•              DEFINITION DE LA DG <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>



    ð    Observation : <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ensemble des phénomènes psychosociaux dans les petits groupes et l’étude des lois Naturelles qui les régissent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    -         Science de ces phénomènes dans un groupe dit « primaire » et l’identification de ses lois internes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etudes :<o:p></o:p>

    ð    Relation entre un groupe primaire et son environnement. Les inter-influences sont susceptibles de modifier le groupe et l’environnement.<o:p></o:p>

    ð    L’influence du groupe primaire, sur le comportement des individus qui le compose, suivant le regard posé du groupe sur l’individu. Expérience des climats (autoritaire, démocratique,…) et sociométrie.<o:p></o:p>

    ð    Vie affective des groupe => « vécu groupal » => [« Le groupe n’est pas la somme des individus qui le constitue » (Lewin)], de leur sentiments, qui composent le groupe.<o:p></o:p>

    ð    Le facteur de cohésion et de dissociation, dans les groupes primaires, étant associés à la temporalité qui assure l’existence du groupe.<o:p></o:p>

    ð    Méthode :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Méthode de groupe pour agir, voire soigner la personnalité ; pour que le groupe agisse sur l’individu, pour que les petits agissent sur les grands groupes => groupes d’influence.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le regard pèse car il interprète.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Utiliser le groupe pour changer les individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Elle va exercer une action psychologique qui oriente l’individu et le groupe vers des phénomènes de changement par le moyen du groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On aboutit à des « groupes d’influence » et des « groupes de manipulation ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ce sont les recherches qui ont amené les études sur la manipulation ; mais aussi déclenché la méfiance du public vis-à-vis des psychologues. [Expérience de Milgram : I comme Icare (éléctro-choques)]<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise les méthodes de DG pour soigner les troubles de la personnalité. On se sert de la situation de relation interpersonnelle dans un groupe pour le diagnostique du trouble et son traitement.<o:p></o:p>



    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tous les courants ayant contribué à l’étude de la DG.<o:p></o:p>



    CARACTERISTIQUES FONDAMENTALES DU GROUPE<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1) Interaction<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Suppose une relation directe et une inter influence des réactions et une interpénétration des cadres de référence. => « Echange » : - directs<o:p></o:p>

                                                     - verbaux ou nvb<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe influence les attitudes de l’individu.<o:p></o:p>

    ð    on n’est jamais dans un groupe comme on est seul => Représentation et regard des autres modifient notre comportement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Réaction électrodermale : mesure en fonction de ce que la personne voit et entend => comment évolue l’émotion => taux émotionnel.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 )Emergence de normes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Normes des règles de conduites structurent et supportent le groupe. <o:p></o:p>

    Dans un groupe primaire, elle se constitue avec le temps.<o:p></o:p>

    ð    Ce qui est « conforme » à ces normes est considéré comme « bien ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour les membres du groupe, l’ensemble de ces normes constitue son code des valeurs de groupe (psychosocio) => donc il varie d’un groupe à l’autre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mafia : code des valeurs de groupe : code social. Permit de tuer, torturer … =< « bien » dans ce groupe là.<o:p></o:p>

    ð    face à des normes qui cautionne ce comportement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La dimension cachée E.T.Hall<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Expérience de Hawthorne – Mayo<o:p></o:p>

    Sur environ 7 ans.<o:p></o:p>

    Modèle de conduite : ne pas dépasser le rendement quotidien ; celui qui contrevenait à cette règle était appelé 1 « jaune ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    travail de câbleur : le + noble, soudeur : le – noble.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    3) Existence de but collectif commun<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Résoudre un problème, effectuer une tâche, s’organiser défensivement, survivre … => but commun.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Communauté de but : ciment du groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    par ce critère là, le groupe a une cohésion.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    4) Existence d’émotion et de sentiment collectif<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Situation dans lesquels se trouve le groupe, sa gestion des interactions et aux réactions collectives.<o:p></o:p>

