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PROGRAMMATION NEURO LINGUINSTIQUE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Définition personnelle :<o:p></o:p>
Mise au point dans les années 1970 par Grinder (psychologue et linguiste) et Bandler (psychologue et mathématicien). Cet outil propose différentes grilles danalyse aidant à mieux comprendre le comportement, le langage, et par la même, à mieux communiquer.<o:p></o:p>
Les deux fondateurs de la P.N.L. ont travaillé sur la modélisation de Satir, Erickson et Perls pour mettre au point leur théorie.<o:p></o:p>
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La carte du monde :<o:p></o:p>
Représentation personnelle de la réalité qui constitue le centre de notre univers vécu et perçu par Vakog et donc construit selon les facteurs environnementaux, culturels et familiaux. Elle est lidée que nous nous faisons du monde, mais comme « la carte nest pas le territoire », elle nest pas « le monde ».<o:p></o:p>
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Modélisation de lExcellence :<o:p></o:p>
Observer des gens excellents dans leur domaine et analyser leurs comportements spécifiques. <o:p></o:p>
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Modèle : La représentation de quelque chose / le processus de représentation de quelque chose : un carte par exemple. Ce processus implique les trois phénomènes de distorsion, de généralisation et de sélection.<o:p></o:p>
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Processus universels de modélisation : dans les méta - modèles <o:p></o:p>
Distorsion : <o:p></o:p>
Celui par lequel certains éléments dun ensemble / dune situation se trouvent représentés autrement quils seraient censés lêtre. Au niveau de lexpérience sensorielle, la distorsion se caractérise par une déformation introduite dans les perceptions ou par une extrapolation à partir de celles-ci. <o:p></o:p>
Exemple : Nominalisation : <o:p></o:p>
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Généralisation : <o:p></o:p>
Une expérience spécifique se trouve étendue jusquà représenter une catégorie entière dont elle nétait quun élément.<o:p></o:p>
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Sélection :<o:p></o:p>
Nous retenons certaines portions de notre environnement et en excluons dautres. Dans le langage, la sélection est le processus transformationnel par lequel certaines portions de la structure profonde sont supprimées et pas conséquent napparaissent pas au niveau de la structure de surface.<o:p></o:p>
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Synchronisation :<o:p></o:p>
Méthode utilisée pour établir rapidement le contact avec un interlocuteur en reproduisant certains de ses comportements, attitudes et processus de pensée.<o:p></o:p>
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Calibration : Processus qui consiste à repérer les indicateurs comportementaux associés à un état interne afin de pouvoir utiliser cette information plus tard.<o:p></o:p>
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Prédicats : Ce sont des mots (verbes, adverbes et adjectifs) qui évoquent un processus. En PNL, on les observe pour identifier le système de représentation quune personne utilise à un moment donné.<o:p></o:p>
Et au besoin, pour aider à synchroniser.<o:p></o:p>
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Rapport : Létablir, en PNL, cest mettre en place un climat de confiance et de coopération dans la relation à lautre. En PNL, le rapport est obtenu principalement grâce à la synchronisation verbale et non verbale.<o:p></o:p>
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Les mouvements oculaires<o:p></o:p>
Grinder et Bandler se sont aperçu que certains micro- comportements allait de pair avec certains systèmes de représentation.<o:p></o:p>
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Chacun sa carte du monde <o:p></o:p>
Pour communiquer entre deux cartes du monde différentes : <o:p></o:p>
Calibration : déterminer létat actuel de lautre, <o:p></o:p>
Synchronisation verbale et non verbale : entrer dans le système de représentation de lautre en « imitant » son comportement verbal (avec laide des prédicats) et non verbal. <o:p></o:p>
Evaluer la congruence par exemple.<o:p></o:p>
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Tout ceci dans le but détablir un bon rapport pour mieux communiquer et utiliser les :<o:p></o:p>
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Les méta modèles : traverser les différents filtres des représentations et du langage pour accéder à lexpérience primaire, pour comprendre la réalité de la situation<o:p></o:p>
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Les critères dun objectif bien formulé :<o:p></o:p>
- Formuler le positionnement<o:p></o:p>
Pas de négation<o:p></o:p>
- Placer sous notre responsabilité.<o:p></o:p>
- Contextualisé et spécifique<o:p></o:p>
- Ecologique pour nous même : « Quelle est la pire chose qui peut arriver quand jaurais atteint mon objectif ».<o:p></o:p>
- Réalisable et Testable (« quest ce qui men empêcherait ? »)<o:p></o:p>
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ANALYSE TRANSACTIONNELLE : DEFINITIONS <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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AT : Théorie complète de la personnalité dont la démarche principale et danalyser nos comportements, nos attitudes, nos paroles et nos réactions physiques et émotionnelles par une dizaine de différentes grilles.<o:p></o:p>
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Le contrat : Accord mutuel entre deux personnes ou davantage, di le but est latteinte dun objectif défini en commun (réaliste, spécifique, positif) et dont les obligations et les avantages sont réciproques.<o:p></o:p>
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Principes pragmatiques :<o:p></o:p>
Ø « Toute personne adulte a été autrefois un enfant »<o:p></o:p>
Ø Tout être humain dont les organes cérébraux fonctionnent correctement est doué dune épreuve de la réalité convenable.<o:p></o:p>
Ø Tout individu qui parvient à lage adulte a eu, soit de véritables parents, soit des gens qui en tenaient lieu.<o:p></o:p>
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Hypothèses correspondantes :<o:p></o:p>
Ø Des vestiges de lenfance survivent par la suite sous forme détats intégraux de moi (vestiges archéopsychiques)<o:p></o:p>
