un style propre à l’époque qui se trouve chez les français, allemands, anglais, partout.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                    A- une nouvelle sensibilité contemporaine, de nouveaux savoirs<o:p></o:p>

    1)ce sont des gens qui savent tout faire,de nouveaux inventaires mais à force de tout savoir faire , est ce que la notion du beau, harmonie est elle possible <o:p></o:p>

    2) de nouvelles préoccupations, le passé n’est pas du mythique c’est de l’histoire car il invente l’état historique, le temps qui passe fabrique l’histoire, ils inventent la liberté (romantisme)<o:p></o:p>

    3) les relations d’identité et le modèle, le beau n’est pas dans l’antiquité, il y a des modèles mais on ne peut l’interpréter (liberté, histoire, identité, fonctionnalité sont les nouvelles préoccupations, ils se mettent en tête d’inventé un style pour leur époque et première réponse vers 1890, mais avant va se produire <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                    B) le retour du gothique <o:p></o:p>

    Le gothique réapparaît sous une triple forme :<o:p></o:p>

    -expression de la sensibilité romantique qui se marie très bien avec l’histoire, pour ces gens là le gothique est une période à la quelle la société n’était pas désarculé par la société industrielle <o:p></o:p>

     -réaction nationaliste, c’est un art franco allemand que les anglais se sont appropriés et que les italiens ont rejetés, chaque pays veut se l’approprier <o:p></o:p>

    -aspect selon Viollet-le-duc, le plus grand théoricien de l’archi : le gothique, c’est fonctionnel, logique et facile à construite, pratique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) d’autres influences : l’attrait du locale et du lointain<o:p></o:p>

    2 éléments fondamentaux au 19éme siècle <o:p></o:p>

    1) attrait du pittoresque : le goût du local, le pittoresque arrive au 19éme siècle, retour au local, particulier <o:p></o:p>

    2) arrivée massive du lointain<o:p></o:p>

    19ème, le répertoire de forme s’est dilaté, c’est un cafarnaome, l’issu est donc vers un art électrique  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III- Vers un art électrique  (1860-1920)<o:p></o:p>

                    A) le processus de décomposition de l’art classique<o:p></o:p>

    Processus de décomposition on complète la gamme, vers 1860 c’est un esthétisme idéaliste à coté de ça on a une esthétique historique .Vers 1850, on était capable de présenter une coure grecque, on connaissait tout les styles et maintenant on est dans un labyrinthe d’expériences architecturelles <o:p></o:p>

                    <o:p></o:p>

                    B) phénomène d’hybridation<o:p></o:p>

    Processus d’H ne doit pas nous faire oublier le triomphe du french style <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B)      Le triomphe du French Style<o:p></o:p>

    C’est un style opéra Garnier et c’est quelque chose que tout le monde va imiter , l’archi du 19éme est désarculé, il faut qu’elle épouse son siècle et qu’elle aille vers les nouveaux matériaux <o:p></o:p>

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    ESTHETIQUE<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I-le rôle des nouveaux programmes<o:p></o:p>

    Question : dans quelles mesures les nouveaux programmes ? Nouveaux matériaux ? Nouvelle architecture,<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)     la grande Hôtellerie  ou le confort à grande échelle.<o:p></o:p>

    Paris est une des villes à avoir un si grand nombre d’hôtels de luxe. A Nice, les hôtels ont été petit à petit transformé : il reste le Negresco, Regina, les grands hôtels ont inventé un type d’archi à barre (une barre qui touche l’horizon, effet d’écrasement, de muraille) : construction rapide<o:p></o:p>

    Apprentissage d’un nouvel esthétique, néanmoins l’intérieur est plus soigné, diffuse le confort dans les milieux modestes, remettre au point des techniques de circulation fluides <o:p></o:p>

    B) Les nouvelles préoccupations<o:p></o:p>

    à la création des grands établissements scolaire, prison ,hôpitaux  <o:p></o:p>

    Ex : Lycée Masséna. M pas très innovante. Avant, c’était un couvent. 1880-1890= logique du casier, de l’urgence. Deux domaines de progrès pour toute la société= prison et hôpitaux è ce sont des lieux qui présente trois caractéristiques :<o:p></o:p>

    1-ce sont des lieux sous  fortes  contraintes. Ex : isolement, sécurité<o:p></o:p>

    2-ce sont des lieux qui présentent la caractéristique essentielle d’avoir une structure qui s’adapte à la forme. Doivent être fonctionnel. Obéir à des logiques importantes.<o:p></o:p>

    3-leur forme doit obéir à une politique cad à une volonté politique.<o:p></o:p>

                    1) Prison = isolement, sécurité car les gens entrent mais ne peuvent sortir ça dépend des politiques. Hôpital= si on croit que la contagion se fait par l’air ambiant donc archi pavillonnaire, éclaté entre 1820 et 1880. Pavillon séparé par large espace vert. Avec progrès de la médecine, on comprend qu’on peut avoir une archi plus ramassé quand on a su les fonction de contagion de manière plus mur. La fonction prime, l’archi, fait état d’une vision du monde.<o:p></o:p>

    Prison= plan avec dispositif panoptique = rien n’échappe au surveillant, façade dissuasive forme très neuve.<o:p></o:p>

    Ex= prison du New Jersey, de Berlin.<o:p></o:p>

    On reprend les éléments de l’archi gothique pour intérêt de la prison. Pourtant, nouveau confort. Se pose la  question du confort et de la tenue. Les nouvelles préoccupations vont introduire de nouvelles valeurs, de nouvelle forme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) la gare<o:p></o:p>

    Dispositif architectural dans lequel la question se pose ainsi : c’est l’endroit de rupture de charge. Là ou les passants montent et descendent.<o:p></o:p>

