• Cours chii 2005

                 DEFINITION DE LA DG <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>



    ð    Observation : <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ensemble des phénomènes psychosociaux dans les petits groupes et l’étude des lois Naturelles qui les régissent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    -         Science de ces phénomènes dans un groupe dit « primaire » et l’identification de ses lois internes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etudes :<o:p></o:p>

    ð    Relation entre un groupe primaire et son environnement. Les inter-influences sont susceptibles de modifier le groupe et l’environnement.<o:p></o:p>

    ð    L’influence du groupe primaire, sur le comportement des individus qui le compose, suivant le regard posé du groupe sur l’individu. Expérience des climats (autoritaire, démocratique,…) et sociométrie.<o:p></o:p>

    ð    Vie affective des groupe => « vécu groupal » => [« Le groupe n’est pas la somme des individus qui le constitue » (Lewin)], de leur sentiments, qui composent le groupe.<o:p></o:p>

    ð    Le facteur de cohésion et de dissociation, dans les groupes primaires, étant associés à la temporalité qui assure l’existence du groupe.<o:p></o:p>

    ð    Méthode :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Méthode de groupe pour agir, voire soigner la personnalité ; pour que le groupe agisse sur l’individu, pour que les petits agissent sur les grands groupes => groupes d’influence.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le regard pèse car il interprète.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Utiliser le groupe pour changer les individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Elle va exercer une action psychologique qui oriente l’individu et le groupe vers des phénomènes de changement par le moyen du groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On aboutit à des « groupes d’influence » et des « groupes de manipulation ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce sont les recherches qui ont amené les études sur la manipulation ; mais aussi déclenché la méfiance du public vis-à-vis des psychologues. [Expérience de Milgram : I comme Icare (éléctro-choques)]<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise les méthodes de DG pour soigner les troubles de la personnalité. On se sert de la situation de relation interpersonnelle dans un groupe pour le diagnostique du trouble et son traitement.<o:p></o:p>



    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tous les courants ayant contribué à l’étude de la DG.<o:p></o:p>



    CARACTERISTIQUES FONDAMENTALES DU GROUPE<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1) Interaction<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Suppose une relation directe et une inter influence des réactions et une interpénétration des cadres de référence. => « Echange » : - directs<o:p></o:p>

                                                     - verbaux ou nvb<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe influence les attitudes de l’individu.<o:p></o:p>

    ð    on n’est jamais dans un groupe comme on est seul => Représentation et regard des autres modifient notre comportement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Réaction électrodermale : mesure en fonction de ce que la personne voit et entend => comment évolue l’émotion => taux émotionnel.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 )Emergence de normes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Normes des règles de conduites structurent et supportent le groupe. <o:p></o:p>

    Dans un groupe primaire, elle se constitue avec le temps.<o:p></o:p>

    ð    Ce qui est « conforme » à ces normes est considéré comme « bien ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour les membres du groupe, l’ensemble de ces normes constitue son code des valeurs de groupe (psychosocio) => donc il varie d’un groupe à l’autre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mafia : code des valeurs de groupe : code social. Permit de tuer, torturer … =< « bien » dans ce groupe là.<o:p></o:p>

    ð    face à des normes qui cautionne ce comportement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La dimension cachée E.T.Hall<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Expérience de Hawthorne – Mayo<o:p></o:p>

    Sur environ 7 ans.<o:p></o:p>

    Modèle de conduite : ne pas dépasser le rendement quotidien ; celui qui contrevenait à cette règle était appelé 1 « jaune ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    travail de câbleur : le + noble, soudeur : le – noble.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    3) Existence de but collectif commun<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Résoudre un problème, effectuer une tâche, s’organiser défensivement, survivre … => but commun.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Communauté de but : ciment du groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    par ce critère là, le groupe a une cohésion.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    4) Existence d’émotion et de sentiment collectif<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Situation dans lesquels se trouve le groupe, sa gestion des interactions et aux réactions collectives.<o:p></o:p>

    ð    Engagement d’un groupe => but commun.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Carl Rogers l’a appelé l’Empathie => comprendre les choses ensemble => réaction notable (ex : téléthon.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Lewin : « Le groupe n’est pas la somme des individus », c’est pareil pour les émotions.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    5) Emergence d’une structure informelle<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    De l’ordre de l’affectivité et qui est l’organisation et la répartition de la sympathie, antipathie, les voix par lesquels circulent l’influence.<o:p></o:p>