Ø Léprueve de la réalité est une fonction détats du moi DISCONTINUE et non une « faculté » isolée. (fonctionnement néopsychique)<o:p></o:p>
Ø Le pouvoir exécutif peut être assumé par létat intégral du moi dune personne étrangère, telle que le sujet se la représente (fonctionnement extéropsychique)<o:p></o:p>
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Les états du moi sont des systèmes de pensées, démotions et de comportement liés aux différentes étapes du développement dun individu et même dun groupe<o:p></o:p>
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Les transactions :<o:p></o:p>
Cest une unité déchange social, un aller-retour complet entre deux ou plusieurs personnes (physiques ou morale)n que cet échange porte sur des paroles, des écrits, des gestes, des regards, des objets, des contacts physiques <o:p></o:p>
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Ce ne sont pas quune succession de causes et deffets ; cest le circuit déchanges dinformation, une interaction entre des interlocuteurs<o:p></o:p>
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Parallèles (complémentaires) : Létat du moi sollicité chez laurez répond à létat du moi qui a été à lorigine de la transaction.<o:p></o:p>
Croisées : Lorsque létat du moi sollicité ne répond pas et fournit à son interlocuteur une réponse inattendue => interruption au moins momentanée de la communication.<o:p></o:p>
Dialogue intérieur : létat du moi qui répond nest ni celui qui est sollicité, ni celui qui réagit profondément. <o:p></o:p>
Double (cachée) : dialogue intérieur de la part des deux personnes : se déroule à plusieurs niveaux en mettant en jeux plusieurs états du moi.<o:p></o:p>
Pendu : rire de ses propres malheurs<o:p></o:p>
Tangentielles : lun des interlocuteurs ignore ce que dit lautre et, sans le dire, voire sans en être vraiment conscient, « change de sujet »<o:p></o:p>
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Ø Aussi longtemps que les transactions sont complémentaires, la communication se maintient.<o:p></o:p>
Ø Lorsque la transaction est croisées, le communication est soit interrompue, soit rompue.<o:p></o:p>
Ø Lissue des transactions est déterminée plutôt au niveau psychologique quau niveau social.<o:p></o:p>
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Signes de Reconnaissance / Stroke : Marque dattention, unité de reconnaissance positif ou négatif entre deux EdM, deux personnes, deux groupes . <o:p></o:p>
Moyen par lequel on reconnaît lexistence de lautre, par le biais dun geste, dun acte, dune parole <o:p></o:p>
ð tableau manuscrit. Conditionnelles / Inconditionnelles, <o:p></o:p>
ð Les types de stimulation : physique / sociale / psychologique. <o:p></o:p>
On préfère recevoir des « coups » plutôt que rien du tout.<o:p></o:p>
Se stroker soi-même est possible.<o:p></o:p>
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Jeux psychologiques : Série de transactions complémentaires avec un message secret (caché), qui conduit à un bénéfice psychologique prévisible et négatif.<o:p></o:p>
Nous jouons pour renforcer nos croyances fondamentales et nos positions de vie, et pour chercher des signes de reconnaissance très fort.<o:p></o:p>
Dans la structuration du temps, il sont presque aussi intenses que lintimité.<o:p></o:p>
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Jeux de Sauveur : « Jessaie seulement de vous aider », de Persécuteur : « Maintenant je te tiens », de Victime : « pourquoi faut-il que ça narrive quà moi ? »<o:p></o:p>
Niveau de jeu :<o:p></o:p>
1° degrés : social, 2° : privée, 3° : intensité la plus élevée, les conséquences sociales, psychologiques voire corporelles sont irréversibles<o:p></o:p>
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Carnet : Diagramme transactionnel (Berne), Formule J (Schiff), Triangle dramatique (Karpman).<o:p></o:p>
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Position de vie : Cest lensemble des croyances fondamentales quune personne a sur elle-même et sur les autres et quelle utilise pour justifier des décisions et un comportement. Elle se constitue entre avant 7 ans.<o:p></o:p>
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Freins à lautonomie : Dévalorisation, Survalorisation (méconnaissance)<o:p></o:p>
Pour faire cadrer le monde avec notre scénario.<o:p></o:p>
Passivité : abstention, sur adaptation, agitation, violence ou blocage.<o:p></o:p>
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Scénario : Cest un plan de vie en voie de réalisation, conçu dans la petite enfance sous la pression parentale. Il constitue la force psychologique de lindividu et le conduit vers son destin quil choisisse de le suivre ou de le contrarier. Mis en place entre 7 et 14 ans.<o:p></o:p>
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· Le scénario est un plan de vie <o:p></o:p>
· Il vise à avoir un bénéfice<o:p></o:p>
· Il résulte dune décision<o:p></o:p>
· Il est renforcé par les parents<o:p></o:p>
· Il est inconscient<o:p></o:p>
· La réalité est définie pour justifier le scénario<o:p></o:p>
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La matrice du scénario de Claude Steiner (voir fiche manuelle)<o:p></o:p>
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Les prescriptions : se sont des messages verbaux émis consciemment par le Parent des parents. Il sagit de valeurs morales et sociales qui peuvent être émises sous forme de message contraignant, selon lintensité : Suggestion, conseil (prescriptions), exigence, nécessité vitale (message contraignant.) <o:p></o:p>
5 types de messages : Sois fort, sois parfait, dépêche toi, fais effort, fais plaisir.<o:p></o:p>
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Les injonctions : Formulées verbalement mais involontairement et inconsciemment par lEnfant de nos parents. Se sont les sentiments profonds que les parents ressentent, éprouvent à légard de lenfant. Cest sentiments sont souvent ambivalents : mélange amour / haine, joie / crainte, plaisir / déplaisir => messages permissif (existe, grandit, soi toi-même, exprime tes sentiments !) ou inhibiteurs (linverse des permissions : nexiste pas )<o:p></o:p>
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Un trés bon topo pour comprendre l'utilisation des TIC dans les organisations et pour comprendre leurs défauts et leurs avantages.