    Le chemin de fer= 1827 1830-1834= voyage en France.<o:p></o:p>

    Cromstom= invention en 1835. Un quai (on prend celui des ports) avec un immeuble à un étage et on prend la verrière = c’est la fonction problématique de dimension de la gare, de plus en plus grande donc verrière de plus en plus grande.<o:p></o:p>

    Ce qui est intéressant est= est-ce que la gare doit coller à la forme ou pas ? Question pas tranchée jusqu’à la deuxième guerre mondiale. Gare traitée de façon particulière.<o:p></o:p>

    Ceux qui ont caché la gare : ex= à Londres gare St Pancras caractère gothique, dissimulation de la gare. Parti pris fonctionnel plus que classique. Les gares anglaises font fonction mais comme cela.<o:p></o:p>

    Style éclectique= gare pas entièrement caché, utilisation d’une rosace gothique pour illuminer et cacher la verrière ou se trouve les passagers. <o:p></o:p>

    Paris moins audacieuse que la gare de l’Est. On fait un compromis, la verrière et la rosace, on met en plus de la verrière du statuaire.<o:p></o:p>

    Ex : Gare du Sud à nice.<o:p></o:p>

    On arrive pas à trancher, la fonction= doit on montrer ou pas, assume-t-on la fonction ou pas. Problème jusqu’en 1900, pour les grandes gares style classique ou gothique pour anglais. Question de la fonction est rejetée car en France, la verrière est mise derrière. En France, « French Style », elles sont assez tristes.<o:p></o:p>

    Autre question : les aérogares, quel forme doit on donné aux passagers pour entrer dans un aéroport.<o:p></o:p>

    Caractère limité des nouveaux programmes mais il y a une certaine nouvelle approche. Question des matériaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II-Le rôle des matériaux<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A) la construction en fer<o:p></o:p>

    Construction ancienne, ex : coupoles sont cernées de fer.<o:p></o:p>

    Utilisation depuis longtemps du fer. Le fer est une contrainte car il faut le produire. Il y a trois aspects à le fer = c’est un minerai en tant que tel, il est lourd et cassant donc problème. Pour le produire et le rendre plus léger = mélange de fer plus de carbone. Le fer plus le charbon traiter donne de la fonte en 1870 puis on le traite et donne l’acier.<o:p></o:p>

    C’est le procédé de Thomas GESELLCHRISTA et BESSMER et qui a donné l’acier en abondance, quantité individuelle donc construction d charpente présente deux avantages : il est moulé et il protège contre les incendies : un inconvénient= la poutre, la colonne de fer ou de fonte présente un rapport section/longueur qui n’est pas logique à l’ordre classique, pas la colonne est plus fine. Donc, peut être nouvelle esthétique fondée sous la finesse. Des 1820-1830 = texte sous le lyrisme, adieu le marbre et bonjour le fer. Possibilité de faire un battement. La charpente métallique va se propager mais en matière de surface extérieure c’est moins facile.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) de la serre à la galerie<o:p></o:p>

    Dès 1851, PAXTON, construit une grande galerie, serre en 18 mois pour l’exposition universelle de Londres, le Cristal palace. Au départ c’est un jardinier et il y a un concours,  220x330= taille de la serre, elle sera détruite dans un incendie. Utilisation plus intimiste de la serre, notation pour le jardin, et surtout les passages protégés cad les galeries ce sont des lieux de promenade. Ex : le passage Victor Emmanuel à Milan. Effet de multitude de combinaison de deux figures classique : coupole et voûte en berceau. Nouvel esthétique = alignement des boutiques, alignement des devantures, esthétiques à fin commercial. Uniformité archi et de matériau donc impose un rythme, rythme des boutiques et rythme de l’archi. Aboutit au grand magasin. C’est nouveau pour l’époque qu’intéresse de <st1:PersonName ProductID="la Modernit←">la Modernité</st1:PersonName><o:p></o:p>


    C) le grand magasin<o:p></o:p>

    Ex : c’est la riviera. Ex : la samaritaine. Temple de <st1:PersonName ProductID="la Modernit←">la Modernité</st1:PersonName> présente 3 aspects <o:p></o:p>

    à Les matériaux cad le fer et le verre se montre de façon ostentatoire. Symbole d’une nouvelle archi et d’un nouveau lieu.<o:p></o:p>

    àTout entier et circulatoire, il est fluide et aspect circulatoire. Il est fait pour qu’on puisse circuler et disposition de la marchandise. Mise en avant de la marchandise.<o:p></o:p>

    #a grande échelle la marchandise est spectacularisé<o:p></o:p>

    #la marchandise est accessible. Problème d’étalagisme, logique de l’étiquetage<o:p></o:p>

    #certaine marchandise sont sous verre car cher,  neuve.<o:p></o:p>

    Le grand magasin est porteur, c’est le temple de la culture bourgeoise, mise à disposition de la classe moyenne, mise en spectacle de la culture bourgeoise accessible à la classe moyenne. Destiné à la bourgeoisie et à une grande partie de la classe moyenne, car on peut baisser les prix dans le grand magasin.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III- Une nouvelle esthétique ?<o:p></o:p>

    A) la résistance des styles traditionnels<o:p></o:p>

     Soit le classique, soit le classique décomposé en éclectique, soit gothique. Résiste du classique très fort. Dans toute la période jusqu’après, la guerre de 14, les styles vont résister de trois façons :<o:p></o:p>

    - le fait que l’éclectisme va s’adapter et utiliser sans aucune difficulté, intégration des nouveaux matériaux. Capable d’intégrer de nouveaux matériaux.<o:p></o:p>

    -la volumétrie et la monumentalité à l’utilisation  de l’ordre<o:p></o:p>

    -la spécialisation des styles, rapport au monument.<o:p></o:p>

    Ex : Nice= opéra 1888. Il est néo baroque. Utilisation de ce style car c’est la tradition.<o:p></o:p>

