• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

    CRISE, CULTURE ET COMMUNICATION<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    COURS 1<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Introduction

    <o:p> </o:p>

    Phénomène de crise pas simplement individuel à affectent des communautés, des peuples, des Etats, des institutions… Collectifs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Certaines de ces crises, sur le fond, présentent une caractéristique originale :<o:p></o:p>

    à On en prend conscience qu’après coup.<o:p></o:p>

                       Décalage rend les « réparations » encore plus dure.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Extrait : Bey M. : Nouvelles d’Algérie. Prof de français en Algérie. Romancière.<o:p></o:p>

    Elle n’arrive pas à mettre des mots sur sa crise. Liée à celle de l’Algérie, dans un moment de terreur.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Disparition de jeunes hommes à Enquête. Demande à la France d’aider : refus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Notion de crise : notion clef, à un moment précis, dans le contexte et paysage intellectuel français.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etudes, colloques… sur les situations de crise mobilisant des intello commence au début des années 70<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    68 : Explosion, pas anticipée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crise : perte de repères à Fractures sociales

    <o:p> </o:p>

    Crise : Perte de repères et doute de la possibilité d’en trouver des nouveaux.<o:p></o:p>

    <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:rect id=_x0000_s1028 style="MARGIN-TOP: 9.75pt; Z-INDEX: 3; MARGIN-LEFT: -9pt; WIDTH: 441pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 45pt" filled="f"></v:rect><o:p> </o:p>



    Perte de repère lié au déclenchement, au développement et aux conséquences de la crise.<o:p></o:p>

    R. Kaës : Sociologue et philosophe.<o:p></o:p>

    Début des années 70 : « Crise, rupture et dépassement » <o:p></o:p>

    « Ces années qui s’ouvrent marquent simultanément, une crise de la communication, de la culture et de la sociabilité »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Développement de la « Fracture sociale [1]», devenue « coloniale » et les autres crises rassemblent à la fois et de manière complexe, la communication, la culture et la sociabilité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mais un paradoxe dans ces années là : Multiplication des moyens de communication et interrogation sur la façon dont les groupes « font lien ».<o:p></o:p>

             à Fracture sociale est le négatif de ce qui devrait être la liaison sociale.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mai 68 met en mouvement des secteurs différenciés de la société, remet en cause des fondements sur les comportements sociaux et privés.<o:p></o:p>

    ð     aspects décisifs de l’humanité à sexualité.<o:p></o:p>

    Normes, codes, traditions remis en cause.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Début 80’s : quand arrive une nouvelle crise : le SIDA, commente le journal TV où Adjani débarque et dit « je suis Kabyle et je n’ai pas le sida ». <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Peut-être que les choses sont allées trop vite, l’homme et la femme se sont trouvés entraînés dans un mouvement qui semblait irréversible.<o:p></o:p>

    à Laisse un sentiment de culpabilité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1029 style="MARGIN-TOP: 7.65pt; Z-INDEX: 4; MARGIN-LEFT: -18pt; WIDTH: 468pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 79.25pt" filled="f" strokeweight="1.5pt"></v:rect><o:p> </o:p>



    Principes :<o:p></o:p>

    -         Les siècles sont poreux : ils laissent filtrer le passé.<o:p></o:p>

    -         L’histoire a de la mémoire, surtout quand les hommes n’en ont plus…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

     <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Réalité objective mais peu connue :<o:p></o:p>

    Certains documents sont soumis à une loi de prescription de 50 ans mais contiennent des preuves. Mais que se passe-t-il quand on ouvre ces archives… <o:p></o:p>

    ð     Rumeurs transportée, gonflées par les médias au début de la pandémie du sida.<o:p></o:p>

    ð     Inscription de ce qui, presque 20 ans après, sera reconnu comme relevant du racisme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Concepts :

    -         Jeu des antagonismes, forces opposées à rôle capital.<o:p></o:p>

    -         Règles de la sociabilité à nouveau système, entrée dans un groupe nous oblige à laisser à abandonner des questions, des oppositions… mais ce ferment laisser « de côte »  dort, il n’est jamais perdu. <o:p></o:p>

    o       Ils ressurgissent un jour où l’autre à souvent en temps de crise.<o:p></o:p>

    -         Plus il y a de codes, de normes, plus, pour se glisser dans le moule, on laisse de côté des choses de soi. Pour faire le lien à sacrifice.<o:p></o:p>

    -         Ce qui signale la montée du processus critique, c’est que parmi les éléments du système, des éléments antagonistes sont mis en relief.<o:p></o:p>

    o       Deviennent dominants dans le système à Crise.<o:p></o:p>

    -         Ecran, écrin, écrou à Symbolique<o:p></o:p>

    o       Dans les mécanismes critiques, des phénomènes rattachés à ces 3 notions surviennent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mais finalement, l’être humain est un peu programmé, conditionne, à être un animal critique.<o:p></o:p>

    ð     Nous nous développons de crise en crise<o:p></o:p>

    §        Plus ou moins grave<o:p></o:p>

    §        Nous n’avons pas tous les mêmes armes pour lutter.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1030 style="MARGIN-TOP: 8.75pt; Z-INDEX: 5; MARGIN-LEFT: 53.85pt; WIDTH: 414pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 54pt" filled="f"></v:rect><o:p> </o:p>



    ð     La culture serait une arme puissante pour lutter contre la crise mais peut aussi nous précipiter dans la crise.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Exil : paysage familier devient essentiel à cause du manque crée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crise : faille qu’il va falloir franchir en suspension sur le vide : aimerait que quelqu’un nous aide.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Naissance : 1ière crise de l’être humain : Double :<o:p></o:p>

