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Cours vanessa 2005
ANALYSE DES REPRESENTATIONS AUDIOVISUELLES<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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« Lesthétique du film », impression de réalité au cinéma, écrits de Metz.<o:p></o:p>
Audiovisuel : représentation filmique englobant image et son , mais la télé nen fait pas parti il sagit de 2 éléments séparés , représentation filmique et représentation dimage qui sallie . On parle daudiovisuel depuis les années 1930 ; accélération exponentiel nous sommes sollicités par beaucoup dimages , des le plus jeune age nous sommes confrontés avec des images , journaux, télévision , cest donc un composant majeur de la communication des êtres humains entre eux <o:p></o:p>
La représentation visuelle précède lécriture de langue, elle est plus ancienne, en même temps la communication visuelle a une spécificité qui est celle dutiliser des canaux de communication plus naturelle, elle peut être comprise sans enseignements spécifiques <o:p></o:p>
Analyser : décomposer les éléments dun ensemble, on mes décompose pour mieux les identifier, analyser cest important mais cest une opération mentale et la réalité ne se présente pas de cette manière, cest une opération compacte. <o:p></o:p>
Représenter : contient le sens profond du mot, aller dans la source linguistique du mot, refaire laction de présenter. La représentation est un mot général utilisé dans plusieurs domaines, rendre présent a nouveau quelque chose dune manière différente que la chose en elle-même, il y a beaucoup de représentations qui sont une mise en scène tel que le théâtre, le référent de la représentation peut être aussi bien réel ou imaginaire, toute représentation qui passe par le corps on les appelle « représentations fugaces » elles ne restent pas mais juste dans notre mémoire.<o:p></o:p>
Les techniques de la trace : laisser un signe quelque part, on va reconnaître une technique de la trace dune technique de la représentation par le fait quelle reste, dans la matière (support) cest ce quon appelle support de représentation. Pour quune trace soit tracer sur un support permanent dans le temps il faut une technique, un outil et un savoir faire.<o:p></o:p>
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ANDRE LEROI GOURHAN : « le geste et la parole » paléo ethnologue, dans son livre il commence à tracer les grandes lignes de lévolution de lespèce. Il essaye de déduire toute la structure des sociétés historiques. A partir de lhomo sapiens stabilité physique, néanmoins il y a un changement au niveau de la culture et du développement technique. Il y a des modifications adaptives au milieu ou chaque espèce vit : spécialisation chaque espèce va développer quelques capacités physiques pour être bon dans une technique, redressement de lhumain du au développement de la parole, la main devient de plus en plus capable de geste et accomplie dautres fonctions .Il développe alors des techniques manuelles, mais la vue est aussi importante dans la technique car on contrôle le geste. Il y a eu une mise en place de lutilisation des objets et des savoirs faire pour amener au développement dune culture : corps social .Lhomme contrairement à lanimal a peu développé des spécialisations au niveau physique mais surtout au cerveau , lhomme est alors spécialisé dans la généralisation car il est capable de tout faire , lhomme crée ses techniques en dehors à lextérieur de son corps qui se développe à un certain moment de son évolution ; le geste est laction de lhomme sur loutil . Il développe se corps social qui est la résultante dun ensemble de population et de lévolution de la mémoire collective « un savoir communiqué et transmis ». La communication est une communication de limmédiateté et de temps pour une transmission de savoir qui va constituer toute la culture qui est transmise par le corps social <o:p></o:p>
A un certain moment commence a apparaître les techniques de la trace, nous sommes a 35000 avant JC , on commence à trouver des signes ( sur les grottes, parois) , ce sont les premiers signes de communication tracés qui sont interprétés avec difficulté , ce sont des signes qui communiquent , cest la main qui trace , mais le visage contrôle, la vue guide le geste et le cerveau opère cest la vue qui a cette tache de diriger .Dans les techniques de la trace et dans toutes les techniques en général la vue est protagoniste quand on trace et quand on regardes les traces . la vue commence a être perçu comme un médium très important de communication , certains signes montrent une analogie avec des choses réelles il y a des signes relativement abstrait, restreint mais passage fondamental entre signe abstrait et signe analogique <o:p></o:p>
Abstrait : Il faut avoir un code de décryptage, toute représentation qui a une analogie communique immédiatement et directement grâce à cette analogie, au référent. on se sert de lobjet de référence pou comprendre le sens su tracé ce qui a voulu être communiqué , les 1er signes sont une forme décriture , la communication écrite reste dans le temps contrairement à la communication orale ; communication écrite : valeur esthétique et aussi une technique qui aboutit à lécriture <o:p></o:p>
Il y a un cheminement dans le développement de lécriture, il y a de gros changements qui sappuient sur signes analogiques mais aussi abstrait ; les 2 systèmes sont mélangés. Dans notre société il y a séparation entre ces 2 systèmes mais ils inter agissent <o:p></o:p>
Lart commence avec ce quon appelle lart abstrait, il se réfère plus au langage qua lart figuratif <o:p></o:p>
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Signes analogiques : quelque chose de proche, connu dans la réalité ce quon appelle un référent qui peut être précis et concret ou vague. <o:p></o:p>
Les représentations picturales sont avant tout utilisés pour communiquer avec 2 systèmes : analogique et non analogique, cest le système non analogique qui se développe pour arriver a des formes décriture actuelle , lécriture dans notre civilisation va devenir non analogique, elle se développe dans lespace , elle est linéaire, cest une écriture phonétique , le son est représenté en tant que tel , on ne représente plus la chose que lon veut signifier , on code les sons du langage du langage parle , on fait des conventions . <o:p></o:p>
A chaque arrivé dun nouveau média, il y a de nouvelle fonction, chacun doit prendre sa place dans la société et se libérer de ces anciennes fonctions que le futur média va occuper, il suit le même schéma <o:p></o:p>
Réalisme de la représentation<o:p></o:p>
Il ne faut pas confondre réalité et<réel et réalisme et réalité, « la représentation de toutes ses formes nest pas le réel » GOMBRICH ERNST<o:p></o:p>
La représentation est réelle, elle a sa représentation propre à elle (photo est pas réelle juste le personnage), on appelle réelle tout ce qui tombe sous lexpérience lors dun état de conscience que nous vivons au quotidien, nous vivons au quotidien 2 états de conscience : le réel éveillé et le rêve dans le sommeil <o:p></o:p>
Il est difficile de définir le réel mais il existe, la représentation par définition nest pas le réel, elle nest pas même pas une copie du réel dans le sens quelle nest pas une duplication, la représentation ne représente que certains aspects de sont référent réel <o:p></o:p>
Pourquoi il y a-t-il un courant philosophique qui nie lexistence du réel ? <o:p></o:p>
On peut dire quelle est la preuve scientifique que par ex une table existe, il ny a pas de preuve scientifique au delà de lexpérience que lon a. Chaque personne a la preuve de sa propre expérience du réel, ce qui permet lexpérience cest la perception, je perçois le réel par mes 5 sens, nous avons des expériences perceptives de ce que nous appelons réel et nous lions notre connaissance du réel à cette expérience. Nous percevons lobjet de la représentation, ce qui est représenté et cela nous renvoie a une expérience perceptive à des connaissances que jai, « la représentation nest donc pas une réplique exacte dune chose réelle mais elle est capable de nous faire lexpérience illusoire de la réalité » GOMBRICH <o:p></o:p>
Quest ce qui fait lanalogie avec le réel ? Nous percevons le réel a travers nos sens et connaissons ces caractéristiques, lobjet réel possède ces qualités, caractéristiques qui tombe sur notre perception réceptive. Comme je connais tout cela, lors de mon expérience personnel je reconnais donc je nai pas besoin de faire toute lexpérience perceptive je peux évoquer la conception globale dune chose à travers seulement une partie de lobjet (ex : le jaune évoque le citron, nos sens entre en action inconsciemment) <o:p></o:p>
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Rodolphe ARNHEIM, son livre « la pensée visuelle » avec létude de la psychologie de la perception. La perception est un acte intelligent, dans le sens que lintelligence guide la perception, il ny a pas de schéma cognitif qui soit capable de synthétiser les éléments qui nous permet de reconnaître cette perception, ce sont des schémas déjà interprétés. Naturellement chacun apporte des informations, notre culture a privilégié la vue et louie donc les représentations concrètes ont été élaborés sur la base de ces organes , il ny a pas encore la représentation olfactive , une perception est un indice de quelque chose qui est présent ou qui a été présent . Nous percevons un tas dinformations sans sen rendre compte, on absorbe des informations sen être conscient, en même tant on fait une sélection sur les informations pertinentes, cette sélectivité est une des 1er fonction de lintelligence de la perception, sélection de ce qui est utile. La diversité, le changement attire lattention dune manière générale, ce que nous voyons cest aussi une suggestion des autres perceptions et nous arrivons à la preuve que nous pouvons nous tromper <o:p></o:p>
Toutes ces fonctions qui sont un jeu dans la représentation du réel sont un jeu dans la perception de la représentation .La vue a été longtemps et même encore comme le médium principal de la pensée, comprendre et voir sont presque synonyme, voir cest en même temps connaître. Ce nest pas un hasard si les représentations ce sont manifestés sur le plan visuel, les représentations sur dautres organes sont plus tardives, ensuite récemment on commence a enregistré les sons. Aujourdhui nous avons transposé certains aspects de la vision et de laudition, on na besoin de très peu de traits pour reconnaître quelque chose cest la schématisation, nous sommes face a des schémas mentales qui permettent de reconnaître et ce qui compte cest cette représentation mentale qui se crée suite à une perception (ex : arbre on ne perçoit pas de la même façon un arbre, différent vert) <o:p></o:p>
GESTALT « lesprit pour raisonner doit accomplir 2 fonctions recueillir linformation et lélaborer », ces 2 fonctions ne sont pas séparables, les opérations cognitives (pensée) ne sont pas autre chose que la perception, mais sont daprès GESTALT, des ingrédients de la perception donc percevoir cest pensée, cest une opération de lintelligence. Avec cognitive je me réfère a toutes les opérations mentales qui interviennent dans ce processus de recevoir, emmagasiner linformation et pensée active cest à dire apprendre, toute action intelligente est une activité dons toute action perceptive est un comportement active <o:p></o:p>
ARNHEIM « voir cest créer des images, des représentations mentales », limage mentale se construit en conséquence de représentation visuelle par notre cerveau, la capacité dimaginer est la capacité de fermer des images sans stimulus externe. Les représentations mentales sont former par la rencontre de la perception visuelle ou par notre esprit, limage qui représente au delà de la perception à une activité intellectuelle importante, de même pour le rêve. Quand on rêve on a des images qui ne sont pas construit par un stimulus, le rêve est un autre état de la conscience : hors ces différentes représentations par image corresponde à des différents états du réel. <o:p></o:p>
Quest ce que limage ? Cest difficile à définir car on rentre dans le mental est celui-ci na pas un statut fiable, lévocation de toutes connaissances va se condenser dans une image <o:p></o:p>
Limportance de la perception quand on reçoit une communication audiovisuelle, par le visuelle certaines caractéristiques du réel passe par la perception, on complète ensuite par ce quon connaît , notre intelligence , donc laspect de complètement, joue beaucoup sur la représentation du cadre <o:p></o:p>
Champ et hors champ : le champ est un espace, délimité cest ce qui est véritablement sous les yeux de la perception visuelle, il y a une relation entre champ et hors champ et limage mentale est faite avec se complément de hors champ doù la relation, le hors champ est suggéré par rapport a ce qui est véritable à voir dans le champs. Dans le cinéma la relation champ, hors champs disparaît avec les mouvements <o:p></o:p>
Il y a des influences dans la relation champs et hors champs :<o:p></o:p>
- Il y a une condition minimale pour recevoir une perception visuelle : la lumière<o:p></o:p>
- On voit les formes par différence, si il ny a pas de différente forme dans le champ on ne voit que la couleur donc il faut que la forme se détache sur le fond, relation de la forme avec les fonds est obligatoire <o:p></o:p>
Il y aussi dautres conditions outre celle quon a vu lié à lespace pour la perception <o:p></o:p>
Lespace ne peut indiquer le temps de manière précise mais il suggère toujours sa propre relation au temps, dans la réalité lespace et le temps est indissociable .La dimension temporelle est suggéré par ce qui est présenté dans le champs mais les conditions de réception sont dans le réel donc le temps existe forcément, le récepteur utilise un temps pour sa réception aussi appelé temps de lecture de limage qui dépend de plusieurs facteurs. <o:p></o:p>
Cest lappareil photographique qui produit les images mais pas forcément car juste derrière il y a les hommes pour le faire fonctionner <o:p></o:p>
Réception mécanique : change la relation de lartiste, ce qui fait que le spectateur doit adapter son il selon le support. La photographie mémorise, transmet dune manière différente de la peinture. Pour la 1er fois dans les médias de représentation de limage, la relation entre représentation et référent réel change, la technique a besoin de la présence du référent réel pour représenter (contrairement au peintre) .Lessentiel de la photo est de ratifier ce quelle représente, le langage est par nature fonctionnel donc dans la photo le pouvoir dauthentification prime le pouvoir de la représentation. De nos jours nous sommes en train de changer cet élément de représentation, on peut reconstituer des personnes et les faire percevoir comme si elles étaient réel. Le statut de la relation entre réfèrent réel et représentation est a nouveau en train de changer car les ordinateurs nont plus besoin de référent pour représenter , il y a eu une époque ou le pouvoir dauthentification a primé cest de linvention de la photo à nos jours , la photo a été inventé en développement artistique ce qui nest pas le cas du cinéma qui est inventé dans la poussée scientifique , la perception dune photo face à la perception dune peinture est différent , donc lillusion du réel a fortement augmenté <o:p></o:p>
Le cinéma est la vie car ce qui est envie est en mouvement, lillusion du mouvement donne un réalisme car quelque chose bouge, cest le temps présent <o:p></o:p>
Le mouvement a besoin dun temps pour se développer, avec le cinéma le spectateur nest pas libre par le choix de lecture, cest le cinéaste qui limpose.Le cinéma va assez tôt rejoindre la scène théâtrale pour devenir le cinéma de fiction<o:p></o:p>
Au départ on voulait comprendre par ex le mouvement des chevaux (voir cinéma muet) <o:p></o:p>
La variation du tournage a une conséquence sur la projection, création du ralentit ou de laccélération<o:p></o:p>
Le projecteur modifie le résultat filmique, cétait au début de laventure, maintenant on modifie le temps du tournage ou au montage, le cinéma permet de rendre la vue plus puissante car le rendu est difficilement perçu par lil, le mouvement en lui-même est ce qui caractérise le cinéma, il est immatériel, une matière crée le mouvement <o:p></o:p>
Lillusion de perception est donnée complètement, 100% de qualité visuelle, cest le cinématographe qui nous donne toutes ces qualités.<o:p></o:p>
Christian Metz évoque les indices de réalité et les différents degrés de ces indices, au cinéma le degré de fidélité est très élevé<o:p></o:p>
Le temps au cinéma commence à être présent : <o:p></o:p>
Réception cinématographique : conditions particulières, immersion dans une salle sombre, cette vision en salle à un antécédent proche : le théâtre, représentation collective en même temps un spectateur individuel.<o:p></o:p>
Cest un processus psychologique particulier et très important, une fois quune habitude de projection est prise, elle se poursuit ; le spectateur va soublier et oublier la condition réelle (cest-à-dire la salle de cinéma) et on est projeté dans lécran.<o:p></o:p>
Cest le cinéma surtout de fiction qui engage un nouveau langage ; langage cinématographique (basé sur des outils), différent de la langue parlée <o:p></o:p>
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La condition psychologique du spectateur est aidée par sa condition physique dans laquelle il se trouve.Forme complexe didentification, dabord celle avec la caméra ; lil, la perception visuelle est celle de la caméra <o:p></o:p>
A ses débuts, le cinématographe est perçu comme lil très puissant, la capacité de lhomme a voir se transforme.<o:p></o:p>
La 1er identification : il/caméra, point de vue pour regarder réel, expérience même dune vision <o:p></o:p>
Adhésion audiovisuelle : <o:p></o:p>
Au cinéma on ne raconte pas tout court, on raconte dune certaine manière ; mise en scène choisie<o:p></o:p>
Photogramme : unité technique <o:p></o:p>
Lunité minimale au cinéma est un plan : ce qui est enregistré en continuité temps réel, temps filmique.Entre 2 plans, on perd le contrôle du temps réel, entre le plan 1 et 2 le temps filmique est continu <o:p></o:p>
Dans le courant réaliste, on a tendance à ne pas couper le plan pour certifier ce quil sest vraiment passé, la représentation visuelle au cinéma est représentée par le temps filmique. <o:p></o:p>
Le cadrage est fondamental à lélément de base, chaque média hérite du média précédent.<o:p></o:p>
Le média élabore son langage lorsquil se détache du média photo. Entre le 1er film et les suivants, il y a une modification dans la façon de travailler, gérer les raccords de plans <o:p></o:p>
Les réalisateurs vont comprendre les autres possibilités du cinéma avec la mobilité de la caméra, cela éloigne le cinéma de photo.<o:p></o:p>
Cette illusion du mouvement : <o:p></o:p>
La mobilisation de la caméra peut être faite de 2 manières<o:p></o:p>
- Bouger la caméra grâce aux outils mobiles <o:p></o:p>
- Comprendre que lon peut donner une cohérence des éléments filmés <o:p></o:p>
Griffith et Eisenstein, père du montage, Eisenstein prend conscience du montage en regardant des pictogrammes japonais, on prend des éléments pour les mettre en série il pense que lon peut faire la même chose au cinéma, dans une série organisée, un élément prend une signification particulière au milieu dune série organisée <o:p></o:p>
La signification dun plan au cinéma nest pas seulement ce que le plan dis lui-même mais aussi sa place dans la chaîne, séquence. <o:p></o:p>
Position que le plan occupe dans la série : invention du montage, structure du montage qui donne sa ressemblance au langage, cest la plus grande découverte même encore aujourdhui , cest une prise de conscience<o:p></o:p>
Le multimédia succède au cinéma, la structure linéaire a évolué avec lintroduction du DVD, vidéo dans les foyers, on choisit notre lecture, dans le multimédia, il y a linteraction différente pas possible avec le cinéma.<o:p></o:p>
Le montage de Eisenstein est dit symbolique (non réaliste) , on peut être dans une tendance réaliste ou dans une tendance à la Eisenstein ou la signification devient plus forte <o:p></o:p>
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La diègèse ou lunivers diégètique <o:p></o:p>
Le cinéma va commencer à raconter dans le document ou cinéma de fiction, dans les 2 cas il y a une illusion de la réalité<o:p></o:p>
Temps de narration filmique, tous ces éléments qui constituent le film appartiennent à lunivers diégètique, on raconte au spectateur lhistoire dans lespace temps, le spectateur se projette dans la diègèse du film.<o:p></o:p>
Bine que lil du spectateur sidentifie à la caméra, dans lunivers diégètique le spectateur sidentifie aux personnages de lécran.Processus psychologique de transfert qui cette fois se projette dans le personnage. Lexpérience cinématographique est une expérience daltérité qui ressemble un rêve, notre conscience est projetée dans une autre réalité <o:p></o:p>
Cinéma documentaire : Robert Flaherty père du documentaire aux USA et Dziga Vertov père du documentaire en URSS <o:p></o:p>
Flaherty : les nuits dans Nanook en 1922<o:p></o:p>
Flaherty influence le cinéma documentaire et ethnographique, il rencontre des esquimaux et en fait un documentaire. La méthode de Flaherty : manière de réaliser, il filme lui-même et simprègne de la réalité, il construit son film avec les esquimaux, la vie quotidienne est retranscrite à lécran, cette méthode donne une sensation réaliste et naturelle donc montage réaliste <o:p></o:p>
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3 niveaux de compréhension dun film : <o:p></o:p>
- Analogie photographique<o:p></o:p>
- Signification, la narrativité crée par la diègèse<o:p></o:p>
- Ensemble de symboles, expression du rythme par le montage, langage du cinéma <o:p></o:p>
Dziga Vertov (représentation non réaliste), intéressé par le réel, il met en scène des acteurs, à travers son film « lhomme à la caméra », il rend hommage à lil devenu caméra.Le cinéma en URSS est perçu comme un art majeur par Lénine, il y a un soutien politique et administratif, il y a une grande liberté dans le sens des images avec lui.<o:p></o:p>
Selon Vertov, le cinéma est un moyen de voir la réalité différemment, il film des petits morceaux du réel pour montrer comment lil de la caméra peut nous montrer quelle nous fait voir ceci différemment.<o:p></o:p>
A partir dune représentation réelle, on peut faire surgir des vérités sur le réel, cinéma vérité <o:p></o:p>
Ne pas oublier que le cinéma est une représentation, une illusion, cest un art.<o:p></o:p>
La mise en scène est de différents niveaux, elle peut avoir un sens théâtrale (cinéma de fiction), ce niveau là certains cinéma peuvent sans passer comme le cinéma documentaire, quand on parle de mise en scène on parle de langage.<o:p></o:p>
Dans le cinéma muet le son est représenté par hallucination (à travers des éléments producteurs de son) mais grâce au rythme des images, au montage, sensation auditive.<o:p></o:p>
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Le passage au son <o:p></o:p>
La représentation du son (dans la technique de la trace) pouvait se faire de manière graphique avec la notation de note, dans la deuxième moitié du XXème siècle, des instruments mécaniques, phonographique.<o:p></o:p>
Le cinéma muet, a crée son langage propre, résiste à appliquer cette nouvelle invention qui permettrait dassocier limage au son <o:p></o:p>
1er raison : artistique car le cinéma est déjà un art, cest lart de la narration par limage en il communique par langage universel, limage na pas de barrière linguistique, tout cela nest plus possible du moment que le son sassocie à limage, le son en tant que parole arrive avec son moyen de signification mais il y a un problème dans le cinéma parlant (bruits, musique, paroles).le bruit ne dérange pas cela permet de sapprocher du réel ajouter un bruit à limage donne du réalisme or lart cinématographique de lépoque e veut pas être tuer par la parole , 30 ans après sa création certains disent que le cinéma est mort avec la parole (Eisenstein).<o:p></o:p>
Tout ce qui apporte plus de réalise met en danger le cinéma en tant quart, la parole conditionne limage, limage est plus coincée avec la parole car besoin de temps pour se développer.<o:p></o:p>
La musique est un héritage du Muet, elle avait fonction daccompagner le fil en donnant une atmosphère, elle est entrée comme accompagnement des images, elle nest pas dans la diègèse car elle ne fait pas partie de la représentation, la musique est autre niveau de signification, un moyen de communication au niveau émotionnel, on écoute la musique dune certaine manière en fonction de notre culture <o:p></o:p>
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Perception auditive <o:p></o:p>
Un son est immatériel, cest un indicateur de la matière, son produit par une source sonore matérielle, il se développe sur la notion de temps il indique lespace car il indique une source que lon localise.Depuis la reproduction du son on est dans lécoute du second niveau. Dans la représentation du son au cinéma, ce qui importe cest la relation image et son, cest une association qui crée une interprétation <o:p></o:p>
Au cinéma on peut avoir la source représentée à limage donc le son fait parti de lunivers diégètique.<o:p></o:p>
Dans les années 20, on parle avec insistance du cinéma sonore, il y a un autre problème, les acteurs muets ne sont pas forcément des acteurs parlants, ils sont des acteurs du visuel, lacteur muet a déployé des moyens gestuels pour communiquer, théâtralisation gestuelle (Chaplin) <o:p></o:p>
Lintroduction du son est progressive (extrait de chantons sous la pluie) <o:p></o:p>
Au début du cinéma parlant, la post synchronisation va émerger pour permettre une meilleure qualité, musique Off est conservée dans le film mais il y a un autre son Off cest la voix Off utilisée dans les documents.<o:p></o:p>
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Christian Metz e la sémiologie <o:p></o:p>
2 catégories de signification : image et son <o:p></o:p>
Limage reproduit lintégralité des mouvements, de même pour le son mais il y a une différence entre lécoute du 1er niveau et du second, ce nest pas une copie parfaite du mouvement <o:p></o:p>
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