    Ex : palais de justice 1891 il est néo classique.<o:p></o:p>

    A Paris, celui-ci est classique.<o:p></o:p>

    Thallos c’est rond, c’est accueillant. Banque qui est écrasante, c’est <st1:PersonName ProductID="la BNP DUBOUCHAGE.">la BNP DUBOUCHAGE.</st1:PersonName><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B- Un nouvel univers<o:p></o:p>

    Il existe une spécialisation qui va durer très longtemps. Les prisons vont avoir des portes de style égyptien ou roman donc devanture, qui font nouvel univers à partir de 1890 jusqu’à 1930, se mette en place trois choses : rapport homme/machine bouleverser. Ex : invention et création de l’auto= forme comme si on tirait un cheval, puis forme avec un certain aérodynamisme. Plus de rapport avec l’outil et la main. Rupture anthropologique essentielle. On fait des expériences sensorielle différente : le bruit, la vitesse, l’éclairage, et le rythme : les machines ont un rythme, il existe une configuration de la lumière. Les éléments de <st1:PersonName ProductID="la M.">la M.</st1:PersonName><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C- Peut-on conclure a une nouvelle esthétique<o:p></o:p>

    Il existe une esthétique métallique, elle a été proclamé/ le concepteur de la tour Eiffel= avec joint, transparence, rivets, boulons. Donc crée une esthétique faite de lumière et de transparence. JACOMY une histoire technique. A coté de cet esthétique métallique on a trouvé que le fer était trop mince donc on l’a orné donc on la peint, rajout de céramique, on la ornementé. Ex : lycée masséna. Question de l’ornementation àla perception du vide et de la transparence. On fait l’expérience de la transparence et de l’air et sa fluidité après transparence donc expérience esthétique.<o:p></o:p>

    LE PARADIGME AMERICAIN<o:p></o:p>

    I- Naissance d’une civilisation<o:p></o:p>

    Paradigme : notion qui fait question, la civilisation américaine est une civilisation qui est née en pleine modernité fondée sur une nouvelle approche de l’espace <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A- nouvelle approche de l’espace<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 éléments fondamentaux : <o:p></o:p>

     Fondé en Amérique du nord une nouvelle république universelle régénérée. Les E.U d’Amérique : la nouvelle Jérusalem et la régénération de l’humanité, c’est le lieu ou le lien social peut se fonder et se refonder, sur un animal, c’est à dire l’individu doté de droits naturels sans que le jeu des déterminations culturels ne jouent sur lui.<o:p></o:p>

    Son idéal n’est pas de se conformer à l’homme, à son héritage, à la tradition mais de s’en affranchir et de créer un nouvel espace moderne. On a à faire à un nouveau commencement qui s’accompagne, d’une très forte mobilité fondatrice et à partir de cette nouvelle volonté politique et mobilité fondatrice, l’Amérique ce sont des micros sociétés très différentes les uns des autres. Ces 3 éléments vont nous donner un peuplement en archipel, il n’existe pas aux E.U des phénomènes de hiérarchisation de l’espace.<o:p></o:p>

    A partir de cette anthropologie particulière que signifie que l’Amérique soit une société capitaliste <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) Une société capitaliste ?<o:p></o:p>

    S’organise avec la guerre de sécession, ségrégation des noirs .cette société est fondée sur la liberté, cette guerre a été gagné par l’idéologie :<o:p></o:p>

    àUne idéologie de l’Américan way of life, on peut en donner quelques traits caractéristiques, au départ c’était à l’origine du Melting-pot jusqu’en 1980, ensuite<o:p></o:p>

    àPuissance de l’idéologique dominante, il y a un gros conformisme, tyrannie de l’opinion, uniformité, production de masse, marketing de masse .Le capitalisme américain est très spécifique, il fonde ses propres paysages , c’est le capitalisme anglo saxon, tout ceci débouche sur <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) Une organisation de l’espace, particulière car <o:p></o:p>

    1-À l’échelle, du continent, c’est un peuplement en archipel, caractérisé par la puissance des lieux  logistiques<o:p></o:p>

    C’est un mode d’appropriation qui prend abondance des terres et rareté des autres. Les EU sont cadastrés. 70% du territoire se divise en townships de 6miles de coté. C’est ce que l’on appelle le  « grid pattern »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce type de quadrillage est anthropologique met intéressant d’un point de vue ou il efface toute mémoire indigène, ne s’occupe pas de la topologie pour tracer ses états. Les E.U ont un vernaculaire très pauvre, neutre, ouvert à la spéculation <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II -le pays des gratte-ciels<o:p></o:p>

    Il faut comprendre <o:p></o:p>

    A) la question foncière aux EU dans les villes. <o:p></o:p>

    Il y a deux caractéristiques essentielles aux E.U :<o:p></o:p>

    1) la densification des centrales business district, on s’est aperçu que la place en centre ville coûtait cher et qu’il était intéressant de la faire payer plusieurs fois, donc il faut empiler : les gratte-ciel, pour plus de revenus, les logements au centre ville sont empilés <o:p></o:p>

    2) une urbanisation très diffuse, l’allongement de l’urbanisation selon les grands axes se fait comme compromis avec la soif d’espace, là ou va opérer la densification de l’habitation on va avoir recours à des techniques mécaniques, l’architecte va travailler avec l’ingénieur, il faut monter en hauteur, construire, on va arriver à un urbanisme <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) le recours aux gratte-ciels<o:p></o:p>

    Sullivan à archi américain concepteur de GC. <o:p></o:p>

    Comment va-t-on monter au ciel ?<o:p></o:p>

    Burnham : Travail avec un ingénieur Roct (1885.1886 : the rockery building), structure classique, sous bassement, corps central et le haut, cette répartition de building va rester longtemps  <o:p></o:p>

    Les grattes ciels : les riches veulent affirmer leur puissance, leur réussite donc se pose la question de l’esthétique avec la hauteur <o:p></o:p>