    -         l’être qui se détache<o:p></o:p>

    -         l’être qui se retrouve avec le vide.<o:p></o:p>

    Mettre en crise celle qui nous donne le jour.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

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    COURS 2<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Extrait : Ecrire, M. Duras<o:p></o:p>

    à Solitude et alcool, écriture et lecture.<o:p></o:p>

    Pour M. Duras : Ecriture « Tragique ». Noyée dans l’alcool toute une partie de sa vie.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crise, culture et communication : Littérature = conjuration de la dimension autodestructrice de la crise.<o:p></o:p>

    Ecriture dans la culture est aussi un des moyens de lutte contre la crise.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Littérature de l’exil » : déplacement à laisse leur langue maternelle pour écrire en français.<o:p></o:p>

    Quittent une rive de soi, pour aller « en face », comme si on ne pouvait regarder la sienne que de là ! à Méditerranée.<o:p></o:p>

    Assia Jaba : entrée à l’académie française.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Pour que le regard puisse s’installer d’une rive à l’autre » (Geffroy)<o:p></o:p>

    à Passerelle entre les deux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    è Fonction Médiatrice de la Culture<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La Naissance

    <o:p> </o:p>

    Double séparation de la naissance à il devra y avoir un double lien de la mère à l’enfant et de l’enfant à la mère pour que l’enfant puisse se construire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Winnicott : « Un bébé, ça n’existe pas »<o:p></o:p>

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_Winnicott <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’enfant doit trouver dans son monde nouveau des conditions de développement.<o:p></o:p>

    Homme = animal critique<o:p></o:p>

    à Nous naissons tous prématurément, pas pleinement équipé pour pouvoir assumer ses nouvelles relations, celles dans lesquels il est impliqué (famille) à Obligé d’avoir des idées, de se faire des idées, trouver des explications.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est là que la mère devrait intervenir à explication / éducation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Culture = héritages <o:p></o:p>

    Ce qui nous rend tous différents et inégaux car tous les parents n’ont pas les mêmes armes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    « La capacité de rêverie » de la mère à l’enfant.<o:p></o:p>

    Pas détaché de la réalité mais complètement ailleurs… Permet ; parfois ; en plein cauchemar de sentir et d’entendre « ne t’inquiète pas »<o:p></o:p>

    Emotion qui vont nous permettre, adulte, de nous défendre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     C’est peut-être pour cela que quand nous étudions notre évolution, nous constatons que peu à peu, les domaines de la culture sont de plus en plus infiltrés, imprégnés, par le social, ou peut-être l’inverse : <o:p></o:p>

    §        Social infiltré par la culture ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Car les temps que nous vivons sont des temps de chaos, d’instabilité, de crise. Dans la société et entre certains peuples.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1031 style="MARGIN-TOP: 8.25pt; Z-INDEX: 6; MARGIN-LEFT: 63pt; WIDTH: 3in; POSITION: absolute; HEIGHT: 36pt" filled="f" strokeweight="1.5pt" strokecolor="red"></v:rect><o:p> </o:p>



    ð     Destruction du lien social<o:p></o:p>

    <v:line id=_x0000_s1032 style="Z-INDEX: 7; POSITION: absolute" to="63pt,57.8pt" from="63pt,13.95pt"></v:line><o:p> </o:p>



    ð     <v:line id=_x0000_s1033 style="Z-INDEX: 8; LEFT: 0px; POSITION: absolute; TEXT-ALIGN: left" to="1in,8.75pt" from="63pt,8.75pt"></v:line>Nécessité d’ancrage à des choses de la culture à Source de création et d’invention.<o:p></o:p>

    ð     <v:line id=_x0000_s1050 style="Z-INDEX: 25; LEFT: 0px; POSITION: absolute; TEXT-ALIGN: left" to="81pt,9.5pt" from="63pt,9.5pt"></v:line>Cadre dans lequel nous avons nos repères, contacts et sensations multiples.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1034 style="MARGIN-TOP: 7.35pt; Z-INDEX: 9; MARGIN-LEFT: -9pt; WIDTH: 180pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 36pt" filled="f"></v:rect><o:p> </o:p>



    Cadre originel : La mère<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Environnement qui, sous l’effet d’une séparation radicale ou non, va être un cadre qui va simultanément Disparaître et se Révéler. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Séparation à Manque

    « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé ». (Alphonse de Lamartine, Méditations) Le familier explose, nous est retiré.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Quantité d’êtres et de choses dont nous ne soupçonnons pas qu’ils sont des repères.<o:p></o:p>

    à C’est quand ils ne sont plus là que la réalité change, plus dure, comme si on nous avait enlevé ce confort « presque » maternel.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nietzsche : « Il faut avoir du chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Perte de repère, de socle à vertige peut entraîner jusqu’à la mort.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Janus : Dieu des portes : deux faces et chacune regarde dans un sens opposé.<o:p></o:p>

    ð     Crise porte autant de potentiel de destruction que de construction et de recréation, de renaissance.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mort à résurrection <o:p></o:p>

    à Antiquité, religion, social… Comme une épreuve mais marque symbolique d’entrée dans une société, dans un groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les âges…

    <o:p> </o:p>

    ð     Chirurgie esthétique à Renaissance ?<o:p></o:p>

    Anti-âge qui est aussi la source de discrimination sociale car tout le monde n’a pas les moyens.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Vieillesse : processus critique, comme les ado, comme à la naissance : Homme toujours en crise !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pré-ado : souvent oublié, mais ébauche, hésitation qui se situe vers 7-8 ans. à Crise interne ne se signale qu’à certains petits détails.<o:p></o:p>

