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DEFINITION DE LA DG <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Observation : <o:p></o:p>
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Ensemble des phénomènes psychosociaux dans les petits groupes et létude des lois Naturelles qui les régissent.<o:p></o:p>
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- Science de ces phénomènes dans un groupe dit « primaire » et lidentification de ses lois internes.<o:p></o:p>
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Etudes :<o:p></o:p>
ð Relation entre un groupe primaire et son environnement. Les inter-influences sont susceptibles de modifier le groupe et lenvironnement.<o:p></o:p>
ð Linfluence du groupe primaire, sur le comportement des individus qui le compose, suivant le regard posé du groupe sur lindividu. Expérience des climats (autoritaire, démocratique, ) et sociométrie.<o:p></o:p>
ð Vie affective des groupe => « vécu groupal » => [« Le groupe nest pas la somme des individus qui le constitue » (Lewin)], de leur sentiments, qui composent le groupe.<o:p></o:p>
ð Le facteur de cohésion et de dissociation, dans les groupes primaires, étant associés à la temporalité qui assure lexistence du groupe.<o:p></o:p>
ð Méthode :<o:p></o:p>
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Méthode de groupe pour agir, voire soigner la personnalité ; pour que le groupe agisse sur lindividu, pour que les petits agissent sur les grands groupes => groupes dinfluence.<o:p></o:p>
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Le regard pèse car il interprète.<o:p></o:p>
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Utiliser le groupe pour changer les individus.<o:p></o:p>
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Elle va exercer une action psychologique qui oriente lindividu et le groupe vers des phénomènes de changement par le moyen du groupe.<o:p></o:p>
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On aboutit à des « groupes dinfluence » et des « groupes de manipulation ».<o:p></o:p>
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Ce sont les recherches qui ont amené les études sur la manipulation ; mais aussi déclenché la méfiance du public vis-à-vis des psychologues. [Expérience de Milgram : I comme Icare (éléctro-choques)]<o:p></o:p>
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On utilise les méthodes de DG pour soigner les troubles de la personnalité. On se sert de la situation de relation interpersonnelle dans un groupe pour le diagnostique du trouble et son traitement.<o:p></o:p>
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Tous les courants ayant contribué à létude de la DG.<o:p></o:p>
CARACTERISTIQUES FONDAMENTALES DU GROUPE<o:p></o:p>
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1) Interaction<o:p></o:p>
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Suppose une relation directe et une inter influence des réactions et une interpénétration des cadres de référence. => « Echange » : - directs<o:p></o:p>
- verbaux ou nvb<o:p></o:p>
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Le groupe influence les attitudes de lindividu.<o:p></o:p>
ð on nest jamais dans un groupe comme on est seul => Représentation et regard des autres modifient notre comportement.<o:p></o:p>
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Réaction électrodermale : mesure en fonction de ce que la personne voit et entend => comment évolue lémotion => taux émotionnel.<o:p></o:p>
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2 )Emergence de normes<o:p></o:p>
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Normes des règles de conduites structurent et supportent le groupe. <o:p></o:p>
Dans un groupe primaire, elle se constitue avec le temps.<o:p></o:p>
ð Ce qui est « conforme » à ces normes est considéré comme « bien ».<o:p></o:p>
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Pour les membres du groupe, lensemble de ces normes constitue son code des valeurs de groupe (psychosocio) => donc il varie dun groupe à lautre.<o:p></o:p>
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Mafia : code des valeurs de groupe : code social. Permit de tuer, torturer =< « bien » dans ce groupe là.<o:p></o:p>
ð face à des normes qui cautionne ce comportement.<o:p></o:p>
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La dimension cachée E.T.Hall<o:p></o:p>
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Expérience de Hawthorne Mayo<o:p></o:p>
Sur environ 7 ans.<o:p></o:p>
Modèle de conduite : ne pas dépasser le rendement quotidien ; celui qui contrevenait à cette règle était appelé 1 « jaune ».<o:p></o:p>
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ð travail de câbleur : le + noble, soudeur : le noble.<o:p></o:p>
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3) Existence de but collectif commun<o:p></o:p>
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Résoudre un problème, effectuer une tâche, sorganiser défensivement, survivre => but commun.<o:p></o:p>
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Communauté de but : ciment du groupe.<o:p></o:p>
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ð par ce critère là, le groupe a une cohésion.<o:p></o:p>
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4) Existence démotion et de sentiment collectif<o:p></o:p>
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Situation dans lesquels se trouve le groupe, sa gestion des interactions et aux réactions collectives.<o:p></o:p>
ð Engagement dun groupe => but commun.<o:p></o:p>
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Carl Rogers la appelé lEmpathie => comprendre les choses ensemble => réaction notable (ex : téléthon.<o:p></o:p>
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Lewin : « Le groupe nest pas la somme des individus », cest pareil pour les émotions.<o:p></o:p>
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5) Emergence dune structure informelle<o:p></o:p>
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De lordre de laffectivité et qui est lorganisation et la répartition de la sympathie, antipathie, les voix par lesquels circulent linfluence.<o:p></o:p>
La position des membres dit « populaires » et ceux dits « rejetés ».<o:p></o:p>
Naissance de sous groupe dans le groupe avec des pôles de conflits ou dattraction.<o:p></o:p>
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ð Non officielle et souvent non conscient <o:p></o:p>
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Elle peut entrer en conflit ou en opposition avec une structure formelle imposée de lextérieur.<o:p></o:p>
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ð tout se maintient à la force du groupe restreint et de ses normes.<o:p></o:p>
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6) Existence dun inconscient collectif<o:p></o:p>
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Lhistoire commune vécue par le groupe, son existence collective et son passé sont des sources de problème latents ou de point sensibles, qui, sans être présent à la mémoire immédiate, font partie du groupe et en explique les réactions.<o:p></o:p>
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Le groupe na pas conscience des phénomènes psychologiques qui détermine leur conduite en groupe.<o:p></o:p>
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Courant des psycha de groupe <o:p></o:p>
ð mettent en évidence un fonctionnement de groupe parallèle au fonctionnement individuel.<o:p></o:p>
ð On peut expliquer la psycha des groupes grâce à freud.<o:p></o:p>
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DIDIER ANZIEU<o:p></o:p>
Mécanisme inconscient motivant les conduite, mais étant inconscient, il est difficile de les identifier.<o:p></o:p>
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7) Etablissement dun équilibre interne et dun système de relation stable avec lenvironnement.<o:p></o:p>
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A travers les difficultés dexistence le groupe engendre un double système déquilibre : interne / externe<o:p></o:p>
Inter groupal rapport au contexte <o:p></o:p>
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ð Si remise en question de cet équilibre par certains évènements, le groupe, sil résiste et survie, tend à reconstituer un nouvel équilibre.<o:p></o:p>
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Conclusion : permettre de comprendre pourquoi divers groupe sont, malgré leurs diversité de membre, de personnes, de but, de style dexistence, sont des groupe primaire appelés + communément « petits groupes » ou « groupes restreints »<o:p></o:p>
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DIFFERENCIATION AVEC LES AUTRES TERMES<o:p></o:p><o:p> </o:p>
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1 Différent de la foule<o:p></o:p>
Foule = rassemblement épisodique dun grand nombre dindividu non nécessairement les mêmes, prédisposés à lapathie [absence de réaction] devant un meneur et à la contagion des émotions et aux actions paroxystiques [exagération, exacerbation].<o:p></o:p>
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2 Différent de la bande <o:p></o:p>
Caractérisée par la recherche du semblable et le renforcement de lidentification à celui-ci.<o:p></o:p>
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3 Différent dun groupement, dune association<o:p></o:p>
Dont le but est de confier à des représentants actifs la défense des intérêts communs à des gens qui ne se connaissent guère personnellement.<o:p></o:p>
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4 Différence dun groupe primaire ou organisation<o:p></o:p>
Qui rassemble un assez grand nombre dindividus en vue de tâches différenciée et régie les rapports entre les individus par rapport à linstitution selon les structures et les règles de fonctionnement préétablies dans linstitution.<o:p></o:p>
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Si on considère lhistoire de la DG, on constate lémergence de réalités sociales qui pourraient constituer des petits groupes.<o:p></o:p>
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Pour quun groupe soit Primaire :<o:p></o:p>
ð découpage ne correspond pas à une catégorie abstraite : + d1 point commun :<o:p></o:p>
Fumeurs, médecin, ados Groupe primaire nest ni une catégorie démographique, ni dâge ou dactivité, ni économique ou socio-économique.<o:p></o:p>
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ð Groupe primaire limité par le nombre <o:p></o:p>
ð Groupe restreint.<o:p></o:p>
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ð Chacun se connaît et se reconnaît et peut établir avec les autres des relations personnelles. On note lexistence de relation de chacun avec tous (au moins par le regard)<o:p></o:p>
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ð Il constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à lenvironnement naturel ou social<o:p></o:p>
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ð En opposition au groupe secondaire : relations indirecte, sentiment dappartenance global, communication par intermédiaire. <o:p></o:p>
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ð Nécessité dexistence dune unité psychologique.<o:p></o:p>
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Charles Cooley (1909) invente la DG (terme empreinte à Tönnis)<o:p></o:p>
ð Fait la différence entre :<o:p></o:p>
Communauté et Société organisée <o:p></o:p>
- Relation Directes et personnelles - Réaction structurées impersonnelles<o:p></o:p>
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Les individus qui composent le groupe primaire ont intégré en eux un « NOUS » qui sest substitué au « je ».<o:p></o:p>