    La modernité c’est le classicisme au service du dynamique, Sullivan est quelqu’un qui tient le discours idéologique, il a fallu beaucoup de conditions pour qu’on se mette à ce type d’archi (charpentes métalliques). Persistance du classicisme dans les bandeaux qui séparent les étages, on a réussit à combiner : la force du besoin et le principe de la beauté, on va avoir l’idée que la forme doit suivre la fonction, on va avoir de nouvelles valeurs  et petit à petit on va obtenir des formes autonomes, neuves, simple contemplation d’une mégalithe (bloc de pierre)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C)      essai d’interprétation anthropologique <o:p></o:p>

    Les grattes ciels sont une double victoire mythique :<o:p></o:p>

    ▪ Il affirme de façon sacrilège le mythe de Babel <o:p></o:p>

    ▪ affirme une vocation prométhéenne très forte <o:p></o:p>

    Gratte ciel induit un nouveau monde : skyline, canyens <o:p></o:p>

    Ces grattes ciels se juxtapose à l’ordre néo classique issus du classicisme des beaux arts désormais l’Amérique possède sa propre architecture, et pendant ce temps il existait une époque nouvelle celle des maisons individuelles <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    IV-                le pays des maisons individuelles <o:p></o:p>

    La maison individuelle c’est le rêve américain, elle est un compromis entre la civilisation (route) et nature sauvage (foret) <o:p></o:p>

    A)     compromis <o:p></o:p>

    Les caractères originaux de la maison américaine, c’est le lieu du féminisme domestique, elle règne en maître (invention cuisine américaine, salle de séjour, chambre à l’étage), c’est une véritable religion domestique <o:p></o:p>

    B)      les maisons de Franck Loyd Wright <o:p></o:p>

    Caractères : <o:p></o:p>

    ·         recherche absolue de l’horizontalité, c’est l’anti gratte ciel, épouse les lignes du paysage<o:p></o:p>

    ·         inter pénétration des espaces : je veux être vu sans voir que je suis vu<o:p></o:p>

    ·         l’asymétrie différent de symétrie, plan qui s’emboîte, (maison japonaise qui imite l’arbre, mobilier encastré, tout s’emboîte)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

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    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    De l’art nouveau à l’art déco, une simple question d’ornement<o:p></o:p>

    L’art nouveau c’est une sensibilité européenne (1880) et attaqué depuis l’expo de Turin en 1912<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I- l’art nouveau  c’est un style universel<o:p></o:p>

    A- Un style international<o:p></o:p>

    Différents courants de l’AN à travers Europe.<o:p></o:p>

    -Modernisme catalan de Gaudi<o:p></o:p>

    -Liberty, style italien, 1875<o:p></o:p>

    -Cessetion viennoise, 1900<o:p></o:p>

    -Arts et Craft<o:p></o:p>

    Ils s’appuient sur l’esthétique japonaise, l’archi romane. C’est donc un style universel. A partit du XXéme siècle remise en cause de l’art nouveau qui va être très forte au point qu’il va commencer a disparaître (Hoffmann). Cet art international est un ensemble d’art qui va englober des styles différents <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B)      Une famille transversale<o:p></o:p>

    Transversalité : dans l’ensemble de ce courant, on trouve tout les arts qui doivent concourir à l’expression artistique sans aucune hiérarchie (différent des beaux arts), tout le monde a égalité <o:p></o:p>

    Ils sont aussi pour le raffinement du quotidien, participe au confort, à l’embellissement du quotidien, c’est une façon de se distinguer <o:p></o:p>

    Dernier moment dans l’histoire des formes ou l’archi est encore en retrait par rapport aux autres créateurs <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C)      ces préoccupations communes qui agitent l’ensemble des créateurs de l’art nouveau <o:p></o:p>

    Rompre avec le vocabulaire classique en utilisant un vocabulaire original unique jusque là<o:p></o:p>

    Affirmation de nouveaux matériaux : céramique… il affirme la modernité par cela <o:p></o:p>

    C’est un art qui refuse l’industrie, fabrication en série et la logique mécanique, l’esthétique de la machine. Ils prétendent régénérer le monde à partir d’une redécouverte des formes de la nature. Ils pensent donc qu’il existe une logique des formes, que leurs justifications, son développement se trouvent en elles-mêmes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II- Un style vitaliste :<o:p></o:p>

    A – Une utilisation de la nature :<o:p></o:p>

    Il s’agit de la prolongation de l’esthétique du XIXème.<o:p></o:p>

    Ils utilisent deux éléments, remettent au goût du jour : arrivée de tout un répertoire de formes tiré de la nature. Il y a toujours des décalages, pas de perspective. L’art nouveau est aussi la représentation de la femme.<o:p></o:p>

    • Gaudi commence à travailler en 1884 sur son édifice majeur à Barcelone. On a toujours envie de toucher : aspect granuleux, coté sombre avec un jeu sur les volumes, utilisation de nouvelles matières, nouvelles sensations matérielles.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B – Un art érotique ?<o:p></o:p>

    Guimard et Bernard : le mobilier urbain parisien avec les bouches de métro en sexe de femme.<o:p></o:p>

    Dans tout l’art nouveau, il y a les métaphores de la femme, l’esthétique de l’art nouveau va être condamné.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C – Une nature en croissance :<o:p></o:p>

    L’art nouveau prend partie de la nature contre la mécanique mais en 1968, ce monde est radicalement remis en cause, seul les bourgeois persistent dans ce style.<o:p></o:p>

    ð      Il y a dans l’esthétique de l’art nouveau, un nouveau rapport homme / femme entrain de se tisser. Pleine naissance de l’érotisme de masse, grande mode de l’homosexualité, façon de montrer les choses.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>



    L’ART DECO<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’art déco : de 1902 à 1940<o:p></o:p>