    Périodes de mini-crises :<o:p></o:p>

    2 terrains d’expression : <o:p></o:p>

    - Corps à somatique<o:p></o:p>

    - Ecole<o:p></o:p>

    Se transforme en « crise d’ado » ;<o:p></o:p>

    Double impact : pour les parents et pour l’enfant.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On s’aperçoit d’une équivalence symbolique majeure : La Mère et ce qu’elle représente et le groupe.<o:p></o:p>

    à le groupe est capable d’avoir les mêmes fonctions que la mère à crise dans organisation, toutes celles que nous traversons.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les parents arrivent à l’âge où ils se questionnent sur <o:p></o:p>

    -         leur pouvoir et leur emprise sur la vie<o:p></o:p>

    -         leur fore vitale, leur énergie et leur psychisme<o:p></o:p>

    -         les heures de Bilan : tout ce qu’on n’a pas fait. <o:p></o:p>

    ð     Parents sont poussés dans ce territoire de réminiscence aussi par leurs enfants, qui ont une énergie folle.<o:p></o:p>

    Avec comme décor permanent : des rêves d’adolescence, des rêves non accompli (pas encore ou jamais) à mélange entre ceux des enfants et des parents : choses pas faites, plus possible de les accomplir.<o:p></o:p>

    à Relation avec la crise des 45-50 ans : « Le démon de midi ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    RITES DE PASSAGES, dans nos sociétés occidentales ont disparu. Ont-ils été remplacés ? <o:p></o:p>

    Sans doute pas…<o:p></o:p>

    à Tendances pour essayer de trouver des garanties de passage à l’âge adulte par exemple. Mais tous n’ont pas les mêmes armes.<o:p></o:p>

    Ce n’est pas parce que, dans notre famille, ils étaient bien armés que le passage est facile… Car, et c’est une des propriétés de la culture : a priori, ça se transmet.<o:p></o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1027 style="MARGIN-TOP: 10.75pt; Z-INDEX: -24; MARGIN-LEFT: 2in; WIDTH: 171pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27pt" strokecolor="red" fillcolor="#ff9"></v:rect><o:p></o:p>

    Culture = Transmission<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mais la culture c’est ce dont on hérite, à condition d’avoir un lieu ou mettre ce que nous trouvons. (Winnicott)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Amour pas équivalent de transmission, l’un n’implique pas l’autre…<o:p></o:p>

    Transmission de connaissance, mais par les parents : capacité de l’incorporer : Dynamique qui permet de profiter de cette connaissance…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Transmission de la possibilité d’être <o:p></o:p>

    -         dans une « réalité vraie » et dans une autre<o:p></o:p>

    -         de s’inscrire et de se retirer de ce monde et de le transfigurer.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     L’acte de créer une œuvre ou un plat, quoi que ce soit ! Suppose un pouvoir de transformation de la réalité des êtres et des choses.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Socrate : Les meilleurs parents sont ceux qui vous éveillent.<o:p></o:p>

    Transmission : capacité de communication et d’expression, par la parole et le corps.<o:p></o:p>

    M. de Certeau : « Art de faire »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    COURS 3<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1035 style="MARGIN-TOP: 3.85pt; Z-INDEX: 10; MARGIN-LEFT: 63pt; WIDTH: 333pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 36pt" filled="f" strokeweight="1.25pt"></v:rect><o:p> </o:p>



    Rappel : CORPS = MERE = CADRE = GROUPE<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Extrait : Rimbaud <o:p></o:p>

    1° texte : premier jet de « Mauvais sang » : intro à Une saison en enfer.<o:p></o:p>

    2° texte : « Le dormeur du val »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rimbaud, à la fin de sa vie, part sur les traces de son père, le capitaine Rimbaud. Meurt suite à une blessure qui le laissera boiteux.<o:p></o:p>

    Comme Œdipe : oedpus = celui qui a les pieds enflés.<o:p></o:p>

    Enfants, il a été pendu par les pieds et les poignets, ce qui laisse des traces…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jocaste entrevoit, une fois amoureuse de Œdipe, que ses chevilles sont enflées… Mais elle ne veut pas voir, pas comprendre.<o:p></o:p>

    Œdipe, quant à lui fuit la fatalité…et pourtant, il respecte la prophétie qui lui a été faite. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les Mythes, Légendes, Religions…

    Contiennent une sagesse, mais aussi nos peurs, l’héritage de nos peurs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour pouvoir accoucher de soi-même, ce qui est très difficile… on a besoin, tous, de ces espaces de récits, de prières, de contes ou de romans, de pouvoir accueillir ça à nous éveiller l’âme avec ça.<o:p></o:p>

    Selon les cultures : pas les mêmes possibilités d’éveil.<o:p></o:p>

             à Quand tensions, conflits… on se rend compte qu’on ne s’éveille pas au même monde…<o:p></o:p>

                       à Repères identitaires qui peuvent, dans des conditions particulières, nous faire défaut. Mais peuvent aussi, dans des moments critiques, nous aider, nous « accueillir ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moment critique : Besoins d’être contenu

    <o:p> </o:p>

    Malgré l’envie de liberté.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Contenant : corps de la mère, puis, notre propre corps<o:p></o:p>

             à Peu à peu, prend conscience du corps è devient un cadre<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Société : Famille, groupe… devient discrètement mais efficacement, un cadre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rêve : filtrer, amortir, contenir ce qui serait une agression ou une souffrance, une solitude, le point de départ d’une crise personnelle.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans la liberté, nous avons tous besoin d’avoir un réceptacle de nous même, un étayage sur lequel nous appuyer à socle suffisamment fort pour donner le sentiment de pouvoir rester debout quoi qu’il arrive.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’exil : quitte une terre, un socle