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COURS DE PSYCHOLOGIE SOCIALE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Définitions : <o:p></o:p>
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- Psychologie Sociale : ensemble de théories et de méthodes se proposant détudier linteraction sociale dans le cadre spécifique et quotidien des organisations.<o:p></o:p>
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- Organisation : Toute forme sociale qui assure la coopération de tous à une uvre commune et en répartissant les fruits.<o:p></o:p>
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- Forme sociale => regroupement Humain qui agit sur et réagit à des normes sociale => Poids de la culture dans la Communication.<o:p></o:p>
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A - Organisation Taylorienne Homo Economicus
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Dimension verticale : chef pense, employé exécute<o:p></o:p>
Dimension horizontale : Parcellisation<o:p></o:p>
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OBW => Max de productivité<o:p></o:p>
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OST : Théorie classique : organisation rationalisée => mécanisme dont les rouages sajustent parfaitement les uns aux autres.<o:p></o:p>
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B Lécole des relations humaines
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1935 : Lewin : fondateur de la dynamique des groupes<o:p></o:p>
1949 : Mayo : Relations sociales => plus de productivité :<o:p></o:p>
Lhomme nagit pas pour largent mais il a besoin dAttention, de solidarité => Motivation par satisfaction épanouissante<o:p></o:p>
Salaire à la prime + Management sympa + Communication de groupe.<o:p></o:p>
Besoin de considération, tissu sociale<o:p></o:p>
Communication => possibilité dajustement => gain de temps <o:p></o:p>
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ð Lindividu compte, le groupe aussi <o:p></o:p>
ð Motivation, intérêt au travail, Satisfaction<o:p></o:p>
ð Valeurs de lentreprise, adéquation avec les employés (=> dvpmt durable)<o:p></o:p>
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Attention aux idéologies manipulatrices pour motiver.<o:p></o:p>
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+ : « Effet Hawthorne » : les gens réagissent au fait que lon soccupe deux pour améliorer leur situation surtout sils ont une faible position dans lentreprise.<o:p></o:p>
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C - Organisation en Système ou réseaux
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Weber : Sociologue Allemand 1864-1920<o:p></o:p>
Sociologie « compréhensive » étudie phénomènes sociaux => « types didéaux ».<o:p></o:p>
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Bureaucratie : fiche poste impersonnelles : règles + importantes que le sens du travail.<o:p></o:p>
Procédure => moins soumis aux aléas du pouvoir.<o:p></o:p>
Réflexions sur le pouvoir et lautorité.<o:p></o:p>
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60-70 : USA, réflexion sur les mauvais effets <o:p></o:p>
=> Action en fonction de la règles, pas du but, donc meilleures organisation si moins fermée.<o:p></o:p>
- Contact avec lextérieur<o:p></o:p>
- Co-action dans lentreprise.<o:p></o:p>
- Comparaison.<o:p></o:p>
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Environnement Important <o:p></o:p>
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De nos jours : 2 façons de travailler composites :<o:p></o:p>
Considération et Travail => efficacité.<o:p></o:p>
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Grand changement dû à léconomie planétaire et aux Tic<o:p></o:p>
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Les groupes dans lorganisation<o:p></o:p>
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Groupe => interaction => relation de type affective.<o:p></o:p>
Mais affectif pose problème car différentes compétences => effort des dirigeants pour harmoniser les groupes.<o:p></o:p>
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Sociométrie de Moreno => définition de la structure des relations entre individus.<o:p></o:p>
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Structuration des rôles :<o:p></o:p>
- liée à lobjectif<o:p></o:p>
- liée aux compétences<o:p></o:p>
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Caractéristiques particulières de chacun peuvent améliorer ou empêcher laction.<o:p></o:p>
Diversification des rôles.<o:p></o:p>
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Groupes informels et formels se nourrissent mutuellement.<o:p></o:p>
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March et Simon : Les organisations : « Plus petite sera la taille du groupe de travail, plus grande sera la compatibilité des rôles dans lorganisation et des autres rôles. Plus petite est la taille de lorganisation, plus grande est la même compatibilité »
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Optimum à 7 personnes <o:p></o:p>
3 : pas productif : 2+1<o:p></o:p>
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Large (+15) : complexité des interactions, donc complexité détude.<o:p></o:p>
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Sans communication, on ne peut rien concevoir ensemble (tour de Babel)<o:p></o:p>
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A Différentes approches de la communication
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Le model canonique de Shanon et Weather (1948)<o:p></o:p>
(scan)<o:p></o:p>
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Pour signaux téléphoniques.<o:p></o:p>
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Les Sciences Humaines y ajoutent les notions dInterprétation du message (E et R), la Circularité, le Contexte, et lEnvironnement.<o:p></o:p>