    Il y a 5 points fondamentaux :<o:p></o:p>

    • Filiation avec l’art nouveau (les déçus, contestataire de l’art nouveau on fait l’art déco)<o:p></o:p>
    • Exposition de 1925 : il connaît un moment fort de 1925 à 1930 même si :<o:p></o:p>
    • Il va connaître  dans les années 30 une double évolution, vers l’abstraction décorative et il va s’adapter à la monumentalité (c’est la mode à cette époque, à la fois tout construire comme si c’était des monuments et c’est une question de grandeur et d’échelle)<o:p></o:p>
    •  Il a connu une postérité dans les années 50<o:p></o:p>
    •  Il a entretenu avec l’art moderne des rapports conflictuels (Corbusier)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’art déco est donc très à la mode dans les années 20 et 30.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I – La recherche d’un nouvel ordre :<o:p></o:p>

    A - Nouvel ordre sociologique :<o:p></o:p>

    3 choses importantes : le luxe est revendiqué comme critère de distinction, de bon goût dans le sens avec la modernité, dans le sens d’une rupture avec le passé. C’est une bourgeoisie qui affirme son originalité. Il lui faut du nouveau, une nouvelle maison : extérieur austère, façade délicatement dessinée, la sophistication est à l’intérieur, elle a pas besoin d’afficher sa richesse à l’extérieur. (ex :Palais Stoclet à Paris par Hoffmann )<o:p></o:p>

    Cette bourgeoisie, pour affirmer son bon goût, va s’adresser à des artistes qui se foutent de savoir s’ils sont artistes ou artisans (Ruhlmann, Poirée, …). Ce sont des gens de l’art, ils ne viennent pas de l’avant-garde ni de l’architecture, ils proclament leur partie pour une liberté, l’ornement. Ils sont tournés vers le marché de bourgeois, l’art déco n’est pas fait pour les pauvres.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B – Un nouvel ordre technologique :<o:p></o:p>

    Ces gens là vont accompagner la révolution du béton armée, grâce au projet Hennebique , le béton va commencer .Décoration du béton,maître technique de nouvelles technologies de l’époque (enduis,laque,peau) , ils renouent avec l’artisanat du 18ème siècle <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C- le nouvel ordre artistique <o:p></o:p>

    Les 2 répertoires assimilés :<o:p></o:p>

    Cubisme : c’est la révolution des formes, décomposition des objets en volume élémentaire (décompose pour mieux connaître) , ils ont assimilés Cézanne donc le cubisme <o:p></o:p>

    Fauvisme : il s’agit de faire chanter les couleurs, peindre a plat, emmêler l’intérieur et l’extérieur <o:p></o:p>

    Les gens ont des aspirations des avants gardes malgré leur mauvaise image.Ils vont se retrouver avec un répertoire et une culture artistique de leur époque, ils n’ont pas besoin de proclamer la nouveauté de leur art, produire de belles choses pour un public raffiné est leur but <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II- le nouvel ordre décoratif <o:p></o:p>

    A) le statut nouveau de l’ornement <o:p></o:p>

    3 questions fondamentales dans l’archi et le design<o:p></o:p>

    • la matière<o:p></o:p>
    • la fonction (est il bien fait pour sa fonction ou non) <o:p></o:p>
    • l’ornementation<o:p></o:p>

    Tout cela pourrait se ramener à la structure <o:p></o:p>

    Le rôle de l’ornement : est ce qu’il s’agit de dissimuler la structure, puissance et gloire ? <o:p></o:p>

    Pour l’art déco, elle est autonome, propre, logique et propre variation <o:p></o:p>

    Ils 2 sortes de gens dans l’art déco :<o:p></o:p>

    ·         ceux qui sont pour l’ornementation, dissimulation, l’autonomie du décor<o:p></o:p>

    ·         ceux qui pensent que l’ornementation va montrer la qualité de la structure <o:p></o:p>

    Il y a une différence entre art déco et art nouveau :<o:p></o:p>

    • appriori géométrique<o:p></o:p>
    • pas de correspondance entre plancher et plafond, grande opposition <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) l’esthétique art déco, une esthétique de la stylisation <o:p></o:p>

    L’art déco prend l’exubérance de l’art nouveau et va domestiquer ces lignes <o:p></o:p>

    Il y a un jeu entre le dépouillement et raffinement dans l’art déco, dans l’art déco on joue uniquement avec les rectangles, cette stylisation va évoluer vers des formes abstraites <o:p></o:p>

    Le Chrysler building à NY et vu comme un manifeste verticale de l’art déco  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) la verticalité <o:p></o:p>

    Elle se mesure dans l’art déco, sur l’appriori de la dimension verticale, elle est renforcée par l’existence de través <o:p></o:p>

    L’art déco est une architecture qui va utiliser le gradin .La décomposition de la profondeur en à plat successif, décomposition des éléments pour donner une autre forme que l’horizontale ; impression de fluidité <o:p></o:p>

    Le nouvel ordre déco réhabilite le classicisme, dépuoillement du grand style classique (palais de la méditerranée) <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III- quelle est la postérité de l’art déco <o:p></o:p>

    Style qui s’affirme de 1930 à1960, il a devenir le style d’une modernité de masse <o:p></o:p>

    • les pompes à essence <o:p></o:p>
    • les cinémas vont être à déco devant et dehors<o:p></o:p>
    • art déco va être l’élément majeur de déco des paquebots<o:p></o:p>

    Il a était le style d’une modernité de masse et présente un répertoire de forme intéressant <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A) les aspects art déco <o:p></o:p>

    • ex : L’Escurial, la verticalité, massivité, richesse des matériaux, tout l’immeuble est plaqué en arbre, c’est une forme en Tholos <o:p></o:p>
    • ex : immeuble Magenta, coté verticale, fronton classique <o:p></o:p>
    • ex : palais Albert premier, belle géométrisation<o:p></o:p>
    • ex : le monument aux morts : décomposition de la profondeur, qualité de la forme en Tholos<o:p></o:p>
    • ex : poste Thiers, volume, brique rouge, pureté de la forme <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cet art va être attaqué par le mouvement moderne, par les fonctionnalistes <o:p></o:p>