    <o:p> </o:p>

    Terre : corps, mère, groupe à cadre essentiel qu’il faut quitter.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cadres permettent de se construire une sorte de garantie de pouvoir apprivoiser la vie, sa vie.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dimension groupale de ce réceptacle. Pas une pers qui se repose sur un groupe mais aussi un groupe qui se repose sur l’individu.<o:p></o:p>

    à Solidarité, chaîne, lien qui réuni les étayages dont nous avons besoin.<o:p></o:p>

    Mais à trop s’appuyer, sans espaces suffisant entre les différents points d’appui : l’écran de protection devient un écrou de contention.<o:p></o:p>

    Comme les rouages d’une horloge qui se bloque quand il y a trop de poussière…<o:p></o:p>

    Principe Fondamental : L’intervalle

    <o:p> </o:p>

    Jeu dans les mécanismes humains, techniques, vivants… à Sans intervalle, paralysation et mort. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Politique : régime totalitaire : Intervalles inexistants à Systèmes clos, verrouillés.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Intervalles dans l’exercice du pouvoir nécessaire, sinon, le système est voué à la mort… L’étranger.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Le pire, ce n’est pas d’être dépossédé par l’autre, le pire, c’est d’être dépossédé de l’autre » <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Nécessité de reconnaître l’étrangeïté<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etranger : <o:p></o:p>

    Vide entre départ et arrivée. à Pas assez de passage entre passé / présent.<o:p></o:p>

    Vide = risque quand on doit franchir le pas car personne n’est là… <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:shapetype id=_x0000_t186 filled="f" coordsize="21600,21600" o:spt="186" adj="1800" path="m@9,nfqx@0@0l@0@7qy0@4@0@8l@0@6qy@9,21600em@10,nfqx@5@0l@5@7qy21600@4@5@8l@5@6qy@10,21600em@9,nsqx@0@0l@0@7qy0@4@0@8l@0@6qy@9,21600l@10,21600qx@5@6l@5@8qy21600@4@5@7l@5@0qy@10,xe"><v:formulas><v:f eqn="val #0"></v:f><v:f eqn="val width"></v:f><v:f eqn="val height"></v:f><v:f eqn="prod width 1 2"></v:f><v:f eqn="prod height 1 2"></v:f><v:f eqn="sum width 0 #0"></v:f><v:f eqn="sum height 0 #0"></v:f><v:f eqn="sum @4 0 #0"></v:f><v:f eqn="sum @4 #0 0"></v:f><v:f eqn="prod #0 2 1"></v:f><v:f eqn="sum width 0 @9"></v:f><v:f eqn="prod #0 9598 32768"></v:f><v:f eqn="sum height 0 @11"></v:f><v:f eqn="sum @11 #0 0"></v:f><v:f eqn="sum width 0 @13"></v:f></v:formulas><v:path o:extrusionok="f" limo="10800,10800" o:connecttype="custom" o:connectlocs="@3,0;0,@4;@3,@2;@1,@4" textboxrect="@13,@11,@14,@12"></v:path><v:handles><v:h switch="" yrange="0,5400" position="topLeft,#0"></v:h></v:handles></v:shapetype>

    <v:shape id=_x0000_s1036 style="MARGIN-TOP: 9.95pt; Z-INDEX: 11; MARGIN-LEFT: 306pt; WIDTH: 180pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 90pt" adj="3612" type="#_x0000_t186"><v:textbox>

     
    </v:textbox></v:shape><o:p> </o:p>ð     Séparation entre les 2 mondes

    ð     Rupture, faille <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>

    Pontage : possibilité de faire se rejoindre 2 espaces opposés.<o:p></o:p>

    </o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p> </o:p>

    Histoire perso : hypersensibilité qui rend le pontage difficile, comme si à cet endroit précis, on déclenchait une effervescence : Bouillonnement.<o:p></o:p>

    Peaux chéloïdes : peuvent pas être réparée car se boursouflent… CORPS<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Espace : propriété créatrice dans l’intermédiaire et espace d’étayage entre les individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’intermédiaire :<o:p></o:p>

    - Médiateur à passage d’un monde à l’autre<o:p></o:p>

    - Représente, dans une situation de crise, à la fois <o:p></o:p>

             - une instance de communication<o:p></o:p>

             - Une instance d’articulation des différences<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les différences sont bénéfiques tant qu’il y a des possibilités d’articuler cette / ces différences entre Sociétés, cultures.<o:p></o:p>

    Temps, espace à doivent être des Lieux de symbolisation, pour établir une communication, un dialogue.<o:p></o:p>

    « La parole, c’est le meurtre de la chose » <o:p></o:p>

    à Signes, chants, musiques, littérature… qui surgit, se crée à la place de…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Le langage symbolique se crée sur la base d’une absence <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Religion constituée de tous ces signes symboliques à Figures, chants, Architectures.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’absence, l’invisibilité est une source d’incantation à C’est comme ça que les langages naissent, se développent et s’enrichissent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les guerres n’ont de cesse de nous montrer la difficulté de faire mourir certains mots / maux… <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    COURS 4<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Extrait : La douleur, de M. Duras. Un de ses premiers manuscrits. Mort de l’être aimé dans un camp de concentration. Attente de la nouvelle.<o:p></o:p>

    M Duras a connu Mitterrand pendant la résistance. Un des seuls livres où elle évoque la torture physique et en donne l’image terrible, celle d’un entraînement, c’est-à-dire des rouages qui se mettent en marche quand on appartient à une cause, qu’on est une femme dans un univers d’hommes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Société