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Model SIC : frontière entre le groupe et lextérieur, mais communication quand même.<o:p></o:p>
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Dans lorganisation, simplification : Deux pôles : E et R. Pas tout à fait conforme à la réalité.<o:p></o:p>
B Vision de la Communication dans les organisations
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W à la chaîne : Parcellisation : mauvaise communication.<o:p></o:p>
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a)Communication Interne<o:p></o:p>
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Essentiellement dans une perspective « instrumentale » : Communique pour poursuivre un objectif conscient : techniques diverses et variées pour obtenir un certain effet :<o:p></o:p>
ð Pas vraiment fait pour se comprendre, mais pour convaincre certains daller dans un certain sens<o:p></o:p>
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Ecrite : Agenda, journaux, Com surveillée et censurée illusion de communication et vie dentreprise.<o:p></o:p>
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ð CoPs = solution à cette illusion si elle nest pas censurée<o:p></o:p>
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Orale : RDV, téléphone, Conférences, Incentive <o:p></o:p>
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Organisations Occidentales => mutation : Activité de traitement de linformation et intellectualisation devenue prépondérante.<o:p></o:p>
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ð New forme de Communication :<o:p></o:p>
Mail : mal accepté au début car semblait inutile<o:p></o:p>
De nos jours : 70% de la com dune entreprise : rapidité (en partie car il évite les longues interactions sociales informelles des modes oraux)<o:p></o:p>
Réunions électroniques<o:p></o:p>
Intranet : centralisation de doc et dinformations accès à codes => hiérarchisation des autorisations => sécurité.<o:p></o:p>
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Mais => ça ne veut pas dire quon communique mieux :<o:p></o:p>
Partage, diffusion, échanges => grosse différence<o:p></o:p>
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Communication => interaction => agir ensemble, groupe social, affect <o:p></o:p>
Construire une signification commune.<o:p></o:p>
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b) communication externe
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Marketing
Communication financière
Sponsoring et mécénat
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ð Constante diffusion de signes : image doit aller dans le sens de ce quon veut obtenir pour lidentité du / dans le groupe.
<o:p> </o:p>
ð Ces 2 catégories occultent le travail réel : représentation calculée dans lorganisation +++ Communication informelle<o:p></o:p>
Interactions permanentes qui retentit dans la vie de lorganisation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
La motivation<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
A Intérêt et importance
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Depuis environ 60ans => Quest-ce qui fait agir les gens ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Motivation => comportement actif<o:p></o:p>
Entraîner les gens vers un sens souhaité.<o:p></o:p>
Motivation individuelle nest pas un problème individuel mais articulé autour dun mouvement social, dans un contexte.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð travail collaboratif : efficacité augmente selon la motivation du groupe<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Travail intellectuel : difficulté davoir une vision concrète de la réalisation.<o:p></o:p>
Activité immatérielle : difficulté de contrôler le travail et la qualité.<o:p></o:p>
ð Motiver les acteurs pour les rendre responsables de leur W.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
B Approche théorique<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Taylor : homme motivé par les biens matériels<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1950 : Mc Gregor :<o:p></o:p>
Théorie X Y : (in Théorie des organisations J-M Plane)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
TX : <o:p></o:p>
- aversion innée pour le travail<o:p></o:p>
- donc individus doivent être contraints, contrôlés, dirigés, menacés <o:p></o:p>
- individus moyens préfère être dirigé, contrôlé pour éviter les responsabilités<o:p></o:p>
TY :<o:p></o:p>
- dépense de travail naturelle : doit sauto diriger et sautocontrôler.<o:p></o:p>
- Engagement personnel => satisfaction de besoin sociaux.<o:p></o:p>
- Capacité dexercer son imagination, sa créativité.<o:p></o:p>
- Dans beaucoup de conditions de travail, les possibilités intellectuelles des hommes sont largement inutilisées.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
DRH assure : les salaires et la satisfaction, épanouissement, condition de travail pour faire travailler plus et mieux <o:p></o:p>
ð Plus efficace dans le secteur immatériel car implique la responsabilité des travailleurs.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1960 : Pyramide de Maslow :
Hiérarchise les besoins :<o:p></o:p>
- Epanouissement perso, réalisation de soi<o:p></o:p>
- Estime <o:p></o:p>
- Besoin daffiliation, dappartenance.<o:p></o:p>
- Besoin de sécurité<o:p></o:p>
- Besoins primaires, physiologiques<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1970 : MC Clelland
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Il travaille sur le dernier besoin => Comment les ambitieux se mobilisent ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Dans la réalité : niveau pas séparés : besoin de toutes les satisfactions en même temps<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Psychologique comportementale :
Behaviorisme issu du Chien de Pavlov => les être humains sont soumis à des stimulus agréables ou non => réaction comportementale.<o:p></o:p>