    LE BAUHAUS<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pourquoi le Bauhaus est il au cœur de la modernité formelle du 20ème siècle ? Car :<o:p></o:p>

    I- un projet dans son contexte <o:p></o:p>

    Il s’inscrit dans le temps des avants gardes <o:p></o:p>

    A) l’impasse des avants gardes <o:p></o:p>

    Essentiellement l’expressionnisme allemand, futurisme et constructivisme russe <o:p></o:p>

    Pour le fondateur du Bauhaus Gropius, l’archi est en crise dans la mesure ou elle continu à être enseigner dans les beaux arts par des gens sui ne se préoccupent par, par ex : des logements <o:p></o:p>

    Gropius a travaillé dans le cabinet de Behrens (à l’origine de l’art déco, il a crée les ateliers viennois). Le projet est double : il s’agit de dépasser la querelle entre l’industrie et l’artisanat car on peut pas passer à coté de l’esthétique de la machine, ainsi on pourra redonner aux matériaux toute sa beauté intérieur et acceptons la réconciliation <o:p></o:p>

    En découvrant la qualité des matériaux on peut déboucher sur un cadre de vie fonctionnel et dans celle-ci on trouvera l’harmonie <o:p></o:p>

    Le Bauhaus entend récupérer le répertoire esthétique de l’avant-garde et dépasser la querelle de l’industrie et artisanat, il entend le résoudre dans un contexte <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    B) un contexte extrêmement sensible <o:p></o:p>

    Epouse l’histoire de l’Allemagne de façon intime. Au fur et à mesure que les gouvernements vont partir à droite, le Bauhaus sera toujours mal à l’aise .Le Bauhaus a vu son existence rythmé par la vie politique allemande, le contexte culturelle artistique allemand est probablement le plus riche  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) le projet pédagogique <o:p></o:p>

    Le principe du Bauhaus : donner, réaliser une réforme complète de l’enseignement artistique, faire la réconciliation entre les arts décoratifs appliqués et les beaux arts , créer une école de nouveau type avec une formation intellectuelle et manuelle à la suite d’un cours préliminaire<o:p></o:p>

    Il n’y a pas d’étudiant mais des apprentis et pas des professeurs mais des maîtres, être toujours tendu vers des réalisations  concrètes, les ateliers vendent leur production de façon à devenir  le plus rapidement possible autonome <o:p></o:p>

    L’équivalence de l’artisanat et beaux arts, établir un contact avec les gens du métier<o:p></o:p>

    Bauhaus : 1919-1923<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II- le Bauhaus expressionniste : 1919- 1923 <o:p></o:p>

    Dans ce Bauhaus il faut saluer tout d’abord <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A) les maîtres des formes <o:p></o:p>

    1921 : Kandinsky, Itten<o:p></o:p>

    Kandinsky ne comprend pas que les gens ne comprennent pas son évolution, il va essayer d’enseigner le Bauhaus entre le créateur et création : nécessité intérieure <o:p></o:p>

    Il y a des règles selon Kandinsky, il existe 3 couleurs primaires : jaune, bleu, rouge, il existe 3 formes primaires : cercle, triangle, carré. La combinaison de ces 2 types de figures aboutit à la création avec des principes.<o:p></o:p>

    Il existe une grammaire des couleurs et des signes<o:p></o:p>

    Cercle : ciel <o:p></o:p>

    Carré : terre          entre les 2 il y a une tension<o:p></o:p>

    Bleu : ciel<o:p></o:p>

    Rouge : terre <o:p></o:p>

    D’après Kandinsky il n’existe pas de couleurs sans forme et vice versa, delà va naître la création, c’est une idée que l’on va retrouver dans le constructivisme russe, on oppose la composition/ construction, c’est une clé de l’art de l’avant-garde, la toile est le point de construction de la force de choses.<o:p></o:p>

    Pour Kandinsky le Bauhaus permettait de voir ce que pouvait donner la peinture à une échelle monumentale. 2 ateliers vont être rentable avec le Bauhaus, tissage et poterie, cela va permettre de crée la maison Sommerfeld (relation entre mobilier, structure et décoration)<o:p></o:p>

    L’idée était de réconcilier l’archi puis l’industrie (matériaux en série) et artisanat (bois) <o:p></o:p>

    1923 : on donnera aux ateliers une 2ème chance, exposition 1923, on créera une maison modèle, elle présente pour la 1er fois des formes modernes ou les ouvriers peuvent habiter et se payer, facile à reproduire, fonctionnelle <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) vers la crise du Bauhaus expressionnisme  <o:p></o:p>

     A partir de 1923,on prend en compte les critiques de la droite observatrice et on va aller vers l’acheteur, le Bauhaus va donner le pouvoir a ceux qui veulent travailler pour l’archi et l’industrie, ce qui va nous conduire au 2ème Bauhaus <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III- le Bauhaus de Dessau <o:p></o:p>

    Le Bauhaus est chassé de la ville ou il était, désormais à Dessau les gens sont au service de l’archi <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A) le triomphe de l’appriori architecturale <o:p></o:p>

    A Dessau ils vont construire des locaux nouveaux : tout d’abord construction très moderne, structure en béton qui permet le mur de pierre, idée d’interprétation <o:p></o:p>

    Avec le Bauhaus il y a une utopie grâce au moyen de l’archi moderne avec l’utilisation de mur en pierre .Grâce aux nouveaux matériaux, on est capable de donner un habitat pavillonnaire avec le standard d’un habitat moderne (confort, uniformité des habitats)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) des ateliers au service de l’industrie et du fonctionnalisme <o:p></o:p>