    Société à Tensions, guerres à Crises<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Equilibre entre :<o:p></o:p>

    -         Le potentiel autodestructeur de la crise<o:p></o:p>

    -         Le potentiel positif vers la renaissance, le progrès, la régénération.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Même au cœur du conflit, possibilité de trouver, dans des éléments qui sont ceux de la culture (dessin, musique…), les moyens de traverser et de dépasser la crise.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    GM2 : Réel pouvoir des mots. (com, prop, tort…)<o:p></o:p>

    Fulchignioni : « La civilisation de l’image »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A force de vivre avec les images, on a peut-être perdu les mots et leur pouvoir. Baisse de la lecture à Faire ses propres images est devenu si rare !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Effet de la crise du système éducatif<o:p></o:p>

    Nous nous en remettons trop à des images faites par d’autres. Nous oublions le pouvoir des mots en tant que source d’imagination et de construction.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moment de guerre : Crises<o:p></o:p>

             à Collectifs et individuels<o:p></o:p>

             à Obligés de prendre la mesure de ce qui se passe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Crisologie »

    <o:p> </o:p>

    1976 : E. Morin : « Pour une crisologie »<o:p></o:p>

    Article de référence. Identifie les sources fondamentales pour approcher les phénomène de crise : « Théorie générale des systèmes » de Bertalanffy

    -         Cybernétique

    -         Thermodynamique

    -         Théorie des catastrophes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Morin : Notion de crise rend nécessaire la prise en compte de principes<o:p></o:p>

    -         Systématique / systémique<o:p></o:p>

    -         Cybernétique<o:p></o:p>

    -         Néguentropie

    <o:p> </o:p>

    Antagonismes

    <o:p> </o:p>

    Ce qui permet une circulation entre les composantes du système comporte deux types d’élément :<o:p></o:p>

    -         Positif : dans le sens du mouvement à Visible en première analyse<o:p></o:p>

    -         Négatif : si on les examine, ils se présentent comme des éléments porteurs d’antagonismes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’équilibre d’un système complexe dépend de la coexistence de ces composantes antagonistes. Ce sont eux qui garantissent la vie du système.<o:p></o:p>

    à Si l n’y a que des éléments positifs, le système devient un<o:p></o:p>

     Système clos :<o:p></o:p>

    -         Auto contemplation narcissique<o:p></o:p>

    o       Qui ferme toutes les ouvertures vers l’extérieur<o:p></o:p>

    ·        COCON <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Amalgame entre négatif et nouveauté : plus rien ne rentre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Verrouillage précipite ce Système dans un processus d’autodestruction.<o:p></o:p>

    à Incapable de régénérescence<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·       Sans forces antagonistes : pas de vie ni de survie<o:p></o:p>

    ·       Antagonisme doit rester à l’état virtuel car s’il se met en marche, le système risque d’être pris d’un déséquilibre à Révolution<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 formes de déséquilibre :<o:p></o:p>

    - Déséquilibre porteur de régénération, de recréation, sinon : processus léthal : qui est porteur de mort.<o:p></o:p>

    - Déséquilibre qui entraîne l’autodestruction.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rapport de complémentarité entre :<o:p></o:p>

                         <o:p></o:p>

    LIAISON / Attraction                           DISSOCIATION / Répulsion<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Domination implique des contraintes pour les dominés.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans un système, il existe des phénomènes actualisés et d’autre qui sont virtualités. à Rapport de force entre les deux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce qui fonde la complexité d’un système c’est ce simple fait qu’il produit de l’antagonisme en permanence, mais qu’en même temps, il ne cesse pas de le refouler.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etayage, appui réciproques entre les antagonismes et les complémentarités.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Antagonisme à Source de création dans le système <o:p></o:p>

    ð     La culture est nourrie par, dans les marges, les oppositions, les antagonismes.<o:p></o:p>

    ð     Echappées vers l’innovation sans lesquels la culture se rétrécit sur elle-même.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les moments de crise à Montées d’antagonismes à Indiscutablement, des moments d’invention, de découverte.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Internet, bombe atomique … Inventions de la GM2.<o:p></o:p>

    Expérimentations chirurgicales sur les juifs à Sert pour la chirurgie esthétique !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A. Malraux : « Le génie naît de la pénurie »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1968 : Forces de création déjà présentes depuis longtemps mais à l’état virtuel.<o:p></o:p>

    à Antagonisme prend le pas sur la complémentarité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crise : Rupture de l’équilibre

    <o:p> </o:p>

    Lorsque le désordre s’installe, on s’appercoit que les repères habituels ne sont plus à leur place.<o:p></o:p>

    ð     Disparition des repères plus facile à gérer que leur déplacement.<o:p></o:p>

    o       Peut-il continuer à être un repère ? Crée encore plus de confusion.<o:p></o:p>

    ·        Signe revétu d’une étrange familiarité, d’une inquiétante étrangeté.<o:p></o:p>

    <v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: 31.5pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: 3in; WIDTH: 81pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27pt; mso-position-horizontal: absolute; mso-position-vertical: absolute" filled="f" coordsize="1980,900" path="m1980,c1875,285,1770,570,1440,720,1110,870,240,870,,900e"><v:path arrowok="t"></v:path></v:shape><v:oval id=_x0000_s1037 style="MARGIN-TOP: 4.1pt; Z-INDEX: 12; MARGIN-LEFT: 261pt; WIDTH: 81pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 34.55pt"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1037">

     
    </v:textbox></v:oval><v:shapetype id=_x0000_t202 coordsize="21600,21600" o:spt="202" path="m,l,21600r21600,l21600,xe"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t"></v:path></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1038 style="MARGIN-TOP: 26.9pt; Z-INDEX: 13; MARGIN-LEFT: 9pt; WIDTH: 207pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 45pt" type="#_x0000_t202"><v:textbox>

    S’ils se multiplient, alors nos capacités de vivre peuvent être remisent en cause.