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Par opposition, les groupes secondaires se caractérisent par des relations indirectes et un sentiment dappartenance globale => Communication par intermédiaires.<o:p></o:p>
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Les critères :<o:p></o:p>
- Perception différenciée de chacun des membres <o:p></o:p>
- Affinité<o:p></o:p>
- La différence des tâches et la fréquence des réunions.<o:p></o:p>
ð Lefficacité dépend de la cohésion des buts communs du groupe.<o:p></o:p>
- Le groupe est une mini socio culture<o:p></o:p>
- « Le groupe nest pas la somme des individus qui le constitue »<o:p></o:p>
- Lénergie du groupe est au service de deux fonctions :<o:p></o:p>
o Conservation<o:p></o:p>
o Progression vers des buts <o:p></o:p>
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LES DIFFERENTS COURANTS DE LA DG : COURANTS ET CONTEXTES<o:p></o:p><o:p> </o:p>
CONTEXTE <o:p></o:p>
Discipline existe que si elle a un support scientifique :<o:p></o:p>
A. Mucchieli est en train de linstaller, il sappuie sur la systémique<o:p></o:p>
Devient spécifique à linfo com.<o:p></o:p>
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Lapproche par contextualisation<o:p></o:p>
Fait communicationnel => interaction et contexte identifié, avec des caractéristiques<o:p></o:p>
Devient LE Support dinformation com.<o:p></o:p>
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Létude des petits groupes humains a été influencée par des courants et des contextes qui ont contribué à modéliser la DG.<o:p></o:p>
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A Les courants<o:p></o:p>
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1 Le Modèle empreinté à lélectromagnétisme.<o:p></o:p>
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Un groupe est un champ de force qui sexerce à lintérieur dune zone de liberté laissée par les institutions sociales.<o:p></o:p>
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La conduite de groupe est la résultante de la combinaison de ses forces selon des lois psychosociologiques.<o:p></o:p>
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K.Lewin est linventeur de la conception générale de champ. Il tire certaines lois, dont une très importante : « Tout groupe fonctionne suivant un équilibre quasi stationnaire et résiste à tout changement, autre que des variations autour de cet équilibre.<o:p></o:p>
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=> Expérimentalistes travaillent sur des groupes artificiels, autour de ces lois.<o:p></o:p>
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A la différence de Moreno qui travaille avec les prostituée.<o:p></o:p>
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Peu avant sa mort, il a abandonné cette théorie à cause dun manque dexplication sur certains mouvements de groupe résultant de phénomènes inconscients qui mobilisent le groupe.<o:p></o:p>
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Ø Dés quil y a un groupe, il veut résister à lattaque <o:p></o:p>
Ø Théorie de la résistance au changement<o:p></o:p>
Ø Etudes sur les comportements.<o:p></o:p>
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Festinger : Dissonance cognitive : décision => on se donne raison à tout bout de champ sur ses choix.<o:p></o:p>
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Certains continuent à utiliser ce modèle dans la formation continue / professionnelle.<o:p></o:p>
On considère quune émulation par le groupe favorise un meilleur apprentissage.<o:p></o:p>
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2 Le modèle psychanalytique<o:p></o:p>
Freud montre que lidentification des membres dun groupe au même idéal du « Moi » assure la cohésion du groupe.<o:p></o:p>
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Freud : le modèle individuel du psychisme humain donne le modèle psychique humain du groupe => Inconscient collectif.<o:p></o:p>
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Il a indiqué avec ses 2 topiques que :<o:p></o:p>
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1° topique :<o:p></o:p>
Dans notre « boite noire », il y a <o:p></o:p>
- lInconscient : Mémoire<o:p></o:p>
- le préconscient : Trace de notre éducation.<o:p></o:p>
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2° topique : <o:p></o:p>
Relation Cs / Incst<o:p></o:p>
Surmoi : socialisation et filtrage des pulsions <o:p></o:p>
Moi : être social après filtrage.<o:p></o:p>
Ca : pulsions <o:p></o:p>
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Le surmoi crée un idéal du Moi, un être merveilleux, il nous pousse à être là.<o:p></o:p>
ð CS et Incst<o:p></o:p>
ð Il fonctionne avec des idéaux extrêmement forts.<o:p></o:p>
o Le groupe aussi se base sur ces idéaux. Ex : assoc° caritatives.<o:p></o:p>
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M. Klein : elle considère quil y a dans chaque groupe une dimension imaginaire.<o:p></o:p>
Limaginaire permet de croire en une cohésion parfaite.<o:p></o:p>
Le symbolique permet de tendre vers des buts communs.<o:p></o:p>
Ex : groupe autoritaires => Ambivalence face à lautorité.<o:p></o:p>
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A lintérieur dun groupe non directif on peut voir survenir une régression dite « non archaïque » avec une angoisse de morcellement.<o:p></o:p>
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Les sentiments de dépression et de persécution peuvent être associés à ces groupes non directifs.<o:p></o:p>
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La notion de climat plus particulièrement Gestaltiste dun groupe réel ou artificiel est lié à un fantasme sous jacent commun.<o:p></o:p>
Ce fantasme exprime et explique cette envie dêtre en groupe.<o:p></o:p>
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Référence A.T. => scénario de vie<o:p></o:p>
Dans lentreprise : Culture dentreprise.<o:p></o:p>
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Lintervention psychanalytique vise à rendre chacun des membres sensibles à la présence du fantasme afin de sen dégager ou de lutiliser dune façon plus favorable au groupe.<o:p></o:p>
Référence en DG : R. Kais, D. Anzieu, E. Enriquée.<o:p></o:p>
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Ex : psy dans entreprise : résoudre un conflit => identification du fantasme.<o:p></o:p>
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La référence à la psychanalyse renvoie à une méthodologie de type clinique et non expérimental.<o:p></o:p>
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· Les applications différentes de la psychanalyse et de lexpérimentalisme (K. Lewin) vient du souci damélioration de lefficacité individuelle et sociale par le petit groupe.<o:p></o:p>
· Pour les psychanalystes le groupe est le moyen détablir entre les personnes une communication plus véridique, plus humaine.<o:p></o:p>
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Psycha et expérimentale : Modèles et concepts de psycha Analytique => transposés dans une description et une explication des phénomènes relationnels structuraux et affectifs dans les groupes.<o:p></o:p>
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3 La perspective Lewinienne <o:p></o:p>
Kurt Lewin applique la gestalt théorie à létude des groupes et il envisage le groupe comme un tout, dont le fonctionnement est autonome.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Selon lui, en agissant sur un élément privilégié, on peut modifier la structure dun ensemble.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Il élabore des modifications en labo sur des groupes artificiels, puis il applique ces modifications à des groupes réels.<o:p></o:p>
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Ø Selon lauteur, le petit groupe modifié est lAgent de Changement Social à lintérieur de secteur plus vaste de la collectivité.<o:p></o:p>
Ø Le groupe est un double système interdépendant entre :<o:p></o:p>
o Les membres et<o:p></o:p>
o Les éléments du champ.<o:p></o:p>
Ø Le champ : contexte, environnement, issu de lélectromagnétisme.<o:p></o:p>
§ Normes, buts, représentation du milieu interne et externe, la division des rôles, la définition des statuts.<o:p></o:p>
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Dans la même perspective : Kaufmann<o:p></o:p>
Il pose une théorie du champ dans les sciences de lhomme (1963). Lhypothèse générale de louvrage :<o:p></o:p>
Le système des interdépendances dun groupe donné, à un moment donné, explique les conduites de ses membres.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Thèmes émergeants de ces études :<o:p></o:p>
- Climat<o:p></o:p>
- Moral<o:p></o:p>
- Autorité<o:p></o:p>
- Prise de décision (60-70)<o:p></o:p>
- Rôles et attitudes <o:p></o:p>
- Créativité<o:p></o:p>
- Négociation<o:p></o:p>
- Résistance au changement<o:p></o:p>
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Kurt Lewin et la fondation du centre de recherche sur la DG <o:p></o:p>
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Tout groupe se forme et sinstalle dans une « forme » selon léquilibre des forces et des tensions et selon le champ perceptif des individus.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La notion déquilibre dune forme associée à celle de Dynamique des énergies permet danalyser lorganisation et les changements dans les groupes.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
En 1923, Lewin émigre au USA, quittant lécole de la Gestalt théorie (Allemagne) où il étudiait des ensembles de configurations signifiantes par rapport auquel se situent et agissent les individus.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Gestalt : « Psychologie de la bonne forme » c'est-à-dire une forme prégnante qui se détache dun fond non structuré, constituant ainsi un ensemble limité, structuré.<o:p></o:p>
Famille : règles, normes posées => constituent une forme par rapport au fond : Système Social ambiant, où il y a certainement dautres formes <o:p></o:p>
=> Donne des références à la famille,<o:p></o:p>
=> Qui comblent les manques extérieurs<o:p></o:p>
=> Qui permettent de résister à dautres formes ou fonds.<o:p></o:p>
La bonne forme : celle qui structure, mais pas une seule : plusieurs, selon le groupe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Létude de Kurt Lewin est au niveau de la perception. Puis il étudie lindividu par rapport à la configuration générale de son espace de vie ou champ psychologique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Champ psychologique : organisation et configuration des significations que les choses, les êtres et les situations ont pour lindividu. Psychologie en terme despace : psychologie topologique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Kurt Lewin sintéresse au groupe en temps quensemble, que climat psychologique ou se détermine des conduites individuelles.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
En 1946, il quitte Harvard pour Ann Arbor où il intègre le centre de recherche sur la DG dans linstitut pour la recherche sociale. (ISR)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Kurt Lewin conduit dans New Britan une session historique doù née le « T-Group », quon appellera par la suite les groupes de parole (fondée sur la parole libre des participants).<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Si pour Kurt Lewin, les groupes sont des totalités dynamique résultants des interactions entre les différents membres, cest en fonction de lorganisation perceptive de lespace social que les énergies mise en jeu se complètent où se combattent.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Par exemple : LE GROUPE EN CHANGEMENT<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Kurt Lewin : si le groupe est un champ de force, alors, lintégration de linformation dans le champ perceptif du groupe va déclancher le changement.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
DG Processus de changement Kurt Lewin => Toujours liées.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le changement des habitudes alimentaires<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1943 : Pénurie de viande, gâchis des abats. => nécessité de changer les habitudes alimentaires aux USA.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1° solution : Campagne de communication => cest moins cher et aussi bon => Changement négligeable : 8%<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2° solution : fait appel à Kurt Lewin, il constate que cest la ménagère, élément de décision quil faut toucher.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Groupe 1 : Autorité (médecin) explique et informe pour diminuer les réticences<o:p></o:p>
à 3% agissent.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Augmentation de la pression vers le changement, sans efficacité à Trop de pression ou pas assez.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Groupe 2 : Par quel moyen peut-on changer la conso° de viande ? <o:p></o:p>
Explique seulement que cest une nécessité vitale.<o:p></o:p>
ð Discussion <o:p></o:p>
o Ménagère parlent de leurs comportements<o:p></o:p>
o Analyse des attitudes et les soumet au groupe <o:p></o:p>
ð Pouvoir de conviction notable<o:p></o:p>
ð Met en évidence des craintes suggestives possiblement dépassables.<o:p></o:p>
ð Résolution prise par le groupe<o:p></o:p>
à 32 % modifient leurs actes.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Kurt Lewin réduit les résistances qui sopposent au changement en déplaçant les énergies du groupe vers un nouvel équilibre.<o:p></o:p>
ð Convaincre une personne par une autre nest pas adapté puisquon est face à un processus de groupe<o:p></o:p>
ð Réduire les craintes <o:p></o:p>
ð Déplacer les normes<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Il est plus facile de changer les habitudes dun groupe que celles des individus.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Il existe toujours un facilitateur du changement (dans ce cas, la ménagère) cest le leader dopinion, et elle se comporte en « portier ».<o:p></o:p>
Dans tous les groupes, les individus agissent dans un système déquilibre. Chaque groupe possédé de son champ dynamique déquilibre avec ses canaux de communication, ses frontières, portiers et ses barrières. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Lécueil de Kurt Lewin : a ne pas tenir compte de laspect inconscient, on gomme le fantasme => mise en scène dans laquelle on est acteur : Nos représentations. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
LA NOTION DE CRISTALISATION / PROCESSUS DE CHANGEMENT<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3 étapes :*<o:p></o:p>
a) restructuration du champ perceptif<o:p></o:p>
b) réduction de la tension<o:p></o:p>
c) Possibilité de changement<o:p></o:p>
Changement quun petit groupe peut entraîner le changement du gd groupe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Avec le concept « Changement » : « Résistance au changement » <o:p></o:p>
Ce qui oblige les responsables à réfléchir sur les possibilités de changement.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ex : Changement : organisation publiques : organisation privées : gros problèmes de mise en place dune nouvelle organisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ø La plus grande difficulté, cest de faire changer les gens, mais comme ns sommes dans un monde en changement, le changement est nécessaire.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
* 1) Décristalliser : informer, expliquer, sensibiliser<o:p></o:p>
2) Changer : Déplacer les résistances et réduire les tensions<o:p></o:p>
3) Recristalliser : Créer un nouvel équilibre satisfaisant pour les membres du groupe et consolider ce nouvel état.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de lenfance et donc quil atteint un étayage de la personnalité, alors il risque dêtre difficile à installer lors dune communication dans le groupe. Sauf à envisager un groupe psychothérapeutique.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le changement tel que lexplique Kurt Lewin ne touche que les couches superficielles de la personnalité ainsi que les comportement identificatoires.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Tout changement suppose que le groupe se retrouve dans une « bonne forme » et une nouvelle organisation satisfaisante pour le groupe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
LEXPERIENCE SUR LES CLIMATS<o:p></o:p>
Lippit White Lewin<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Climat : Mode de fonctionnement et de la direction <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Climat<o:p></o:p>
Autocratique<o:p></o:p>
Démocratique<o:p></o:p>
Laisser-faire<o:p></o:p>
Description<o:p></o:p>
Organisation définie de lextérieur par lexpérimentateur qui a donné au préalable objectif et moyen pour la réalisation des buts, cest-à-dire avec des éléments conscients.<o:p></o:p>
(on ne laisse pas les membres imaginer)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Interaction des personnes pour trouver une organisation optimale. Lexpérimentateur définie avec les enfants but / moyens / répartition des taches.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Lexpérimentateur nintervient pas.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Résultats<o:p></o:p>
Médiocre avec une très bonne efficacité, mais peu denthousiasme, réalisation poussive (arrive au but car poussé par )<o:p></o:p>
Bon<o:p></o:p>
Niveau de production et de satisfaction élevé.<o:p></o:p>
Mauvais, peu efficaces<o:p></o:p>
Interaction / Emotions<o:p></o:p>
Tendues.<o:p></o:p>
Frustration.<o:p></o:p>
Oscillation entre apathie et agressivité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les relations entre les membres sont fondées sur la coopération avec réduction de tension.<o:p></o:p>
Tensions, frustration, agressivité.<o:p></o:p>
Sentiment déchec.<o:p></o:p>
Départ de<o:p></o:p>
Lexpérimentateur<o:p></o:p>
Tâche interrompue, le groupe est dit Non - Autonome<o:p></o:p>
Poursuivie : Autonomie<o:p></o:p>
Interrompue.<o:p></o:p>
Non-autonome<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Conclusion : Groupe démocratique : forme idéale dorganisation : Répond aux valeurs idéologiques ambiantes et aux comportement intériorisées de léducation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Modèles et Valeurs intériorisées donne la « bonne forme » pour un groupe quant à son organisation. Elle répond à un équilibre momentané des forces mises en jeu.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Attention : lié au contexte : fin de la GM2 : conception politique de la démocratie très forte..<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
4 La psychanalyse des groupes<o:p></o:p>
DG restreints 1968 Anzieu : fondateur de la psychanalyse des groupes.<o:p></o:p>
Inconscient groupal qui animerait le groupe, à condition davoir des idéaux communs.<o:p></o:p>
Groupe fondé sur un fantasme collectif => émulation du groupe devient, en psychanalyse : « lillusion du groupe ».<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
B Les contextes<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1 Contexte de type idéaliste<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Contexte des démocraties occidentales face aux petits groupes.<o:p></o:p>
ð les concepts de sciences sociales correspondent souvent à des prises de conscience de problèmes de société actuels.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
La DG naît en 1944 avec K. Lewin, en pleine GM2.<o:p></o:p>
La théorie quil développe est la révision dun postulat individualiste => toute conduite humaine est la résultante de forces psychologiques individuelles et de forces propres au groupe dappartenance cher à la personne.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les études sur la DG avaient pour but de comprendre le fascisme, le nazisme et sa force de conviction, de persuasion.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Lewin, Lippit et Whyte travaillent sur le groupe artificiel <o:p></o:p>
ð Montre la supériorité du climat démocratique, sur le pouvoir autoritaire et laxiste.<o:p></o:p>
ð Plus particulièrement sur lefficacité du travail et le plaisir de travailler.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le concept de groupe restreint est très valorisé dans la recherche fondamentale et appliquée aux USA et en occident.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dans les années 50 60, on trouve de nombreuses publications de langue anglaise sur les méthodes de formations de groupe<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le T-Group <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
2 Le communisme et le groupe<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
URSS, années 50 : Système politique rend le tout petit groupe suspect, sur fond de méfiance étatique.<o:p></o:p>
ð On attribut au groupe restreint un pouvoir de persuasion des foules qui pourrait être nuisible au communisme<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
3 La conception anarchique du petit groupe<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Années 60-70 : le groupe est conçu comme :<o:p></o:p>
- Autogérer<o:p></o:p>
- Membres égaux.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le groupe est un moyen de réaliser des désirs communs aux membres du groupe.<o:p></o:p>
Lexpert ou le maître est au service du groupe, choisit par le groupe et révocable.<o:p></o:p>
ð Démocratie directe et Utopie sociétaire.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dans cette optique anarchiste la DG est une technique révolutionnaire dont le but est de désinstitutionaliser.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
4 Les évolutions techniques<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
En physique, la dynamique est la relation entre les forces et les mouvements et donc la DG est la science des lois qui relient les conduites dun groupe au système de force agissant à lintérieur.<o:p></o:p>
ð définit dun groupe restreint.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
C Les Applications <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La DG se particularise avec des travaux sur la famille, la classe scolaire, la bande de délinquant, la sociométrie de Moreno.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Moreno : <o:p></o:p>
Pionnier de la psychothérapie de groupe et du mouvement psychodramatique « théâtre thérapeutique » qui repose sur la théorie du rôle « le théâtre impromptu ».<o:p></o:p>
Moreno travaille avec un groupe de prostituée pour les réinsérer => femmes perdues qui ont conscience de lêtre.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Ø Le regard qui nous interprète est extraordinairement important dans la DG.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Pour que la DG fonctionne => obligation dêtre névrosé : processus de développement psycho affectif normal.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Freud : Avancée par étapes de combat.<o:p></o:p>
Enfant : contraintes pour manger, pour faire ses besoins<o:p></o:p>
Partage de laffection de la mère<o:p></o:p>
ð Habitude de gestion des conflits pendant le développement car :<o:p></o:p>
· Promesse damour<o:p></o:p>
