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Par hinachii le 23 Décembre 2006 à 15:42
Article au combien intéressant pour approfondir les cours de Bertini.>> Lire
Je vous conseille aussi d'aller faire un tour sur le site internet de Joël de Rosnay !
Menace sur les Mass Médias ?
20 avril 2005 | par Joël de Rosnay
Les "médias des masses" vont concurrencer de plus en plus les mass medias représentés par la télévision, les quotidiens et les majors de la musique. Les nouvelles techniques concurrentes sappellent P2P TV ou People TV utilisant des logiciels de téléchargement basés sur la technologie "bit torrent" (plus il y a de téléchargements simultanés, plus la vitesse augmente), le podcasting (rediffusion de musique en MP3 à partir démissions de radio FM), et les journaux "citoyens" rédigés par les lecteurs eux-mêmes à partir de leurs "blogs". Al Gore lance en août "Current-TV" en partenariat avec Google, Vivendi Universal, et Rob Glaser, le fondateur de RealVideo. Cette chaîne est destinée à un public de 18-34 ans et sera réalisée en grande partie par les téléspectateurs. En France, la société Cybion lance début mai le premier quotidien en ligne multimédia rédigé par ses lecteurs, Agoravox. Ces initiatives remettent en cause les modèles classiques de diffusion pyramidale à partir de quelques émetteurs. Le "one to many" va bientôt se trouver face au tsunami du "many to many".
1 commentaire -
Par hinachii le 18 Décembre 2006 à 01:12Voici un lien trés interssant pour approfondir le cours de Mme Bertini !
votre commentaire -
Par hinachii le 2 Décembre 2006 à 21:48
Internet : nouvel outil de communication
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
Cours 1
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Dans les années 2000, le nombre dinternautes était denviron 200 millions ; de nos jours, ils sont plus dun milliard (= 1/7 de la planète). Cela montre bien lexponentialité fulgurante véhiculée par linformatique et linternet.<o:p></o:p>
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« Humanité augmentée », « Réalité augmentée » sont des notions très utilisées quil faudra définir pour comprendre notre environnement à venir.<o:p></o:p>
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Le réseau Internet est un DISTIC (Dispositif socio technique dinfo-com). Cest plus quune technique. Le Web est en train de réaménager la société et les interactions de ses individus. Il faut maintenant que nous dépassions lidée « doutil instrumentalisation ».<o:p></o:p>
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Toutes les mutations sociotechniques sont rendues possibles grâce à 4 dispositifs :<o:p></o:p>
Les Nanotechnologies, la Biotechnologie, lInformatique et le Cognitivisme, plus communément appelés « NBIC ».<o:p></o:p>
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Nanotechnologies <o:p></o:p>
Cette discipline rend possible le travail à léchelle de latome : les « nano-robots » peuvent modifier la matière en amont. Cela ouvre des champs infinis en médecine.<o:p></o:p>
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Biotechnologies
Ingénierie du vivant : biomoléculaire, génétique à Transmission dinformation.<o:p></o:p>
Considère que le vivant est matériaux que lon peut transformer.<o:p></o:p>
Mais 2 freins :<o:p></o:p>
- Notion déthique<o:p></o:p>
- Principe de précaution<o:p></o:p>
o On ne peut pas savoir ce que les sciences vont enclencher à danger<o:p></o:p>
o « Ordre naturel », notion religieuse.<o:p></o:p>
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Tout cela part dune définition de ce quest lêtre humain, donné par les religions et les grands récits. Donc grands récits scientifiques et religieux sopposent.<o:p></o:p>
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Religions vs Sciences
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Dans la religion, lHomme est considéré comme un dominateur de la nature : Elevage danimaux et de végétaux car grands récits disaient que lhomme était au dessus de tout le reste.<o:p></o:p>
à Implique quon ne peut pas élever lhomme.<o:p></o:p>
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Mais grands récits scientifiques :<o:p></o:p>
- lhomme nest pas au dessus du reste<o:p></o:p>
- les sciences permettent de nous modifier<o:p></o:p>
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Ex : Reproduction In Vitro : rationalisé du début à la fin, contrairement à la chaîne naturelle : beaucoup de tests, sélection des spermatozoïdes, des ovules <o:p></o:p>
Pic de la Mirandole : Théologie et philo.<o:p></o:p>
Pour lui on ne peut pas définir lhomme autrement quen tant que « rien » dans le sens où il ne se définit pas.<o:p></o:p>
Definire, lat : définir les frontières.<o:p></o:p>
Il se définit lui-même :<o:p></o:p>
- Espèce autocréatrice, auto contrôlée, auto régulée àjamais achevée ! Toujours en évolution.<o:p></o:p>
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Sciences et techniques démontrent cette « indéfinition » à Nous avons donc la possibilité et le droit de considérer linachèvement de notre espèce comme une force.<o:p></o:p>
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Informatique
Informatisation a largement dépassé le cap de lordinateur. à Informatisation de la société passe par ces 4 lettres (NBIC ?)<o:p></o:p>
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Cognitive
Cognition : Mémoire, conscience, intelligence à permet de doter les machines de ces qualités. (I.A.)<o:p></o:p>
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Notre cerveau contient 100 milliards de neurones : 10 milles connexions par seconde et par neurone. à 1 million de milliard de connexions.<o:p></o:p>
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<?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:rect id=_x0000_s1052 style="MARGIN-TOP: 4.65pt; Z-INDEX: 27; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 87.5pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Habermas : on ne peut pas penser le monde daujourdhui sans penser à la GM2.<o:p></o:p>
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Toutes les machines que nous construisons, avec en toile de fond, la mondialisation, ces outils sont aussi des démultiplications de rencontre et déchange avec lautre.<o:p></o:p>
Bruit Internet : ruche : milliards de voix qui se parlent à fabrication de liens.<o:p></o:p>
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90 : France : paralysation des recherches à croyait que le net casserait le lien. On sait maintenant à quel point cest faux.<o:p></o:p>
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Ne jamais oublier que lon tient sa propre identité de linteraction, de lautre, dans laltérité.<o:p></o:p>
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« Technophobe » : obèses disjonctés derrière leurs ordinateurs à infime minorité, mais peut dans la société.<o:p></o:p>
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Web 2.0
Nouvelle façon dutiliser loutil à permettre au Net de permettre encore plus : « potentialités nouvelles » de ce qui circule dans le réseau ! Net personnalisé, intuitif <o:p></o:p>
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ð Accompagne lIPV6 : Net du XXIIième siècle : protocole qui permettra daugmenter ladressage du Net à milliard, chaque grain de sable !<o:p></o:p>
ð Révolution des réseaux : interconnecter tout ce qui existe : objets et êtres.<o:p></o:p>
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<v:rect id=_x0000_s1051 style="MARGIN-TOP: 14.1pt; Z-INDEX: 26; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 135pt" fillcolor="blue"></v:rect><o:p> </o:p>
Leroi-Gourhan : <o:p></o:p>
On considère nos sens comme étant constitutifs de notre corps. Hors, cest lévolution de lespèce a permis de développer des sens.<o:p></o:p>
Ex : la vision (très tard !) « Sens adaptatif » qui cest amélioré.<o:p></o:p>
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Donc on peut concevoir notre corps comme constitué de plusieurs prothèses que nous améliorons au fil du temps. à Nous avons excorporé nos facultés. Certaines facultés internes se sont externalisées grâce aux outils. (externalisation du corps)<o:p></o:p>
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Réseaux numériques à se développent dans la direction dune économie du savoir et de la connaissance et de sa circulation.<o:p></o:p>
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Fin septembre 2006 : chine : percée dans lIPV6 quest-ce que ça veut dire <o:p></o:p>
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Ceux qui mettront au point ces nouveaux standards et outils (routeur) seront les porteurs de richesses.<o:p></o:p>
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Cours 2
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Construction technique et historique du Net
1957 : Armée USA crée un regroupement de chercheurs : « ARPA » Advenced Research Project Agency<o:p></o:p>
à Lien étroit entre militaires et chercheurs depuis la GM2 (Bombe H)<o:p></o:p>
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Cest en récupérant une invention anglaise, en 1969 que les choses vont pouvoir débuter.<o:p></o:p>
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(Huitema : Et Dieu créa lInternet : bouquin qui retrace lhistoire dInternet)<o:p></o:p>
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Philo de la technique
La « marche du savoir » a toujours été soutenue par le monde militaire.<o:p></o:p>
à Idée du savoir « gratuit », qui « se balade » est très neuve, avant<o:p></o:p>
à Faire couler le sang pour trouver et échanger.<o:p></o:p>
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Le savoir et le pouvoir sont donc étroitement liés.<o:p></o:p>
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De nos jours : 11/13 serveurs sont aux USA car ils ont eu la « préséance » sur le net.<o:p></o:p>
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ð Le propre dune technique qui va se développer de manière exponentielle, cest son détournement :<o:p></o:p>
ð Armée à Société civile = Détournement.<o:p></o:p>
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Une technique triomphe quand elle est dérobée au profit dun autre service, différent de celui de base.<o:p></o:p>
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Ex : Téléphone : théâtrophone à la base<o:p></o:p>
Télécommande : invente une forme autonome de la consommation de la TV à Favorise beaucoup plus tard le ZAPPING : singularisation (individualisme) dun média collectif !<o:p></o:p>
ð « Génération zapping »<o:p></o:p>
Neuroscience : favorise une difficulté plus grande daltérer la mémoire. Faible capacité dattention.<o:p></o:p>
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Minitel : Système fermé de la circulation dinformations.<o:p></o:p>
Mis du temps à se répandre car la société Française ne trouvait pas dutilité jusquau « Minitel Rose » : Explosion de la demande !<o:p></o:p>
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Phase obligatoire : Sapproprier la technique à Stimulation personnelle, Usages <o:p></o:p>