    1930 : grande vedette du design Bauhaus : lampe en forme arrondie, flexible, vaisselle géométrique, le design fonctionnel est géométrique, tout le monde aura quelque chose de beau et pas chère<o:p></o:p>

    1930 : Breuer, il a inventé l’archi tumulure en acier et en plus une chaise en cuir, appelé chaise Vasily. Le Bauhaus a transformé son atelier de reliure en typographie puis en atelier de publicité pour que l’industrie puisse vendre    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) quelle fut la postérité du Bauhaus <o:p></o:p>

    1933 : Police allemande fait fermer le Bauhaus ce qui fait que Gropius va enseigner l’archi ensuite il ouvrira son bureau a NY<o:p></o:p>

    Les gens qui ont formé la modernité, on mis l’art de leur temps au service de l’industrie et on renoncé au grand principe de départ, est ce que l’on fait pas tout le temps, trahir nos origines ? Question de reproductivité devenu question de liberté  <o:p></o:p>



    LE CORBUSIER<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I- un homme dans le siècle <o:p></o:p>

    Il a commencé dans l’atelier des frères Perret et a terminé sa carrière en dessinant une ville entière (chine), il a participé à l’exposition de l’art déco, il a créer les congrès d’archi moderne 1930il a proposé de résoudre les problèmes de logement 1920-1950 <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A) le Corbusier est un moderniste <o:p></o:p>

    • c’est un homme de son temps qui prend partie de la machine et qui considère qu’avec elle on peut construire l’esthétique, il va être le concepteur de l’esthétique de la machine paquebot, avion, bateau sont d’après lui les 3 objets dont l’archi doit s’inspiré <o:p></o:p>
    • le Corbusier considère que son temps doit être le temps du plurisme .Il a pris parti pour le plurisme et la machine contre la décoration .Au moment ou le Corbusier travail en archi, on met au point des fores aérodynamique  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) Un redoutable polémiste <o:p></o:p>

    Il refuse les styles dans l’ameublement ou archi, il est un ennemi de l’ornement contre l’art déco, les antiquaires, le Corbusier utilise la blancheur, béton, noir, il utilise les couleurs primaires aussi <o:p></o:p>

    Le but de l’archi c’est l’émotion du libre assemblage dans les lumières, pour lui il existe une intelligence cachée des formes géométriques <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) le bâtisseur <o:p></o:p>

    Il va construire des unités d’habitations, il pensait en construire 1OO car c’était des modèles préfabriqués mais il en construit que 5 dont 4 seulement reconnu (pavillon brésilien, chapelle Ronchamp)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II- les principes constructives du Corbusier<o:p></o:p>

    A) les 5 points <o:p></o:p>

    Il considère que le gratte ciel  est l modèle, il va être le théoricien de 5 points d’archi :<o:p></o:p>

    • piloti : 2 fonctions, fonction de circulation et de libération de l’espace, on triple l’espace <o:p></o:p>
    • le toit terrasse : il faut refuser le tête à tête du toit avec les étoiles <o:p></o:p>
    • le plan doit être libre, grâce au béton armé je fais le plan ou je veux <o:p></o:p>
    • façade libre : je mets les fenêtres ou je veux <o:p></o:p>
    • la fenêtre en bandeau, fenêtre horizontale il essayera de les appliquer à chaque fois qu’il le pourra, cette archi est une archi de double intervention, elle monte par ce la il obtient 2 éléments <o:p></o:p>
    • le DOM  INO ; maison innovation, ce système est simple il permet de libérer la façade <o:p></o:p>
    • carcasse en béton<o:p></o:p>

    Ce qui est important chez le Corbusier c’est <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) la sensation spatiale <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Idée qu’une archi réussie permet une promenade archi, l’archi du Corbusier est ouverte sur l’extérieure, on peut la contempler sous différent point de vue. Une archi est une multiplicité, fluidité des volumes, interprétation du dedans et dehors <o:p></o:p>

    2ème aspect : le Corbusier c’est celui qui va réintégrer dans les immeubles la Loggia<o:p></o:p>

    3ème aspect : montée vers le toit et utilisation du toit <o:p></o:p>

    Corbusier « une archi réussie c’est l’appropriation du dehors  <o:p></o:p>

    C) échelle humaine <o:p></o:p>

    Est-ce que tout est à l’échelle humaine, même dans les plus petits volumes, le Corbusier peut intégrer tous les besoins de l’homme, les préoccupations du Corbusier sont les besoins élémentaires <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III un nouvel urbanisme <o:p></o:p>

    A) un urbanisme circulatoire <o:p></o:p>

    Il voulait multiplier les immeubles pour arriver à l’urbanisme, beaucoup de succès en Russie, Amérique du sud, inde mais pas en France car il a présenté le plan voisin (paris) <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) ville tours <o:p></o:p>

    14ème étage : air, lumière, silence, elle permet de développer les espaces verts et les conserver <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    C) ville inhumaine <o:p></o:p>

    Le Corbusier pense à l’homme universel, il a inventé le classicisme comme référence universelle <o:p></o:p>

    Problème de l’échelle, de stockage, confort, la ville de le Corbusier ne relie pas , elle sépare et écarte , il y a 2 problèmes qu’il n’a pas résolue :<o:p></o:p>

    Parking, il n’est pas à l’échelle du piéton<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il part de son temps (machine) pour tendre vers un classicisme intemporel dont il pense qu’il est du ressort intime de l’individu <o:p></o:p>

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    LA POSTERITE DE L’ARCHITECTURE MODERNE<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’archi moderne s’appuie sur 4 pionniers qui l’ont diffusé : <o:p></o:p>

    • le Corbusier<o:p></o:p>
    • Gropius<o:p></o:p>
    • Miss ven der moche <o:p></o:p>
    • Loos<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    I- quel est le langage de l’archi moderne <o:p></o:p>