    La position des membres dit « populaires » et ceux dits « rejetés ».<o:p></o:p>

    Naissance de sous groupe dans le groupe avec des pôles de conflits ou d’attraction.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Non officielle et souvent non conscient <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Elle peut entrer en conflit ou en opposition avec une structure formelle imposée de l’extérieur.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    tout se maintient à la force du groupe restreint et de ses normes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    6) Existence d’un inconscient collectif<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’histoire commune vécue par le groupe, son existence collective et son passé sont des sources de problème latents ou de point sensibles, qui, sans être présent à la mémoire immédiate, font partie du groupe et en explique les réactions.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe n’a pas conscience des phénomènes psychologiques qui détermine leur conduite en groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Courant des psycha de groupe <o:p></o:p>

    ð    mettent en évidence un fonctionnement de groupe parallèle au fonctionnement individuel.<o:p></o:p>

    ð    On peut expliquer la psycha des groupes grâce à freud.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    DIDIER ANZIEU<o:p></o:p>

    Mécanisme inconscient motivant les conduite, mais étant inconscient, il est difficile de les identifier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    7) Etablissement d’un équilibre interne et d’un système de relation stable avec l’environnement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A travers les difficultés d’existence le groupe engendre un double système d’équilibre :         interne / externe<o:p></o:p>

    Inter groupal         rapport au contexte <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Si remise en question de cet équilibre par certains évènements, le groupe, s’il résiste et survie, tend à reconstituer un nouvel équilibre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Conclusion : permettre de comprendre pourquoi divers groupe sont, malgré leurs diversité de membre, de personnes, de but, de style d’existence, sont des groupe primaire appelés + communément « petits groupes » ou « groupes restreints »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    DIFFERENCIATION AVEC LES AUTRES TERMES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1 – Différent de la foule<o:p></o:p>

    Foule = rassemblement épisodique d’un grand nombre d’individu non nécessairement les mêmes, prédisposés à l’apathie [absence de réaction] devant un meneur et à la contagion des émotions et aux actions paroxystiques [exagération, exacerbation].<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 – Différent de la bande <o:p></o:p>

    Caractérisée par la recherche du semblable et le renforcement de l’identification à celui-ci.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 – Différent d’un groupement, d’une association<o:p></o:p>

    Dont le but est de confier à des représentants actifs la défense des intérêts communs à des gens qui ne se connaissent guère personnellement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 – Différence d’un groupe primaire ou organisation<o:p></o:p>

    Qui rassemble un assez grand nombre d’individus en vue de tâches différenciée et régie les rapports entre les individus par rapport à l’institution selon les structures et les règles de fonctionnement préétablies dans l’institution.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p> </o:p>

    DEFINITION DU GROUPE PRIMAIRE

    <o:p> </o:p>

    Si on considère l’histoire de la DG, on constate l’émergence de réalités sociales qui pourraient constituer des petits groupes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour qu’un groupe soit Primaire :<o:p></o:p>

    ð    découpage ne correspond pas à une catégorie abstraite : + d’1 point commun :<o:p></o:p>

    Fumeurs, médecin, ados … Groupe primaire n’est ni une catégorie démographique, ni d’âge ou d’activité, ni économique ou socio-économique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Groupe primaire limité par le nombre <o:p></o:p>

    ð    Groupe restreint.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Chacun se connaît et se reconnaît et peut établir avec les autres des relations personnelles. On note l’existence de relation de chacun avec tous (au moins par le regard)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Il constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à l’environnement naturel ou social<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    En opposition au groupe secondaire : relations indirecte, sentiment d’appartenance global, communication par intermédiaire. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Nécessité d’existence d’une unité psychologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Charles Cooley (1909) invente la DG (terme empreinte à Tönnis)<o:p></o:p>

    ð                        Fait la différence entre :<o:p></o:p>

                      Communauté et                                               Société organisée <o:p></o:p>

    - Relation Directes et personnelles                              - Réaction structurées impersonnelles<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les individus qui composent le groupe primaire ont intégré en eux un « NOUS » qui s’est substitué au « je ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Par opposition, les groupes secondaires se caractérisent par des relations indirectes et un sentiment d’appartenance globale => Communication par intermédiaires.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les critères :<o:p></o:p>