       ==> DOUTE

    </v:textbox></v:shape><o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>



    Après coup : dépaysement soudain. Quelque chose de soi, des autres, du monde se trouve dévasté.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    COURS 5<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Extrait : L’armée du salut, A. Taïa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Culture : une des ressources majeures de la lutte contre la crise à « Outils para-critique ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Culture : Cible désignée pour être elle-même un espace d’actualisation, d’explosion de situation de crise.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Eléments : <o:p></o:p>

    -         Complémentaires<o:p></o:p>

    -         Concurrentiels<o:p></o:p>

    -         Antagonistes<o:p></o:p>

    Pas d’équilibre humain sans équilibre entre positif et négatif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    E. Morin : (1976) «  Les antagonismes demeurent soit virtuel, soit plus ou moins contrôlés, soit même… plus ou moins contrôlant. Il fait irruption quand il y a crise, il fait crise quand il fait irruption ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crise vue de l’extérieur à terrible<o:p></o:p>

    «  L’enfer c’est les autres »<o:p></o:p>

    à Dérégulation extrême, ressemble étrangement à un symptôme qui disparaît.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Symptôme à trouble<o:p></o:p>

    Guérison : pense à l’amélioration, mais en fait, ça devient pire encore !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Antagonisme Contrôlant 

    <o:p> </o:p>

    Régissent une certaine forme d’équilibre du système.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Couples constamment fâchés qui sont incapables de se séparer à Attachement aussi grand que les crises qui les fait souffrir.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mony Elkaïm : « Si tu m’aimes, ne m’aime pas. »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jeu Antagonisme / Complémentaire à Caractéristiques

    <o:p> </o:p>

    à Instabilité<o:p></o:p>

    à Renouvellement constant des désorganisations et des réorganisations.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Point de vue de la cybernétique

    <o:p> </o:p>

    Différences entre rétroactionpositive et rétroaction négative.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Rétroaction négative : ce qui se produit quand un antagonisme émerge face à un autre antagonisme et va annihiler l’action du premier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si rien ne pénètre dans le système : INERTIE<o:p></o:p>

    -         Tourne en rond, aucune régénération, pas d’ouverture.<o:p></o:p>

    -         Epuisement d’elle-même à désintégration<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Rétroaction positive : antagonisme qui a l’air négatif mais qui n’arrête pas de s’amplifier à signe la précipitation dans la crise profonde <o:p></o:p>

    à Image de la vague à rouleau.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Société dans lesquelles on peut montrer ces rétroactions positives, mais pas toutes les sociétés donnent ces possibilités.<o:p></o:p>

    à Cache<o:p></o:p>

    è Violence de la déflagration due à l’accumulation de silence car aucune part de cette énergie ne va vers l’extérieur à IMPLOSION.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Point de vue néguentropique

     <o:p></o:p>

    Constate une instabilité accrue. Mouvement, turbulence qui se multiplie dans  ce mouvement complémentarité / Antagonisme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nos sociétés sont marquées par des processus de + en + vifs et riches.<o:p></o:p>

             à Producteurs de complexité. (De Rosnay : Macroscope : outil de l'analyse de la complexité)

    <o:p> </o:p>

    On ne peut plus penser les organisations comme étant une garantie de se maintenir dans  un principe d’homéostasie (= capacité de conserver l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extèrieures)

    <o:p> </o:p>

    De + en +, les systèmes humains se nourrissent de séquences de désorganisation et de réorganisation.<o:p></o:p>

             à Système humain se nourrissent de crises successive à Individu est un animal critique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Société contemporaine : socialement, de moins en moins de liaison / partage sont assurés à quand on change de rive : pas de passerelle.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    - Passage enfant à Ado à Adulte. Oubli, blessures sur lesquelles on ne peut pas revenir.<o:p></o:p>

    - Passage d’un pays à l’autre à on ne peut pas revenir en arrière.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Individu Incertain : A. Ehrenberg 1999<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est aussi ça : surdité, oubli, pas sûr d’être là où il faut.<o:p></o:p>

    à Errance : se déplace, mais sans avoir l’assurance que ces déplacements le laissent en contact avec les réalités du monde.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Systèmes Sociaux Modernes sont faiblement intégrés.<o:p></o:p>

    à En oscillation permanente entre complémentarité et antagonisme.<o:p></o:p>

    à Contraints de connaître ces phase d’organisation / désorganisation sans aucun répit.<o:p></o:p>

    à Enchvêtrement complexe : rétroaction +/ rétroaction – qui crée l’homéostasie.<o:p></o:p>

             à Stabilité / stagnation <o:p></o:p>

    <v:line id=_x0000_s1039 style="Z-INDEX: 14; POSITION: absolute" to="1in,8.6pt" from="1in,-.4pt"></v:line>                   à pas comparable à la stabilité précédente ne reconduit pas une organisation stable avec les même éléments. <o:p></o:p>

                                                                               à Changement de sens.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Changement dans la continuité mais on ne reconnaît pas ce qui était auparavant.<o:p></o:p>

    ð     Accantue le sentiment d’Incertitude = Trouble du sentiment d’identité <o:p></o:p>