Sexe / Intérêt à Familiarisation.<o:p></o:p>
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Arpanet <o:p></o:p>
Demande de larmée : aider à sécuriser « optimiser » le système des communications militaires.<o:p></o:p>
Circulation de linformation à Nerf de la guerre. Mais plus dur à faire circuler que les armes <o:p></o:p>
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Complexité de la circulation communicationnel : besoin dun réseau
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<v:rect id=_x0000_s1027 style="MARGIN-TOP: 6.1pt; Z-INDEX: 2; MARGIN-LEFT: 9pt; WIDTH: 207pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 234pt"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1027">
Réseau en Arbre<o:p></o:p>
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Mais sil manque une partie : communication coupée.<o:p></o:p>
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Centralisé : saturation, difficile à réparer. Si une partie casse, tout peut lâcher.<o:p></o:p>
</v:textbox></v:rect><v:polyline id=_x0000_s1029 style="Z-INDEX: 4; POSITION: absolute; mso-position-horizontal: absolute; mso-position-vertical: absolute" coordsize="720,900" filled="f" points="36pt,65.05pt,36pt,74.05pt,45pt,74.05pt,45pt,83.05pt,54pt,83.05pt,54pt,92.05pt,63pt,92.05pt,63pt,101.05pt,1in,101.05pt,1in,110.05pt"><v:path arrowok="t"></v:path></v:polyline><v:rect id=_x0000_s1028 style="MARGIN-TOP: 6.1pt; Z-INDEX: 3; MARGIN-LEFT: 261pt; WIDTH: 207pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 234pt"><v:textbox style="mso-next-textbox: #_x0000_s1028">Réseau en maille<o:p></o:p>
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Si une maille saute, le réseau ne seffiloche pas totalement. à plus facile à réparer et surtout : les info peuvent passer par dautres chemins.<o:p></o:p>
Plus fiable car décentralisé : chaque nud est équivalent aux autres.<o:p></o:p>
ð Pas de saturation possible.<o:p></o:p>
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Pour arriver au réseau en maille, il était nécessaire dutiliser une technique anglaise : la commutation par paquets (1963).<o:p></o:p>
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Une information transportée dun point à lautre risque dêtre interceptée.<o:p></o:p>
La cryptologie nest pas infaillible Il est donc préférable de casser, de découper linformation en plusieurs morceaux.<o:p></o:p>
ð Faire circuler les morceaux dans le réseau jusquà la reconstitution (automatique) pour le destinataire.<o:p></o:p>
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Ce système nécessite dautres mises au point : protocole commun. En 1972, Vinton Cerf va le mettre au point, avec son équipe, à lextérieur de larmée (!) là où elle est contestée ! (Flower Power). <o:p></o:p>
ð Avènement dune autre société.<o:p></o:p>
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De nos jours, on sait que ce sont les hippies qui ont gagné, pour une fois puisque nouveau mode de vie.<o:p></o:p>
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Inter network : le réseau des réseaux
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à Commutation par paquet : petits réseaux (Dante, Milnet, Fidonet, BBS ) à léchelle dun quartier à parlent pas tous la même « langue ».<o:p></o:p>
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1989 : Vinton Cerf : Constitution dun méta réseau pour les faire communiquer.<o:p></o:p>
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Communauté universitaire USA en fait le premier usage.<o:p></o:p>
à Echange dinformations scientifiques<o:p></o:p>
- plus rapide<o:p></o:p>
- fédère un réseau de chercheur.<o:p></o:p>
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Des scientifiques au grand public : plus de 20ans !<o:p></o:p>
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Ce qui va faire sortir le net de cette communauté à World Wide Web : Révolution.<o:p></o:p>
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CERN : études nucléaires : équipe de Tim Berners-Lee<o:p></o:p>
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Première Révolution : www
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<v:rect id=_x0000_s1050 style="MARGIN-TOP: 3.85pt; Z-INDEX: 25; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 45pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Jusque là : Internet = jungle.<o:p></o:p>
Berners-Lee : Adresses pour ancrer les pages dans un site, une plate-forme singulière. <o:p></o:p>
à Pour cela, utilise lhyper textualité à arborescence qui devient infini.<o:p></o:p>
Sorte demboîtement de toutes les informations !<o:p></o:p>
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<v:rect id=_x0000_s1040 style="MARGIN-TOP: 20.65pt; Z-INDEX: 15; MARGIN-LEFT: -9pt; WIDTH: 180pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 81pt" filled="f" strokecolor="red" strokeweight="1.5pt"></v:rect><o:p> </o:p>
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Eléments constitutifs dinternet :<o:p></o:p>
1- Hyper textualité<o:p></o:p>
2- Arborescence<o:p></o:p>
3- Hyper média<o:p></o:p>
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Hyper média
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Pour la première fois, une même technologie fait voyager Texte, Son et Image.<o:p></o:p>
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You Tube : rachat par google. Touchent une cible qui serait extrêmement difficile à toucher pour les marketeurs.<o:p></o:p>
ð Cur de cible à portée de main !<o:p></o:p>
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- Accés aux individus « one to one »<o:p></o:p>
- Accés à leur Tribue <o:p></o:p>
- Possibilité de faire du sur-mesure avec You Tube et MySpace<o:p></o:p>
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Chiffre daffaire de Ebay : plus important que celui de Boeing.<o:p></o:p>
à Dématérialisation de léconomie<o:p></o:p>
ð Rapidité<o:p></o:p>
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Net fabrique du Collectif à partage et exprime lindividualité.<o:p></o:p>
ð Relie la création individuelle au monde entier.<o:p></o:p>
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Réalité virtuelle
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La France a perdu du temps à cause de ce concept ! <o:p></o:p>
Les Recherches Européennes ont été gangrenées par la séparation, la contradiction entre Virtuel et Réelle, alors que ce nest pas une contradiction. (Laety vous propose de lire, à ce sujet, lexcellent « Cyberculture », de Pierre Lévy)<o:p></o:p>
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Lidée du virtuel, pendant un moment, nous a rassuré. En effet, cela impliquait que le virtuel ne se fonde pas dans la société.<o:p></o:p>
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Philosophie française à Jacobine, centralisée autour de lEtat.<o:p></o:p>
Contrairement au net à décentralisateur !<o:p></o:p>
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En France, en 1974, il fallait deux mois pour avoir une ligne internet. Les ingénieurs nont pas anticipé la banalisation du net. <o:p></o:p>
Puis, deuxième attache : le minitel était un système fermé.<o:p></o:p>
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ð Défaut de philosophie politique générale.<o:p></o:p>
Lhistoire nous a poussé à sapproprier ces techniques en les limitant.<o:p></o:p>
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Cours 3
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Eléments techniques de linvention du www
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Léquipe du CERN se sert dun énorme serveur et dun navigateur<o:p></o:p>
- mettent au point les adresses URL<o:p></o:p>
- mettent au point le protocole de transfert HTTP<o:p></o:p>
- unifient le code internet grâce au HTML<o:p></o:p>
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Pages Web identifiés grâce aux adresses URL à arborescence des hyperliens grâce au langage HTML, le tout permettant de faire circuler des données grâce au HTML<o:p></o:p>
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Navigateur
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Interface entre les milliards de pages Web et internautes :<o:p></o:p>
à Repères et passerelles.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Rappel : invention 1989, mise en place : 1991, grand public : 1995.<o:p></o:p>
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Extra/Intra réseaux<o:p></o:p>
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« Surf sur le net »<o:p></o:p>
· Idée de glisser : jeu, dimension ludique<o:p></o:p>
· Idée de superficialité : au niveau de lécume des choses, surface.<o:p></o:p>
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Soit cétait un réflexe, fondé, à dépasser,<o:p></o:p>
Soit cest à travers cette ludicité/ superficialité quon accède à autre chose.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Superficialité liée à une approche ancienne de la science à créer des experts.<o:p></o:p>
Experts : personne qui sait, spécialiste, qui a payé pour savoir.<o:p></o:p>
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Les réseaux ont-ils modifié cette approche ou nous ont-ils piégé dans lillusion du savoir ?<o:p></o:p>
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2 camps :<o:p></o:p>
Sciences anciennes : « perdu la noblesse de lapprentissage, du savoir »<o:p></o:p>
Sciences émergentes : « cest une recombinaison du savoir »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Recherche dinformations
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Avant : acquisition des connaissances dans les bibliothèques à Coût et temps.<o:p></o:p>
De nos jours : de chez soi : moins cher, moins long è changement :<o:p></o:p>
Pour un chercheur spécialisé : gain<o:p></o:p>
Pour un néophyte : différent.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Net : Nouvelle médiation du savoir pas tout à fait disparition de la médiation !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ex : e-learning : les logiciels dapprentissage sont des médiateurs entre les récepteurs et la connaissance. (interview)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Médiations existent mais sont recomposées.<o:p></o:p>
Parfois, tellement recomposées que la médiation sestompe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Art : Numérique à Net permet aux artistes dexploser.<o:p></o:p>
www.flickr.fr <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais seuil critique : au moment de sortir de cette exposition pour trouver de la légitimités à Cursus classique à Difficile (ex dartiste : Francès)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Réseau : caisse de résonance à Améliore la légitimité et ne court-circuite pas le circuit classique.<o:p></o:p>
<o:p></o:p>
Recherche : CNRS : mise en ligne des Articles mais seule la revue papier compte pour la légitimités des chercheurs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Façon classique à OK<o:p></o:p>
Réseau à Nouvelle façon de produire et de diffuser le savoir.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
1à Disparition de certaines médiations.