    -         Perception différenciée de chacun des membres <o:p></o:p>

    -         Affinité<o:p></o:p>

    -         La différence des tâches et la fréquence des réunions.<o:p></o:p>

    ð    L’efficacité dépend de la cohésion des buts communs du groupe.<o:p></o:p>

    -         Le groupe est une mini socio culture<o:p></o:p>

    -         « Le groupe n’est pas la somme des individus qui le constitue »<o:p></o:p>

    -         L’énergie du groupe est au service de deux fonctions :<o:p></o:p>

    o       Conservation<o:p></o:p>

    o       Progression vers des buts <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    LES DIFFERENTS COURANTS DE LA DG : COURANTS ET CONTEXTES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    CONTEXTE <o:p></o:p>

    Discipline existe que si elle a un support scientifique :<o:p></o:p>

    A. Mucchieli est en train de l’installer, il s’appuie sur la systémique<o:p></o:p>

    Devient spécifique à l’info com.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’approche par contextualisation<o:p></o:p>

    Fait communicationnel => interaction et contexte identifié, avec des caractéristiques<o:p></o:p>

    Devient LE Support d’information com.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’étude des petits groupes humains a été influencée par des courants et des contextes qui ont contribué à modéliser la DG.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A – Les courants<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1 – Le Modèle empreinté à l’électromagnétisme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un groupe est un champ de force qui s’exerce à l’intérieur d’une zone de liberté laissée par les institutions sociales.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La conduite de groupe est la résultante de la combinaison de ses forces selon des lois psychosociologiques.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    K.Lewin est l’inventeur de la conception générale de champ. Il tire certaines lois, dont une très importante : « Tout groupe fonctionne suivant un équilibre quasi – stationnaire  et résiste à tout changement, autre que des variations autour de cet équilibre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    => Expérimentalistes travaillent sur des groupes artificiels, autour de ces lois.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A la différence de Moreno qui travaille avec les prostituée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Peu avant sa mort, il a abandonné cette théorie à cause d’un manque d’explication sur certains mouvements de groupe résultant de phénomènes inconscients qui mobilisent le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     Dés qu’il y a un groupe, il veut résister à l’attaque <o:p></o:p>

    Ø     Théorie de la résistance au changement<o:p></o:p>

    Ø     Etudes sur les comportements.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Festinger : Dissonance cognitive : décision => on se donne raison à tout bout de champ sur ses choix.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Certains continuent à utiliser ce modèle dans la formation continue / professionnelle.<o:p></o:p>

    On considère qu’une émulation par le groupe favorise un meilleur apprentissage.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 – Le modèle psychanalytique<o:p></o:p>

    Freud montre que l’identification des membres d’un groupe au même idéal du « Moi » assure la cohésion du groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Freud : le modèle individuel du psychisme humain donne le modèle psychique humain du groupe => Inconscient collectif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il a indiqué avec ses 2 topiques que :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1° topique :<o:p></o:p>

    Dans notre « boite noire », il y a <o:p></o:p>

    - l’Inconscient : Mémoire<o:p></o:p>

    - le préconscient : Trace de notre éducation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2° topique : <o:p></o:p>

    Relation Cs / Incst<o:p></o:p>

    Surmoi : socialisation et filtrage des pulsions <o:p></o:p>

    Moi : être social après filtrage.<o:p></o:p>

    Ca : pulsions <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le surmoi crée un idéal du Moi, un être merveilleux, il nous pousse à être là.<o:p></o:p>

    ð    CS et Incst<o:p></o:p>

    ð    Il fonctionne avec des idéaux extrêmement forts.<o:p></o:p>

    o       Le groupe aussi se base sur ces idéaux. Ex : assoc° caritatives.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    M. Klein : elle considère qu’il y a dans chaque groupe une dimension imaginaire.<o:p></o:p>

    L’imaginaire permet de croire en une cohésion parfaite.<o:p></o:p>

    Le symbolique permet de tendre vers des buts communs.<o:p></o:p>

    Ex : groupe autoritaires => Ambivalence face à l’autorité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A l’intérieur d’un groupe non directif on peut voir survenir une régression dite « non archaïque » avec une angoisse de morcellement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les sentiments de dépression et de persécution peuvent être associés à ces groupes non directifs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La notion de climat plus particulièrement Gestaltiste d’un groupe réel ou artificiel est lié à un fantasme sous jacent commun.<o:p></o:p>