    Le langage moderne a une allure <o:p></o:p>

    A) la modernité par la rationalité <o:p></o:p>

    • La modernité des matériaux : le matériau de l’archi moderne est le béton armé, facile à fabriquer, à porter et bon marché donc universel<o:p></o:p>
    • 2ème élément de ce langage : ce sont les prétentions techniques, il y a 2 éléments dans celles-ci , la faisabilité industrielle ( on travaille avec des ingénieurs en se rapprochant de l’industrie) et ensuite on rêve de prouesses <o:p></o:p>
    • 3ème élément : les besoins sociaux, le langage moderne s’articule  autour des besoins de la société, il s’agit de loger, de décongestionner les centres villes, on est dans une archi fonctionnelle, elle part du besoin pour aller vers la forme. Le Corbusier aura la chance de construire son propre univers urbain il y a une liberté chez l’artiste<o:p></o:p>

    Le langage moderne va présenter une codification<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) les 7 invariants de Bruno Zevi<o:p></o:p>

    Il part de l maison Schoder réalisé par Rietreld,  c une archi de 1912 c’est le manifeste de l’archi moderne cette maison : décomposition en plan, interpénétration  du dedans et dehors<o:p></o:p>

    Zevi va essayer de codifier les 7invariants du langage moderne <o:p></o:p>

    • 1er élément : l’inventaire : on fait au niveau de notre édifice, le compte des besoins que l’on a <o:p></o:p>
    • 2ème : l’asymétrie et la dissonance <o:p></o:p>
    • 3ème élément : l’anti perspective, il renonce à la perspective, « il faut refuser de mettre le monde en boite et la logique des ordres, détruire les prismes réguliers »<o:p></o:p>
    • 4ème élément : accepter la quadri- dimensionnalité de l’archi <o:p></o:p>
    • 5ème élément : recours à la coque, membrane et au port à faux (surplomb par rapport au vide) <o:p></o:p>
    • 6ème élément : temporalité de l’espace, on est dans une promenade archi, découvrir l’objet archi en se promenant donc il fait appel au jeu de lumière, à une expérience de l’espace <o:p></o:p>
    • 7ème : la réintégration ; l’édifice doit être réintégré dans la ville, qu’il n’est pas nécessaire que la rue soit dans la rue, ce que refuse Zevi : l’archi classique qui prend un parallélépipède qu’il décompose en pièce égale (les édifices doivent être relié entre eux par des choses fonctionnelles), Zevi veut qu’on invente une ville neuve c'est-à-dire qu’a chaque besoin correspond une forme d’archi et d’urbanisme<o:p></o:p>

    Ces invariants, on les trouve exprimer dans une archi moderne, mais il est rare que dans une archi moderne on englobe les 7, c’est un idéal type.<o:p></o:p>

    Les 7 invariants, est une forme de manifeste, il y a la liberté de l’artiste, il ne dépend pas des éléments préfabriqués et il peu s’exprimer en partant du besoin des gens, double humanisme : créativité de l’artiste et besoin des gens <o:p></o:p>

    A partir de cette capacité de créer il existe : <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II- diversité de l’archi moderne <o:p></o:p>

    Elle est remarquable car elle s’est <o:p></o:p>

    A) adaptation aux conditions locales  <o:p></o:p>

    Grand architecte, Aalto : il est en mesure de faire des choses différentes <o:p></o:p>

    Sharun, (maison à port faux) <o:p></o:p>

    Dans cet archi moderne, il y a quelqu’un qui a une place à part c’est F.L Whright<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B) l’archi organique F.L Whright   <o:p></o:p>

    (Musée en promenade archi) <o:p></o:p>

    Cette archi moderne va connaître une expansion fantastique ce qu’on appelle <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C) le style international <o:p></o:p>

    Il y a 3 éléments :<o:p></o:p>

    • régularité modulaire (symétrie), c’est quelque chose d’assez triste <o:p></o:p>
    • Il n’y a pas de décoration autre que le jeu de décoration et de matériaux de la lumière<o:p></o:p>
    • On est très proche des éléments préfabriqués de l’industrie<o:p></o:p>

    On peut considérer que le langage classique peut avoir sa propre vulgate ( c’est quand le discours et répéte et appauvri) <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    III- langage moderne et classicisme  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A)     faut il confondre classicisme et académisme comme Zevi <o:p></o:p>

    Il fait comme si on pouvait les confondre mais le classicisme, ce sont les formes très pures, pureté géométrique des volumes, rapport entre homme et monument <o:p></o:p>

    Dans ce langage moderne on a un rapport avec le classicisme ambivalent : <o:p></o:p>

    • recherche d’une pureté archi pratiqué par les grecs <o:p></o:p>
    • tous ceux qui ce sont inscrits dans la pureté ont trahis le message, ils sont revendiqués<o:p></o:p>
    • par moment il y avait des gens qui avaient des intuitions géniales<o:p></o:p>

    Le langage moderne a lui-même son propre parcours, il a parcouru le langage classique encore plus vite que lui <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    B)      crise de l’archi moderne <o:p></o:p>

    Elle repose sur 3 points :<o:p></o:p>

    ·         l’utopie urbanistique et archi qui la fonde a échoué (on nous a promis une archi humaine, confort, lumière alors qu’on a un univers pathologique, grisâtre) <o:p></o:p>

    ·         c’est une archi qui ne s’insère pas, elle ne s’enchaîne pas, la seule insertion que l’on a c’est une archi qui tranche, qui détruit (elle crée un monde hostile), elle ne peut créer que des objets solitaires<o:p></o:p>

    ·         l’archi moderne, il ne faut pas lui en vouloir dans la mesure ou l’utopie est morte, elle a échoué comme les utopies ont généralement échoué, elle a été assimilés à la civilisation industrielle, il est quand même extravagant de considérer que l’archi moderne est faite en 80 ans


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