2à Pérennité de certaines pratiques de médiations classiques.
3à Plagiat : fausse connaissance.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Propriété intellectuelle : Utilisation du savoir dautrui à Plagiat.
Logiciels permettant de vérifier les sources dun texte.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
SAVOIR et INFORMATION constituent maintenant un BIEN COMMUN
REVOLUTION è jusquà présent, on devait le payer.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Mais : pourquoi payer les Biens, et pas les Savoirs ?<o:p></o:p>
Le travail intellectuel doit être rémunéré !<o:p></o:p>
ð Les réseaux ont développés une culture de la gratuité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
60-70% du contenu des réseaux est aujourdhui fabriqué par les internautes eux-mêmes.<o:p></o:p>
30-40% dentre eux sont des pro ou des chercheurs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dans notre culture à propriété est plus forte que tout (matérielle, corporelle ) <o:p></o:p>
ð La propriété intellectuelle de lest pas au même titre à paradoxe <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1049 style="MARGIN-TOP: 3.05pt; Z-INDEX: 24; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 135pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Michel de Certeau : Fabriquer de la culture et du savoir implique une certaine forme de vol car on sapproprie des recherches antérieures.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Hermès : <o:p></o:p>
· Dieu des communications, messager des Dieux.<o:p></o:p>
· Dieu des carrefours, Voix<o:p></o:p>
· Dieu des voleurs et des commerçants !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Vol à outil de la circulation des informations à appropriation, fluidité à transformation, singularisation.<o:p></o:p>
De Certeau : « Bricoler ».<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Lévi-Strauss à Proprement lexpression de la spécificité humaine.<o:p></o:p>
è Adaptation : prélever des éléments disparates.<o:p></o:p>
Pour créer loriginal, linédit.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Info : Bien commun
<o:p> </o:p>
ð Evolution de la culture : à la portée de tous.<o:p></o:p>
à Ce qui est pas forcément bien : « être apathique au savoir, cest ne pas le mériter » Bertini.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Désir de savoir très différents de « Gavage de connaissance ».<o:p></o:p>
Tous les moyens de communication (TV, net ) => Pour tous.<o:p></o:p>
Dans cette sollicitation permanente, lindividu fait des sélections !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Si je considère le savoir, comme un dû Dû pour tous en démocratie à Alors, BIEN COMMUN (différences avec le marché du disc)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Ressort du désir à Manque à frustration. Nous sommes en état « dinfrustration »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Devenir adulte, cest être capable de gérer ces frustrations.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Frustration liée à la temporalité, hors, le propre des réseaux, cest de donner beaucoup dinformation, de savoir en Temps Réel.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Fibre optique à encore + vite.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Rapidité à laquelle nous sommes submergés dinformations à Embarrassés par le « trop plein ».<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Tout le développement du net sest fait autour du « non-marchand » (toujours majorité)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ethique fondatrice à du « don ».<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1056 style="MARGIN-TOP: 5.9pt; Z-INDEX: 31; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 63pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Marcel Mauss (sociologue) : essais sur le don.<o:p></o:p>
à Pas de véritable gratuité du don<o:p></o:p>
<v:line id=_x0000_s1041 style="Z-INDEX: 16; LEFT: 0px; POSITION: absolute; TEXT-ALIGN: left" from="243pt,9.6pt" to="279pt,18.6pt"><v:stroke endarrow="block"></v:stroke></v:line><v:oval id=_x0000_s1043 style="MARGIN-TOP: 9.6pt; Z-INDEX: 18; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 279pt; WIDTH: 90pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27pt; TEXT-ALIGN: left"><v:textbox>
USAGES<o:p></o:p>
</v:textbox></v:oval>à Tout à fait dans le réseau è PARTAGE<o:p></o:p>ð Culture de la gratuité pas <o:p></o:p>
<v:line id=_x0000_s1042 style="Z-INDEX: 17; LEFT: 0px; POSITION: absolute; TEXT-ALIGN: left; flip: y" from="3in,0" to="279pt,9pt"><v:stroke endarrow="block"></v:stroke></v:line> Pillage ni passivité è ECHANGE <o:p></o:p>
<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Culture de la gratuité saccompagne de participation ó Echange.<o:p></o:p>
La participation constitue un réseau à elle seule :<o:p></o:p>
LIBERTE :<o:p></o:p>
· Oppen office, logiciels libres, systèmes dexploitation à libre <o:p></o:p>
· Echappe à la logique commerciale<o:p></o:p>
· Rejoint la coopération, la collaboration (différence entre copyleft et copyright)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Transformation des logiciels en question à plus quun produit : fruit dun échange coopératif.<o:p></o:p>
è Plus il est utilisé, plus il est amélioré.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Preuve que la logique propriétaire est inadaptée à léthique du Web.<o:p></o:p>
Dépassement : point de rupture entre les 2 logiques.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dimension politique de lusage des réseaux.<o:p></o:p>
à Faire des choix, des transformations è récepteurs = acheteurs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Toute technique fonctionne selon des cliquets dirréversibilité à point de non retour : quand une technique atteint le stade de la masse (nombre) critique à on ne peut plus décider de sen passer.<o:p></o:p>
Et pas forcément en tuant les autres <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Cours 4
<o:p> </o:p>
1 - Danger pour le lien social ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1ière peur : Web va dissoudre le lien<o:p></o:p>
2ième : Virtualité va déréaliser les individus il y a 10 ans !<o:p></o:p>
<v:shape id=_x0000_s1045 style="MARGIN-TOP: 0.75pt; Z-INDEX: 20; MARGIN-LEFT: 40.5pt; WIDTH: 31.5pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 21pt" coordsize="630,420" filled="f" strokeweight="1pt" path="m90,c45,150,,300,90,360v90,60,450,,540,e"><v:stroke endarrow="classic"></v:stroke><v:path arrowok="t"></v:path></v:shape><v:shapetype id=_x0000_t88 coordsize="21600,21600" filled="f" path="m,qx10800@0l10800@2qy21600@11,10800@3l10800@1qy,21600e" o:spt="88" adj="1800,10800"><v:formulas><v:f eqn="val #0"></v:f><v:f eqn="sum 21600 0 #0"></v:f><v:f eqn="sum #1 0 #0"></v:f><v:f eqn="sum #1 #0 0"></v:f><v:f eqn="prod #0 9598 32768"></v:f><v:f eqn="sum 21600 0 @4"></v:f><v:f eqn="sum 21600 0 #1"></v:f><v:f eqn="min #1 @6"></v:f><v:f eqn="prod @7 1 2"></v:f><v:f eqn="prod #0 2 1"></v:f><v:f eqn="sum 21600 0 @9"></v:f><v:f eqn="val #1"></v:f></v:formulas><v:path arrowok="t" o:connecttype="custom" textboxrect="0,@4,7637,@5" o:connectlocs="0,0;21600,@11;0,21600"></v:path><v:handles><v:h yrange="0,@8" position="center,#0"></v:h><v:h yrange="@9,@10" position="bottomRight,#1"></v:h></v:handles></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1044 style="MARGIN-TOP: -25.65pt; Z-INDEX: 19; MARGIN-LEFT: 225pt; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 27pt" type="#_x0000_t88"></v:shape> <o:p></o:p>
Les stratégies fatales de Baudrillard : réalité humaines : Réalités fausses.<o:p></o:p>
<v:rect id=_x0000_s1048 style="MARGIN-TOP: 5.25pt; Z-INDEX: 23; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 54pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>JF Lyotard : La condition post-moderne (70)<o:p></o:p>
On parle déjà dun relâchement du lien social, mais il dit que ce poser cette question, cest déjà une forme de lien social.<o:p></o:p>
ð Société débat, argumente è Socialisation<o:p></o:p>
Car langage, partage est née de la socialisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Depuis environ 5 ans, le numérique est utilisé pour renforcer le maillage social à DANS et ENTER les générations : transgénérationnel <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
WEB 2.0 : Nouvelle façon dutiliser le WEB pour prendre acte du fait quune des fonctions dinternet, cest de fabriquer de la socialisation.<o:p></o:p>
è Réseaux Numérique = Réseaux Sociaux et Collaboratifs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les cultures peuvent être plus présentent grâce à cet outil.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Fabrication de lien social à Fonction 1ière du Web, essentielle et la plus utilisée.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2 - La présence / Le présentiel<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
· Présence : mystérieux et magique<o:p></o:p>
Face à face différent du téléphone<o:p></o:p>
Présence réelle différente de la présence simulée<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Projet UE : OMNIPRES<o:p></o:p>
Tente de mesurer, scientifiquement cette fameuse notion de présence : unique et singulière.<o:p></o:p>
Batterie doutils de mesure : compendium [ensemble organisé] de mesure de présence <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Recherche sur le présentiel : enjeux économique : baisse des coûts de déplacement, dénergie <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Observation dindividus (visuel, activité électrique )<o:p></o:p>
Stratégies de communication verbales, para verbales, non verbales.<o:p></o:p>
è Grille comptable, neurologique pour compréhension.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Corps et cerveau se met dans un état de « less vulnérabilité » en situation de pseudo présence : Vraie différence qualitative.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Technique : réseaux pervasifs : sortent de la machine à partout autour de nous à presque disparition de la machine.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
3 - Réseaux collaboratifs<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Réseaux numériques organisés autour dun model : le WIKI.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Coopération Collaboration (cf. M. Barni)<o:p></o:p>
<v:rect id=_x0000_s1047 style="MARGIN-TOP: 11.3pt; Z-INDEX: 22; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 81pt" fillcolor="blue"></v:rect><o:p> </o:p>
J. Whales : années 2000 : Web : plate-forme ouverte qui a la particularité de pouvoir recevoir les contributions des internautes : Wikipedia : encyclopédie collaborative.<o:p></o:p>
Savoir, même minuscule peut être complété par celui des autres <o:p></o:p>
è Position dexpertise pendant un bref moment.<o:p></o:p>
è Ne fonctionne que si lensemble de la communauté contrôle, rétrocontrôle <o:p></o:p>
è Expertise de la communauté è Notion dintelligence Collective (Lévy)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cerveau Planétaire (Rosnay)<o:p></o:p>
Tous les cerveaux sont complexes, ont des capacités très évoluées. è Les relier tous augmenterait le potentiel dintelligence de lhumanité de façon incommensurable.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Wiki à Bouillon dintelligence <o:p></o:p>
· dispo en temps réel <o:p></o:p>
· capable damélioration et dautorégulation !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Fierté individuelle sestompe au profit de la fierté collective à pas accessible seul.<o:p></o:p>
Lexpertise disparaît au profit de ce que Ségolène Royal appelle lexpertise citoyenne.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Recherche sur la crédibilité de Wiki en 2005<o:p></o:p>
Expérience : comparaison entre une encyclo classique : 164 erreurs<o:p></o:p>
Et Wikipedia : 168 erreurs<o:p></o:p>
è Même niveau !!!<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Modèle collectif permet datteindre un degrés dexpertise aussi fiable que le modèle classique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
à Individu de plus en plus exigeants face au capitalisme à pour linstant : impact plus politique mais encore en évolution.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Citizendium : plate-forme qui se veut plus fiable, sur le modèle Wiki, mais plus filtrée par des spécialistes à plus de contrôle !<o:p></o:p>
è Dynamique où on saperçoit des limites de la compétition.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Compétition : jusquà présent : modèle dominant limité, au conséquences graves : cherche lalternative.