    Ce fantasme exprime et explique cette envie d’être en groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Référence A.T. => scénario de vie<o:p></o:p>

    Dans l’entreprise : Culture d’entreprise.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’intervention psychanalytique vise à rendre chacun des membres sensibles à la présence du fantasme afin de s’en dégager ou de l’utiliser d’une façon plus favorable au groupe.<o:p></o:p>

    Référence en DG : R. Kais, D. Anzieu, E. Enriquée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ex : psy dans entreprise : résoudre un conflit => identification du fantasme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La référence à la psychanalyse renvoie à une méthodologie de type clinique et non expérimental.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Les applications différentes de la psychanalyse et de l’expérimentalisme (K. Lewin) vient du souci d’amélioration de l’efficacité individuelle et sociale par le petit groupe.<o:p></o:p>

    ·        Pour les psychanalystes le groupe est le moyen d’établir entre les personnes une communication plus véridique, plus humaine.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Psycha et expérimentale : Modèles et concepts de psycha Analytique => transposés dans une description et une explication des phénomènes relationnels structuraux et affectifs dans les groupes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 – La perspective Lewinienne <o:p></o:p>

    Kurt Lewin applique la gestalt théorie à l’étude des groupes et il envisage le groupe comme un tout, dont le fonctionnement est autonome.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Selon lui, en agissant sur un élément privilégié, on peut modifier la structure d’un ensemble.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il élabore des modifications en labo sur des groupes artificiels, puis il applique ces modifications à des groupes réels.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     Selon l’auteur, le petit groupe modifié est l’Agent de Changement Social à l’intérieur de secteur plus vaste de la collectivité.<o:p></o:p>

    Ø     Le groupe est un double système interdépendant entre :<o:p></o:p>

    o       Les membres et<o:p></o:p>

    o       Les éléments du champ.<o:p></o:p>

    Ø     Le champ : contexte, environnement, issu de l’électromagnétisme.<o:p></o:p>

    §        Normes, buts, représentation du milieu interne et externe, la division des rôles, la définition des statuts.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans la même perspective : Kaufmann<o:p></o:p>

    Il pose une théorie du champ dans les sciences de l’homme (1963). L’hypothèse générale de l’ouvrage :<o:p></o:p>

    Le système des interdépendances d’un groupe donné, à un moment donné, explique les conduites de ses membres.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Thèmes émergeants de ces études :<o:p></o:p>

    -         Climat<o:p></o:p>

    -         Moral<o:p></o:p>

    -         Autorité<o:p></o:p>

    -         Prise de décision (60-70)<o:p></o:p>

    -         Rôles et attitudes <o:p></o:p>

    -         Créativité<o:p></o:p>

    -         Négociation<o:p></o:p>

    -         Résistance au changement<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin et la fondation du centre de recherche sur la DG <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tout groupe se forme et s’installe dans une « forme » selon l’équilibre des forces et des tensions et selon le champ perceptif des individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La notion d’équilibre d’une forme associée à celle de Dynamique des énergies permet d’analyser l’organisation et les changements dans les groupes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1923, Lewin émigre au USA, quittant l’école de la Gestalt théorie (Allemagne) où il étudiait des ensembles de configurations signifiantes par rapport auquel se situent et agissent les individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Gestalt : « Psychologie de la bonne forme » c'est-à-dire une forme prégnante qui se détache d’un fond non structuré, constituant ainsi un ensemble limité, structuré.<o:p></o:p>

    Famille : règles, normes posées => constituent une forme par rapport au fond : Système Social ambiant, où il y a certainement d’autres formes …<o:p></o:p>