    §        Dans le regard des autres<o:p></o:p>

    §        Dans les repères<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>



    Identité ne peut plus être circonscrite que ce soit l’identité sociale, individuelle ou sexuelle.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cette incertitude peut être à l’origine d’état de crise, y compris à un niveau collectif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    E. Morin : Facteurs de perturbation Internes et Externes<o:p></o:p>

    Quel jeu va s’instaurer entre les 2 ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Interne : Plus facile de haïr l’extérieur, l’étranger que se remettre en question soi-même.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Semblant de résolution des crises à Illusion, magie qui a des racines archaïques très puissantes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cours 6<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Extrait : J. Genet : Le funambule<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crise : Entre deux rives.<o:p></o:p>

    Image du funambule souvent quelqu’un qui, dans une période de désarrois où il ne sait pas où on va, marche sur un fil.<o:p></o:p>

    On a le sentiment qu’aucun de ses pas n’est assuré, que le corps est raidi, comme tétanisé.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Individuel : Rigidité est souvent une garantie de la chute, manière de ne plus tenir debout, contrairement à ce qu’on espère.<o:p></o:p>

    Rigidité : ne eut pas accomplir les gestes essentiels pour se saisir de quelque chose. On ne peut pas faire preuve de lucidité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Collectif : Rigidification du système va empêcher que soit annulé des déviances et des antagonismes.<o:p></o:p>

    Blocages des dispositifs des rétroactions négatives. <o:p></o:p>

    Déblocage des inhibitions et des contraintes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Situation de « double contrainte » à groupe face à des situations ou il a le sentiment de faire quelque chose et son contraire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Obligation d’inventer face à la rigidité et double contrainte <o:p></o:p>

    Rigidité : Germe de la destruction<o:p></o:p>

    Obligation de créer à Germe de créativité aussi !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Solution externe, magique sont invoquées, inventées, quitte à s’ériger soi-même en véritable héros !!!<o:p></o:p>

    à Utopie, illusion dans le meilleur cas<o:p></o:p>

    à Au pire : carcans, armures idéologiques<o:p></o:p>

                       à Totalitarisme naît souvent dans la mouvance de situation de crise collective.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    (Hitler : 1er rêve : peintre)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si on se réfugie dans une idéologie à Imposition d’une forme de militance mythique à Ceux qui s’y précipitent y trouvent, fantasmes ou réalité, tout ce qui était venu à leur manquer !<o:p></o:p>

    Totalitarisme = CADRE<o:p></o:p>

    ·       Repères pour celui qui est en errance, en instabilité<o:p></o:p>

    ·       Prise en charge<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð     Niveau individuel et niveau collectif<o:p></o:p>

    Crise à Rupture

    <o:p> </o:p>

    Dans deux domaines :<o:p></o:p>

    ·       Relations interpersonnelles<o:p></o:p>

    ·       Relation intra subjectives : unité interne.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Rupture dans nos appartenances. Groupes sociaux qui nous entourent : feuille, ami, culture…<o:p></o:p>

    à Trouve plus sa place dans la société.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Faire le deuil de son monde personnel, d’une partie de soi, du « Moi » qui nous a construit, que l’on a connu…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Intervalle à Passeur à L’art

    <o:p> </o:p>

    L’art est sans doute le meilleur passeur et le meilleur pansement dans les situations de crise.<o:p></o:p>

    Art fait partie de la culture<o:p></o:p>

                                à 2 Moyens de passage <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Sciences humaines : intervalle est ce qui autorise l’idée de transition (transire = traverser) dans l’idée d’une trajectoire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il y a un lieu de passage, ou la transition est assurée. Cette dimension qui symbolise l’entre deux rives, c’est le « Transitionnel »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    « L’espace transitionnel »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Paradoxal.<o:p></o:p>

    « Théorie du jeu » : état particulier caractérisé par sa séparation par rapport à la réalité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Jouer n’est pas vivre.<o:p></o:p>

    à Pénétrer dans un univers de fiction transitoire tout en gardant la capacité de revenir à la réalité. Sinon : Aliénation dans  le jeu.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le Jeu, chez l’enfant notamment, c’est l’espace dans  lequel tout l’univers qui s’y rassemble est un univers subjectif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Univers qui a suffisamment d’écart par rapport à la réalité pour qu’il soit nécessaire que l’enfant revienne à une autre réalité, la réalité objective.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Winnicott : appel cet espace de jeu « Espace Transitionnel ».<o:p></o:p>

    Chercheur qui travail avec les enfants autistes.<o:p></o:p>

    Jeu permet à l’enfant de pouvoir voyager dans  un monde subjectif et d’en revenir.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ado/Enfant délinquants ont une caractéristiques commune à ils ne jouent pas. Toujours dans des actions réelles.<o:p></o:p>

    Pas la capacité de s’évader ni de dialoguer d’une rive à l’autre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Winnicott comprend que la culture, l’accès à la culture suppose l’existence, chez l’individu, d’une capacité à évoluer, vivre dans des espaces transitionnels.<o:p></o:p>

    « La culture c’est ce dont on hérite, à condition d’avoir un lieu où mettre ce que nous trouvons. »<o:p></o:p>

    Cette citation de Winnicott fait le lien entre crise, culture et communication.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cours 7

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tout état de crise traduit à la fois :<o:p></o:p>

    · un dérèglement<o:p></o:p>

    · une mutation<o:p></o:p>

    · une réorganisation et une recomposition<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

                                            Passerelle / intermédiaire<o:p></o:p>

    <v:line id=_x0000_s1047 style="Z-INDEX: 22; POSITION: absolute; flip: x" strokeweight="2pt" strokecolor="fuchsia" to="225pt,65.4pt" from="198pt,11.4pt"><v:stroke dashstyle="longDash"></v:stroke></v:line><o:p> </o:p>