<o:p> </o:p>
4 - Notion de contrôle<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Réseaux différents de lanarchie.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1ier contrôle des pionniers du net :<o:p></o:p>
Electronic Fronteers Fondation <o:p></o:p>
Internet Society<o:p></o:p>
à 2 structures de contrôle permettent dempêcher la spywarisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Affaire de la Clipper Cheap : FBI, CIA demande que les ordinateurs soient équipés dune puce pour remonter à lutilisateur : la clipper cheap.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Police, Etat désirent instaurer un contrôle du Web.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Contrôle basé sur :<o:p></o:p>
- Lautocensure : conscience de linternaute, Néthiquette : éthique du Web<o:p></o:p>
o Autorégulation : chaque naute sait ce quil peut ou ne peut pas faire.<o:p></o:p>
- Contrôle du réseau lui-même : chaque naute est là pour recadrer ce qui ne fonctionne pas.<o:p></o:p>
è Passe par la Responsabilité et la Bonne Volonté à Horizontalisée.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Culture du Web issue des hippies : Contre la société traditionnelle et surtout son contrôle.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3 philosophies politiques
<o:p> </o:p>
1-Libertarisme : Pas de limite individuelle ni de contrôle social si elle ne constitue pas une limite pour les autres.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2-Anarchisme : Proudhon au XVIIIième : Etat non interventionniste ; sans police ni censure. Rejet de toute règle et autorité, mais organisation avec nos propres règles.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3-Communautarisme : Droit de se rassembler autour dintérêts communs à Liens forts à Communauté = organisation partage, mêmes intérêts.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Réseaux : Ni anarchie ni chaos.<o:p></o:p>
Wiener : Autorégulation.<o:p></o:p>
Déstructuration du centre. Horizontalisation de lautorité à pour une société centralisée comme la France, difficile à comprendre à Groupes politiques ont si profondément investie les réseaux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Internet associatif et militant<o:p></o:p>
Internet alternatif, citoyen.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Cours 5 : Les usages de lInternet participatif
<o:p> </o:p>
Dimension socio politique des réseaux.
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1046 style="MARGIN-TOP: -0.25pt; Z-INDEX: 21; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 135pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Michel de Certeau : La prise de parole<o:p></o:p>
A travers une histoire, les peuples ont toujours délégué le fait de parler à dautres : leurs représentants : Politiques, Intellectuels, Artistes.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Prendre la parole, pour les élus, pour ceux qui sont légitimes, parler à la fois pour les autres et pour eux-mêmes.<o:p></o:p>
è Faire lhistoire, devenir un acteur de lhistoire et de sa propre histoire passe par la prise de parole à « Se dire ».<o:p></o:p>
« Toute prise de parole est aussi une prise de pouvoir. »<o:p></o:p>
Cest la raison pour laquelle on tente de contrôler, de censurer la parole.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Histoire de la constitution de lEspace Public à dispositif pour capter et diriger la parole. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Pouvoir des représentants par la parole, pour une infime partie de la population.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
De nos jours, la majorité devient sujet de sa propre parole à Connaissances sociales et politiques très fortes !<o:p></o:p>
Nous avons changé dère communicationnelle.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Avant : communication, distic, développé par le pouvoir central.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
France Telecom, SNCF, RATP à Réseaux de communication à ETAT<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ces grands organes de communication ne sont plus dans une société de communication mais dans une Société Communicationnelle. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1053 style="MARGIN-TOP: 2.4pt; Z-INDEX: 28; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 63pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Habermas : Théorise lEspace public.<o:p></o:p>
A partir de la révolution française, ce qui caractérise ces sociétés, cest quelles vont utiliser le débat pour décider de la façon dont les membres de la société vont sorganiser.<o:p></o:p>
è Echange argumentatif permet de prendre les décisions. Elite : petit nombre pour grande masse.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais è Argumentation<o:p></o:p>
- Convaincre lautre<o:p></o:p>
- Plus imposition didée mais fait appel à lintelligence à Espace Public.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
De nos jours : Fragmentation de lEspace Public : il se pluralise.<o:p></o:p>
On a atteint un milliard de nautes à 1/6 humain est un naute !<o:p></o:p>
ð Inadéquation de plus en plus grande entre :<o:p></o:p>
- des individus de plus en plus instruit. Niveau Socio Culturel de plus en plus grande.<o:p></o:p>
o Possédant la technique pour sexprimer<o:p></o:p>
- Sociétés centralisées, dans lesquelles on continue de déléguer la capacité de parler.<o:p></o:p>
ð Crise de la représentation (Geffroy, Bougnoux)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Avant : Bien quun décide et parle pour tous car pas tous capable.<o:p></o:p>
De nos jours : Plus possible<o:p></o:p>
Représentation VS Participation
<o:p> </o:p>
Web participatif : remise en question de tous les fondements et rouages de la société.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Entreprise : 1980 : « Management Participatif ».<o:p></o:p>
Le Web est une traduction dune demande socio politico économique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La participation concerne les syndicats, les politiques, les associations <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Alter mondialistes : « Un autre monde est possible » : différentes alternatives.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Dimension Communautaire : Réseaux numériques fondamentaux à Fragmentation de lEspace Public : 2 sortes de démocratie.<o:p></o:p>
Anglo-saxonne : Démocratie fait appel à un contrat social.<o:p></o:p>
Républicaine : Triangle avec lEtat. Contrat : « Nous sommes tous égaux » : UTOPIE de la neutralité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1054 style="MARGIN-TOP: 3.1pt; Z-INDEX: 29; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 63pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Charles Taylor : « Le Multiculturalisme » 1980 : « Discrimination positive » : oxymoron.<o:p></o:p>
à Réalité : grands idéaux marchent pas ! Quelques uns capturent le pouvoir.<o:p></o:p>
Application USA de la « discrimination positive » : quotas : pourcentage de chaque partie de la société dans toutes les institutions. à Une des formes de résolution des problèmes que pose le « multiculturalisme ».<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Communauté : On la fréquente et on agit sur un site au moins une fois par jour.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1055 style="MARGIN-TOP: 4.95pt; Z-INDEX: 30; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 63pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Howard Rheingold : « Les communautés virtuelles »<o:p></o:p>
Fondateur de « The Well », une des premières communautés de nautes.<o:p></o:p>
ð Fréquentation active : Ces communautés ne sont pas virtuelles finalement ! <o:p></o:p>
Exemple : Un naute sauve son enfant de la coqueluche grâce à un pédiatre de la communauté. <o:p></o:p>
ð Système de soutien<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Les usages vidéo ludiques du numérique
<o:p> </o:p>
2 types de communauté :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
· Textuelles : the Well : Forum texte<o:p></o:p>
· A interface graphique<o:p></o:p>
Habitation, Palace au Japon.<o:p></o:p>
Représentation graphique dun lieu de rencontre et représentation tridimensionnelle de soi : Avatar.<o:p></o:p>
Sociabilité se développe.<o:p></o:p>
Rdv dans des apparts, lieux réels (Paris)<o:p></o:p>
Conférence dans le Louvre virtuel !<o:p></o:p>
ð Activité quotidienne.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Se sont étiolée vers 2000 sous leffet dune migration <o:p></o:p>
Communauté à Jeux Vidéo en Réseaux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
E. Berne : « Le jeu dans fin » : dans ces JV : Quête sans Game Over (Everquest, Second Life )<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
PS3 : puissance de calcul surmultiplié. Centre médiatique de la maison.<o:p></o:p>
à Jouabilité de + en + augmentée puisque laléatoire est pris en compte !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Perso participe à une quête à jeu de rôle transcrit dans un univers vidéo ludique.<o:p></o:p>
Usage si important que ça devient une nouvelle vie qui peut prendre le pas sur la vie physique.<o:p></o:p>
Second life : monnaie échangeable dans le monde réel.<o:p></o:p>
Emerge de ces usages la notion de Monde persistant :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Existe après la séance de jeu à très dur de décrocher.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Quest-ce qui permettait jusquà nos jours, de faire la différence entre les deux réalités ?<o:p></o:p>
Physique = persiste dans le temps.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Lacan : « le réel, cest ce qui cogne »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
De nos jours : Réalités Virtuelles acquièrent ces qualité de Durabilité !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1ière conséquence :<o:p></o:p>
ð Quelle est la différence le réel et le numérique ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Corps continue dêtre dans le réel, liberté différente (puces RFID)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2ième conséquence :<o:p></o:p>
ð Passage, changement de paradigme <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Transformation : paradigme de la représentation symbolique à celui de limmersion.<o:p></o:p>
« Pixellisation du monde »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Paradigme Représentatif<o:p></o:p>
Paradigme Immersif<o:p></o:p>
Images qui nous faisaient face, dans un dispositif classique :<o:p></o:p>
Regardant / Regardé<o:p></o:p>
Image numérique : tridimensionnel<o:p></o:p>
à Rentre dans limage<o:p></o:p>
Régime des images très différent<o:p></o:p>
Capacité des images « à faire monde »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Jeux avec le corps à crée la réalité numérique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è « Pixellisation du monde »<o:p></o:p>