    => Donne des références à la famille,<o:p></o:p>

    => Qui comblent les manques extérieurs<o:p></o:p>

    => Qui permettent de résister à d’autres formes ou fonds.<o:p></o:p>

    La bonne forme : celle qui structure, mais pas une seule : plusieurs, selon le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’étude de Kurt Lewin est au niveau de la perception. Puis il étudie l’individu par rapport à la configuration générale de son espace de vie ou champ psychologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Champ psychologique : organisation et configuration des significations  que les choses, les êtres et les situations ont pour l’individu. Psychologie en terme d’espace : psychologie topologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin s’intéresse au groupe en temps qu’ensemble, que climat psychologique ou se détermine des conduites individuelles.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1946, il quitte Harvard pour Ann Arbor où il intègre le centre de recherche sur la DG dans l’institut pour la recherche sociale. (ISR)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin conduit dans New Britan une session historique d’où née le « T-Group », qu’on appellera par la suite les groupes de parole (fondée sur la parole libre des participants).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si pour Kurt Lewin, les groupes sont des totalités dynamique résultants des interactions entre les différents membres, c’est en fonction de l’organisation perceptive de l’espace social que les énergies mise en jeu se complètent où se combattent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Par exemple : LE GROUPE EN CHANGEMENT<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin : si le groupe est un champ de force, alors, l’intégration de l’information dans le champ perceptif du groupe va déclancher le changement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    DG – Processus de changement – Kurt Lewin => Toujours liées.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le changement des habitudes alimentaires<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1943 : Pénurie de viande, gâchis des abats. => nécessité de changer les habitudes alimentaires aux USA.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1° solution : Campagne de communication => c’est moins cher et aussi bon => Changement négligeable : 8%<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2° solution : fait appel à Kurt Lewin, il constate que c’est la ménagère, élément de décision qu’il faut toucher.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

             Groupe 1 : Autorité (médecin) explique et informe pour diminuer les réticences<o:p></o:p>

     à 3% agissent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Augmentation de la pression vers le changement, sans efficacité à Trop de pression ou pas assez.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

             Groupe 2 : Par quel moyen peut-on changer la conso° de viande ? <o:p></o:p>

                                Explique seulement que c’est une nécessité vitale.<o:p></o:p>

    ð    Discussion <o:p></o:p>

    o       Ménagère parlent de leurs comportements<o:p></o:p>

    o       Analyse des attitudes et les soumet au groupe <o:p></o:p>

    ð    Pouvoir de conviction notable<o:p></o:p>

    ð    Met en évidence des craintes suggestives possiblement dépassables.<o:p></o:p>

    ð    Résolution prise par le groupe<o:p></o:p>

     à 32 % modifient leurs actes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin réduit les résistances qui s’opposent au changement en déplaçant les énergies du groupe vers un nouvel équilibre.<o:p></o:p>

    ð    Convaincre une personne par une autre n’est pas adapté puisqu’on est face à un processus de groupe<o:p></o:p>

    ð    Réduire les craintes <o:p></o:p>

    ð    Déplacer les normes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il est plus facile de changer les habitudes d’un groupe que celles des individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il existe toujours un facilitateur du changement (dans ce cas, la ménagère) c’est le leader d’opinion, et elle se comporte en « portier ».<o:p></o:p>

    Dans tous les groupes, les individus agissent dans un système d’équilibre. Chaque groupe possédé de son champ dynamique d’équilibre avec ses canaux de communication, ses frontières, portiers et ses barrières. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’écueil de Kurt Lewin : a ne pas tenir compte de l’aspect inconscient, on gomme le fantasme => mise en scène dans laquelle on est acteur : Nos représentations. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    LA NOTION DE CRISTALISATION / PROCESSUS DE CHANGEMENT<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 étapes :*<o:p></o:p>

    a) restructuration du champ perceptif<o:p></o:p>

    b) réduction de la tension<o:p></o:p>

    c) Possibilité de changement<o:p></o:p>

    Changement qu’un petit groupe peut entraîner le changement du gd groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Avec le concept « Changement » : « Résistance au changement » <o:p></o:p>

    Ce qui oblige les responsables à réfléchir sur les possibilités de changement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ex : Changement : organisation publiques : organisation privées : gros problèmes de mise en place d’une nouvelle organisation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     La plus grande difficulté, c’est de faire changer les gens, mais comme ns sommes dans un monde en changement, le changement est nécessaire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    * 1) Décristalliser : informer, expliquer, sensibiliser<o:p></o:p>