Motivation => Créer un Stimulus => <o:p></o:p>
Comportement + => récompense +<o:p></o:p>
Comportement - => Punition - <o:p></o:p>
ð Système tout à fait actif, même sil est critiqué.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
1960 : Théorie des Attentes de Vroom
Basée sur la stratégie, le calcul, la réflexion => 3 notions <o:p></o:p>
- Attente / Amélioration => Calcul <o:p></o:p>
- Utilité<o:p></o:p>
- Valence : Valeur sociale<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Théorie utilisée comme une grille daction : processus : déclenche un comportement susceptible de se maintenir<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1970 : Approche de Lock
<o:p> </o:p>
Besoin => objectifs qui interviennent dans capacité de stratégie et de calcul<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Meilleur rendement si Objectif donné par individus + mobilisateur si fixé de lintérieur <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Clarté des objectifs<o:p></o:p>
ð Difficulté / Challenge<o:p></o:p>
ð Réalisable <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Récompense, sans punition<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
C Susciter la motivation
<o:p> </o:p>
La première fonction du manager est de motiver son équipe <o:p></o:p>
ð importance du leadership <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les cadres DOIVENT devenir des leaders<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
=> Quelle est la place du leader dans les interactions de travail Collaboratif ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Conclusion contemporaine : Pas de recette particulière, mais réflexion à mener pour motiver.<o:p></o:p>
Emanation, dimension de groupe dans la motivation renforcée.<o:p></o:p>
Dimension interaction / Communication fondamentale dans la motivation.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Complexité : beaucoup de différences à réunir.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le pouvoir<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Différents points de vue :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Psychologique : quest-ce qui fait que les gens cherchent à exercer leur pouvoir ?<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Communication : relation, prise de position, confrontation => pouvoir<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Sociologie : Structure du Pouvoir, forme dorganisation qui donne les places dominant/dominé.<o:p></o:p>
Rapport de subordination : admet que le chef donne des ordres<o:p></o:p>
ð « Marques structurelle du pouvoir »<o:p></o:p>
ð Influence du groupe sur les membres<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Psychologie sociale : interaction => influence mutuelle <o:p></o:p>
Reconnaît un groupe par sa particularité, sa différence, et par la similitude de ses individus.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
A La notion de norme dans les groupes
<o:p> </o:p>
Le groupe a tendance à se conformer aux normes explicites et implicites.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1933 : Expérience de Sheriff
<o:p> </o:p>
(Effet autocinétique : réponses du groupe)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Constitution de normes de groupe <o:p></o:p>
ð Liberté individuelle en collectivité ? => difficulté de se défaire de la norme<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1950 : Expérience de Ash
<o:p> </o:p>
(batonnets)<o:p></o:p>
Conformités à la norme de groupe<o:p></o:p>
32% acceptent lerreur du groupe<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Si lautorité en présence (prof) confirme lerreur : 62% sen remettent à son jugement.<o:p></o:p>
1961 : Expérience de Milgram
<o:p> </o:p>
Réflexion sur le comportement des tortionnaires de 39-40<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð + de 60% obéissent à lautorité même si ça fait souffrir autrui<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
B Définitions : Pouvoir / Autorité / Influence
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Pouvoir : <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Capacité dobtenir dune personne B quelle fasse quelque chose quelle naurais pas fait si A nétait pas intervenue »<o:p></o:p>
« Capacité dune personne A, dans sa relation B, dobtenir que les termes de léchange lui soit favorables »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð unilatérale : ne se préoccupe pas de celui qui reçoit<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Autorité :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Max Weber : définition classique : <o:p></o:p>
3 catégories de Pouvoir :<o:p></o:p>
Tradition : ex : pouvoir royal<o:p></o:p>
Charisme : Héroïsme.<o:p></o:p>
Et <o:p></o:p>
Légitime : « reconnue, légitime, exercée sans recours à la force »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Patron : Autorité Statutaire Légitime.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais dans la réalité, B reçoit lordre mais ne subit pas passivement => réaction, sentiment.<o:p></o:p>
ð Autorité acceptée nimplique pas lAccord avec lordre<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Influence :<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Capacité dune personne A dobtenir l Accord de B de façon à ce que B effectue ce que A veut quil fasse »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
ð Expérience de Ash et Milgram : comportement différents cous leffet dinfluence.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
(Réflexion sur le leadership née ce celle de linfluence)<o:p></o:p>
Distinction :<o:p></o:p>
Influence et autorité : relation de Pouvoir sous différente forme.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
C Acteurs et Pouvoir des Acteurs
<o:p> </o:p>
Crozier et Friedberg : Lacteur et le système<o:p></o:p>
Acteur : position active, pas soumission, mais action et réaction.<o:p></o:p>
Tous possibilité de désobéir mais relation de pouvoir déséquilibrée.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Employés, Syndicats, Chefs, Patrons Masse.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais dans groupe : Acteurs incarnés : <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1- Relation Réciproque.<o:p></o:p>
2- Stratégie des Acteurs<o:p></o:p>
Acteurs entrent en relation car but perso : capacité délaborer des solutions <o:p></o:p>
3- Relation déséquilibrée.<o:p></o:p>
Patrons : conditions moins précaires.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Crozier et Friedberg :<o:p></o:p>
- force, contrainte<o:p></o:p>
- légitimité du droit et du statut<o:p></o:p>
- Compétence cruciale, expertise, dérivée du pouvoir<o:p></o:p>
- Maîtrise des réseaux de communication<o:p></o:p>
- Capacité de définir et dutiliser les règles<o:p></o:p>
- Maîtrise des ressources :<o:p></o:p>
§ Temps<o:p></o:p>
§ Information<o:p></o:p>
§ Matériaux et outils<o:p></o:p>
§ Argent<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
A Le leader
<o:p> </o:p>
Rôle qui émerge systématiquement formel informel<o:p></o:p>
A priori Pouvoir d »influence<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Pendant longtemps : traits de perso semblaient être la cause, mais aucune recherche ne la mis en avant.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Dans une organisation : leader Formel Officiel <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
-Investit dAutorité légitime <o:p></o:p>
-Exerce u pouvoir dinfluence<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Concentrés sur la relation : affectif, autrui<o:p></o:p>
Tâche : objectifs, contenu du travail, ressources matérielles<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Le deux dimensions sont liées : relationnel peut motiver et aider à produire<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
B Les catégories dexercice du leadership : Blake et Mouton
<o:p> </o:p>
(Schéma)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Paternaliste : Motivation du personnel mais naide pas à la production.<o:p></o:p>
Démocratique : Estimé ++ efficace. Relationnel et Objectifs. => Pilotage.<o:p></o:p>
Mais besoin de son statut pour exercer son influence.<o:p></o:p>
Autocratique : Compétent en leader officiel : recadre : ++ pour urgence<o:p></o:p>
Anémique : Catastrophique : pas considéré par le groupe.<o:p></o:p>
Intermédiaire : Un peu de tout.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Leader dans un groupe et pas dans un autre : importance su contexte <o:p></o:p>
ð Leader émergent dans des circonstances précises : il se révèle dans la crise => Thématique du Héros.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Anémique => contestation => tension dans le groupe.<o:p></o:p>
Autocratique => difficultés dexpression des compétences.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Conflits intra-groupe : Patrons / employés<o:p></o:p>
Conflits inter-groupe : Dirigeants / Salariés<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Définition générale : incompatibilité totale ou partielle entre différentes personnes ou groupe qui peut être observée objectivement.<o:p></o:p>
A Antagonismes
<o:p> </o:p>
Souvent quand les interlocuteurs se perçoivent et sinterprètent de façon antagoniste. => pas objectif.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
a) Antagonisme de rôle<o:p></o:p>
b) Antagonisme autour du but<o:p></o:p>
c) Antagonisme dintérêt personnel ou collectif<o:p></o:p>
d) Antagonisme de répartition des ressources<o:p></o:p>
B Les effets, les étapes
<o:p> </o:p>
a) effets :<o:p></o:p>
Négatif : dispute : perte de temps et dénergie.<o:p></o:p>
Positif : motivation pour améliorer et résoudre les problèmes.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
b) étapes :<o:p></o:p>
Modèle cartésien : 1. Origine du conflit<o:p></o:p>
2. Déclenchement<o:p></o:p>
3. Installation<o:p></o:p>
4. Issue<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais : 1. Contexte parfois plus important surtout pour expliquer les conflits<o:p></o:p>
2. Pas de fatalité : opportunité des Acteurs<o:p></o:p>
3. Elargissement, développement donc pas installation<o:p></o:p>
4. Trois issues : - Calme => conflit sous-jacent<o:p></o:p>
- Reste actif : problème de fond pas réglé<o:p></o:p>
- issue positive : consensus <o:p></o:p>
Négociations : comprendre le point de vue adverse : Terrain dentente => gagnant / gagnant.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
A Culture, Cultures
<o:p> </o:p>
Pouvoirs et Conflits => déterminismes sociologiques (inscrit dans la structure organisationnelle)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Définition : modèle de comportement et produit par un groupe et des individus.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
« Ensemble de comportement, dusages, de manière de percevoir, acquis par la vie en société et qui constitue des modèles de compréhension du monde »<o:p></o:p>
ð difficulté de comprendre un univers auquel on nest pas habitué.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Systémique de culture : <o:p></o:p>
Possibilité de changer dunivers de référence et daccepter différents points de vue.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
B Approche culturelle des organisations
<o:p> </o:p>
Chaque membre de lorganisation a sa propre culture<o:p></o:p>
Nécessité de sadapter à la culture faite par le groupe<o:p></o:p>
ð Perpétue ou Transgresse : <o:p></o:p>
ð Culture dentreprise et Apports Perso.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
INSTRUMENTALISATION DE LA CULTURE DENTREPRISE <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
=> Poser les limites : organisation = entité particulière où un groupe de perso définissent leur appartenance<o:p></o:p>
=> Observer ses traits caractéristiques<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
1. Dimension du mythe : membres fondateurs (identification)<o:p></o:p>
2. Dimension affective : Comportements (adhésion)<o:p></o:p>
3. Dimension des valeurs : construit au fil du temps (affectif)<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les 3 dimensions sont liées pour adhérer à la culture dentreprise.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
C Utiliser la culture dentreprise
<o:p> </o:p>
Grâce à la culture => identification => modélisation.<o:p></o:p>
ð Agir sur le comportement => agir sur la culture pour piloter plus facilement => instrument dinfluence managériale.<o:p></o:p>
ð Afficher clairement des valeurs idéales :<o:p></o:p>
Sponsoring particulier, Développement durable <o:p></o:p>
Idéologie dans laquelle les employés vont pouvoir sidentifier et simpliquer.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais attention : différences.<o:p></o:p>
Difficile à construire pour diriger. Contesté et incontestable.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Les entreprises cherchent à produire des comportements uniformes et cohérents pour plus defficacité et de rapidité.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Mais pas du culture unique : métissage, systémique <o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
DIribarne : La logique de lhonneur<o:p></o:p>
Hofstede : Vivre dans un monde multiculturel<o:p></o:p>
4 éléments de culture nationale à prendre en considération : <o:p></o:p>
1. Axe individuel / collectif<o:p></o:p>
2. Distance hiérarchique forte ou faible<o:p></o:p>
3. Contrôle dincertitude.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
« On coopère quand on agit ensemble dans / pour une uvre commune »<o:p></o:p>
ð Difficile à instrumentaliser, on peut seulement identifier ce qui la favorise.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Coopération / Compétition : Coopétition.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
A Les facteurs de cohésion :
<o:p> </o:p>
a) La taille du groupe :<o:p></o:p>
Petits groupe => contacts interpersonnels : affinité impact dans la cohésion<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
b) Lattraction interpersonnelle<o:p></o:p>
Sociométrie de Moreno<o:p></o:p>
c) Identification / sentiment dappartenance<o:p></o:p>
Adhésion avec lentreprise => Cohésion (Culture dentreprise - 3° besoin interpersonnel)<o:p></o:p>
d) Structuration des rôles<o:p></o:p>
Compréhension => cohésion<o:p></o:p>
Répartition des tâches et des responsabilités.<o:p></o:p>
e) Partage des attitudes et des normes<o:p></o:p>
Les groupes développent des normes communes => Renforcent ou contredisent la Culture dentreprise.<o:p></o:p>
f) Partage dintérêts communs<o:p></o:p>
Atavisme => individus tirent des bénéfices => créent le cohésion.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Tous ces facteurs sont en interaction avec les Autres => nourrit le sentiment dappartenance. Mais attention, ces facteurs nassurent pas la cohésion.<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
B Technologies daide à la Coopération
<o:p> </o:p>
Enjeux économiques<o:p></o:p>
Activité extraordinaire
=> Travail pour informaticiens
=> Fabrication de logiciel pour grandes entreprises : très grand marché
<o:p> </o:p>
Evolution des organisation<o:p></o:p>
« Groupe virtuel » : problème de relations Humaines entre les personnes et les activités.
Secteur tertiaire en forte hausse : délocalisation pour ouvrier et changement pour cadres.
ð travail + intello.
<o:p> </o:p>
Mondialisation des organisation<o:p></o:p>
Créer du lien ente les individus éloignés
Mais existence dune technologie ne résout pas les contingences réelles des applications.
<o:p> </o:p>
Les Nouvelles technologies
<o:p> </o:p>
Création vers 1960
Ordi sans interaction Humaine : flux de données numériques
<o:p> </o:p>
Messageries <o:p></o:p>
« Internet planétaire » => seulement dans les pays riches.
<o:p> </o:p>
Info numérisées : (lien entre ordi)<o:p></o:p>
- Données numériques : signal envoyé sur réseaux sans signification => pas de mise en forme (1664)
- Com° : quand le sens est donné à linfo : interaction perso.
<o:p> </o:p>
Environnement virtuel, cyberespace<o:p></o:p>
Chat : simultané, réunions asynchrone :tps différé, sur plusieurs jours
Agenda partagés : partage planning : mal accepté
Logiciels clones : perso quon déplace pour simuler le travail collaboratif.
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
Travail de groupe dans espace Physique et espace Virtuel<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Demande de se focaliser sur un écran pour transposer le matériel.
ð représentation différente => manipulation différente (clavier ; souris )
<o:p> </o:p>
Lordinateur est plus quun outil de production et de stock de documents
<o:p> </o:p>
Rencontre dans un lieu qui nexiste pas autrement que par effets numériques
<o:p> </o:p>
« The Well » : La communauté Virtuelle vers 1985
USA : crée par des anciens hypies : idéologie libertaire : rencontre où quon soit, quelque soit les différences
ð forum de discussion
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
LES NOUVELLES TECHNOLOGIES « à la loupe »<o:p></o:p>
<o:p> </o:p>
Forum de communauté de pratique<o:p></o:p>
Réseau de solidarité et échanges de connaissances New sociabilité Identité inconnue
Connaissance = bien commun : partage => usage professionnel en équipe virtuelles
<o:p> </o:p>
Les tours de table « virtuels » dans une formation USA<o:p></o:p>
Photo pour simuler la situation réelle dans environnement virtuel =>Partage de la connaissance
<o:p> </o:p>
Discussion collectives : réunion de travail où lon « écrit pour parler à lécran »<o:p></o:p>
Discussions décousues, pas productif si par ordonnées.
Le non verbal nest pas retransmis
Ecrit favorise la réflexion à froid, la distanciation => pas marqué par lémotion, on lespère plus rationnelle.
<o:p> </o:p>
Expression des conflits à lécran<o:p></o:p>
Pas confrontation physique mais libération à lécran.
<o:p> </o:p>
Agendas partagés<o:p></o:p>
Coordination des emplois du temps Masque les RDV privés
Ce type dapplication ne fonctionne pas (10% dutilisation)
<o:p> </o:p>
Repérage commun des activités dans un grp<o:p></o:p>
Rôles clairement répartis => facteur defficacité => Contrôle de qui fait quoi, du temps de travail => pb
Mais proche de lautorégulation, dinf°, pas seulement pour contrôler
<o:p> </o:p>
Prospectives : les espaces partagés en 3D (Coven Project EU)<o:p></o:p>
Un espace virtuel en vision 3D : Représentation en perspective dun espace de travail, ce que peuvent voir les employés.
<o:p> </o:p>
Des avatars pour manipuler les représentations de lespace<o:p></o:p>
Choix du perso =>Investi le perso virtuel pour travailler => concrétisation
Pas représentation réelle : travail ensemble sur données en 3D
<o:p> </o:p>
Lenvironnement virtuel collaboratif « Workspace 3D »<o:p></o:p>
3D => implique que le marché, la population soit prêt à accepter de mode de fonctionnement tout nouveau.
<o:p> </o:p>
Immersion dans espaces de travail imaginaires<o:p></o:p>
Rend le travail + « fun » ? Motivation : environnement ludique
Ethique & enfermement de la virtualité différence entre ce qui est sérieux et ce qui ne lest pas. Mais travail bien fait dans le plaisir => créativité : jeux productifs
<o:p> </o:p>
Projet MARE : Multiuser Augmentation Réactivity Enivironnement<o:p></o:p>
Interface de realité augmentés
<o:p> </o:p>
Question autour de la « réalité augmenté » dans les espaces virtuels partagés<o:p></o:p>
EVC : Environnement virtuel collaboratif de france telecom réalité pas reproduite dans le détail
<o:p> </o:p>
Com° Hu fonctionne sur base interactive face à face verbal ou non : texte sans sensations : communication change, pas même aisance, pas même pb => simulation écran & com° réelle : même caractéristiques ?
<o:p> </o:p>
<o:p> </o:p>
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Journalisme professionnel et journalisme citoyen : à la recherche dune coexistence
26 avril 2006 | par Bruno Patino
Une presse neuve est née sur Internet, avec son identité, son langage et une croissance si vive que ses concurrents sen sont défiés. La crainte de perdre des lecteurs au profit des sites dinformation est devenue la routine des journaux, avant que les médias audiovisuels sinquiètent à leur tour. Ce jeu à somme nulle, où une presse gagnerait en audience ce que lautre perd, constitue pourtant une vue fausse, étroite, dune rupture historique.
Le journalisme saveugle. Il veut croire quun siège supplémentaire tendu à Internet suffira pour que les mêmes médias de masse prennent place autour de la table de linformation et jouent la même partie devant une audience muette. Mais Internet nest pas un support de plus : cest la fin du journalisme tel quil a vécu jusquici. Car lirruption du réseau a mis fin à un monopole né de la séparation entre émetteur et diffuseur : celui dintermédiaire en information.
Laudience sest invitée à la table des sites dinformation : de façon quasi clandestine dabord, sous forme de mail, à la périphérie ensuite, en investissant les forums, avant datteindre le cur de loffre éditoriale. Il nexiste plus de journal majeur qui ne laisse, de par le monde, un espace ouvert aux internautes pour quils puissent répondre au plus noble et institutionnalisé des messages, les éditoriaux.
La technologie aidant, cest donc fort logiquement que le rêve dune information sans intermédiaire, « citoyenne », est devenu assez vite réalité. On connaît lexemple coréen dOhmyNews. Dautres ont suivi, dont le français Agora Vox. Formidable élan, qui dément lindifférence proclamée des internautes face à linformation et qui reconstruit du lien autour dune agora électronique. Laudience est devenue sa propre source, le spectateur de son propre témoignage. Cest une incontestable nouveauté, celle dune oralité universelle.
Mais est-ce nécessairement un progrès ? Le journalisme est le produit dun paradigme démocratique fondé sur lémergence de corps intermédiaires, qui, par la vision quils ont de leur mission, renforcent la conscience commune qui permet de vivre ensemble. Le journalisme « citoyen », sil succombe au vertige de la croyance dans la simple auto régulation comme seule ligne de conduite, risque de plonger chacun devant le spectacle de sa propre solitude face à des masses émiettées. Alors que pointe la menace des algorithmes diffusant, transformant et relayant linformation sans plus dintervention humaine, journalisme professionnel et journalisme citoyen doivent sentendre et marcher de façon conjointe, loreille de ceux-là étant attentive à ceux-ci, sans que ces derniers noublient ce qui, toujours, fonde le métier de ceux-là : une éthique de leur pratique avant le développement dun savoir-faire.
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