· Promesse de socialisation<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Forteresse vide » (Bettelheim) : enfermé en soi : pas de contrainte. => Processus psychique, solitude, subit pas les poids du regard des autres => pas de projet social.<o:p></o:p>
ð Pas de processus dynamique de gestion des conflits => DG pas possible.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
On utilise des lois issues des recherches sur la DG pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe.<o:p></o:p>
Le but est daméliorer le fonctionnement, lefficacité et lautorégulation des petits groupe dans toutes les situations où ils ont des objectifs à atteindre.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La DG débouche enfin sur létude et la mise en uvre des changements sociaux par le moyen des petits groupe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Objectifs à atteindre :<o:p></o:p>
Ø Responsabilisation et autonomie<o:p></o:p>
Ø Maturité sociale et intégration du changement par le groupe <o:p></o:p>
Ø Efficacité des groupes face au changement<o:p></o:p>
Ø Adaptabilité des petits groupe à lenvironnement.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le changement : changement (volontaire) individuel par le groupe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Etude de la publicité / marque : faire changer, convaincre la cible à lacte dachat. (Détournement de la persuasion)<o:p></o:p>
Communication dite « persuasive » : marche si le récepteur est « consentant », ou inconscient => images subliminales.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Le T-Group : Training Group<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Groupe de thérapie par la parole.<o:p></o:p>
2 thèmes centraux :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1) Le groupe primaire est un antidote à la massification sociale par la réintégration de la personne dans les relations humaines.<o:p></o:p>
ð Basée sur les sentiments dappartenance au groupe<o:p></o:p>
ð Solidarité et échanges de même but, normes, idéaux <o:p></o:p>
2) Lappropriation de la vérité<o:p></o:p>
ð Tâche collective<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le contexte est plutôt celui de la division scientifique de travail, lanonymat, la communication de masse, la civilisation urbaine dans lesquels la DG a pu émerger.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Expériences sur les climats entraînent des études sur :<o:p></o:p>
o Les modes de management (Leadership)<o:p></o:p>
o Le plaisir au travail (importance, considération, cf. Mayo)<o:p></o:p>
votre commentaire -
LA REUNION PROFESSIONNELLE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1)historique sur le discours<o:p></o:p>
A lorigine, les grands orateurs grecs, latins, possédaient et pratiquaient la rhétorique, ou art du discours. Le discours suppose loralité. La rhétorique connaît ses jours de gloire à la période hellénistique (Grèce antique)et constitue le degré supérieur de lenseignement jusquà la fin de lAntiquité. La rhétorique latine apparaît au Ier siècle avant JC à coté de la rhétorique grecque. Privée peu à peu de ses fins politique elle devient une fin en soi, une sorte dart pour lart, lart du beau langage, de léloquence.<o:p></o:p>
On distingue 5 parties dans la théorie de lart oratoire :<o:p></o:p>
-inventio (idées, matière, arguments)<o:p></o:p>
-dispositio (structure, plan, composition du discours)<o:p></o:p>
-elocutio (style, image, rythme, art de la periode)<o:p></o:p>
-actio (gestuelle, mimique)<o:p></o:p>
-memoria ( moyens memotechnique de ne pas se tromper, de retrouver les choses à dire)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Aristote a composé un traité de rhétorique ou il fait la distinction entre deux sorte de preuves :<o:p></o:p>
-preuves extérieurs à lart (témoignages)<o:p></o:p>
-preuves produites par lart (démonstration, charisme, méthode)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
2)largumentation<o:p></o:p>
Elle désigne à la fois la manière de présenter et de disposer les arguments et lensemble dargument pris un par un.<o:p></o:p>
Largument peut être un raisonnement destiné à défendre une thèse ou à en réfuter une autre. Cest une action qui présente un raisonnement dans une situation de communication afin de convaincre et ou persuader.<o:p></o:p>
A)Distinction entre convaincre et persuader<o:p></o:p>
a)convaincre, cest amener lautre, les autres, le destinataire, le public à penser comme moi au moyen darguments logique qui sadressent à sa raison, à son esprit, à ses compétences intellectuelles.<o:p></o:p>
b)persuader, cest influencer lautre par des moyens plus insidieux qui agissent sur sa sensibilité, son cur, sa capacité à sémouvoir. Ce seront les procédés de style destinés à séduire comme de belles images dopposition, dénumération ou bien des information plus ou moins vive, des mimiques, attitudes, gestes cad le langage para verbal qui appuie les effets. Le tout est destiné à impressionner lautre pour quil ne puisse pas réagie.<o:p></o:p>
Il est conditionné, on la ému, indigné, ravi, et « il marche avec moi ».<o:p></o:p>
Donc, lopération séduction est réussie. Voilà ce quil faut être capable de faire et voilà ce à quoi il faut résister. On a donc la situation suivante : un orateur, détenteur solitaire dune opinion et va tenter de la faire passer à un public. Cest le phénomène du leadership. Il faut trois conditions :<o:p></o:p>
-le talent, habilité de lorateur<o:p></o:p>
-validité de lopinion<o:p></o:p>
-prise en compte du système de valeur du public<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
B)Distinction entre lopinion et connaissance scientifique<o:p></o:p>
a)lopinion est du coté du vraisemblable, de la subjectivité. Cest un point de vue mais qui en suppose un autre, tout aussi subjectif que le premier. Lopinion est du coté du jugement personnel, de la prise de position.<o:p></o:p>
b)la connaissance scientifique, elle simpose delle même à tous, et ne joue pas sur les mêmes domaines. Si elle est refusée à tord par certains, cest quils ny ont pas accès et quils croient supérieur leur opinion car ils ont assimilé par erreur la connaissance scientifique à une opinion différente de la leur.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
C) Distinction argumentation et démonstration<o:p></o:p>
a)largumentation vise à influencer dans un contexte psychosociologique, elle recourt à des arguments plus ou moins forts, valable ou non, adapté à lauditoire destinataire. Ils se fondent sur des opinions.<o:p></o:p>
b) la démonstration, en revanche, est une déduction visant à prouver la vérité ou la probabilité concluable de sa conclusion à partir de prémisses, admises comme vraies ou probable. Les prémisses sont les propositions placées au début dun raisonnement. La démonstration se déroule de façon abstraite, indépendante, elle dépasse largement le champs de largumentation, une démonstration fournit des preuves, contraignantes alors que largumentation présente des raisons pour ou contre une thèse déterminée. On peut donc opposer largumentation à la preuve, car si un argument peut être réfuté par un autre argument, une preuve ne peut pas lêtre. Elle simpose delle même.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
D)Lacte dargumenter<o:p></o:p>
Comporte un contenu, ce sont les arguments, et un contenant, cest le moule argumentatif, cad la forme de la thèse avancée et celle de la thèse réfutée.<o:p></o:p>
a)Les arguments<o:p></o:p>
ex : « il faut opérer car X a déjà subi une intervention » argument par lexemple.<o:p></o:p>
Ex : »Il faut opérer car le professeur la dit » argument dautorité<o:p></o:p>
Ex : « il faut opérer car dans ce cas les études scientifique montre que cest la seule solution »<o:p></o:p>
Argument par la preuve<o:p></o:p>
b) le moule argumentatif <o:p></o:p>
1-soit on réfute la thèse adverse et on défend la thèse avancée<o:p></o:p>
2-soit on ne fait que défendre la thèse soutenue<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
E)Efficacité de largumentation<o:p></o:p>
Pour quune argumentation réussie, il faut :<o:p></o:p>
1-connaître son auditoire, ses désirs, ses peurs, ses valeurs<o:p></o:p>
2-se présenter comme son défenseur, son délégué, non seulement on partage son point de vue mais encore on sen fait le champion.<o:p></o:p>
3-il faut éveiller la curiosité du destinataire pour les proposition quon avance, et viser sur le désir du changement.<o:p></o:p>
4-il convient de flatter ladversaire en rappelant son ouverture desprit même si on la sait inexistante. On le force ainsi à y penser.<o:p></o:p>
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Synopsis :<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Une femme déclare sêtre fait violé pendant la nuit et une enquête commence. Lex petit ami de celle-ci est déclaré coupable alors que celui-ci clame son innocence. Il va finir en prison alors quil na rien fait.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène à scène :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 1, Extérieur nuit, sur un balcon face à une porte fenêtre<o:p></o:p>
Des mains gantées essayent douvrir la porte fenêtre avec un pied de biche. La porte cède. Les mains poussent la porte et la personne rentre et referme la porte. Tout est noir. Un bruit de verre brisé. <o:p></o:p>
Claire crie :« Mais quest-ce que ? Qui est là ? »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 2, Intérieur nuit, dans une chambre<o:p></o:p>
Un lit au fond à gauche, face à une porte-fenêtre. Une bibliothèque couvre le mur de droite et une TV y est incrustée, ainsi quun ordinateur. <o:p></o:p>
A coté du lit, des débris de verre. Encore à coté, un couteau, avec du sang dessus.<o:p></o:p>
Claire, jeune femme brune, est en pleurs. Elle porte un peignoir en soie déchiré.<o:p></o:p>
A coté de son lit à droite, il y a une table de chevet et sur celle-ci un téléphone. Claire prend le combiné et compose un numéro de téléphone.<o:p></o:p>
« Allo, la police ! Cest horrible ! Je viens de me faire violer ! Chez moi ! Venez vite. »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 3, Interieur nuit, dans la chambre de Claire.<o:p></o:p>
Deux policiers sont aux cotés de Claire. Lun deux lui pose des questions tandis que lautre ramasse le couteau pour le mettre dans un sachet.<o:p></o:p>
« Je sais que cest dur den parler, Mlle Signon, mais il faut tout de même raconter tout ce que vous avez pu retenir. Pour les besoins de lenquête, » dit lInspecteur Malard, le policier à ses cotés. Celui-ci est brun, grand, avec une moustache. Un grand imperméable sur ses épaules.<o:p></o:p>
« Tout était dans le noir, dit Claire, ses paroles entrecoupées de sanglot. Je nai rien vu. Jentendais juste son souffle rauque. Il a murmuré pendant Il me menaçait du couteau. Il ma coupé au cou Il Oh cest horrible ! <o:p></o:p>
- Il est entré par la ? », demande lofficier Grove, lautre policier, en regardant la porte-fenêtre.<o:p></o:p>
« Oui, cest bien cela dit Claire.<o:p></o:p>
-Bien, nous trouverons le coupable, Mlle, même si les indices sont maigres, nous ferons tout pour retrouver ce salaud, dit Malard.<o:p></o:p>
-Je , dit Claire, en éclatant en sanglot.<o:p></o:p>
«-Quy a-t-il ? demande Malard.<o:p></o:p>
-Ce souffle rauque ces murmures quelque chose me dit que je les ai déjà entendu. Et je crois oh non IL naurait jamais osé » dit Claire<o:p></o:p>
-Il ? dit Grove. Vous pensez connaître lignoble personnage qui aurait fait cela ?<o:p></o:p>
-Je suis sortie récemment avec un homme Mais notre relation a tourné au cauchemar. Je lai quitté avant que cela ne devienne ingérable. Il était <o:p></o:p>