    2) Changer : Déplacer les résistances et réduire les tensions<o:p></o:p>

    3) Recristalliser : Créer un nouvel équilibre satisfaisant pour les membres du groupe et consolider ce nouvel état.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de l’enfance et donc qu’il atteint un étayage de la personnalité, alors il risque d’être difficile à installer lors d’une communication dans le groupe. Sauf à envisager un groupe psychothérapeutique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le changement tel que l’explique Kurt Lewin ne touche que les couches superficielles de la personnalité ainsi que les comportement identificatoires.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tout changement suppose que le groupe se retrouve dans une « bonne forme » et une nouvelle organisation satisfaisante pour le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>



    L’EXPERIENCE SUR LES CLIMATS<o:p></o:p>

    Lippit – White – Lewin<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Climat : Mode de fonctionnement et de la direction <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Climat<o:p></o:p>

    Autocratique<o:p></o:p>

    Démocratique<o:p></o:p>

    Laisser-faire<o:p></o:p>

    Description<o:p></o:p>

    Organisation définie de l’extérieur par l’expérimentateur qui a donné au préalable objectif et moyen pour la réalisation des buts, c’est-à-dire avec des éléments conscients.<o:p></o:p>

    (on ne laisse pas les membres imaginer)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Interaction des personnes pour trouver une organisation optimale. L’expérimentateur définie avec les enfants but / moyens / répartition des taches.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’expérimentateur n’intervient pas.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Résultats<o:p></o:p>

    Médiocre avec une très bonne efficacité, mais peu d’enthousiasme, réalisation poussive (arrive au but car poussé par …)<o:p></o:p>

    Bon<o:p></o:p>

    Niveau de production et de satisfaction élevé.<o:p></o:p>

    Mauvais, peu efficaces<o:p></o:p>

    Interaction / Emotions<o:p></o:p>

    Tendues.<o:p></o:p>

    Frustration.<o:p></o:p>

    Oscillation entre apathie et agressivité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les relations entre les membres sont fondées sur la coopération avec réduction de tension.<o:p></o:p>

    Tensions, frustration, agressivité.<o:p></o:p>

    Sentiment d’échec.<o:p></o:p>

    Départ de<o:p></o:p>

    L’expérimentateur<o:p></o:p>

    Tâche interrompue, le groupe est dit Non - Autonome<o:p></o:p>

    Poursuivie : Autonomie<o:p></o:p>

    Interrompue.<o:p></o:p>

    Non-autonome<o:p></o:p>



    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Conclusion : Groupe démocratique : forme idéale d’organisation : Répond aux valeurs idéologiques ambiantes et aux comportement intériorisées de l’éducation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Modèles et Valeurs intériorisées donne la « bonne forme » pour un groupe quant à son organisation. Elle répond à un équilibre momentané des forces mises en jeu.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Attention : lié au contexte : fin de la GM2 : conception politique de la démocratie très forte..<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 – La psychanalyse des groupes<o:p></o:p>

    DG restreints 1968 Anzieu : fondateur de la psychanalyse des groupes.<o:p></o:p>

    Inconscient groupal qui animerait le groupe, à condition d’avoir des idéaux communs.<o:p></o:p>

    Groupe fondé sur un fantasme collectif => émulation du groupe devient, en psychanalyse : « l’illusion du groupe ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    B – Les contextes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1 – Contexte de type idéaliste<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Contexte des démocraties occidentales face aux petits groupes.<o:p></o:p>

    ð    les concepts de sciences sociales correspondent souvent à des prises de conscience de problèmes de société actuels.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    La DG naît en 1944 avec K. Lewin, en pleine GM2.<o:p></o:p>

    La théorie qu’il développe est la révision d’un postulat individualiste => toute conduite humaine est la résultante de forces psychologiques individuelles et de forces propres au groupe d’appartenance cher à la personne.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les études sur la DG avaient pour but de comprendre le fascisme, le nazisme … et sa force de conviction, de persuasion.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Lewin, Lippit et Whyte travaillent sur le groupe artificiel <o:p></o:p>

    ð    Montre la supériorité du climat démocratique, sur le pouvoir autoritaire et laxiste.<o:p></o:p>

    ð    Plus particulièrement sur l’efficacité du travail et le plaisir de travailler.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le concept de groupe restreint est très valorisé dans la recherche fondamentale et appliquée aux USA et en occident.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans les années 50 60, on trouve de nombreuses publications de langue anglaise sur les méthodes de formations de groupe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le T-Group <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 – Le communisme et le groupe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    URSS, années 50 : Système politique rend le tout petit groupe suspect, sur fond de méfiance étatique.<o:p></o:p>

