• Cours vanessa 2005

    ANALYSE DES REPRESENTATIONS AUDIOVISUELLES<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    « L’esthétique du film », impression de réalité au cinéma, écrits de Metz.<o:p></o:p>

    Audiovisuel : représentation filmique englobant image et son , mais la télé n’en fait pas parti il s’agit de 2 éléments séparés , représentation filmique et représentation d’image qui s’allie . On parle d’audiovisuel depuis les années 1930 ; accélération exponentiel nous sommes sollicités par beaucoup d’images , des le plus jeune age nous sommes confrontés avec des images , journaux, télévision , c’est donc un composant majeur de la communication des êtres humains entre eux <o:p></o:p>

    La représentation visuelle précède l’écriture de langue, elle est plus ancienne, en même temps la communication visuelle a une spécificité qui est celle d’utiliser des canaux de communication plus naturelle, elle peut être comprise sans enseignements spécifiques <o:p></o:p>

    Analyser : décomposer les éléments d’un ensemble, on mes décompose pour mieux les identifier, analyser c’est important mais c’est une opération mentale et la réalité ne se présente pas de cette manière, c’est une opération compacte. <o:p></o:p>

    Représenter : contient le sens profond du mot, aller dans la source linguistique du mot, refaire l’action de présenter. La représentation est un mot général utilisé dans plusieurs domaines, rendre présent a nouveau quelque chose d’une manière différente que la chose en elle-même, il y a beaucoup de représentations qui sont une mise en scène tel que le théâtre, le référent de la représentation peut être aussi bien réel ou imaginaire, toute représentation qui passe par le corps on les appelle « représentations fugaces » elles ne restent pas mais juste dans notre mémoire.<o:p></o:p>

    Les techniques de la trace : laisser un signe quelque part, on va reconnaître une technique de la trace d’une technique de la représentation par le fait qu’elle reste, dans la matière (support) c’est ce qu’on appelle support de représentation. Pour qu’une trace soit tracer sur un support permanent dans le temps il faut une technique, un outil et un savoir faire.<o:p></o:p>

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    ANDRE LEROI GOURHAN : « le geste et la parole » paléo ethnologue, dans son livre il commence à tracer les grandes lignes de l’évolution de l’espèce. Il essaye de déduire toute la structure des sociétés historiques. A partir de l’homo sapiens stabilité physique, néanmoins il y a un changement au niveau de la culture et du développement technique. Il y a des modifications adaptives au milieu ou chaque espèce vit : spécialisation chaque espèce va développer quelques capacités physiques pour être bon dans une technique, redressement de l’humain du au développement de la parole, la main devient de plus en plus capable de geste et accomplie d’autres fonctions .Il développe alors des techniques manuelles, mais la vue est aussi importante dans la technique car on contrôle le geste. Il y a eu une mise en place de l’utilisation des objets et des savoirs faire pour amener au développement d’une culture : corps social .L’homme contrairement à l’animal a peu développé des spécialisations au niveau physique mais surtout au cerveau , l’homme est alors spécialisé dans la généralisation car il est capable de tout faire , l’homme crée ses techniques en dehors à l’extérieur de son corps qui se développe à un certain moment de son évolution ; le geste est l’action de l’homme sur l’outil . Il développe se corps social qui est la résultante d’un ensemble de population et de l’évolution de la mémoire collective «  un savoir communiqué et transmis ». La communication est une communication de l’immédiateté et de temps pour une transmission de savoir qui va constituer toute la culture qui est transmise par le corps social <o:p></o:p>

    A un certain moment commence a apparaître les techniques de la trace, nous sommes a 35000 avant JC , on commence à trouver des signes ( sur les grottes, parois) , ce sont les premiers signes de communication tracés qui sont interprétés avec difficulté , ce sont des signes qui communiquent , c’est la main qui trace , mais le visage contrôle, la vue guide le geste et le cerveau opère c’est la vue qui a cette tache de diriger .Dans les techniques de la trace et dans toutes les techniques en général la vue est protagoniste quand on trace et quand on regardes les traces . la vue commence a être perçu comme un médium très important de communication , certains signes montrent une analogie avec des choses réelles il y a des signes relativement abstrait, restreint mais passage fondamental entre signe abstrait et signe analogique <o:p></o:p>

    Abstrait : Il faut avoir un code de décryptage, toute représentation qui a une analogie communique immédiatement et directement grâce à cette analogie, au référent. on se sert de l’objet de référence pou comprendre le sens su tracé ce qui a voulu être communiqué , les 1er signes sont une forme d’écriture , la communication écrite reste dans le temps contrairement à la communication orale ; communication écrite : valeur esthétique et aussi une technique qui aboutit à l’écriture <o:p></o:p>

    Il y a un cheminement dans le développement de l’écriture, il y a de gros changements qui s’appuient sur signes analogiques mais aussi abstrait ; les 2 systèmes sont mélangés. Dans notre société il y a séparation entre ces 2 systèmes mais ils inter agissent <o:p></o:p>

    L’art commence avec ce qu’on appelle l’art abstrait, il se réfère plus au langage qu’a l’art figuratif <o:p></o:p>

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    Signes analogiques : quelque chose de proche, connu dans la réalité ce qu’on appelle un référent qui peut être précis et concret ou vague. <o:p></o:p>

    Les représentations picturales sont avant tout utilisés pour communiquer avec 2 systèmes : analogique et non analogique, c’est le système non analogique qui se développe pour arriver a des formes d’écriture actuelle , l’écriture dans notre civilisation va devenir non analogique, elle se développe dans l’espace , elle est linéaire, c’est une écriture phonétique , le son est représenté en tant que tel , on ne représente plus la chose que l’on veut signifier , on code les sons du langage du langage parle , on fait des conventions . <o:p></o:p>

    A chaque arrivé d’un nouveau média, il y a de nouvelle fonction, chacun doit prendre sa place dans la société et se libérer de ces anciennes fonctions que le futur média va occuper, il suit le même schéma <o:p></o:p>

    Réalisme de la représentation<o:p></o:p>

    Il ne faut pas confondre réalité et<réel et réalisme et réalité, « la représentation de toutes ses formes n’est pas le réel » GOMBRICH ERNST<o:p></o:p>

    La représentation est réelle, elle a sa représentation propre à elle (photo est pas réelle juste le personnage), on appelle réelle tout ce qui tombe sous l’expérience lors d’un état de conscience que nous vivons au quotidien, nous vivons au quotidien 2 états de conscience : le réel éveillé et le rêve dans le sommeil <o:p></o:p>

    Il est difficile de définir le réel mais il existe, la représentation par définition n’est pas le réel, elle n’est pas même pas une copie du réel dans le sens qu’elle n’est pas une duplication, la représentation ne représente que certains aspects de sont référent réel <o:p></o:p>

    Pourquoi il y a-t-il un courant philosophique qui nie l’existence du réel ? <o:p></o:p>

    On peut dire  qu’elle est la preuve scientifique que par ex une table existe, il n’y a pas de preuve scientifique au delà de l’expérience que l’on a. Chaque personne a la preuve de sa propre expérience du réel, ce qui permet l’expérience c’est la perception, je perçois le réel par mes 5 sens, nous avons des expériences perceptives de ce que nous appelons réel et nous lions notre connaissance du réel à cette expérience. Nous percevons l’objet de la représentation, ce qui est représenté et cela nous renvoie a une expérience perceptive à des connaissances que j’ai, « la représentation n’est donc pas une réplique exacte d’une chose réelle mais elle est capable de nous faire l’expérience illusoire de la réalité » GOMBRICH <o:p></o:p>

    Qu’est ce qui fait l’analogie avec le réel ? Nous percevons le réel a travers nos sens et connaissons ces caractéristiques, l’objet réel possède ces qualités, caractéristiques qui tombe sur notre perception réceptive. Comme je connais tout cela, lors de mon expérience personnel je reconnais donc je n’ai pas besoin de faire toute l’expérience perceptive je peux évoquer la conception globale d’une chose à travers seulement une partie de l’objet (ex : le jaune évoque le citron, nos sens entre en action inconsciemment)  <o:p></o:p>

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    Rodolphe ARNHEIM, son livre « la pensée visuelle » avec l’étude de la psychologie de la perception. La perception est un acte intelligent, dans le sens que l’intelligence guide la perception, il n’y a pas de schéma cognitif qui soit capable de synthétiser les éléments qui nous permet de reconnaître cette perception, ce sont des schémas déjà interprétés. Naturellement chacun apporte des informations, notre culture a privilégié la vue et l’ouie donc les représentations concrètes ont été élaborés sur la base de ces organes , il n’y a pas encore la représentation olfactive , une perception est un indice de quelque chose qui est présent ou qui a été présent . Nous percevons un tas d’informations sans s’en rendre compte, on absorbe des informations s’en être conscient, en même tant on fait une sélection sur les informations pertinentes, cette sélectivité est une des 1er fonction de l’intelligence de la perception, sélection de ce qui est utile. La diversité, le changement attire l’attention d’une manière générale, ce que nous voyons c’est aussi une suggestion des autres perceptions et nous arrivons à la preuve que nous pouvons nous tromper <o:p></o:p>

    Toutes ces fonctions qui sont un jeu dans la représentation du réel sont un jeu dans la perception de la représentation  .La vue a été longtemps et même encore comme le médium principal de la pensée, comprendre et voir sont presque synonyme, voir c’est en même temps connaître. Ce n’est pas un hasard si les représentations ce sont manifestés sur le plan visuel, les représentations sur d’autres organes sont plus tardives, ensuite récemment on commence a enregistré les sons. Aujourd’hui nous avons transposé certains aspects de la vision et de l’audition, on na besoin de très peu de traits pour reconnaître quelque chose c’est la schématisation, nous sommes face a des schémas mentales qui permettent de reconnaître et ce qui compte c’est cette représentation mentale qui se crée suite à une perception (ex : arbre on ne perçoit pas de la même façon un arbre, différent vert) <o:p></o:p>

    GESTALT «  l’esprit pour raisonner doit accomplir 2 fonctions recueillir l’information et l’élaborer », ces 2 fonctions ne sont pas séparables, les opérations cognitives (pensée) ne sont pas autre chose que la perception, mais sont d’après GESTALT, des ingrédients de la perception donc percevoir c’est pensée, c’est une opération de l’intelligence. Avec cognitive je me réfère a toutes les opérations mentales qui interviennent dans ce processus de recevoir, emmagasiner l’information et pensée active c’est à dire apprendre, toute action intelligente est une activité dons toute action perceptive est un comportement active  <o:p></o:p>

    ARNHEIM « voir c’est créer des images, des représentations mentales », l’image mentale se construit en conséquence de représentation visuelle par notre cerveau, la capacité d’imaginer est la capacité de fermer des images sans stimulus externe. Les représentations mentales sont former par la rencontre de la perception visuelle ou par notre esprit, l’image qui représente au delà de la perception à une activité intellectuelle importante, de même pour le rêve. Quand on rêve on a des images qui ne sont pas construit par un stimulus, le rêve est un autre état de la conscience : hors ces différentes représentations par image corresponde à des différents états du réel. <o:p></o:p>

    Qu’est ce que l’image ? C’est difficile à définir car on rentre dans le mental est celui-ci n’a pas un statut fiable, l’évocation de toutes connaissances va se condenser dans une image <o:p></o:p>

    L’importance de la perception quand on reçoit une communication audiovisuelle, par le visuelle certaines caractéristiques du réel passe par la perception, on complète ensuite par ce qu’on connaît , notre intelligence , donc l’aspect de complètement, joue beaucoup sur la représentation du cadre <o:p></o:p>

    Champ et hors champ : le champ est un espace, délimité c’est ce qui est véritablement sous les yeux de la perception visuelle, il y a une relation entre champ et hors champ et l’image mentale est faite avec se complément de hors champ d’où la relation, le hors champ est suggéré par rapport a ce qui est véritable à voir dans le champs. Dans le cinéma la relation champ, hors champs disparaît avec les mouvements <o:p></o:p>

    Il y a des influences dans la relation champs et hors champs :<o:p></o:p>

    • Il y a une condition minimale pour recevoir une perception visuelle : la lumière<o:p></o:p>
    • On voit les formes par différence, si il n’y a pas de différente forme dans le champ on ne voit que la couleur donc il faut que la forme se détache sur le fond, relation de la forme avec les fonds est obligatoire <o:p></o:p>

    Il y aussi d’autres conditions outre celle qu’on a vu lié à l’espace pour la perception  <o:p></o:p>

    L’espace ne peut indiquer le temps de manière précise mais il suggère toujours sa propre relation au temps, dans la réalité l’espace et le temps est indissociable .La dimension temporelle est suggéré par ce qui est présenté dans le champs mais les conditions de réception sont dans le réel donc le temps existe forcément, le récepteur utilise un temps pour sa réception aussi appelé temps de lecture de l’image qui dépend de plusieurs facteurs. <o:p></o:p>

    C’est l’appareil photographique qui produit les images mais pas forcément car juste derrière il y a les hommes pour le faire fonctionner <o:p></o:p>

    Réception mécanique : change la relation de l’artiste, ce qui fait que le spectateur doit adapter son œil selon le support. La photographie mémorise, transmet d’une manière différente de la peinture. Pour la 1er fois dans les médias de représentation de l’image, la relation entre représentation et référent réel change, la technique a besoin de la présence du référent réel pour représenter (contrairement au peintre) .L’essentiel de la photo est de ratifier ce qu’elle représente, le langage est par nature fonctionnel donc dans la photo le pouvoir d’authentification prime le pouvoir de la représentation. De nos jours nous sommes en train de changer cet élément de représentation, on peut reconstituer des personnes et les faire percevoir comme si elles étaient réel. Le statut de la relation entre réfèrent réel et représentation est a nouveau en train de changer car les ordinateurs n’ont plus besoin de référent pour représenter , il y a eu une époque ou le pouvoir d’authentification a primé c’est de l’invention de la photo à nos jours , la photo a été inventé en développement artistique ce qui n’est pas le cas du cinéma qui est inventé dans la poussée scientifique , la perception d’une photo face à la perception d’une peinture est différent , donc l’illusion du réel a fortement augmenté  <o:p></o:p>

    Le cinéma est la vie car ce qui est envie est en mouvement, l’illusion du mouvement donne un réalisme car quelque chose bouge, c’est le temps présent <o:p></o:p>

    Le mouvement a besoin d’un temps pour se développer, avec le cinéma le spectateur n’est pas libre par le choix de lecture, c’est le cinéaste qui l’impose.Le cinéma va assez tôt rejoindre la scène théâtrale pour devenir le cinéma de fiction<o:p></o:p>

    Au départ on voulait comprendre par ex le mouvement des chevaux (voir cinéma muet) <o:p></o:p>

    La variation du tournage a une conséquence sur la projection, création du ralentit ou de l’accélération<o:p></o:p>

    Le projecteur modifie le résultat filmique, c’était au début de l’aventure, maintenant on modifie le temps du tournage ou au montage, le cinéma permet de rendre la vue plus puissante car le rendu est difficilement perçu par l’œil, le mouvement en lui-même est ce qui caractérise le cinéma, il est immatériel, une matière crée le mouvement  <o:p></o:p>

    L’illusion de perception est donnée complètement, 100% de qualité visuelle, c’est le cinématographe qui nous donne toutes ces qualités.<o:p></o:p>

    Christian Metz évoque les indices de réalité et les différents degrés de ces indices, au cinéma le degré de fidélité est très élevé<o:p></o:p>

    Le temps au cinéma commence à être présent : <o:p></o:p>

    Réception cinématographique : conditions particulières, immersion dans une salle sombre, cette vision en salle à un antécédent proche : le théâtre, représentation collective en même temps un spectateur individuel.<o:p></o:p>

    C’est un processus psychologique particulier et très important, une fois qu’une habitude de projection est prise, elle se poursuit ; le spectateur va s’oublier et oublier la condition réelle (c’est-à-dire la salle de cinéma) et on est projeté dans l’écran.<o:p></o:p>

    C’est le cinéma surtout de fiction qui engage un nouveau langage ; langage cinématographique (basé sur des outils), différent de la langue parlée <o:p></o:p>

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    La condition psychologique du spectateur est aidée par sa condition physique dans laquelle il se trouve.Forme complexe d’identification, d’abord celle avec la caméra ; l’œil, la perception visuelle est celle de la caméra <o:p></o:p>

    A ses débuts, le cinématographe est perçu comme l’œil très puissant, la capacité de l’homme a voir se transforme.<o:p></o:p>

    La 1er identification : œil/caméra, point de vue pour regarder réel, expérience même d’une vision  <o:p></o:p>

    Adhésion audiovisuelle : <o:p></o:p>

    Au cinéma on ne raconte pas tout court, on raconte d’une certaine manière ; mise en scène choisie<o:p></o:p>

    Photogramme : unité technique <o:p></o:p>

    L’unité minimale au cinéma est un plan : ce qui est enregistré en continuité temps réel, temps filmique.Entre 2 plans, on perd le contrôle du temps réel, entre le plan 1 et 2 le temps filmique est continu <o:p></o:p>

    Dans le courant réaliste, on a tendance à ne pas couper le plan pour certifier ce qu’il s’est vraiment passé, la représentation visuelle au cinéma est représentée par le temps filmique. <o:p></o:p>

    Le cadrage est fondamental à l’élément de base, chaque média hérite du média précédent.<o:p></o:p>

    Le média élabore son langage lorsqu’il se détache du média photo. Entre le 1er film et les suivants, il y a une modification dans la façon de travailler, gérer les raccords de plans…<o:p></o:p>

    Les réalisateurs vont comprendre les autres possibilités du cinéma avec la mobilité de la caméra, cela éloigne le cinéma de photo.<o:p></o:p>

    Cette illusion du mouvement : <o:p></o:p>

    La mobilisation de la caméra peut être faite de 2 manières<o:p></o:p>

    • Bouger la caméra grâce aux outils mobiles <o:p></o:p>
    • Comprendre que l’on peut donner une cohérence des éléments filmés <o:p></o:p>

    Griffith et Eisenstein, père du montage, Eisenstein prend conscience du montage en regardant des pictogrammes japonais, on prend des éléments pour les mettre en série il pense que l’on peut faire la même chose au cinéma, dans une série organisée, un élément prend une signification particulière au milieu d’une série organisée <o:p></o:p>

    La signification d’un plan au cinéma n’est pas seulement ce que le plan dis lui-même mais aussi sa place dans la chaîne, séquence.  <o:p></o:p>

    Position que le plan occupe dans la série : invention du montage, structure du montage qui donne sa ressemblance au langage, c’est la plus grande découverte même encore aujourd’hui , c’est une prise de conscience<o:p></o:p>

    Le multimédia succède au cinéma, la structure linéaire a évolué avec l’introduction du DVD, vidéo dans les foyers, on choisit notre lecture, dans le multimédia, il y a l’interaction différente pas possible avec le cinéma.<o:p></o:p>

    Le montage de Eisenstein est dit symbolique (non réaliste) , on peut être dans une tendance réaliste ou dans une tendance à la Eisenstein ou la signification devient plus forte <o:p></o:p>

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    La diègèse ou l’univers diégètique   <o:p></o:p>

    Le cinéma va commencer à raconter dans le document ou cinéma de fiction, dans les 2 cas il y a une illusion de la réalité<o:p></o:p>

    Temps de narration filmique, tous ces éléments qui constituent le film appartiennent à l’univers diégètique, on raconte au spectateur l’histoire dans l’espace temps, le spectateur se projette dans la diègèse du film.<o:p></o:p>

    Bine que l’œil du spectateur s’identifie à la caméra, dans l’univers diégètique le spectateur s’identifie aux personnages de l’écran.Processus psychologique de transfert qui cette fois se projette dans le personnage. L’expérience cinématographique est une expérience d’altérité qui ressemble  un rêve, notre conscience est projetée dans une autre réalité <o:p></o:p>

    Cinéma documentaire : Robert Flaherty père du documentaire aux USA et Dziga Vertov père du documentaire en URSS <o:p></o:p>

    Flaherty : les nuits dans Nanook en 1922<o:p></o:p>

    Flaherty influence le cinéma documentaire et ethnographique, il rencontre des esquimaux et en fait un documentaire. La méthode de Flaherty : manière de réaliser, il filme lui-même et s’imprègne de la réalité, il construit son film avec les esquimaux, la vie quotidienne est retranscrite à l’écran, cette méthode donne une sensation réaliste et naturelle donc montage réaliste <o:p></o:p>

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    3 niveaux de compréhension d’un film : <o:p></o:p>

    • Analogie photographique<o:p></o:p>
    • Signification, la narrativité crée par la diègèse<o:p></o:p>
    • Ensemble de symboles, expression du rythme par le montage, langage du cinéma <o:p></o:p>

    Dziga Vertov (représentation non réaliste), intéressé par le réel, il met en scène des acteurs, à travers son film «  l’homme à la caméra », il rend hommage à l’œil devenu caméra.Le cinéma en URSS est perçu comme un art majeur par Lénine, il y a un soutien politique et administratif, il y a une grande liberté dans le sens des images avec lui.<o:p></o:p>

    Selon Vertov, le cinéma est un moyen de voir la réalité différemment, il film des petits morceaux du réel pour montrer comment l’œil de la caméra peut nous montrer qu’elle nous fait voir ceci différemment.<o:p></o:p>

    A partir d’une représentation réelle, on peut faire surgir des vérités sur le réel, cinéma vérité  <o:p></o:p>

    Ne pas oublier que le cinéma est une représentation, une illusion, c’est un art.<o:p></o:p>

    La mise en scène est de différents niveaux, elle peut avoir un sens théâtrale (cinéma de fiction), ce niveau là certains cinéma peuvent sans passer comme le cinéma documentaire, quand on parle de mise en scène on parle de langage.<o:p></o:p>

    Dans le cinéma muet le son est représenté par hallucination (à travers des éléments producteurs de son) mais grâce au rythme des images, au montage, sensation auditive.<o:p></o:p>

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    Le passage au son   <o:p></o:p>

    La représentation du son (dans la technique de la trace) pouvait se faire de manière graphique avec la notation de note, dans la deuxième moitié du XXème siècle, des instruments mécaniques, phonographique.<o:p></o:p>

    Le cinéma muet, a crée son langage propre, résiste à appliquer cette nouvelle invention qui permettrait d’associer l’image au son <o:p></o:p>

    1er raison : artistique car le cinéma est déjà un art, c’est l’art de la narration par l’image en il communique par langage universel, l’image n’a pas de barrière linguistique, tout cela n’est plus possible du moment que le son s’associe à l’image, le son en tant que parole arrive avec son moyen de signification mais il y a un problème dans le cinéma parlant (bruits, musique, paroles).le bruit ne dérange pas cela permet de s’approcher du réel ajouter un bruit à l’image donne du réalisme or l’art cinématographique de l’époque e veut pas être tuer par la parole , 30 ans après sa création certains disent que le cinéma est mort avec la parole (Eisenstein).<o:p></o:p>

    Tout ce qui apporte plus de réalise met en danger le cinéma en tant qu’art, la parole conditionne l’image, l’image est plus coincée avec la parole car besoin de temps pour se développer.<o:p></o:p>

    La musique est un héritage du Muet, elle avait fonction d’accompagner le fil en donnant une atmosphère, elle est entrée comme accompagnement des images, elle n’est pas dans la diègèse car elle ne fait pas partie de la représentation, la musique est autre niveau de signification, un moyen de communication au niveau émotionnel, on écoute la musique d’une certaine manière en fonction de notre culture <o:p></o:p>

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    Perception auditive     <o:p></o:p>

    Un son est immatériel, c’est un indicateur de la matière, son produit par une source sonore matérielle, il se développe sur la notion de temps il indique l’espace car il indique une source que l’on localise.Depuis la reproduction du son on est dans l’écoute du second niveau. Dans la représentation du son au cinéma, ce qui importe c’est la relation image et son, c’est une association qui crée une interprétation    <o:p></o:p>

    Au cinéma on peut avoir la source représentée à l’image donc le son fait parti de l’univers diégètique.<o:p></o:p>

    Dans les années 20, on parle avec insistance du cinéma sonore, il y a un autre problème, les acteurs muets ne sont pas forcément des acteurs parlants, ils sont des acteurs du visuel, l’acteur muet a déployé des moyens gestuels pour communiquer, théâtralisation gestuelle (Chaplin) <o:p></o:p>

    L’introduction du son est progressive (extrait de chantons sous la pluie) <o:p></o:p>

    Au début du cinéma parlant, la post synchronisation va émerger pour permettre une meilleure qualité, musique Off est conservée dans le film mais il y a un autre son Off c’est la voix Off utilisée dans les documents.<o:p></o:p>

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    Christian Metz e la sémiologie <o:p></o:p>

    2 catégories de signification : image et son <o:p></o:p>

    L’image reproduit l’intégralité des mouvements, de même pour le son mais il y a une différence entre l’écoute du 1er niveau et du second, ce n’est pas une copie parfaite du mouvement <o:p></o:p>

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