Statut du corps, de son évolution.<o:p></o:p>
Comment marier ces deux Réalité pour faire un « Continuum de ces réalités physico-numériques »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cours 6 : Le statut du corps sur le Web
<o:p> </o:p>
Parmi des jeux à succès dinterface graphique :<o:p></o:p>
Sims : sur représentation des femmes : 55% des joueurs.<o:p></o:p>
Ensemble des jeux : 4 femmes sur 10 joueurs. Bientôt 40% de femmes.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Sims : dans le même esprit que les jeux de rôle mais dans un autre genre à jeu de simulation sociale qui utilise le Web pour fabriquer du lien social à Web ne dissout pas ce lien, toutes les pratiques du Web sont des resocialisations è Entraîne une sorte de Modélisation Sociale.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<v:rect id=_x0000_s1057 style="MARGIN-TOP: 3.1pt; Z-INDEX: 32; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: 0px; WIDTH: 9pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 36pt; TEXT-ALIGN: left" fillcolor="blue"></v:rect>Baudrillard : « déréalisation » sur le Web<o:p></o:p>
Philosophiquement conditionnés à penser la réalité physique comme seule réalité.<o:p></o:p>
à Baudrillard : les stratégies fatales de virtualisation du réel sont « fatales » au réel physique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour les technophobes, la réalité physique est en danger. Le virtuel serait une façon déchapper, de renoncer, de fuir le fardeau du réel, alors que lacceptation de ce fardeau est le réel, la vie.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Evolution de la représentation au corps
à Impératifs différents qui sont le résultat de la pub. è Jeunesse est considérée comme un idéal de performance et de Bien-être.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dimension de performance change à devient une exigence.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
¾ des Spam : Viagra, frigidité !<o:p></o:p>
à Le corps = outil de performance dont le sexe est le noyau dur.<o:p></o:p>
Sexe = enjeu de prescription dorgasme : solution de tous les problèmes ?!?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2006 : Total des sites de sexe : 1% du Web. Comme pour le minitel au début : Sexe lance le réseau mais se fait dépasser : toute petite partie du tout !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Freud : les choses sont stimulantes si elles sont interdites.<o:p></o:p>
Sexshop : danger dêtre vu.<o:p></o:p>
Websexe : moins de danger, moins de visite.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>Le numérique nierait-il le corps ?<o:p></o:p>
Pour le moment, les médias et surtout la pub a fait plus de mal au corps que le web <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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Naute : Vie sociale<o:p></o:p>
Utilise son corps<o:p></o:p>
ð Sait passer dune réalité à une autre (Winnicott)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
David le Breton : travaille sur ce quil advient du corps dans la société contemporaine.<o:p></o:p>
Piercing / tatoo / scarification.<o:p></o:p>
à Non seulement le corps ne disparaît pas<o:p></o:p>
à Besoin de mettre le corps à lépreuve <o:p></o:p>
à Besoin de marquer le corps<o:p></o:p>
ð Ressemble au corps des sociétés primitives.<o:p></o:p>
è Inscrire dans le corps des marques appelant une certaine lecture.<o:p></o:p>
Paradoxes :<o:p></o:p>
- Salléger du poids du corps : Jeunesse : bloquer la machine<o:p></o:p>
- Sculpter, travailler notre corps :<o:p></o:p>
Michel Onfray : corps = produit dune maîtrise.<o:p></o:p>
Obèses : laisser aller = déficit<o:p></o:p>
ð poids du corps quon nous impose et quon simpose soi-même<o:p></o:p>
et<o:p></o:p>
ð Idée de le déposer, dématérialiser<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Web : utilise avant tout lémotionnel<o:p></o:p>
è Emotions qui sy développe hors cest le corps le support physique des émotions !<o:p></o:p>
Web ne supprime pas le corps puisque :<o:p></o:p>
Web à Emotions à Corps<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Informatisation de la société <o:p></o:p>
à Dématérialisation : mouvement qui accompagne une certaine décorporation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pré histoire : utilise le corps pour absolument tout car pas doutil assez puissant pour aider.<o:p></o:p>
Leroi-Gourhan : externalisation du corps<o:p></o:p>
De nos jours : beaucoup doutils, utilise pas beaucoup le corps à calories !!!<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Corps fait des mêmes matériaux que le monde, la nature :<o:p></o:p>
Possibilité de vivre assis un an, mais besoin psychique de sortir, dêtre avec la planète.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Les théories du Trans-humanisme
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Nick Borstrom : Cambridge : Institut pour le futur de lhumanité.<o:p></o:p>
Kurtzweill : « Singularity is near »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Idée de « Convergence Technologique » : outils et usages des techniques :<o:p></o:p>
Les plus importantes se croisent et convergent vers un seuil critique, effet de masse è conséquences majeures.<o:p></o:p>
Tic, nanotechnologies, biotechnologies, IA <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cette convergence aboutit à 2 choses :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
- Réalité Augmentée : cerveau suffisamment comlexe pour être inscrit dans plusieurs réalité en même temps à imaginaire : notion de complexité très élevée. LE numérique accentue cette faculté.<o:p></o:p>
- Humanité augmentée : compétence humaine augmentée par des outils à couteau suisse = puces RFID<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Puces RFID : <o:p></o:p>
Maladie : permet de reconstituer le système nerveux<o:p></o:p>
Normal : augmente nos capacités de communication et nos performances. Voir plus loin, entendre mieux <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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<o:p> </o:p>
CORPS = FINITUDE<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Au-delà de la performance, la limite que nous voulons dépasser, cest la mort.<o:p></o:p>
Question philosophique et métaphysique plus que technique !<o:p></o:p>
Toute laventure humaine, cest de se survivre à elle-même.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Trans-humanisme : capacité dinstaller lhumain dans une autre idée, celle de linfini.<o:p></o:p>
Reculer les limites : humanité en mutation qui va transcender ses conditions dexistence <o:p></o:p>
à Grâce à la convergence des Techniques.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Syngularity is nea »r : réalité augmenttée à autonomie de lête connecté à nouvelle organisation sociale (Rosnay)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Cours 7 Quelles mutations sur le plan de lorganisation médiatique et sur larchitecture sociale ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Média
Média classiques :
Larchi sociale est basée sur lindividu qui devient le centre du monde, producteur de culture et de sciences.<o:p></o:p>
Cette archi légitime une redistribution : passage du Broadcasting (diffusion dune source vers de nombreux récepteurs) à lEgocasting <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Recentré sur lindividu dans le sens dautonomisation, de singularisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Avant, source unique sui fait le calendrier et le choix du contenu : lagenda setting : orientations, choix des individus provoqué par les décisions des médias.<o:p></o:p>
Les médias font lagenda à ils découpent la réalité pour focaliser lattention du public. Décider de ce qui fait lévènement et de la hiérarchisation de lévènement. Cf JT 20h.<o:p></o:p>
Les médias classiques comme la TV font lagenda, donc il y avait une homogénéisation de linfo. Formatage des esprits qui reçoivent ces infos. Répondre à la demande de lopinion en fonction des sondages. Masse danonymes qui vit des émotions. Jusquà présent, tout se passait comme ça.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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Evolution
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Il y a un basculement complet vers la pratique suivante :<o:p></o:p>
90% des infos données sur le Web sont fabriquées par les internautes. Dans ces tuyaux, le contenu est constamment remis à jour. è Recomposition de loffre Radio / TV.<o:p></o:p>
Mutation de démassification des médias depuis les années 80, liberté des radios, chaînes thématiques.<o:p></o:p>
Aujourdhui, les internautes recomposent loffre radio et TV. La tranche 15-35 ans nécoute plus les radios et TV comme avant.<o:p></o:p>
Il ny a plus une chaîne qui diffuse mais une sorte de butinage qui fait quon cherche nous même le programme, où on veut, quand on veut Daily motion, programmes à la carte <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
On est libérés, on est dans lère de légocasting avec des médias ultra personnalisés. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Instant FM : permet de récupérer une journée de diffusion de chaîne musicale de radio en enlevant la publicité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les budgets publicitaires deviennent aussi importants pour la TV que pour le Web !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
à Curent TV : « Ego casting » <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Benabar : Myspace : « mouvement de mode » ¡ A coté de la plaque !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mass Media VS Web :<o:p></o:p>
- Démassification<o:p></o:p>
- Web est devenu le média principal<o:p></o:p>
- En train dabsorber tous les autres média<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Web : Média singularisé, égotisé, autonomisant.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Dan Gilmore : « We, the média »<o:p></o:p>
à Cessons de critiquer les médias, devenons les médias.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Lagardère a compris que cest un pouvoir plus grand davoir des Médias que davoir des armes <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ego : plus quun utilisateur, un média à lui tout seul !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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Architecture sociale
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Nous avons franchi le cap de la société de linformation.<o:p></o:p>
Nous sommes une société informationnelle, une société numérisée.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Kurtzweill : dici 20 ans : possibilité de numériser le cerveau. <o:p></o:p>
è Pour en faire une copie : Mémoire, émotion, expérience peuvent être conservée et récupérée.<o:p></o:p>
è Nano robots pour réparer les cellules malades à milliards dans le corps.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
NNtic : Amélioration ?
<o:p> </o:p>
La réalité qui est façonnée par les Nntic. Ce sont des technologies qui devaient simplifier et fluidifier les organisations humaines.<o:p></o:p>
On pensait que les échanges deviendraient plus rapides et plus transparents.<o:p></o:p>
ð Mais Nntic complexifient la situation<o:p></o:p>
Comme nous le faisons tout le temps avec notre réalité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Complexification car les technologies se sont superposées :<o:p></o:p>
à Téléphone, mail, fax, réunion en même temps.<o:p></o:p>
Demande de réponse encore plus rapide <o:p></o:p>
ð Diversification des échanges, multiplication des relations.<o:p></o:p>
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Nomadisme :<o:p></o:p>
Le « bureau », cest un outil à communiquer !<o:p></o:p>
Comme les prêtres avaient, dans leurs valises, une pierre dhôtel grâce à laquelle ils pouvaient dire la messe nimporte, le cadre supérieur peut travailler partout grâce à son ordinateur portable !
<o:p> </o:p>
Nomadisme et Vagabondage de Maffesoli.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Intelligence <o:p></o:p>
Plus le produit en acte dun individu.<o:p></o:p>
è Cest du collectif, collaboratif et coopératif.<o:p></o:p>
De nos jours, ce qui fait la valeur ajoutée, ce nest pas la rareté mais la possibilité de partage à Valeur déchange : Valeur ajoutée <o:p></o:p>
Lintelligence sort de lindividu. De Rosnay : Intelligence Planétaire.<o:p></o:p>
Totalement opposé au Capitalisme.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è Dissémination des puces électroniques dans lenvironnement à va le rendre plus intelligent lui aussi.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Intelligence planétaire : De Rosnay<o:p></o:p>
- Individuelle et<o:p></o:p>
- Collective<o:p></o:p>
- Objet non encore vivant<o:p></o:p>
ð Plus dinteraction avec et entre les choses et le gens<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Seul danger pour le cerveau : la sur utilisation à ralenti, tue les neurones.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cerveau : Pouvoir dauto transformation permanent.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais Complexité à Rejet <o:p></o:p>
(Pour les plus âgés) : difficulté de sapproprier ces Ntic : manque de temps, dargent<o:p></o:p>
- Trop âgés : pas habitués<o:p></o:p>
- Technophobes<o:p></o:p>
- Peur de cette complexité<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
(cf. Myriam Barni : Manager une équipe à distance)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les enfants sapproprient très vite ce langage<o:p></o:p>
ð Capacité dabstraction du cerveau humain (Winicott)<o:p></o:p>
ð Sexprime par le faut que nous avons de moins en moins accès à de la matière mais à de linformation<o:p></o:p>
ð Nous nous éloignons des outils physiques.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Société de lintelligence va être de plus en plus ségrégative envers les moins favorisés.<o:p></o:p>
Pas fracture Nord/Sud mais dans les pays même.<o:p></o:p>
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Cours 8 : Organisation et Architecture sociale à lère du numérique
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Taux de suicide très important chez les 15-24 ans : ¼ du chiffre global, mais recul de 40% !<o:p></o:p>
à Le sréseaux numériques sont positivement responsable car ils reconstituent du lien social, une plate forme dexpression.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è On peut considérer que le Web fonctionne comme une Ingénierie du lien social.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Notion de perte :
Chaque fois que lhumanité évolue : Notion de perte.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Depuis Platon, dans le Phèdre (Vième avant JC) qui déplore la notion de lécriture qui favoriserait la mort de loralité et donc de la mémoire !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Philosophie de la perte : Peur de perdre :<o:p></o:p>
- Ce quon connaît : <o:p></o:p>
La familiarité avec un environnement et donc sa maîtrise<o:p></o:p>
- Le contact avec les origines : <o:p></o:p>
La continuité, la succession. Cela nous fait basculer dans une hypermémorisation, retour récurent vers le passé.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Nietzsche : « La pire des barbaries, cest la nostalgie du retour aux origines » à Grand récit philo, politiques et religieux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
- Le contact avec loriginal :<o:p></o:p>
(Individualisation ?) Authenticité dans les origines : base des connaissances presque religieuse en tout cas métaphysique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Nous avons abandonné la vérité au profit du relativisme.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Copie : version dégradée, appauvrie de loriginal, le dévalorise.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Numérique : copie devient loriginal à Plusieurs étapes de transformation : tout sont des versions originales.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Web : plus je partage, plus ça prend de la valeur (cf Serge Miranda). Plus je copie, plus je fais de loriginal.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Plaie de la nouvelle économie de la connaissance : Le Plagiat.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Notion de « bonne distance avec la source ».<o:p></o:p>
Web : facilite les frais de recherche documentaire.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les modes de production et de diffusion du savoir et des produits changent à automatisation, robotisation, informatisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour Marx : « ce sont les modes de production qui décident les modes dorganisation sociale ».<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Désindustrialisation, dématérialisation des modes de production.<o:p></o:p>
Modes dorganisation sociaux sont devenus obsolètes.<o:p></o:p>
ð Ils continuent de reposer sur un mode dorganisation hiérarchique de la société : Echelons, prise de décision au sommet, (Rosnay p262)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Modes de productions engagent des aspirations auxquelles le social et le culturel ne répondent plus <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ce modèle hiérarchique explose à tous les niveaux de la société à tend à créer des modes de fonction horizontaux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Horizontalisation VS Hiérarchisation Verticale<o:p></o:p>
è Conflits, dysfonctionnements<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Colère et crise
<o:p> </o:p>
è Mode dorganisation provisoire : LA COLERE<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le collectif sest fragmenté en communautés qui sont elles même fragmentées en individus.<o:p></o:p>
ð Frustration du Collectif / Individuel face à la passivité et la lenteur des institutions verticales à Reste plus que le CRI pour sexprimer.<o:p></o:p>
La colère devient le régulateur social. Montre, met en exergue une grande transformation de la société.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ex : les étudiants dordinaire extrêmement revendicatifs sont devenu étonnements mous !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Colère quitte des endroits familiers et sinstallent dans des endroits où elle nétait pas.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è La « fin des idéologies » est devenue la nouvelle idéologie.<o:p></o:p>
è Perte des repères collectifs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La désorganisation est une forme dorganisation, comme le Chaos (Rosnay + Geffroy) Le chaos est salvateur car il permet lentrée en crise à néguentropie !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Chinois : idéogramme de crise = danger et opportunité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Conséquences anthropologiques et biologiques.<o:p></o:p>
Nous sommes à lendroit du dépassement des modèles existants à chance dinventer ses propres modèles.<o:p></o:p>
Répondre aux pertes de repères par contre-pied à Nous avons trop de repères : <o:p></o:p>
Chaque individus à plusieurs repères.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Perte de repères collectifs et trop de repères individuels<o:p></o:p>
à Pas « perte » de sens, mais excès, perdus dans trop de sens différents.<o:p></o:p>
è Support pour pouvoir inventer de nouveaux modèles.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Adrénaline sociale » : Peur en quantité : permet de r »agir à un danger, à son environnement. <o:p></o:p>
La peur est nécessaire, elle peut être positive tant quelle ne devient pas paralysante. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
H. Laborit : Eloge de la fuite<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Peur à pas possibilité de fuite : inertie, inhibition totale Ce stade critique nest pas atteint si on a la possibilité de réagir.<o:p></o:p>
Laborit tire lidée quil y a, dans la fuite un dépassement de lexistant : une autre possibilité, différente de la construction « normale », connue.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Il faut apprendre que la Carte nest pas le territoire (PNL)<o:p></o:p>
è Aucune raison de subir quoi que ce soit.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1ière conséquence : dépasser les modèles<o:p></o:p>
2ième conséquence : déchargeons-nous du poids de ce passé qui nen fini plus de nous coller aux basques !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dans notre société : mémoire : segment de marché.<o:p></o:p>
à Transforme le devoir en Mémoire. Société culpabilisée, Société « barbares » au sens Nietzschéen.<o:p></o:p>
Chaque fois quon a peur de reculer, on se jette dans la commémoration et la Dysneylandisation !<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Certeau : « Cest quand une société est obsédée par quelque chose que ce quelque chose est en train de mourir. »<o:p></o:p>
à Mémoire : paradoxalement, nous sommes en train de nous en détacher.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3ième conséquence : (U. Eco : Les faux semblants)<o:p></o:p>
USA : société sans mémoire, sans lien avec le passé, ces sociétés sont obsédées par le présent.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Donc ce modèle sociétal quil faut construire, cest un modèle capable de ses projeter dans lavenir sans oublier totalement le passé.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Web : multitude de temporalité à autant despace de réaménagement du monde.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Cours 9 : Organisation et Architecture sociale à lère du numérique
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Immersion
<o:p> </o:p>
La Wii a donné lieu à des études aux USA. (« Seed » : revue sur le Net)<o:p></o:p>
La Wii oblige le joueur à faire des mouvements pour pouvoir accomplir les tâches de jeu <o:p></o:p>
Etude neurologique : il se passe dans le cerveau et dans le corps des mécanismes « réels » avec la Wii.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dans le cerveau : Amygdale = zone des émotions. Très excitée pendant quon joue.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1. Le paradigme de limmersion va de plus en plus vite.<o:p></o:p>
2. Alors que le corps était remis en question jusque là, il est maintenant stimulé par cette réalité à garde des traces physiques et cérébrales è Cerveau modifié par les jeux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Nouveaux modes dorganisation sociale grâce aux réseaux numériques
<o:p> </o:p>
Organisation autour de la spectacularisation.<o:p></o:p>
Guy Debord : La société du spectacle. Pour lui, la société est en train de se cristalliser autour du spectacle.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La civilisation sest toujours développée autour de limage. Limage est à lorigine des cultes. <o:p></o:p>
Idoles religieuses, sociales, artistiques à peinture, photo, cinéma <o:p></o:p>
à Rôle et poids considérable.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
De nos jours, nous sommes dans une société qui vit par et pour limage. è Primoté sur le texte : organisations sociales formatées autour de limage è MEDIA.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Conséquence : exemple : Villepin et le pouvoir dachat des français le 14.12.06.<o:p></o:p>
A lissue de la réunion : pas un mot mais annonce les décisions à 20h sur TF1.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Représentation syndicale ne pesait pas suffisamment par rapport à la TV.<o:p></o:p>
è Lieu de pouvoir : MEDIAS<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Médiations sociales anciennes ne font plus le poids.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Guy Debord : Quand limage domine le monde, elle devient spectacle.<o:p></o:p>
Sa critique : Il ny a plus 2 modes dexistence distincts :<o:p></o:p>
Etre / Se donner à voir<o:p></o:p>
Mais on est quà partir du moment où on se donne à voir. On est absorbé par limage.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Berkeley : Philo XIXième <o:p></o:p>
« Etre, cest être perçu »<o:p></o:p>
Pas dêtre sil nest pas donné à voir, sil nest pas lobjet du regard de quelquun.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Culture judéo-chrétienne :<o:p></o:p>
LEsprit est opposé au Physique<o:p></o:p>
Etre \\ Paraître<o:p></o:p>
En réalité :<o:p></o:p>
Par-être<o:p></o:p>
Nous passons donc du paraître au par-être.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Domination de la surface qui remplacerait la profondeur ?<o:p></o:p>
Nous nopposerions plus les deux ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Nos sociétés privilégient le sens de la vision à Histoire de lil (Bataille)<o:p></o:p>
Lil devient notre « Cerveau Social ».<o:p></o:p>
à Les Médias médiatisent ces échanges de regard. Mais transforme, créent une nouvelle hiérarchie à Léchange de regard prime sur les autres formes déchange.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Berkeley + Bertini : « vu par, sur, pour les médias »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Warhol : 15min de célébrité pour chacun : possible dans cette médiatisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
è La Spectacularisation cest accrue considérablement avec le numérique à prédominance du Web.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Debord : Spectacularisation : diminution de lespace humain qui privilégie la surface.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Happy slapping » : pointe vénéneuse de la spectacularisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Montée forte dune image déconnectée de sa réalité à Implication humaine, affective, relationnelle <o:p></o:p>
Hors du contexte humain qui est amoindri par la circulation « Tout justifie limage » (Bertini)<o:p></o:p>
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Les médias ne changent pas lhumanité, les hommes se sont toujours débrouillés tout seul pour commettre des atrocités. <o:p></o:p>
1. Change pas fondamentalement les problèmes obsessionnels <o:p></o:p>
2. Média toujours existé : numérique change rien<o:p></o:p>
3. Circulation du réseau est plus rapide, plus anonyme.<o:p></o:p>
Ce qui donne un statut, ce nest pas dêtre lauteur de fait, mais lauteur dimages.<o:p></o:p>
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Quest ce que cette humanité qui migre vers limage déconnectée de son contexte fondamental ?<o:p></o:p>
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Nos sociétés toutes entières et les individus se réorganisent autour dun paradigme total (totalitaire ?) qui est le paradigme communicationnel.<o:p></o:p>
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Début des années 50 : Cybernétique et théories de linformation<o:p></o:p>
è La réalité toute entière peut être pensée en tant que processus dinformation et de communication.<o:p></o:p>
à Deviennent des concepts qui vont réorganiser les manières de comprendre et darticuler des phénomènes : deviennent des paradigmes : Ensemble de concepts qui dirigent une société quand il devient trop prégnant : guident et orientent.<o:p></o:p>
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Information et communication à guide les sociétés grâce à la découverte de ces théories.<o:p></o:p>
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è A lorigine de lautomatisation, robotisation et informatisation à plans techniques.<o:p></o:p>
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Socio/Anthropo : développement de nouveaux champs de savoir.<o:p></o:p>
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Watson et Creek : découvrent lADN car ils ont pensé la vie comme un message.<o:p></o:p>
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La vie elle-même est de linfo-com, elle peut être pensée sous forme dinformations et de communications (exemple des neurones)<o:p></o:p>
Cest pourquoi la communication domine tous les autres champs de savoir :<o:p></o:p>
Le paradigme communicationnel :<o:p></o:p>
- simpose à tous<o:p></o:p>
- empêche tout retour en arrière.<o:p></o:p>
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Wiener : « Etre, cest être en relation. »<o:p></o:p>
De nos jours, être, cest être branché, connecté à Les réseaux numériques poussent les limites de la logique cybernétique.<o:p></o:p>
La vie nest quun immense processus de connections.<o:p></o:p>
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Selon les SIC : linfo-com nest pas un phénomène isolé, cest le contenant général, cest la façon dont lindividu va produire ces contenus.<o:p></o:p>
Quel que soit le niveau auquel nous nous trouvons, on peut dire que la communication, cest un fait Total à Totalité des phénomènes !<o:p></o:p>
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De nos jours, les réseaux sont lacmé, le point ultime, du déploiement du paradigme communicationnel.<o:p></o:p>
La spectacularisation est un des revers de cette médaille.<o:p></o:p>
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Mais si on va au bout de ces réorganisations très fortes : on ne peut pas ne pas voir que le réseau est la seule structure qui permet une société horizontale, qui dépasse les hiérarchies sociales à Embryon de toute société future<o:p></o:p>
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Le réseau est le seul mode dorganisation qui permet de relier les 2 choses les plus importantes :<o:p></o:p>
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- Les technologies les plus sophistiquées<o:p></o:p>
- Et<o:p></o:p>
- Le désir profond de lhumain de maîtriser sa destinée<o:p></o:p>
o Collectivement (écologie, réseaux sociaux )<o:p></o:p>
o Individuellement (chaque nud du réseau est aussi important que les autres.) <o:p></o:p>
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Cours 10 : conclusion générale et ouverture
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<o:p>Le réseau numérique est perçu comme un endroit où on nest jamais seul <o:p></o:p>
Ils jouent le rôle de ce qui sappelait autrefois lAgora (Grec) ou le Forum (latin).<o:p></o:p>
à Forums : cur des échanges réseautiques. <o:p></o:p>
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Labo « Pew » Institute : Liens sociaux sur le Web.<o:p></o:p>
Résultat : Web = ingénierie du lien social à fabrique, retisse du lien.<o:p></o:p>
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N. Negroponte : responsable du Médialab au MIT.<o:p></o:p>
Lhumain numérique ! « La valeur dun réseau consiste moins dans linformation quil transporte que dans communauté quil forme ».<o:p></o:p>
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Réseau à Echange de connaissance<o:p></o:p>
à Sociabilité suffisamment importante : toutes les communautés, toutes les relations humaines sont fondées sur des logiques de proximité. (avant : proximité physique)<o:p></o:p>
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Proximité
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Proximité physique : Cest ce qui permettait détablir des relations avec son voisinage, sa famille à Micro espace/temps fondait la solidarité.<o:p></o:p>
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Les villes nous ont permis de nous affranchir des modes de connaissance, reconnaissance classique.<o:p></o:p>
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G. Simmel : sociologue des années 30-40 : travaille sur la sociabilité avant et après la GM2.<o:p></o:p>
Pour lui, lêtre humain moderne décompose et recompose le lien social : « Lêtre humain moderne a fabriqué une asociale sociabilité ».<o:p></o:p>
Nous sommes un compromis entre désir de sociabilité et dautonomie.<o:p></o:p>
à Exige de pouvoir exercer cette sociabilité quand et où nous voulons.<o:p></o:p>
à Pas de sociabilité dusage, pas dobligation « sociabilité à la carte » (Bertini)<o:p></o:p>
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« Lautre, quand il entre dans ma bulle, doit être reconnu » <o:p></o:p>
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Simmel : Révolution et liberté, volonté. à Evolution remarquable. Mais inaudible pour les sociétés africaines ou asiatiques <o:p></o:p>
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Mais il ne faut pas avoir une vision catastrophique de cette sociabilité changeante :<o:p></o:p>
Vraie volonté et intérêt de rencontre :<o:p></o:p>
Intérêt : notion fondamentale : logique dintérêt au sens large : Proximité daffinité.<o:p></o:p>
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Goethe : « affinité sélective »<o:p></o:p>
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è Choix stratégiques qui placent lindividu aux commandes de cette ingénierie du lien social.<o:p></o:p>
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Logique dintérêt peut être ponctuelle.<o:p></o:p>
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Tout au long de la vie, les intérêts / affinités changent car elles sont liées à des périodes de la vie.<o:p></o:p>
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à Provisoire, précaire : pas uniquement négatif, possibilité de rencontrer plus de gens sur le Web à Echanges exponentiels à diversité, pluralité de ces relations.<o:p></o:p>
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Logique Web oppose deux visions du monde : <o:p></o:p>
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Choix<o:p></o:p>
Tradition<o:p></o:p>
Autonomisation de lindividu<o:p></o:p>
Héritage de la proximité familiale et physique.<o:p></o:p>
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Partage des informations sert souvent de prétexte à fabriquer du lien social. Prétexte pur se retrouver sur cette place commune.<o:p></o:p>
Grec ancien : agora = individus libres qui prennent les décisions politiques pour lensemble de la société.<o:p></o:p>
Forum : là où se met en scène le pouvoir de la société.<o:p></o:p>
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Web Forum : ligne qui traverse nos sociétés à Nécessité<o:p></o:p>
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Simmel : le Forum cest le lieu où, pour que ça fonctionne, il faut que les individus soient dans une notion dégalité.<o:p></o:p>
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Le mouvement que nous avons engagé est un mouvement dhorizontalisation.<o:p></o:p>
Chaque nud est aussi important que les autres à Egalité à Pour quelle fonctionne, il faut mettre en place des Rites.<o:p></o:p>
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Simmel travaille sur « lart de la conversation »<o:p></o:p>
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Les réseaux numériques changent des paradigmes (communication, réseaux, dialogues ).<o:p></o:p>
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Paradigme du dialogue : « Habermasienne » <o:p></o:p>
à Lespace public, cest le lieu du dialogue, de léchange dargument raisonnable et raisonné. Respect et tolérance.<o:p></o:p>
è Réseau de lEspace public fragmenté.<o:p></o:p>
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Dialogue : grec : dialoguein : percer un trou à travers un mur <o:p></o:p>
Au plus lointain de linconscient des sociétés : communication pas neutre, au contraire : moment où je fais effraction dans la tête de lautre. A lorigine du dialogue : cest un combat entre 2 individus.<o:p></o:p>
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Dialogue à convaincre à Question de vie ou de mort ?<o:p></o:p>
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Tentative deffraction pour vaincre les résistances de lautre.<o:p></o:p>
à Définition de laltérité. Lautre existe fortement, violemment, moppose son existence ! Avec des éléments qui ne sont pas moi.<o:p></o:p>
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Dialogue à stratégie pour vaincre les résistances de lautre.<o:p></o:p>
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Cest en ce sens quon parle de « paradigme du dialogue » qui permet au réseau :<o:p></o:p>
- de faire entendre des voix de plus en plus nombreuses (prise de parole )<o:p></o:p>
- de faire en sorte que cette parole se fasse remarquer, reconnaître, simpose.<o:p></o:p>
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Simmel cest intéressé à ce qui se passe dans toutes les formes de dialogue classique.<o:p></o:p>
à Ce qui a fondé les sociétés évoluées, cultivées. à cest la capacité de conserver. Sachant que la France représente, historiquement, le modèle de lArt de la conversation.<o:p></o:p>
Lélite se reconnaît dans cette pratique.<o:p></o:p>
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XVIIIième : pour que ça marche, il faut des rites<o:p></o:p>
- de politesse, de courtoisie : Web nétiquette : reprend le protocole du dialogue de sociabilité classique.<o:p></o:p>
- Nécessité de posséder le même niveau de langue, sinon le plus élevé se met au niveau inférieur. à « pseudo égalité » selon Simmel : rituel fondamental de la conversation.<o:p></o:p>
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Au cur de la civilisation :<o:p></o:p>
1. Illusion <o:p></o:p>
2. Illusion assumée, consciente et socialement fonctionnelle.<o:p></o:p>
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Pose lillusion comme un bien commun et en fait un rituel fondamental à quelque chose de « touchant » quand on va plus loin à cette règle est respectée <o:p></o:p>
- sur les réseaux<o:p></o:p>
- dans lart de la conversation, le sujet importe peu, ce qui compte, cest de « faire société » par le langage, par la fonction symbolique uniquement. à vérifier notre appartenance à lhumanité car le langage en est la marque.<o:p></o:p>
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Négropente : Valeur dinformation à Echange mais plus la capacité à faire communauté.<o:p></o:p>
Sociabilité classique + réseau : utilisation de la langue pour faire société.<o:p></o:p>
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Retrouve la fonction humanisante de parler pour ne rien dire<o:p></o:p>
- parle jamais sans rien dire (« On ne peut pas ne pas communiquer »)<o:p></o:p>
- Humanisation de la réalité<o:p></o:p>
- Bruit de la communication<o:p></o:p>
Exemple : chat : en entrant : il nous faut un moment pour retrouver les fils des conversations : sentiment de passer du coq à lannée. <o:p></o:p>
On entre totalement dans cette fameuse « asociale sociabilité ».<o:p></o:p>
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Ce milliard de voix qui ont lair de ne pas sécouter forment ce que Mc Luhan appelle le « Global Village » (1969)<o:p></o:p>
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Village global : devenu une expression courante, pas assez interrogée.<o:p></o:p>
Ce quil appelle le village planétaire :<o:p></o:p>
Dans les années 70 : USA représentait 65% des échanges mondiaux dinformations.<o:p></o:p>
Dans les organisations internationales :<o:p></o:p>
· Information et communication sont des modes de développement<o:p></o:p>
· Ensemble des pays en retard face aux USA<o:p></o:p>
à Dérégulation complète des flux InfoCom pour les rattraper<o:p></o:p>
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Mc Luhan : « Malgré vos résistances, ces flux de communication vont sétendre et se développer »<o:p></o:p>
- « Une humanité dun seul tenant »<o:p></o:p>
- Capable déchanger pour fabriquer « une équidistance entre les individus »<o:p></o:p>
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Mondialisation des flux InfoCom à Chaque individu se tient à la même distance de lautre, à distance égale les un des autres.<o:p></o:p>
- pseudo égalité<o:p></o:p>
- notion de distance physique <o:p></o:p>
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Cette équidistance fait que les Tic rendent possible ce qui nappartenait quau Miracle à UBIQUITE du village global :<o:p></o:p>
Individu en 2 dimensions, à recomposer de nos jours :<o:p></o:p>
1. Dimension locale<o:p></o:p>
2. Dimension globale<o:p></o:p>
è Toujours en accommodant lun à lautre è Ré articulation entre les 2.<o:p></o:p>
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Japon : « Glocalize » <o:p></o:p>
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Mc Luhan : TV joue le rôle doutil de permutation entre lun et lautre.<o:p></o:p>
Ex : Guerre du Vietnam : assiste (à distance) en direct (proximité temporelle).<o:p></o:p>
è Mondialisation des émotions à Gobalisation<o:p></o:p>
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Le village global est tout petit : tout le monde y vit et est dilaté sur la planète entière.<o:p></o:p>
à Ville planétaire.<o:p></o:p>
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Articulation entre urbanisme et urbanité.<o:p></o:p>
Urbanisme : agencement spatial des villes<o:p></o:p>
Urbanité : Comportement social : courtoisie, sociabilité<o:p></o:p>
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è Rencontre entre les 2 :<o:p></o:p>
- ville devient le modèle dorganisation social par excellence<o:p></o:p>
- Une ville qui va<o:p></o:p>
o Absorber les autres, les modes de réalités spatiotemporelles<o:p></o:p>
o Absorber en devenant le modèle dominant.<o:p></o:p>
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« Ville monde » : planète devient une seule et même ville.<o:p></o:p>
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F. Braudel : Histoire de la Méditerranée<o:p></o:p>
A partir de la renaissance : « Economie-Monde » : Economie qui va réorganiser le visage de la planète.<o:p></o:p>
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Dans la même recomposition, à lintérieur des réseaux :<o:p></o:p>
Economie-monde à Ville-monde à Communication-monde (Mattelard)<o:p></o:p>
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Recomposition de lensemble des données autour du « paradigme InfoCom »<o:p></o:p>
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