        Etat Nécessairement                                       Etat inconnu : <o:p></o:p>

    disparu : repères, univers…                         Incertitudes, Menaces…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

                                               Intervalle<o:p></o:p>

                    Intervalle périlleux, instable, plein de paradoxes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nous rejouons, dans  les situations de crise se qui a pu déjà, auparavant se jouer, même si les cartes et le jeux sont différents.<o:p></o:p>

    à Rappel des peurs, des doutes sur soi et sur les autres. à Remontent à la surface ó Résonance.<o:p></o:p>

    C’est à ce moment là que l’on craque : ‘burn out’ : pendant une crise, même les plus forts peuvent craquer ! <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    à Nécessité d’un lieu transitionnel puisqu’il s’agit de traverser l’intervalle, donc de le franchir.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <v:rect id=_x0000_s1048 style="MARGIN-TOP: -18pt; Z-INDEX: 23; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 99pt; WIDTH: 261pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 81pt; TEXT-ALIGN: left" filled="f" strokeweight="2pt" strokecolor="red"></v:rect>Espace transitionnel est fait pour se <o:p></o:p>

    Reconstruire des repères, <o:p></o:p>

    pour se sentir contenu<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Espace de sécurité suffisante pour contenir, sinon, risque de contention, d’enfermement dans cette transition. (Alain Ehrenberg)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce qui devrait être un passage, nous assurer d’avoir les forces pour rejoindre l’inconnu, devient un piège, un cul de sac.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Selon les cultures, la société…<o:p></o:p>

    à Forme de Narcissisme devient importante dans la crise entre deux monde : On n’a pas toujours envie de se tourner vers l’autres quand on passe son temps à se consommer soi-même[2].<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Piège + Narcissisme à d’où l’idée de refuge suffisant et pas « de contention ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    La culture est un code

    <o:p> </o:p>

    Dans une société, dans une culture : ce qui permet de tenir le Tout et donc les individus, ce sont les Codes car ils font Cadres<o:p></o:p>

    ð     Pas de cadres à Vide<o:p></o:p>

                  Nature et humanité a peur du vide, c’est ce qui les pousse à créer.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pendant Mai 1968 : Casse les cadres, les contraintes à transgression et incertitude mais n’ont pas œuvré tout de suite pour recréer à Culpabilité dans certaines cultures et communautés.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Depuis Mai 1968 : Recréations multiples, mais totalement chaotiques, dans tous les sens et par tous.<o:p></o:p>

    (ex : Internet cf. Bertini?)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Commémoration, Devoir de Mémoire, Ritualisation des Deuils… à laisse à réfléchir.<o:p></o:p>

                       Narcissisme / Culpabilité / Repères.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Culture : Lieu transitionnel par excellence<o:p></o:p>

    <v:shape id=_x0000_s1049 style="MARGIN-TOP: 11.4pt; Z-INDEX: 24; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 9pt; WIDTH: 54pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 1in; TEXT-ALIGN: left; mso-position-horizontal: absolute; mso-position-vertical: absolute" filled="f" coordsize="896,890" path="m92,hdc67,196,,660,92,729v215,161,804,37,804,37hae"><v:stroke endarrowlength="long" endarrowwidth="wide" endarrow="classic"></v:stroke><v:path arrowok="t"></v:path></v:shape>à Création, Art, expression<o:p></o:p>

    à Origines individuelles, groupales… <o:p></o:p>

                  <o:p></o:p>

    ·        Permet d’assurer le passage d’une rive à l’autre<o:p></o:p>

    ·        Permet de contenir, dans un code<o:p></o:p>

    ·        Permet de symboliser, dans des rites et des pratiques les relations et les significations qui sont liées à l’amour et à la haine.<o:p></o:p>

    Ø     Envers les autres et/ou en vers soi-même.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comment transformer ce sentiment en quelque chose de positif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La culture d’appartenance représente ce « soi originel », ce cadre.<o:p></o:p>

    La culture est aussi porteuse de « Liens » : Passage de l’un à l’autre et de « Liance » : Mouvement de se lier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La culture, c’est encore une façon d’accomplir certains gestes. Des gestes futiles en apparence, mais profondément importants.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comment nos sociétés post-modernes essaient de contenir ce qu’elles désignent comme désordre, presque pathologie[3] d’une crise plus sociale qu’individuelle.<o:p></o:p>

    Lien social, « Dynamique de Liance » va donc prendre de + en + d’importance.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1943 : Roheim : Origines et fonctions de la culture.<o:p></o:p>

    « Les systèmes de défense contre l’angoisse sont l’étoffe même dont la culture est faite. »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La culture est bien un système de défense puisqu’on y trouve des armes !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Toute maladie est d’abord un essai de guérison.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>



    [1] P. Blanchard : La fracture coloniale<o:p></o:p>

    Historien, recherches sur les mécanismes et effets de la colonisation et de l’immigration.<o:p></o:p>

    à Difficultés de la France à intégrer son passé colonial et post colonial.<o:p></o:p>

    à « Urbanisme urbain » à la mode. <o:p></o:p>

    à Pour l’auteur, les problèmes post coloniaux sont des « symptômes d’un retour du refoulement » : Le passé resurgit dans l’actualité de façon désordonnée, déstructurée.<o:p></o:p>

    ð       Revendication des enfants des colonies<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    [2] Cf : L’individu incertain ; Alain Ehrenberg<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    [3] à Chronicisation d’un état de crise


     

    </o:p>

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