    ð    On attribut au groupe restreint un pouvoir de persuasion des foules qui pourrait être nuisible au communisme<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 – La conception anarchique du petit groupe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Années 60-70 : le groupe est conçu comme :<o:p></o:p>

    -         Autogérer<o:p></o:p>

    -         Membres égaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe est un moyen de réaliser des désirs communs aux membres du groupe.<o:p></o:p>

    L’expert ou le maître est au service du groupe, choisit par le groupe et révocable.<o:p></o:p>

    ð    Démocratie directe et Utopie sociétaire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans cette optique anarchiste la DG est une technique révolutionnaire dont le but est de désinstitutionaliser.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 – Les évolutions techniques<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En physique, la dynamique est la relation entre les forces et les mouvements et donc la DG est la science des lois qui relient les conduites d’un groupe au système de force agissant à l’intérieur.<o:p></o:p>

    ð    définit d’un groupe restreint.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    C – Les Applications <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La DG se particularise avec des travaux sur la famille, la classe scolaire, la bande de délinquant, la sociométrie de Moreno.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moreno : <o:p></o:p>

    Pionnier de la psychothérapie de groupe et du mouvement psychodramatique « théâtre thérapeutique » qui repose sur la théorie du rôle «  le théâtre impromptu ».<o:p></o:p>

    Moreno travaille avec un groupe de prostituée pour les réinsérer => femmes perdues qui ont conscience de l’être.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     Le regard qui nous interprète est extraordinairement important dans la DG.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour que la DG fonctionne => obligation d’être névrosé : processus de développement psycho affectif normal.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Freud : Avancée par étapes de combat.<o:p></o:p>

    Enfant : contraintes pour manger, pour faire ses besoins<o:p></o:p>

                  Partage de l’affection de la mère<o:p></o:p>

    ð    Habitude de gestion des conflits pendant le développement car :<o:p></o:p>

    ·        Promesse d’amour<o:p></o:p>

    ·        Promesse de socialisation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Forteresse vide » (Bettelheim) : enfermé en soi : pas de contrainte. => Processus psychique, solitude, subit pas les poids du regard des autres => pas de projet social.<o:p></o:p>

    ð    Pas de processus dynamique de gestion des conflits => DG pas possible.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise des lois issues des recherches sur la DG pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe.<o:p></o:p>

    Le but est d’améliorer le fonctionnement, l’efficacité et l’autorégulation des petits groupe dans toutes les situations où ils ont des objectifs à atteindre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La DG débouche enfin sur l’étude et la mise en Œuvre des changements sociaux par le moyen des petits groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

             Objectifs à atteindre :<o:p></o:p>

    Ø     Responsabilisation et autonomie<o:p></o:p>

    Ø     Maturité sociale et intégration du changement par le groupe <o:p></o:p>

    Ø     Efficacité des groupes face au changement<o:p></o:p>

    Ø     Adaptabilité des petits groupe à l’environnement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le changement : changement (volontaire) individuel par le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etude de la publicité / marque : faire changer, convaincre la cible à l’acte d’achat. (Détournement de la persuasion)<o:p></o:p>

    Communication dite « persuasive » : marche si le récepteur est « consentant », ou inconscient => images subliminales.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Groupe de thérapie par la parole.<o:p></o:p>

    2 thèmes centraux :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1) Le groupe primaire est un antidote à la massification sociale par la réintégration de la personne dans les relations humaines.<o:p></o:p>

    ð    Basée sur les sentiments d’appartenance au groupe<o:p></o:p>

    ð    Solidarité et échanges de même but, normes, idéaux …<o:p></o:p>

    2) L’appropriation de la vérité<o:p></o:p>

    ð    Tâche collective<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le contexte est plutôt celui de la division scientifique de travail, l’anonymat, la communication de masse, la civilisation urbaine dans lesquels la DG a pu émerger.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Expériences sur les climats entraînent des études sur :<o:p></o:p>

    o       Les modes de management (Leadership)<o:p></o:p>

    o       Le plaisir au travail (importance, considération, cf. Mayo)<o:p></o:p>


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :