• Cours de Bresson-Gillet 2006

    Médiations muséologie techno science et environnement <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La médiation : on parle aujourd’hui de médiation culturelle dans le champ de la science appelé vulgarisation scientifique.<o:p></o:p>

    Médiation scientifique : ensemble d’action qui vise à nous faire comprendre la science.<o:p></o:p>

    I) → Quel est le rapport entre science et société ?<o:p></o:p>

    Petit historique : <o:p></o:p>

    Au départ, il y a un rapport avec la magie, puis la religion et la technique associé à la notion du progrès de l’homme et aujourd’hui c’est le doute.<o:p></o:p>

    On peut dire aujourd’hui que la science est en crise, jusqu’en 1980, l’homme associé la science au progré. Les citoyens délégués leur pouvoir à la science comme un champ de décision entre l’état, chercheur, communauté scientifique et acteur économique, tout se jouer entre eux. Après on est rentré dans une société de risque, de nouveaux acteurs sont rentrés dans le champ de décision. <o:p></o:p>

    Les sciences aujourd’hui : <o:p></o:p>

    On dit société de risque car il est omniprésente par exemple : dans le voyage il y a le terrorisme, dans l’amour le sida, dans la respiration la pollution…<o:p></o:p>

    La science n’apporte pas que du bien à l’homme par exemple Tchernobyl. <o:p></o:p>

    Il y a deux types de scientifiques, ceux qui veulent partager leur connaissance en les vulgarisant et ceux qui veulent faire leur découverte seul en les vendant au plus offrant donc l’acteur principale de la recherche est l’économie.<o:p></o:p>

    La science est aujourd’hui critiquée le doute préside. Début des années 70, il y a une mise en culture de la science les médias profitent de la main financière et favorise une culture scientifique, les citoyens deviennent amateur de science.<o:p></o:p>

    Définitions : <o:p></o:p>

    1)      la culture scientifique : c’est l’ensemble des connaissances et compétences en science et technologie que les individus ont acquis et utilisent au quotidien au même titre que la culture littéraire et artistique. La culture scientifique fait partie intégrante et indissociable de la culture générale, elle peut faire intervenir tous les autres acteurs culturels (philo, artiste…)<o:p></o:p>

    2)      vulgarisation scientifique : au sein de la culture scientifique la vulgarisation scientifique désigne les pratiques de diffusion des connaissances scientifiques de spécialistes à néophytes. On peut dire que cela désigne la production des connaissances. Le terme de vulgarisation scientifique est apparue au 18éme siècle lorsque les publications scientifiques en langue populaire dites « vulgaire » (FR, italien) se multiplièrent au détriment des textes en latin. Jusqu’au 19éme siècle le terme « sciences populaire » à aussi était utiliser jusqu'à ce qu’il soit considéré comme péjoratif. La vulgarisation scientifique contrairement à ce que sa domination pourrait laisser entendre ne se résume pas à une simplification des informations scientifiques. En réalité la vulgarisation ou médiateur transpose « un savoir savant » dans un mode d’expression compréhensible par le grand public, le travail du vulgarisateur consiste à recontextualiser des problèmes scientifiques en associant ces informations à un contexte cognitif, esthétique, affectif connu du public. Le vulgarisateur peut être le producteur de connaissance et du médiateur. <o:p></o:p>

    3)      Médiation scientifique : le terme médiation implique l’apparition d’un troisième homme dans le processus de diffusion des connaissances. Celui-ci a pour rôle d’assurer le relais entre le producteur de connaissance scientifique et le public. A partir d’informations apportées par les scientifiques, il crée un corpus original de connaissance recontextualiser et assimilable par le grand public. Il fait une sélection du contenu cherche une forme narrative. Il doit surtout favoriser le dialogue entre scientifique et public dans un sens comme dans l’autre. Lorsque le médiateur s’adresse directement à son public à l’occasion d’un événement culturel il fait alors une animation scientifique.<o:p></o:p>

    4)      Communication scientifique : dans les milieux scientifiques, la communication scientifique est un terme qui définit la transmission du savoir des producteurs de connaissance scientifique à destination de toute la société. La communication scientifique se décline en trois spécialités à destination des sciences (info sc), à destination des étudiants et de l’enseignement général et à destination des citoyens. Cette dernière se traduit en général par une vulgarisation des informations.<o:p></o:p>

    5)      Information scientifique et technique : IST, désigne l’ensemble des informations destinées au secteur de la recherche de l’enseignement et de l’industrie. Essentiel, à la production des savoirs, enjeu majeure dans la concurrence économique et scientifique, elle se caractérise par sa portée internationale, par sa validation au sein d’un collège de spécialiste et par la mise en œuvre de technique de médiation et d’outil informatique. Elle ne participe pas directement au développement de la culture scientifique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La médiation c’est donc ouvrir un espace, dialogue d’interaction et la médiation scientifique c’est aménager les conditions de rencontre permettant au public d’accéder à la culture scientifique. Le but d’un médiateur scientifique est de proposer au public de comprendre par ex les enjeux des OGM. <o:p></o:p>

    Début des années 80 il y a une volonté politique d’engager un procédé de médiation scientifique, de démocratiser se domaine : mise en culture de la science. <o:p></o:p>

    En 1980, il y a eu de grands projets tel que la mise en place de musé donc une nouvelle façon d’aborder la science ( ex : la citée des sciences à paris), le but étant de rentrer en contact de façon interactive avec des objets scientifique. <o:p></o:p>

    1980 : création CSTI (centre de culture scientifique technique et industriel), produire la connaissance et mettre en forme.<o:p></o:p>

    Ensuite il y a l’apparition de la fête scientifique, c’est donc une manifestation nationale qui invite le monde scientifique à se rencontrer et qui permet aussi de recruter les gens car c’est en déficit dans ce domaine ( en 2002 : à la fête de la science on compte 850 milles visiteur).<o:p></o:p>

    La relation entre science et société témoigne des difficultés d’adapter le monde scientifique au public. <o:p></o:p>

    La science a toujours était critiquée car qui dit recherche dit application et  surtout vis-à-vis de la guerre. Ces 20 dernières années le doute s’est installé (vache folle, Tchernobyl), avant l’état donné la direction de la recherche désormais c’est le marché donc le profit et de plus en plus la société intervient dans les choix donc la science se démocratise on appelle cela l’entrée des profanes dans le choix des décisions.<o:p></o:p>

    Mais comment les profanes peuvent ils participer à la recherche ? <o:p></o:p>

    Par ex : les malades du sida sont des coproducteurs de connaissance : ils rencontrent les chercheurs et partagent des échanges, expériences afin de ne plus être traiter de manière passive.<o:p></o:p>

    C’est un fait nouveau cette interaction ainsi on voit se développe des espaces hybrides (composé d’acteurs qui n’auraient jamais du se rencontrer), c’est une invitation pour la population à participer aux questions de science (ex : conférence du citoyen, débat public). <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il  y a deux domaines dans la relation de science et société : l’environnement et la santé.<o:p></o:p>

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    Démocratie sanitaire : le jury citoyen peut être développé à l’occasion par exemple de conférence de santé «  qui a pour objet de produire un avis de citoyen par des experts ». La conférence de consensus, qui peut associé les usagers à l’élaboration d’une stratégie commune aux professionnels sur une question donnée. L’atelier de scénari  inspiré d’une formule utilisé dans les pays du Nord de l’Europe et qui réunit des acteurs locaux pour parvenir à un scénario consensuel. Pour les 2 premières formules c’est un recrutement aléatoire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On peut être observateur, acteur et médiateur. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    II) introduction : développement durable <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Environnement : biologique, nature, économie, social de l’homme <o:p></o:p>

    Développement durable : définition qui provient du rapport de Brundtland. « Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre des générations futures, de répondre aux leurs ». Deux concepts sont présents dans cette notion, celui de besoin plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis à qui il convient d’accorder la plus grande priorité et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et avenir. Rappel de la citation de saint exupery : nous n’héritons pas de la terre nos ancêtres, nous l’empreintons à nos enfants ». <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1968 : création du code de Rome (club qui regroupe les grands économistes qui ont réfléchis et compris que l’évolution du monde aller réduire les ressources naturels) c’est le première fois.  <o:p></o:p>

    1972 : club de Rome publie un rapport, conférence des nations unis sur l’environnement humain qui expose l’éco développement, interaction entre économie et écologie.  <o:p></o:p>

    1987 : rapport Brundtland : définition développement durable<o:p></o:p>

    1992 : le sommet de Rio avec le terme de développement durable<o:p></o:p>

    De 72 à 92 : les acteurs économiques, sociales et politiques ne sont plus les principaux, grâce aux médias, il y a désormais des constitutions d’association (Green peace, ONG).<o:p></o:p>

    2002 : sommet de Johannesburg, plus de 100 chef d’état et plusieurs milliers de représentants gouvernementaux, ONG ratifie un traité en prenant part sur la conservation des ressources naturelles et biodiversité.  <o:p></o:p>

    Le développement durable a un impact considérable en terme d’organisation de la société (marée noire).<o:p></o:p>

    Il y a deux écoles : pessimisme économique et optimisme technologique. <o:p></o:p>

    La notion du risque est liée au développement durable, les ressources naturelles sont épuisables donc limites des ressources terrestres. Les pays émergents contribuer à polluer, prise de conscience de la maîtrise de la nature par l’homme. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Face aux incertitudes et irréversibilités cela engage la réflexion sur les générations futures.  <o:p></o:p>

    -          Vision économique du développement durable : approche par les opportunités<o:p></o:p>

    -          Vision procédurale du développement durable : approche par les normes<o:p></o:p>

    -          Vision sectorielle du développement durable : renvoi aux trois piliers économie, sociale et environnement cela entraîne comme risque : <o:p></o:p>

    ·        l’enjeu de la survie de l’espèce humaine<o:p></o:p>

    ·        le risque majeur et la  remise en question de la société <o:p></o:p>

    ·        question de sécurité collective<o:p></o:p>

    ·        risque majeur et justice globale<o:p></o:p>

    Donc les populations sont en colère et cela touche toujours les mêmes. <o:p></o:p>

    L’approche par les procédures : protocole de Kyoto on parle de taxe pollueuse, taxe payeur (on paye pour polluer ailleurs).<o:p></o:p>

    Depuis il y a dans la vie la finitude des ressources naturelles qui entraîne un effet boumerang (lorsqu’on pollue ailleurs il y aura des conséquences mais dans l’avenir). <o:p></o:p>

    1994, l’environnement : jacques THEYS, chercheur et intellectuel fr «  il est global, multidimensionnel, systémique. Il réfère à un contexte donné, notamment à un environné identifié. Il n’existe que par rapport à un cadre spatial (la planète, région et logement) et un temps donné même si il porte en lui un passé et futur. Enfin, il se définit par rapport aux systèmes de sens dans lequel il opère. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comment gouverner pour gérer ces risques par rapport à l’environnement ? <o:p></o:p>

    Mise en évidence de phénomène nuisible donc régulation des pouvoirs publics. Pour réguler les pouvoirs publics il y a plusieurs instruments : <o:p></o:p>

    • par le droit, « comment and contrôle » mobilise des normes réglementaires, des seuils de rejets que les agents économiques doivent respecter sous peine de sanction. <o:p></o:p>

    Cette conception de régulation est très présente par tout un système de loi, norme. <o:p></o:p>

    Début des années 70, mise en place de politique public d’environnement mais non contraignante alors qu’aujourd’hui oui. <o:p></o:p>

    Immixtion du droit : c’est l’introduction du droit dans la gestion des risques qui prend en compte des procédures, mise sur agenda (série de mesure à appliquer).<o:p></o:p>

    Les ressources mondiales en eau baisse depuis 200 ans et de façon essentiel depuis 50 ans parallèlement à ce problème : 1,5 milliards de personnes touchés par les maladies de l’eau (comité international se mobilise).<o:p></o:p>

    1997 : déclaration sur l’eau à NY<o:p></o:p>

    1997 : les sommets de Marrakech<o:p></o:p>

    2003 : à Kyoto<o:p></o:p>

    Ces conférences ont permis de poser des objectifs. 2milliards n’accèdent pas à l’eau potable. <o:p></o:p>

    Un médiateur scientifique : aide à construire des représentations de la science, mettre en lien des profanes et experts. Il doit écouter, doit savoir gérer un débat, il se retrouve dans le développement durable.<o:p></o:p>

    La démarche scientifique : <o:p></o:p>

    • observation<o:p></o:p>
    • formule d’hypothèse<o:p></o:p>
    • vérification des résultats<o:p></o:p>
    • élaboration de théorie<o:p></o:p>
    • résultat<o:p></o:p>
    • communication<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les sphères du développement durable :  <o:p></o:p>

    Economique, écologique, sociale, culturelle, sécuritaire.<o:p></o:p>

    Le développement durable fonctionne aussi selon une systémique, ex : la voiture, un mauvais démarrage provoque des toxiques. Il n’y a pas que l’écologie à prendre en compte.<o:p></o:p>

    La médiation lorsqu’elle passe par la voie d’une exposition, presse est plus crédible car la parole passe par un artiste. <o:p></o:p>

    Le développement durable est indissociable du principe de démocratie participative et d’une approche citoyenne, il y a une nécessité d’associer la population pour être efficace.<o:p></o:p>

    Le principe de démocratie participante : c’est la marque des démocraties modernes. Techniques et procédures de communication (débat, délibération…), tout cela pour permettre de répondre aux revendications des sociétés civiles.<o:p></o:p>

    Le but de la démocratie participative est de :<o:p></o:p>

    -         rétablir le lien et la confiance entre citoyens et décideurs<o:p></o:p>

    -         moderniser l’état pour lui permettre de mieux gouverner<o:p></o:p>

    -         coût de protestation : réduire ces coûts <o:p></o:p>

    -         adapter l’état aux mêmes exigences des citoyens<o:p></o:p>

    Tout cela vers l’idée de bien commun <o:p></o:p>

    Le développement durable contribue à la réorganisation de la société. Il y a une prise de conscience du risque technologique. <o:p></o:p>

    Trois grands principes : <o:p></o:p>

          Transparence et publicité : une déclaration doit être libre et reliée les participants en ce qui concerne les conditions de sa mise en œuvre et de non résultat, à l’exclusion de toute forme d’autorité.<o:p></o:p>

          Principe d’argumentation : toute délibération repose sur l’échange argumentatif c'est-à-dire sur l’expression de raison à l’appui de propositions dans un objectif d’accord sur ces dernières. Dans cette approche il ne convient pas de se prononcer sur un choix qui convient le mieux à chacun, mais de construire ensemble une proposition acceptable pour tous.<o:p></o:p>

          Principe d’inclusion : les participants sont égaux devant la procédure délibérative et nul ne saurait en être arbitrairement exclu, ils sont également égaux durant la procédure en ce sens que l’autorité et le pouvoir des individus ne doivent pas jouer de rôle pendant le débat. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il faut tenter de rétablir un lien entre décideur et citoyen. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il y a des chartes qui privilégient l’application du DD.<o:p></o:p>

    Tel que l’agenda 21 : à l’échelle internationale a pris 2500 résolutions mais à l’échelle nationale comment on peut participer au DD ? <o:p></o:p>

    Cet agenda 21 on l’a décliné en agenda 21 local en ce qui concerne les collectivités territoriales<o:p></o:p>

    Quelle nécessité d’un dd ? <o:p></o:p>

    Il résulte de deux constats, tout d’abord la croissance démographique en 1960,  2 milliards aujourd’hui  à 6 milliards et en 2050,  9 milliards. Et ensuite le 2ème constat, c’est une exploitation de la production tout ce qui concerne les ressources naturelles incompatible avec leur préservation. <o:p></o:p>

    Parmi ces dommages commis par le mode de développement, on peut en citer : <o:p></o:p>

    → Le changement climatique <o:p></o:p>

    → Les pollutions à grande échelle de l’air, des sols, mers et océans<o:p></o:p>

    → Réduction de la variété du vivant <o:p></o:p>

    → La réduction du potentiel naturel de production (appauvrissement des sols, mers) et de l’auto absorbation des déchets <o:p></o:p>

    → Croissance des inégalités génératrice d’exclusion vis-à-vis des biens et services essentiels<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il faut développer des projets et pour cela on utilise l’agenda 21 qui est un programme d’action qui concerne le dd durable de la planète lié à la santé, logement, pollution de l’air, gestion des mers et forets et montagnes, agriculture, gestion des ressources en eau et gestion des déchets. <o:p></o:p>

    L’agenda 21 : dimension social et éco, la conservation et gestion des ressources au fin de développement, renforcement des principaux groupes sociaux (femmes, jeunes, organisations gouvernementales), moyens de mise en œuvre. <o:p></o:p>

    L’agenda 21 local  est issue de la conférence de Rio: il offre un cadre de travail aux collectivités locales et leurs habitants pour  mettre en œuvre les concepts du DD. <o:p></o:p>

    Trois aspects principaux à respecter :<o:p></o:p>

    Aspects économiques<o:p></o:p>

    Aspects sociaux et culturels<o:p></o:p>

    Aspects environnementaux<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1994, première conférence européenne qui aboutit à la charte d’AALBORG inscrit au niveau local qui propose une application à l’échelle locale.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Agenda 21 : Outil de transcription dans la réalité du DD avec des acteurs pour contribués avec une dimension d’agir dans la société. Pour une collectivité territoriale les parties prenantes sont syndicats professionnels, citoyens, élus, services, administration, association. <o:p></o:p>

    C’est une démarche qui doit s’inscrire dans la durée, environ 3-4 ans pour voir un projet émergé. <o:p></o:p>

    Les grandes étapes d’un agenda 21 : <o:p></o:p>

    Ø      Diagnostic (état du lieu du territoire et évaluation des politiques)<o:p></o:p>

    Ø      La concertation (il faut inviter la population à s’emparer du projet)<o:p></o:p>

    Ø      Notion de gouvernance (fait appel à la concertation) <o:p></o:p>

    Ø      Ecriture du plan d’action (soumis au élus et modifier avant d’être voté)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Exemples d’actions : <o:p></o:p>

    Volonté de contrôler l’urbanisme <o:p></o:p>

    Développer une politique d’accueil et de logement <o:p></o:p>

    Valoriser la vie en ville (rééquilibrage de l’espace public, quartier vert, voierie) <o:p></o:p>

    Adapter l’offre de transport aux besoins <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Définir un projet territorial durable → Démarche territoriale du DD : <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comment ?<o:p></o:p>

    Une démarche pour l’élaborer, le mettre en œuvre, l’évaluer<o:p></o:p>

    ↕<o:p></o:p>

    Participation, transversalité<o:p></o:p>

    Stratégie d’amélioration, <o:p></o:p>

    Organisation du pilotage, évaluation <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pourquoi ?<o:p></o:p>

    Une stratégie d’action répondant aux 5 finalités du DD <o:p></o:p>

    ↕<o:p></o:p>

     Et s’exprimant dans diverses domaines : santé, habitat, urbanisme, gestion des ressources, accès à la connaissance. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La participation des habitants et usagers : <o:p></o:p>

    Processus de participation avec différents objectifs <o:p></o:p>

    ü      Connaissances et savoir de tous les acteurs <o:p></o:p>

    ü      Implique l’ensemble des groupes sociaux dans les projets en faisant en sorte  que leur besoin soit pris en compte <o:p></o:p>

    ü      Adaptation des décisions <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>


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