-Alors nous avons une piste. Nous allons laisser un homme en bas de votre immeuble, un policier qui veillera sur vous. Dormez, si vous le pouvez. Demain, nous vous donnerons les résultats des analyses effectuées. Au revoir, et ne vous inquiétez pas, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir. » dit Malard.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 4, Extérieur jour, devant une porte de maison.<o:p></o:p>
Malard tend la main vers la sonnette de la porte et sonne. Il se retourne et fait signe à Grove de la tête de sapprocher de lui. La porte sentre ouvre et un homme apparaît.<o:p></o:p>
« Que voulez-vous ? demande Patrice.<o:p></o:p>
-Nous sommes de la police, dit Malard en lui montrant sa carte, nous avons quelques questions à vous poser Monsieur. »<o:p></o:p>
La porte souvre en plein et Patrice leur fait signe dentrer. Celui-ci est blond, petit et chétif, les yeux bleus. Malard et Grove entrent et sassied dans le canapé que Patrice leur présente.<o:p></o:p>
« Que puis-je faire pour la police ? demande-t-il.<o:p></o:p>
-Nous voudrions savoir ce que vous avez fait samedi soir, dit Malard.<o:p></o:p>
-Jétais ici, jai travaillé jusquà minuit, jétais fatigué alors je suis rentré directement et me suis couché. Pourquoi ces questions ? Que cest-il passé ?<o:p></o:p>
-Cest au sujet de Mlle Signon Claire. Vous la connaissez nous a-t-elle dit, dit Grove.<o:p></o:p>
-Oui, je la connais. Nous sommes sortis ensemble mais avons rompu récemment. Il lui est arrivé quelque chose ?<o:p></o:p>
-Exactement. Elle sest fait violé dans la nuit de samedi à dimanche, dit Grove.<o:p></o:p>
-Merde ! Mais en quoi cela me concerne-t-il ? dit Patrice.<o:p></o:p>
-Toutes les preuves sont contre vous. Nous avons retrouvé diverses empreintes vous appartenant. Vous navez pas dalibi solide. Elle pense vous avoir reconnu. Tout cela suffit pour que nous puissions vous placer en garde à vue, dit Malard, se levant avec les menottes.<o:p></o:p>
-Non mais, je nai rien fait, non vous navez pas le droit, non ! dit Patrice.<o:p></o:p>
-Et pourtant si. Suivez-nous, vous pourrez appeler votre avocat quand nous serons au commissariat, dit Grove, en sortant de la maison, et entraînant Patrice.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 5, Intérieur jour, chambre de Claire.<o:p></o:p>
Patrice et Claire sont en train de manger, en regardant la tv. Claire rit et pousse du coude Patrice, qui fait tomber son couteau. Celui-ci rit aussi et se penche vers elle pour lembrasser.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 6, Interieur jour, au commissariat de police<o:p></o:p>
Deux hommes se trouvent derrière une vitre santin et regardent la salle dinterrogatoire où se trouve Malard et Patrice. Patrice se tient les deux mains dans les cheveux, lair malheureux. Il est assis, et garde le regard fixé sur le verre a demi rempli deau. Malard est debout en face de lui.<o:p></o:p>
Les deux hommes qui fixent la scène murmurent entre eux.<o:p></o:p>
Lun deux dit : « cest à cause de salaud comme cela que je regrette que la peine de mort nexiste plus. »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 7 Interieur jour, dans la salle dinterrogatoire<o:p></o:p>
« Pourquoi avez-vous rompu alors ? demande Malard.<o:p></o:p>
-Je lai rencontré il y a deux mois. Et il y a un mois, jai rencontré sa sur, ou plus exactement, je lai revu. Je la connaissais car nous étions déjà sorti ensemble. Et je suis retombé amoureux delle. Cest pour cela que jai rompu avec Claire depuis quatre jours. Mais jamais, oh grand jamais je naurais voulu la violer ! Demandez à sa sur ! Non mais quelle galère non, comment peut-elle maccuser de cela, non <o:p></o:p>
-Tout vous accuse. Votre alibi ne tient pas la route, le couteau qui la menacée contient vos empreintes, même la porte fenêtre les a ! dit Malard.<o:p></o:p>
-Mais je jai fait la cuisine dimanche dernier chez elle elle ne laura peut être pas lavé la porte fenêtre, je lai réparé ! et je vous jure que je suis innocent, je suis rentré directement du travail, murmura Patrice.<o:p></o:p>
-Quant à sa sur, nous ne la trouvons pas. Nous ne savons pas où elle se trouve. Avouez, plutôt que de nous faire retarder lenquête ! Si vous avouez, peut-être que la cours vous aura à la bonne ! » crie Malard.<o:p></o:p>
Patrice croise les bras sur la table et met la tête dedans.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 8, Extérieur nuit, devant le porte dentrée de Patrice.<o:p></o:p>
Patrice et une jeune femme blonde, senlacent. Ils sembrassent. Un cri les sépare. Ils se retournent. Ils voient Claire partirent en courant. La jeune femme part en courant dans la même direction.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 9, Interieur jour, dans la chambre de Claire.<o:p></o:p>
Claire est assise devant son ordinateur, le sourire aux lèvres. Sur son écran dordinateur, une fenêtre de dialogue.<o:p></o:p>
« Désolée pour ta fenêtre. Je navais plus la clé. Tu as prévenu Patrice que je partais ? » écrit le pseudonyme « Angelotte ». <o:p></o:p>
« Bien sur, surette. Je naurais pas oublié. Tu reviens quand ? » écrit Claire.<o:p></o:p>
« Je ne pense pas revenir. Je ne voulais pas te faire de mal. Je ne voulais pas que cette histoire prenne tant dampleur. Je taime trop ma sur pour te faire le moindre mal. Bon, mon avion repart de Singapour dans une heure. Je vais payer le cyber-café et dès quil y a une autre escale, je me connecte. A bientôt, soeurette. » dit « Angelotte ».<o:p></o:p>
« A bientôt, ma sur » dit Claire.<o:p></o:p>
Claire se lève de la chaise de son bureau. Elle a le sourire aux lèvres. Le téléphone sonne. Elle souffle et émet un sanglot. Elle décroche, et dans une voix rauque dit : « Allo ? » et pleurs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 10, Interieur jour, dans un tribunal<o:p></o:p>
Claire est assise, aux cotés de son avocat. Elle pleure en silence. Patrice est au banc des accusés. Son visage est blafard. Les juges font leur entrée dans la salle du tribunal. Tout le monde dans la salle se lève. <o:p></o:p>
« Dans laffaire numéro 303-706, Mlle Signon contre Mr Ernst. Compte tenu du fait quaucune des preuves qui nous ont été présenté nont été réfuté, compte tenu des faits présentés à la cours durant cette affaire, nous décrétons Mr Ernst Patrice coupable du viol avec préméditation de Mlle Signon. Il devra faire 10 ans de prison dont deux ans avec sursis. Laffaire est close. »<o:p></o:p>
Patrice saffaisse sur sa chaise. Il pleure. <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Scène 11, Exterieur jour, Face au tribunal<o:p></o:p>
Claire sort du palais de justice. Elle sert la main à son avocat et descend les escaliers. Patrice sort du tribunal, menotté et suivi de près par deux policiers. Claire le regarde et Patrice la regarde aussi. Celle-ci sourit et puis rit dun rire franc, et sen va, le sourire aux lèvres.<o:p></o:p>
« Salope !! » hurle Patrice.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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Imprégnation psychosocial dès le début de la vie.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Ce qui marrive vient de mon système parental, et à un moment, on va vouloir sortir de ce système, car on en rencontre dautres (ex : crise dadolescence)<o:p></o:p>
On soppose à un système de référant et de normes qui dans notre temps nest plus dactualité.<o:p></o:p>
Chaque groupe à une histoire, une vie. Etre présent, cest faire partie dun décor, statique.
notre manière de se représenter (habit, etc) entraîne déjà le début des a priori, des affinités, dune interaction meme si statique à lautre.<o:p></o:p>Au départ, on se signifie déjà à lautre avec notre corps.<o:p></o:p>
Il y a des têtes quon aime et quon aime pas, consciemment et inconsciemment, renvoi en fait vers une histoire que lon a inscrit depuis lenfance, quelquun avec qui on sentendait ou pas, on était mal à laise.<o:p></o:p>
En dynamique de groupe, on se retrouve tous en cercle, un au centre.<o:p></o:p>
Ce qui participe au début dans linteraction, cest la place du corps. Et là, commence une communication circulaire. On a une identité de nom.<o:p></o:p>
On regarde dans les yeux pour se soulager du reste, pour être assurer.<o:p></o:p>
Cest ma relation avec mon corps qui va se dégager avec les autres, car ils nous regardent, nous interprètent. Le regard des autres est extrêmement important.<o:p></o:p>
Que va-t-il se passer en cours ?<o:p></o:p>
Quel rapport y-a-t-il entre le cours et le TD ?<o:p></o:p>
En quoi est-ce une dynamique de groupe ? Comment se positionne-t-on ? Pourquoi ? <o:p></o:p>
Il faut analyser.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Définition de la dynamique de groupe<o:p></o:p>
SCIENTIFIQUE<o:p></o:p>
Lensemble des phénomènes psychosociaux dans les petits groupes et létude des lois naturelles qui les régissent.<o:p></o:p>
Cest la science de ses phénomènes dans un groupe dit primaire.<o:p></o:p>
Identification de ses lois internes ,plusieurs points détude :<o:p></o:p>
-relation entre le groupe primaire et son environnement.<o:p></o:p>
-les inter influences sont susceptible de modifier le groupe et lenvironnement.<o:p></o:p>
-influence du groupe primaire sur le comportement suivant le regard posé du groupe sur lindividu. Ce sont les autres qui massigne une place. Quand il y a convergence entre la place que je veux et celle que les autres massigne. Sil y a divergence, ce sont les autres qui veulent massigner une place que je ne veux pas, donc je my oppose et crée donc des tensions.<o:p></o:p>
-étude de la vie affective des groupes= le vécu groupal. Il y est différent de la somme des sentiments ressenti par les individus qui composent le groupe.<o:p></o:p>
-étude des facteurs de cohésion et de dissociation à lintérieur des groupes primaires à ses facteurs étant associés à la temporalité qui assure lexistence du groupe.<o:p></o:p>
METHODE ET UTILISATION<o:p></o:p>
Cest aussi en même temps une méthode de groupe pour agir voir soigner la personnalité, pour que le groupe agisse sur lindividu, pour que les petits groupes agissent sur les grands groupes.<o:p></o:p>
Ex : alcoolique anonyme<o:p></o:p>
Va exercer une action psychologique qui oriente lindividu et le groupe vers des phénomènes de changement par le moyen du groupe<o:p></o:p>
On aboutit à des groupes dinfluence et groupe de manipulation. Ce sont des recherches qui ont amenés les études sur la manipulation mais ont aussi enclenché la méfiance du public vis à vis des psychosociologues.<o:p></o:p>
On utilise ces méthodes pour soigner les troubles de la personnalité, on utilise des méthodes psychothérapeutiques interpersonnelles dans un groupe pour le diagnostique du trouble et son traitement.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pour que la dynamique de groupe fonctionne, on doit être névrosé. Il faut que lon est un équilibre névrotique.<o:p></o:p>
Dans un parcours psychotique, on ne se soucie pas du regard des autres, donc pas de dynamique de groupe.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
On utilise des lois issue des recherches sur la dynamique de groupe pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe. Le but est daméliorer le fonctionnement, lefficacité et lautorégulation des petits groupes dans toutes les situations ou ils ont des objectifs à atteindre (comité, groupe de travail, commission).<o:p></o:p>
La dynamique de groupe débouche enfin sur létude et la mise en uvre des changements sociaux, par le moyen des petits groupes. Les objectifs à atteindre sont la responsabilisation et lautonomie des personnes, la maturité sociale et lintégration du changement par le groupe, lefficacité du groupe face aux changements, ladaptabilité des petits groupes à lenvironnement.<o:p></o:p>
En conclusion, ces deux axes sont constitutifs de la dynamique de groupe et interdépendants.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
LE GROUPE PRIMAIRE<o:p></o:p>
Dans lhistoire de la dynamique de groupe on a pu constater lémergence de la réalité sociale (ex : association).<o:p></o:p>
Pour quun groupe soit primaire.<o:p></o:p>
-si leur découpage du groupe ne correspond pas à une catégorie abstraite (ex ; les fumeurs, les blondes, ne sont pas des groupes primaires)<o:p></o:p>
-a une catégorie démographique :<o:p></o:p>
-age, sexe, activité<o:p></o:p>
-à une réalité économique, sociologique<o:p></o:p>
-à des réalités socioculturelle<o:p></o:p>
-le groupe primaire est limité par le nombre, cest un groupe restreint.<o:p></o:p>
-le groupe primaire est un groupe ou chacun se connaît et se reconnaît et peut établir avec les autres des relations personnelles. On note lexistence de relation de chacun avec tous (au moins par le regard)<o:p></o:p>
-Le groupe primaire constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à lenvironnement naturel ou social.<o:p></o:p>
Par opposition il y a les groupes secondaires caractérisé par des relations indirects, sentiments dappartenance globale, communication par intermédiaire.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
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COURS 1 :<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Pdg de TF1 a fait une déclaration en été 2004, qui devait rester confidentielle, qui contenait ce message :<o:p></o:p>
Pour quun message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau humain soit disponible (diverti, amusé, intéressé) et TF1 sengage à divertir son public car le message publicitaire (MP) doit être compris.<o:p></o:p>
Les images publicitaires sont partout : TV, journal, Radio, panneau.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
La première chose à savoir, concerne une tension, une chose qui paraît contradictoire dans la relation humaine.<o:p></o:p>
Réalité nest jamais toute blanche ou noire, paradoxale. On cherche la sensation du vivre ensemble, tout en affirmant son individualité.<o:p></o:p>
A partir de là, on se dit quune théorie doit être contré par une autre.<o:p></o:p>
Cette dimension culturelle de la publicité sinscrit entre deux pôles :<o:p></o:p>
àculture : TF1 nous fait consommer « jusquà la mort », la mort elle-même étant devenue un objet de consommation.<o:p></o:p>
Pour la pub, tout objet est susceptible dêtre de consommation.<o:p></o:p>
Le but de la pub, cest le contraire dun but humaniste, permettre à une entreprise daugmenter.<o:p></o:p>
Cette génération est né dans la publicité.<o:p></o:p>
Cest lobsession du faire consommer plus.<o:p></o:p>
à mouvement se lève, transfrontalier, constituer de personne qui refuse la pub, qui dise que les images publicitaires sont des images dasservissement et desclavage.<o:p></o:p>
Les mouvements importants sont : -No Pub<o:p></o:p>
-KLEIN qui a écrit « NO LOGO »<o:p></o:p>
Ces mouvements permettent de comprendre que contester la publicité, cest faire de la politique, analyser la publicité, cest dire que cest lidée que tout peut se vendre (ils sont contre la marchandisation du monde).<o:p></o:p>
Ce nest pas lêtre humain qui est fait pour léconomie mais léconomie qui est faite pour lêtre humain ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Avec la publicité, on sinscrit dans la politique, et si on contre celle-ci, on fait baisser léconomie.<o:p></o:p>
Alors, un retour en arrière est-il possible ?<o:p></o:p>
Peut-on moins consommer ? Peut-on échapper au toujours plus ?<o:p></o:p>
MAC LUHAN à profétiser limpact de la TV sur nos vie : « Massage dans le message ».<o:p></o:p>
Le médium, cest le message.<o:p></o:p>
Veut dire que peut importe le contenu, ce qui compte, cest la fonction calmante, édifiante du contenant, il faut quil circule.<o:p></o:p>
Cette sollicitation permanente a créé en nous une résistance, passive mais là.<o:p></o:p>
On peut militer dans les moments ou bien se créer une carapace. <o:p></o:p>
Tous les MP sont faire pour percer un trou dans cette carapace, à nous toucher.<o:p></o:p>
La publicité, jusquà présent, a été et est encore une communication de masse, individu pris dans de grands secteurs de communication et aujourdhui, on arrive à la publicité sur internet.<o:p></o:p>
Impact publicitaire dinternet va en grandissant, tandis que limpact de la publicité classique est toujours aussi dominante.<o:p></o:p>
Publicité est une technique de persuasion collective.<o:p></o:p>
Elle élabore des procédures, des moyens de nous persuader.<o:p></o:p>
Convaincre à échanger des arguments, interpelle intelligence<o:p></o:p>
Persuaderà touche prioritairement les émotions, en utilisant des chemins de traverse na quun but, déclencher lacte dachat.<o:p></o:p>
On est dans la propagande politique, qui se diffuse dans nos têtes et joue au plus profond de nous.<o:p></o:p>
On se voit tel que la publicité veut que nous nous voyons.<o:p></o:p>
Publicité nous impose le corps de référence.<o:p></o:p>
Cest loin dêtre quelque chose qui fabrique des objets, elle fabrique NOTRE mode de vie, nous pousse à rentrer dans un rôle façonné par la publicité.<o:p></o:p>
On joue des rôles de genre.<o:p></o:p>
La publicité peut renforcer les stéréotypes sociaux, elle est très peu révolutionnaire, elle est conformant.<o:p></o:p>
On se retrouve face à des enjeux anthropologiques majeurs. Elle a changé nos vies, a eu des conséquences sur des dimensions que lon ne voit pas.<o:p></o:p>
Dans la publicité, deux métiers : les créatifs et les directeurs artistiques.<o:p></o:p>
Si lon dit que la pub nous manipule, ca veut dire quon est en charge à nous maintenant à manipuler et à se service de la publicité.<o:p></o:p>
On pose les éléments dune anthropologie de la publicité.<o:p></o:p>
Essaie de comprendre comment les êtres humains agissent.<o:p></o:p>
1ère chose, la publicité, cest un acte sociale et culturel.<o:p></o:p>
2ème chose, si aujourdhui, on veut comprendre quelque chose à lêtre humain (ses rêves, ses pensées), il faut regarder les MP.<o:p></o:p>
Publicitaires utilisent la psychologie et la sociologie pour nous atteindre.<o:p></o:p>
La publicité nous tend un miroir à idée importante. Pourquoi ?<o:p></o:p>
Car on croit quon regarde la publicité mais cest elle qui nous regarde (idem pour la Tv.<o:p></o:p>
La médiamétrie, sondage, toutes ces batteries de test servent à nous observer au plus près de ce que nous sommes, ou tout du moins cest ce quelle dit faire.<o:p></o:p>
Aujourdhui, ce que la publicité mesure, cest moins ce que nous sommes vraiment que ce que nous pensons et devenons sous leffet de la publicité.<o:p></o:p>
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Ex : il y a une semaine MLTV et FREE vont faire parti dun panel de médiamétrie. Animateur donc, verra que le taux daudience augmente ou baisse et pourra gérer en fonction. Cela veut dire que ce « piège » de la mesure daudience aura un impact considérable sur le programme.<o:p></o:p>
On a affaire au passage de la civilisation dans le numérique. Modification à court terme mais considérable.<o:p></o:p>
La publicité fabrique une fausse demande et les sondages interrogent cette fausse demande.<o:p></o:p>
Enfant= prescripteur (qui va déclencher plus lachat que nimporte qui dautre).<o:p></o:p>
Ce qui signifie donc que les enfants sont très tot confronté à la publicité. La plub exerce un pouvoir de fascination sur notre cerveau au sens biologique du terme (vitesse, rythme). Tout est fait pour que attention du cerveau soit capté.<o:p></o:p>
Publicistes connaissent tout des évolutions des neurosciences.<o:p></o:p>
Ex : entre Marketing et pub. LOGAN destiné aux pays de lest. Renault a fait une folie. La commercialisé en France. Lorsquelle est arrivée, a été prise dassaut par concessionnaire et a donc penser que menace pour autre voiture. Donc, Renault a dit pas de pub. En interrogeant les gens, nombreux étaient ceux qui la voulait.<o:p></o:p>
Cette exemple montre quon ne part pas des besoins des gens mais on part a partir de besoin CREE au niveau financier.<o:p></o:p>
Fabrique de fausses valeurs , faux besoin dobjets fragile quil faut vit changé.<o:p></o:p>
En prenant du recul, pub a changé de notre vie.<o:p></o:p>
Notre langage (beaucoup de ce que lon dit provient de la pub : ex : il faut positiver, de carrefour)<o:p></o:p>
Pub nous fait adopter langage pseudo cool, spontané, cherche a faire sortir la Carte Bleu spontanément, achat dimpulsion.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
A changé la séparation entre être et avoir. Elle la accentué. Marché économique, relationnelle pèse plus que ce que lon est au fond de nous. Notre société hypocritement, fabrique une tension, entre idée de revenir à des valeurs simples (que la publicité utilise) et en même temps dans un monde très futuriste (portable 3G, etc). Publicité va nous forcer à nous situé socialement comme des dominants, or, pour la publicité, être dominant, cest posséder le plus grand nombre dobjet possible.<o:p></o:p>
Notre pire, ennemi, le manque.<o:p></o:p>
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Cours 2 :<o:p></o:p>
Tout ce que la pub a changé<o:p></o:p>
Tout ce quelle change au niveau des structures mentales et sociales (vu dans le cours précédent)<o:p></o:p>
Culte de la vitesse et culte de la jeunesse<o:p></o:p>
Mais il existe aussi le culte de la beauté
-culte de la beauté
articulé à celui de la santé (très important, car la beauté qui est vantée par les publicitaires nest pas nimporte quelle beauté)<o:p></o:p>Cest une beauté esthétique, beauté vantée par les pub, recherche de belles formes, beauté qui est également présentée comme saine, <o:p></o:p>
MAIS QUEST-CE QUUNE BEAUTE SAINE ?<o:p></o:p>
-Elle a intégré lhygiène de vie comme mode révélateur dun bien être social et dun statut social.<o:p></o:p>
Ex : étude sur la précarité des étudiants a montré quelle avait un impact sur leur santé. Plus on est précaire, moins les marqueurs physiologiques, psychologiques et biologiques sont bons.<o:p></o:p>
-En Occident, rejet de la mort<o:p></o:p>
-Idée dune santé parfaite (lire Le mythe de la santé parfaite, de Lucien SFEZ.<o:p></o:p>
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Mythe de la santée parfaite veut dire que même si lon doit mourir, autant que ce soit en meilleure santé possible et dans des conditions qui soient confortables sur le plan matériel. Beauté saine : idéalisation des corps (voir plus loin), le corps doit être performant, pour pouvoir se développer dans une dynamique de performance toujours renforcée. Pour son fonctionnement, la pub a besoin de déclencher en nous linsatisfaction et la superficialité, qui nous permettent de passer très rapidement dun objet à un autre = ROTATION DES MODES. Cette rotation des modes sert aux besoins économiques. Cette superficialité nous montre, à travers des études, (se rappeler de la division être/paraître) que les publicitaires fabriquent le BESOIN DE COMPENSATION. Cest faire en sorte que la consommation, toujours plus grande et dobjets plus nombreux et plus différents, serve de moyen de combler nos frustrations. Dès quon est plongé dans la vie sociale, on décours la FRUSTRATION. Devenir adulte, cest gérer de mieux en mieux les frustrations. Lenfant ne sait pas gérer linsatisfaction, il va donc se mettre en colère. La pub nous infantilise, comportement de frustration qui sinstalle et ne peut être comblé que par la consommation et se nourrit ainsi elle-même nen finit plus. Piège redoutable.<o:p></o:p>
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Pour certains, la consommation est le seul mode de socialisation et le seul mode de relation, par exemple, avec ses enfants. Un enfant veut cela, il faut combler son désir, sous peine de passer pour une mauvais parent. La pub arrive à faire penser à certains quexercer un rôle de parent, cest subvenir à une surconsommation totalement exagérée et superficielle. Les surendettés sont pris dans un piège du système qui fonctionne avec pour intérêt que cette rotation soit de plus en plus rapide. On en arrive à ce que les sociologues appellent un vertige mental.<o:p></o:p>
VERTIGE MENTAL : fuite en avant dans la consommation<o:p></o:p>
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Rupture déquilibre dès que lon sarrête, doù nécessité dêtre toujours dans ce mouvement, cette rupture déquilibre signifiant pour certains la mort sociale (ex : personnes touchées par le chômage, ils apprennent à consommer moins, à consommer moins de marque que les autres)<o:p></o:p>
Lien entre : Amélioration de notre vie + bonne image de soi (de nous et des autres) + consommation forte = triangle de bermude. Ce triangle nous aspire un peu plus tous les jours.<o:p></o:p>
Dernier point par rapport à ces changements : paradoxe : dun coté, la pub développe la MEMORISATION qui est liée au produit vanté dans le message publicitaire. De lautre, elle travaille à létayage de la mémoire, la pub travaille à nous faire retenir des choses superficielles (les pubs) au détriment de choses beaucoup plus importantes.<o:p></o:p>
Travail de la mémoire et de loubli. Elle nous force à oublier deux choses : les produits précédents et les concurrents.<o:p></o:p>
Ces techniques perverses mais sont très intéressantes.<o:p></o:p>
Cette mémoire fonctionne essentiellement sur es affect et lémotionnel.<o:p></o:p>
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Autre impact très important de la pub accompagné par le mouvement économique de la mondialisation. La pub sinscrit très très bien dans le cadre de la mondialisation. Pour fonctionner, elle a besoin de fabriquer une universalisation des modes de vie. Ex : cadre supérieur au Sénégal, à niveau de vie égale, va consommer de la même façon quun cadre supérieur en France. Cela veut dire quen Chine, explosion de la demande pour les produits français, pour les marques françaises y compris les plus prestigieuses.<o:p></o:p>
Donc, on assiste à un NIVELEMENT par le haut des modes de vie, ce qui fait quà situation économique égale à chaque coin du globe, on apprend à consommer, à réagir de la même façon face à un produit. On peut dire que la pub est une RELIGION MODERNE<o:p></o:p>
Religion, racine « religere » = relier.<o:p></o:p>
Tous les endroits du globe sont plus ou moins exposés à autant de pub et de messages publicitaires. Les occidentaux ne sont pas les inventeurs de la pub.<o:p></o:p>
Excès sémiologique, excès de signes surtout dans les pays asiatiques. Les signes se chevauchent les uns les autres. Pour eux en France, cest un désert.<o:p></o:p>
On part du principe que le message publicitaire est une théorie.<o:p></o:p>
Théorie, racine « theorem » = observer.<o:p></o:p>
-la pub tient un discours sur moi, moi qui suis un particulier inscrit dans un groupe spécifique. Elle parle de moi de deux facons qui larrangent : comme elle voudrait que je sois, un consommateur idéal. Il faut se conformer à ce que la pub attend de moi (logique de conformité) : que je consomme et que je sois faconnée par elle. Mes besoins, mes désirs vont être fabriqués par elle.<o:p></o:p>
Désir/Besoin (différence sémantique)<o:p></o:p>
Besoins : besoins fondamentaux, physiologiques, primaires : manger, dormir, etc.<o:p></o:p>
Désir : tout le reste.<o:p></o:p>
-elle me persuade. Elle parle de moi comme je voudrais devenir grâce à elle. Elle construit des faux besoins et stimule des besoins que je nai pas, des désirs par pression sociale que les autres ont. SYMPTOME DE LA FAMILLE RICORE, on se projette dans une famille idéal.<o:p></o:p>
La pub retarde, elle nadmet pas trop les familles monoparentales, les familles recomposées, elle peine sur ce sujet-là. Elle nanticipe pas, elle ne cherche pas à développer de nouvelles valeurs et des nouveaux codes. Elle surfe sur la vague.<o:p></o:p>
-la pub fonctionne selon une dynamique de dynamisation. La pub nest pas révolutionnaire mais normalisatrice. Elle travaille à ancrer dans les esprits des normes, des principes, des valeurs et des croyances (ces quatre éléments constituent la socioculture). Elle travaille donc en sappuyant sur les stéréotypes, sur des préjugés, en ce sens elle est très peu menaçante pour le système en place, elle est politiquement correcte.<o:p></o:p>
Les homosexuels, représentent à eux seuls une forte économie, constituant ainsi un marché à part entière. Double salaire et pas denfants.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Normalisation/ Idéalisation<o:p></o:p>
La pub, cest un peu les contes de Grimm modernes.<o:p></o:p>
Elle construit du rêve. Univers simplifié. A tous les problèmes, une solution : consommer.<o:p></o:p>
Cette idéalisation va sorganiser autour de plusieurs apparences :<o:p></o:p>
-un vouloir être<o:p></o:p>
La pub à un rapport complexe avec la volonté : elle cherche à la stimuler et à la fragiliser de manière à lorienter vers ce qui lintéresse. Elle nous persuade de vouloir être quelquun que je ne suis pas, de représenter quelquun que je ne suis pas.<o:p></o:p>
-un vouloir-vouloir : la pub me fabrique un vouloir-vouloir, cest à dire quelle fait en sorte que je veuille quelque chose. Elle me force à vouloir ce quelle me dit que cest bon <o:p></o:p>
-pour moi. Le message publicitaire devient donc un conseiller psychologique et physiologique, elle maide à faire un moral et un corps denfer. Elle fonctionne sur une ruse anthropologique, cest ce que HEGHEL appelé le DESIR DU DESIR.
Les psychosociologues ont montré que dès le début de socialisation, les enfants veulent les jouets quont les autres. DESIR SOCIAL.<o:p></o:p><o:p> </o:p>
La pub fonctionne en stimulant un double désire, contradictoire en nous :<o:p></o:p>
-1er désir en nous : celui de se différencier des autres, désir de différenciation, expression de sa singularité.<o:p></o:p>
-2ème désir en nous : désir de ressembler aux autres, désir de conformité, ne pas être exlu du groupe.<o:p></o:p>
On tient la contradiction dun phénomène interne : la mode, ROLAN BARTHES, le Système de la mode.<o:p></o:p>
La mode me permet dêtre regardé parce que je porte une coupe, des vêtements branchés. Etre dans une logique de conformité totale, donc suivre le troupeau tout en lutilisant pour me distinguer des autres.<o:p></o:p>
Pulsions, désirs (réseaux organisés de pulsions) qui saffrontent dans notre psychisme dans notre complexité.<o:p></o:p>
Puisque la pub fait semblant de nous regarder. Quest-ce quelle regarde ?<o:p></o:p>
Pas un moment de la vie qui échappe à la pub.<o:p></o:p>
Cest nouveau dans lhistoire de nos cultures. Instances en train de nous regarder faire ces choses et ainsi nous représenter après.<o:p></o:p>
Art/Photo/Cinéma<o:p></o:p>
La pub sinscrit dans ce mouvement : appréhension de moi même et des autres. Limage est centrale.<o:p></o:p>
Quel est le régime publicitaire auquel limage est contrainte ? Spécificité de la pub en 4 éléments :<o:p></o:p>
-la pub est omniprésente, elle est partout. Elle envahit notre champ de vision. <o:p></o:p>
-elle st répétitive. Cest un TUNNEL PUBLICITAIRE. On sengouffre dans quelque chose dont on ne sort que dans longtemps. Elle nous isole de la réalité pour nous mettre dans sa réalité. MONDE DILLUSION. Monde où lon est immergé malgré nous.<o:p></o:p>
-elle est vertigineusement rapide. Elle se saisit de lair du temps. Il faut que nous soyons dans notre temps selon elle, donc on saligne sur cette rapidité.<o:p></o:p>
-elle est fugace, il reste très peu de choses delle, cest une écume qui apparaît et disparaît comme les reçacles de la mer.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Pour arriver à faire tout ce que la prof a dit jusquà maintenant, il faut mettre en place des techniques te des disciplines : la psychologie et la sociologie. <o:p></o:p>
La professionnalisation de la pub est récente. Elle démarre aux EU vers 1900 et en France vers 1930 (techniciens vers années 60). Vocabulaire américain ou anglais. ADVERTISING. Pub différente du marketing, elle arrive en bout de chaîne. Faire connaître son existence en public.<o:p></o:p>
Si le marketing est lart de vendre, le rôle de la pub est de faire vendre. Dans ce faire, il y a ce qui nécessite connaissances psychologiques, créer des conditions favorables à lacte dachat, il faut donc connaître parfaitement les modes psychiques des individus.<o:p></o:p>
A ces effets, plusieurs type de pub :<o:p></o:p>
-pub commerciale : faire vendre un produit, une personne ou une idée<o:p></o:p>
-pub institutionnelle : développement de la notoriété dune institution (organisme privé ou public)<o:p></o:p>
NOTORIETE : degré de connaissance quun public possède à propos dun produit, donc de quelquun ou dune idée.<o:p></o:p>
Limage de marque : ensemble des élaborations symboliques et des représentations sociales et culturelles qui sont rattachées à un produit, une personne, une idée.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Lorganisme ou la personne qui va payer pour le message publicitaire, cest lannonceur. Il est à lorigine de lannonce du message.<o:p></o:p>
Le SEGMENT DE POPULATION visé par la stratégie publicitaire, cest la CIBLE. Le plus petit segment sappelle le CUR DE CIBLE.<o:p></o:p>
Conquérir un cerveau nouveau amène la DIVIDENDE.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Cible définie par les critères suivants :<o:p></o:p>
-lâge<o:p></o:p>
-le sexe<o:p></o:p>
-CSP<o:p></o:p>
-les revenus<o:p></o:p>
-zone géographique<o:p></o:p>
-fréquence des achats<o:p></o:p>
-les critères psychosociologiques<o:p></o:p>
-le niveau socioculturel<o:p></o:p>
-le niveau déducation et dinstruction<o:p></o:p>
-les styles de vie<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Linformation contenue est le message. Peut revêtir 2 formes différentes :<o:p></o:p>
-forme iconique<o:p></o:p>
-forme linguistique<o:p></o:p>
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Le message peut être différent selon les modes dexpressions choisies.<o:p></o:p>
Il existe deux familles de messages :<o:p></o:p>
-soft selling : pub douce, rassurante<o:p></o:p>
-hard selling : pub dure, agressive, provocante<o:p></o:p>
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Une ligne géographique qui sépare ces deux cultures publicitaires .<o:p></o:p>
Au Nord de lEurope, Australie, pays anglosaxons, la pub na pas froid aux yeux, ils nont pas peur du corps, de la sexualité, ils sont beaucoup moins frileux.<o:p></o:p>
La culture publicitaire française est frileuse et est atachée à des anciennes valeurs et elle est conservatrice.<o:p></o:p>
Pour acheminer la pub jusquà nous, il faut des moteurs, des véhicules qui sont les 5 grands médias :<o:p></o:p>
-Ciné, TV, affichage, Radio, Presse Ecrite.<o:p></o:p>
La pub veut nous toucher plus finement que ça. Donc, chaque média est différent en supports :<o:p></o:p>
Exemples : TF1 support, TV média. NRJ support, radio média.<o:p></o:p>
Chaque média a son langage et ses codes propres.<o:p></o:p>
Lensemble des messages publicitaires peut être séparé en 2 familles :<o:p></o:p>
-messages connotatifs<o:p></o:p>
-messages dénotatifs<o:p></o:p>
Distinction par Barthes dès 1970. Chaque fois que dans un message publicitaire, il utilise des arguments fondés sur des raisonnements, message dénotatif. Quand je fabrique tout au long du spot (image animée ou fixe), une atmosphère, une ambiance va agir comme un mode de reconnaissance et en fabriquant du laisser aller, message connotatif émotionnel, esthétique, affectif.<o:p></o:p>
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COURS 3 : Les constituants du message publicitaire.<o:p></o:p>
3 formats TV : 8, 30, 60 secondes. A base dimage fixe ou mobile.
Démonstratif connotatif.<o:p></o:p>Langage utilité dans la pub : celui-ci à la particularité dutilité, un grand nombre de mots pleins (qui ont un sens par eux-même), des mots outils (ceuq ui accompagnent les mots pleins)<o:p></o:p>
1-La pub étant cher, a besoin de restreindre sa place et son temps, donc concision, donc utilisation de beaucoup de mots plein.<o:p></o:p>
2-2sortes de mots pleins : les mots miracles qui ont un sens par eux même et qui est plus fort que dautre mot. Concentre des capacités de représentation plus <o:p></o:p>
forte.<o:p></o:p>
(ex : futur, famille).<o:p></o:p>
Il faut apprendre à construire des messages qui atteignent le psychisme de la cible. Constituer de 3 éléments majeurs :<o:p></o:p>
1-LEYE CATCHER<o:p></o:p>
Accroche est constitué par une petite phrase courte, dont le but est dattraper le regard ou loreille (ex : Cest moi Cajoline).<o:p></o:p>
2-le CORPS DU TEXTE<o:p></o:p>
Contient argumentation de la pub<o:p></o:p>
3-le SLOGAN<o:p></o:p>
Sa fonction est lié à lorigine du mot (mot non gréco latin, mot galéique, du celte, SUAGH-BHAIKT, signifiant cri darmée)donc slogan joue le rôle de fédérateur, agressif, conquérant. Il a plusieurs techniques pour faire slogan<o:p></o:p>
àcelle du jeu de mot, de la versification, une phrase récurrente tout au lons des années de lexistence du produit (ex : DUCROS et son slogan) et nouveaux slogans sont apparu (ex : LOREALT : « parce que je le vaut bien »)<o:p></o:p>
Cest une phrase clin dil, une phrase que lon retient. Sadresse à la cible en la valorisant, en la mettant à égalité avec les gens la représentant. Efficacité du message, slogan.<o:p></o:p>
Les processus psychologiques utilisés par les publicitaires pour déclenchés lensemble de la chaîne qui les intéresse du moment où la publicité est vu jusquau moment dacheter.<o:p></o:p>
Récupération de travaux de chercheur : chaque individu possède au moins 4 tendances psychologique : la publicité les récupère et les combine, car elles varient.<o:p></o:p>
Tendance de la plus primaire à la moins primaire :<o:p></o:p>
àégoïste : tout ce qui concerne notre vie psychique interne : conservation, domination. Est partagé par ensemble dindividu, plus ou moins importantes selon le type.<o:p></o:p>
Ex : publicité Channel et parfum EGOISTE<o:p></o:p>
Ex : publicité lOREAL et parce que je le vaut bien (aussi de lêtre tendance)<o:p></o:p>
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àégoaltruiste : mariage entre égoïsme et altruisme. Apparaît chaque fois que nous sommes en relation avec autres individu mais aussi chaque fois que nous sommes jugés par les autres. Cest la tendance interface. <o:p></o:p>
Publicitaire joue avec les mess sur amour propre, compétition, ambition.<o:p></o:p>
Ex : pub sur ordinateur<o:p></o:p>
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àaltruiste : nous rattache à dautres individus, pour qui nous allons éprouver sentiments et émotions (tendresse, amour, passions, haine). Cette tendance va être trouvé autour de produit qui ont changé de tendresse.<o:p></o:p>
Ex : pub sur voiture, passé en 10 ans de tendance, égoïste vers une tendance, altruiste. Accompagné par le changement des formes du design, ovoïde, agressif, qui vont vers des formes arrondies, passage doutil de compétition, vers outils de protections. Axe psychologique de travail évolue.<o:p></o:p>
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à Idéaliste : nous rattache à des idées supérieurs, principes. On retrouve le sentiment du devoir qui sinscrit dans lobligation. Amour de la science, de la connaissance, du beau, esthétique.<o:p></o:p>
On la retrouve rarement tout seule dans des message qui la véhicule entièrement, tendance présente accompagne toutes les autres (sauf égoïste)<o:p></o:p>
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Problème du publicitaire : identifié la tendance qui prévaut pour la cible choisie, en fonction de tous les critères (voir cours 2). Quel est le support qui va permettre de toucher cette cible sachant quen fonction du support on a affaire a telle ou telle tendance.<o:p></o:p>
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3 éléments importants : émotions, passions, désirs.<o:p></o:p>
Tous les chercheurs ont montré que les messages les mieux mémorisés été les plus forts en émotions. Lien entre mémoire et impact émotionnel.<o:p></o:p>
Emotion : plusieurs choses : provocation, choc, heurter esprit.<o:p></o:p>
On peut choquer de 2 façons : un avec image. Deux, en utilisant dissonance cognitive. Cest une technique connaissance des principes dun ensemble de personne, daller à contre sens de ceux-ci. Quest-ce qui sopère ? Une destabilisation psychologique. Quand il est destabilisé, il est vulnérable, et cest à ce moment là quon peut envoyer une idée nouvelle, nouvelle facon de penser.<o:p></o:p>
Technique de manipulation formidable. Utilisé par quelquun de bienveillant, ok malveillant, nok.<o:p></o:p>
Quest-ce que le désir ? Le banquet de Platon. Il définit le désir comme un manque, je ne peux pas désirer ce que jai, ce que je suis. Le désir désigne un processus conatif. A partir de là, la pub va travailler de la manière suivant : va établir une hiérarchie entre 3 sortes de désirs :<o:p></o:p>
-évidents (le dit clairement)<o:p></o:p>
-latents ( sous la surface)<o:p></o:p>
-inexistants (que nous navons pas)<o:p></o:p>
Chaque fois que communication publicitaire a essayé de vendre un produit dont le désir était inexistant, celui-ci sest cassé la gueule, a été retiré de la vente.<o:p></o:p>
Désire ne se fabrique pas. Cest le produit de la vie psychique du client.<o:p></o:p>
Travail publicitaire consiste à faire émerger désir latent, faire changer les désirs de catégories, afin de faire consommer. Lorsquun désir devient évident, il faut trouver comment transformer ce désir évident devienne nécessaire.<o:p></o:p>
On est donc forcément victime de manipulation, la pub est donc dangereuse, manipulatrice, dautant quune société comme la notre consiste à utiliser les comportements dachat comme réponse à la frustration que nous connaissons dans les autres domaines.<o:p></o:p>
Une frustration va être compenser par un achat dimpulsion, chose qui au début de la pub nexistait pas.<o:p></o:p>
Détail des grandes familles de mécanisme physique permette à la pub dagir.<o:p></o:p>
3familles :<o:p></o:p>
1-mécanisme psycho-rationel<o:p></o:p>
Utilisé de manières moins importantes que les deux autres. Ce mécanisme est synthétisé dans une formule, la formule AIDA. Va permettre de construire des messages sur 4 étapes clés qui vont toucher notre psychisme à 4 endroits différents (cognitif)<o:p></o:p>
-attention (niveau perception)<o:p></o:p>
-intérêt (cognition se met en place)<o:p></o:p>
-désir potentiel ou réel<o:p></o:p>
-acte dachat<o:p></o:p>
Surtout utilisé pour des produits particuliers dans lesquels nous investissons très peu de charge émotionnels, produits industriels : ménage, vaisselle, lessive.<o:p></o:p>
Egalement utilisé par produit fournissant preuve<o:p></o:p>
Ex : chat qui va vers produit plutôt quun autre<o:p></o:p>
Ex : homme collé au plafond par colle forte<o:p></o:p>
Ces messages publicitaires vont travailler à faire admettre par la cible un raisonnement simple et efficace.<o:p></o:p>
2-mécanisme psycho-pseudo-rationnel<o:p></o:p>
Beaucoup plus suubtile. Ils avancent en cachant leur intention. Message qui feigne le rationnel, alors quen fait ils sont émotionnels. Pourquoi ? A quoi cela sert-il ? On sapercoit quilisé un argumentaire rationnel permet deux choses :<o:p></o:p>
-rassurer la cible (quand ça à lair rationnel, je peux avec ma propre cognition, agir)<o:p></o:p>
-cest rassurant car ça a lair logique<o:p></o:p>
Avantage de ces messages : déculpabilisation de la cible. Pourquoi ? On se fait plaisir tout en se disant que cest nécessaire. Très difficile à obtenir, car autour de produit inutile. Va permettre à lindividu de ne pas penser que ce quil achète cest inutile.<o:p></o:p>
Ex : ACTIMEL : prouvé que ça ne fait rien<o:p></o:p>
3-mécanisme psycho-émotionnel<o:p></o:p>
Tout le travail consiste à faire surgir le désir latent dun produit (donc un désir évident cest le méca rationnel et latent méca émotionnel)<o:p></o:p>
Il sagit de faire surgir le désir de 2 façons.<o:p></o:p>
-on crée autour du produit une ambiance, un climat, on installe un décor tout à fait normal.<o:p></o:p>
-on va fabriquer une personnalité au produit, sachant que celle-ci doit correspondre aux attentes de la cible.<o:p></o:p>
Ex : Parfum JP Gautier.<o:p></o:p>
On joue sur décor, sur idée de complémentarité, idée de masculin, féminin. Produit prend en charge aspiration de la cible à être double et complémentaire.<o:p></o:p>
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Ces processus dordre émotionnel vont travailler sur une autre logique que rationnel, une logique daffection, des sentiments. Nous installe dans une logique affective. Celle-ci va conduire les publicitaires dans leur message à sur-utiliser deux choses :<o:p></o:p>
-utiliser la force de limage (coté droit du cerveau) et les mots (coté gauche)<o:p></o:p>
-utiliser prioritairement les mots miracles.<o:p></o:p>
Prégnance de limage et du mot ; maximum de la puissance du mécanisme psychologique.<o:p></o:p>
A lintérieur de cela, il existe deux types de processus :<o:p></o:p>
1-mécaniques synthétiques<o:p></o:p>
Dans ces mecanismes, on va trouver message publicitaire à la base dun des trois éléments :<o:p></o:p>
-la démonstration ; il fait appelle à notre raison objective et impersonnelle, dans sa capacité universel à raisonner<o:p></o:p>
-la persuasion sadresse uniquement à notre personnalité affective et peut donner slogan absurde : ex : Pamper : « Même mouillés, ils sont secs » <o:p></o:p>
Autre ex : Bébé utilisé dans Evian.<o:p></o:p>
Aucun texte, très peu de musique, très populaire :<o:p></o:p>
-la révélation : ce sont des messages qui agissent en utilisant la soudaineté, coté tempétueux, rapide, qui ont un impact assez fort qui fait que lon ne comprend pas trop<o:p></o:p>
2-mécanique synthético automatique<o:p></o:p>
Deux familles :<o:p></o:p>
a)la suggestion de docilité.<o:p></o:p>
Basé sur une expérience extrêmement importent dun chercheur américain, MILLGRAM. Essaye dévaluer impact de lautorité sur psychisme. Jusquou individu peut il aller lorsquil accepte de recevoir ordre que lui donne une autorité. Permet de comprendre quil existe une vulnérabilité chez individu, face à lautorité ? Cest récupérer dans toutes les publicités où lon voit quelquun dexpert dire que son produit est le meilleur.<o:p></o:p>
b) limitation de quelquun, son comportement.<o:p></o:p>
Cherche à susciter de la part de la cible visé un comportement identique aux personnes représentées, fondé sur la starification.
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