    ð    Engagement d’un groupe => but commun.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Carl Rogers l’a appelé l’Empathie => comprendre les choses ensemble => réaction notable (ex : téléthon.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Lewin : « Le groupe n’est pas la somme des individus », c’est pareil pour les émotions.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    5) Emergence d’une structure informelle<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    De l’ordre de l’affectivité et qui est l’organisation et la répartition de la sympathie, antipathie, les voix par lesquels circulent l’influence.<o:p></o:p>

    La position des membres dit « populaires » et ceux dits « rejetés ».<o:p></o:p>

    Naissance de sous groupe dans le groupe avec des pôles de conflits ou d’attraction.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Non officielle et souvent non conscient <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Elle peut entrer en conflit ou en opposition avec une structure formelle imposée de l’extérieur.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    tout se maintient à la force du groupe restreint et de ses normes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    6) Existence d’un inconscient collectif<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’histoire commune vécue par le groupe, son existence collective et son passé sont des sources de problème latents ou de point sensibles, qui, sans être présent à la mémoire immédiate, font partie du groupe et en explique les réactions.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe n’a pas conscience des phénomènes psychologiques qui détermine leur conduite en groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Courant des psycha de groupe <o:p></o:p>

    ð    mettent en évidence un fonctionnement de groupe parallèle au fonctionnement individuel.<o:p></o:p>

    ð    On peut expliquer la psycha des groupes grâce à freud.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    DIDIER ANZIEU<o:p></o:p>

    Mécanisme inconscient motivant les conduite, mais étant inconscient, il est difficile de les identifier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    7) Etablissement d’un équilibre interne et d’un système de relation stable avec l’environnement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A travers les difficultés d’existence le groupe engendre un double système d’équilibre :         interne / externe<o:p></o:p>

    Inter groupal         rapport au contexte <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Si remise en question de cet équilibre par certains évènements, le groupe, s’il résiste et survie, tend à reconstituer un nouvel équilibre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Conclusion : permettre de comprendre pourquoi divers groupe sont, malgré leurs diversité de membre, de personnes, de but, de style d’existence, sont des groupe primaire appelés + communément « petits groupes » ou « groupes restreints »<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    DIFFERENCIATION AVEC LES AUTRES TERMES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1 – Différent de la foule<o:p></o:p>

    Foule = rassemblement épisodique d’un grand nombre d’individu non nécessairement les mêmes, prédisposés à l’apathie [absence de réaction] devant un meneur et à la contagion des émotions et aux actions paroxystiques [exagération, exacerbation].<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 – Différent de la bande <o:p></o:p>

    Caractérisée par la recherche du semblable et le renforcement de l’identification à celui-ci.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 – Différent d’un groupement, d’une association<o:p></o:p>

    Dont le but est de confier à des représentants actifs la défense des intérêts communs à des gens qui ne se connaissent guère personnellement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 – Différence d’un groupe primaire ou organisation<o:p></o:p>

    Qui rassemble un assez grand nombre d’individus en vue de tâches différenciée et régie les rapports entre les individus par rapport à l’institution selon les structures et les règles de fonctionnement préétablies dans l’institution.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p> </o:p>

    DEFINITION DU GROUPE PRIMAIRE

    <o:p> </o:p>

    Si on considère l’histoire de la DG, on constate l’émergence de réalités sociales qui pourraient constituer des petits groupes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour qu’un groupe soit Primaire :<o:p></o:p>

    ð    découpage ne correspond pas à une catégorie abstraite : + d’1 point commun :<o:p></o:p>

    Fumeurs, médecin, ados … Groupe primaire n’est ni une catégorie démographique, ni d’âge ou d’activité, ni économique ou socio-économique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Groupe primaire limité par le nombre <o:p></o:p>

    ð    Groupe restreint.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Chacun se connaît et se reconnaît et peut établir avec les autres des relations personnelles. On note l’existence de relation de chacun avec tous (au moins par le regard)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Il constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à l’environnement naturel ou social<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    En opposition au groupe secondaire : relations indirecte, sentiment d’appartenance global, communication par intermédiaire. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Nécessité d’existence d’une unité psychologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Charles Cooley (1909) invente la DG (terme empreinte à Tönnis)<o:p></o:p>

    ð                        Fait la différence entre :<o:p></o:p>

                      Communauté et                                               Société organisée <o:p></o:p>

    - Relation Directes et personnelles                              - Réaction structurées impersonnelles<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les individus qui composent le groupe primaire ont intégré en eux un « NOUS » qui s’est substitué au « je ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Par opposition, les groupes secondaires se caractérisent par des relations indirectes et un sentiment d’appartenance globale => Communication par intermédiaires.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les critères :<o:p></o:p>

    -         Perception différenciée de chacun des membres <o:p></o:p>

    -         Affinité<o:p></o:p>

    -         La différence des tâches et la fréquence des réunions.<o:p></o:p>

    ð    L’efficacité dépend de la cohésion des buts communs du groupe.<o:p></o:p>

    -         Le groupe est une mini socio culture<o:p></o:p>

    -         « Le groupe n’est pas la somme des individus qui le constitue »<o:p></o:p>

    -         L’énergie du groupe est au service de deux fonctions :<o:p></o:p>

    o       Conservation<o:p></o:p>

    o       Progression vers des buts <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    LES DIFFERENTS COURANTS DE LA DG : COURANTS ET CONTEXTES<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    CONTEXTE <o:p></o:p>

    Discipline existe que si elle a un support scientifique :<o:p></o:p>

    A. Mucchieli est en train de l’installer, il s’appuie sur la systémique<o:p></o:p>

    Devient spécifique à l’info com.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’approche par contextualisation<o:p></o:p>

    Fait communicationnel => interaction et contexte identifié, avec des caractéristiques<o:p></o:p>

    Devient LE Support d’information com.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’étude des petits groupes humains a été influencée par des courants et des contextes qui ont contribué à modéliser la DG.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A – Les courants<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1 – Le Modèle empreinté à l’électromagnétisme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un groupe est un champ de force qui s’exerce à l’intérieur d’une zone de liberté laissée par les institutions sociales.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La conduite de groupe est la résultante de la combinaison de ses forces selon des lois psychosociologiques.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    K.Lewin est l’inventeur de la conception générale de champ. Il tire certaines lois, dont une très importante : « Tout groupe fonctionne suivant un équilibre quasi – stationnaire  et résiste à tout changement, autre que des variations autour de cet équilibre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    => Expérimentalistes travaillent sur des groupes artificiels, autour de ces lois.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A la différence de Moreno qui travaille avec les prostituée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Peu avant sa mort, il a abandonné cette théorie à cause d’un manque d’explication sur certains mouvements de groupe résultant de phénomènes inconscients qui mobilisent le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     Dés qu’il y a un groupe, il veut résister à l’attaque <o:p></o:p>

    Ø     Théorie de la résistance au changement<o:p></o:p>

    Ø     Etudes sur les comportements.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Festinger : Dissonance cognitive : décision => on se donne raison à tout bout de champ sur ses choix.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Certains continuent à utiliser ce modèle dans la formation continue / professionnelle.<o:p></o:p>

    On considère qu’une émulation par le groupe favorise un meilleur apprentissage.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 – Le modèle psychanalytique<o:p></o:p>

    Freud montre que l’identification des membres d’un groupe au même idéal du « Moi » assure la cohésion du groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Freud : le modèle individuel du psychisme humain donne le modèle psychique humain du groupe => Inconscient collectif.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il a indiqué avec ses 2 topiques que :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1° topique :<o:p></o:p>

    Dans notre « boite noire », il y a <o:p></o:p>

    - l’Inconscient : Mémoire<o:p></o:p>

    - le préconscient : Trace de notre éducation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2° topique : <o:p></o:p>

    Relation Cs / Incst<o:p></o:p>

    Surmoi : socialisation et filtrage des pulsions <o:p></o:p>

    Moi : être social après filtrage.<o:p></o:p>

    Ca : pulsions <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le surmoi crée un idéal du Moi, un être merveilleux, il nous pousse à être là.<o:p></o:p>

    ð    CS et Incst<o:p></o:p>

    ð    Il fonctionne avec des idéaux extrêmement forts.<o:p></o:p>

    o       Le groupe aussi se base sur ces idéaux. Ex : assoc° caritatives.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    M. Klein : elle considère qu’il y a dans chaque groupe une dimension imaginaire.<o:p></o:p>

    L’imaginaire permet de croire en une cohésion parfaite.<o:p></o:p>

    Le symbolique permet de tendre vers des buts communs.<o:p></o:p>

    Ex : groupe autoritaires => Ambivalence face à l’autorité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    A l’intérieur d’un groupe non directif on peut voir survenir une régression dite « non archaïque » avec une angoisse de morcellement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les sentiments de dépression et de persécution peuvent être associés à ces groupes non directifs.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La notion de climat plus particulièrement Gestaltiste d’un groupe réel ou artificiel est lié à un fantasme sous jacent commun.<o:p></o:p>

    Ce fantasme exprime et explique cette envie d’être en groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Référence A.T. => scénario de vie<o:p></o:p>

    Dans l’entreprise : Culture d’entreprise.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’intervention psychanalytique vise à rendre chacun des membres sensibles à la présence du fantasme afin de s’en dégager ou de l’utiliser d’une façon plus favorable au groupe.<o:p></o:p>

    Référence en DG : R. Kais, D. Anzieu, E. Enriquée.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ex : psy dans entreprise : résoudre un conflit => identification du fantasme.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La référence à la psychanalyse renvoie à une méthodologie de type clinique et non expérimental.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ·        Les applications différentes de la psychanalyse et de l’expérimentalisme (K. Lewin) vient du souci d’amélioration de l’efficacité individuelle et sociale par le petit groupe.<o:p></o:p>

    ·        Pour les psychanalystes le groupe est le moyen d’établir entre les personnes une communication plus véridique, plus humaine.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Psycha et expérimentale : Modèles et concepts de psycha Analytique => transposés dans une description et une explication des phénomènes relationnels structuraux et affectifs dans les groupes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 – La perspective Lewinienne <o:p></o:p>

    Kurt Lewin applique la gestalt théorie à l’étude des groupes et il envisage le groupe comme un tout, dont le fonctionnement est autonome.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Selon lui, en agissant sur un élément privilégié, on peut modifier la structure d’un ensemble.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il élabore des modifications en labo sur des groupes artificiels, puis il applique ces modifications à des groupes réels.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     Selon l’auteur, le petit groupe modifié est l’Agent de Changement Social à l’intérieur de secteur plus vaste de la collectivité.<o:p></o:p>

    Ø     Le groupe est un double système interdépendant entre :<o:p></o:p>

    o       Les membres et<o:p></o:p>

    o       Les éléments du champ.<o:p></o:p>

    Ø     Le champ : contexte, environnement, issu de l’électromagnétisme.<o:p></o:p>

    §        Normes, buts, représentation du milieu interne et externe, la division des rôles, la définition des statuts.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans la même perspective : Kaufmann<o:p></o:p>

    Il pose une théorie du champ dans les sciences de l’homme (1963). L’hypothèse générale de l’ouvrage :<o:p></o:p>

    Le système des interdépendances d’un groupe donné, à un moment donné, explique les conduites de ses membres.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Thèmes émergeants de ces études :<o:p></o:p>

    -         Climat<o:p></o:p>

    -         Moral<o:p></o:p>

    -         Autorité<o:p></o:p>

    -         Prise de décision (60-70)<o:p></o:p>

    -         Rôles et attitudes <o:p></o:p>

    -         Créativité<o:p></o:p>

    -         Négociation<o:p></o:p>

    -         Résistance au changement<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin et la fondation du centre de recherche sur la DG <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tout groupe se forme et s’installe dans une « forme » selon l’équilibre des forces et des tensions et selon le champ perceptif des individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La notion d’équilibre d’une forme associée à celle de Dynamique des énergies permet d’analyser l’organisation et les changements dans les groupes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1923, Lewin émigre au USA, quittant l’école de la Gestalt théorie (Allemagne) où il étudiait des ensembles de configurations signifiantes par rapport auquel se situent et agissent les individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Gestalt : « Psychologie de la bonne forme » c'est-à-dire une forme prégnante qui se détache d’un fond non structuré, constituant ainsi un ensemble limité, structuré.<o:p></o:p>

    Famille : règles, normes posées => constituent une forme par rapport au fond : Système Social ambiant, où il y a certainement d’autres formes …<o:p></o:p>

    => Donne des références à la famille,<o:p></o:p>

    => Qui comblent les manques extérieurs<o:p></o:p>

    => Qui permettent de résister à d’autres formes ou fonds.<o:p></o:p>

    La bonne forme : celle qui structure, mais pas une seule : plusieurs, selon le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’étude de Kurt Lewin est au niveau de la perception. Puis il étudie l’individu par rapport à la configuration générale de son espace de vie ou champ psychologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Champ psychologique : organisation et configuration des significations  que les choses, les êtres et les situations ont pour l’individu. Psychologie en terme d’espace : psychologie topologique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin s’intéresse au groupe en temps qu’ensemble, que climat psychologique ou se détermine des conduites individuelles.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1946, il quitte Harvard pour Ann Arbor où il intègre le centre de recherche sur la DG dans l’institut pour la recherche sociale. (ISR)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin conduit dans New Britan une session historique d’où née le « T-Group », qu’on appellera par la suite les groupes de parole (fondée sur la parole libre des participants).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si pour Kurt Lewin, les groupes sont des totalités dynamique résultants des interactions entre les différents membres, c’est en fonction de l’organisation perceptive de l’espace social que les énergies mise en jeu se complètent où se combattent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Par exemple : LE GROUPE EN CHANGEMENT<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin : si le groupe est un champ de force, alors, l’intégration de l’information dans le champ perceptif du groupe va déclancher le changement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    DG – Processus de changement – Kurt Lewin => Toujours liées.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le changement des habitudes alimentaires<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1943 : Pénurie de viande, gâchis des abats. => nécessité de changer les habitudes alimentaires aux USA.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1° solution : Campagne de communication => c’est moins cher et aussi bon => Changement négligeable : 8%<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2° solution : fait appel à Kurt Lewin, il constate que c’est la ménagère, élément de décision qu’il faut toucher.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

             Groupe 1 : Autorité (médecin) explique et informe pour diminuer les réticences<o:p></o:p>

     à 3% agissent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Augmentation de la pression vers le changement, sans efficacité à Trop de pression ou pas assez.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

             Groupe 2 : Par quel moyen peut-on changer la conso° de viande ? <o:p></o:p>

                                Explique seulement que c’est une nécessité vitale.<o:p></o:p>

    ð    Discussion <o:p></o:p>

    o       Ménagère parlent de leurs comportements<o:p></o:p>

    o       Analyse des attitudes et les soumet au groupe <o:p></o:p>

    ð    Pouvoir de conviction notable<o:p></o:p>

    ð    Met en évidence des craintes suggestives possiblement dépassables.<o:p></o:p>

    ð    Résolution prise par le groupe<o:p></o:p>

     à 32 % modifient leurs actes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin réduit les résistances qui s’opposent au changement en déplaçant les énergies du groupe vers un nouvel équilibre.<o:p></o:p>

    ð    Convaincre une personne par une autre n’est pas adapté puisqu’on est face à un processus de groupe<o:p></o:p>

    ð    Réduire les craintes <o:p></o:p>

    ð    Déplacer les normes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il est plus facile de changer les habitudes d’un groupe que celles des individus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il existe toujours un facilitateur du changement (dans ce cas, la ménagère) c’est le leader d’opinion, et elle se comporte en « portier ».<o:p></o:p>

    Dans tous les groupes, les individus agissent dans un système d’équilibre. Chaque groupe possédé de son champ dynamique d’équilibre avec ses canaux de communication, ses frontières, portiers et ses barrières. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’écueil de Kurt Lewin : a ne pas tenir compte de l’aspect inconscient, on gomme le fantasme => mise en scène dans laquelle on est acteur : Nos représentations. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    LA NOTION DE CRISTALISATION / PROCESSUS DE CHANGEMENT<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 étapes :*<o:p></o:p>

    a) restructuration du champ perceptif<o:p></o:p>

    b) réduction de la tension<o:p></o:p>

    c) Possibilité de changement<o:p></o:p>

    Changement qu’un petit groupe peut entraîner le changement du gd groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Avec le concept « Changement » : « Résistance au changement » <o:p></o:p>

    Ce qui oblige les responsables à réfléchir sur les possibilités de changement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ex : Changement : organisation publiques : organisation privées : gros problèmes de mise en place d’une nouvelle organisation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     La plus grande difficulté, c’est de faire changer les gens, mais comme ns sommes dans un monde en changement, le changement est nécessaire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    * 1) Décristalliser : informer, expliquer, sensibiliser<o:p></o:p>

    2) Changer : Déplacer les résistances et réduire les tensions<o:p></o:p>

    3) Recristalliser : Créer un nouvel équilibre satisfaisant pour les membres du groupe et consolider ce nouvel état.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de l’enfance et donc qu’il atteint un étayage de la personnalité, alors il risque d’être difficile à installer lors d’une communication dans le groupe. Sauf à envisager un groupe psychothérapeutique.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le changement tel que l’explique Kurt Lewin ne touche que les couches superficielles de la personnalité ainsi que les comportement identificatoires.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Tout changement suppose que le groupe se retrouve dans une « bonne forme » et une nouvelle organisation satisfaisante pour le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>



    L’EXPERIENCE SUR LES CLIMATS<o:p></o:p>

    Lippit – White – Lewin<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Climat : Mode de fonctionnement et de la direction <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Climat<o:p></o:p>

    Autocratique<o:p></o:p>

    Démocratique<o:p></o:p>

    Laisser-faire<o:p></o:p>

    Description<o:p></o:p>

    Organisation définie de l’extérieur par l’expérimentateur qui a donné au préalable objectif et moyen pour la réalisation des buts, c’est-à-dire avec des éléments conscients.<o:p></o:p>

    (on ne laisse pas les membres imaginer)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Interaction des personnes pour trouver une organisation optimale. L’expérimentateur définie avec les enfants but / moyens / répartition des taches.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’expérimentateur n’intervient pas.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Résultats<o:p></o:p>

    Médiocre avec une très bonne efficacité, mais peu d’enthousiasme, réalisation poussive (arrive au but car poussé par …)<o:p></o:p>

    Bon<o:p></o:p>

    Niveau de production et de satisfaction élevé.<o:p></o:p>

    Mauvais, peu efficaces<o:p></o:p>

    Interaction / Emotions<o:p></o:p>

    Tendues.<o:p></o:p>

    Frustration.<o:p></o:p>

    Oscillation entre apathie et agressivité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les relations entre les membres sont fondées sur la coopération avec réduction de tension.<o:p></o:p>

    Tensions, frustration, agressivité.<o:p></o:p>

    Sentiment d’échec.<o:p></o:p>

    Départ de<o:p></o:p>

    L’expérimentateur<o:p></o:p>

    Tâche interrompue, le groupe est dit Non - Autonome<o:p></o:p>

    Poursuivie : Autonomie<o:p></o:p>

    Interrompue.<o:p></o:p>

    Non-autonome<o:p></o:p>



    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Conclusion : Groupe démocratique : forme idéale d’organisation : Répond aux valeurs idéologiques ambiantes et aux comportement intériorisées de l’éducation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ð    Modèles et Valeurs intériorisées donne la « bonne forme » pour un groupe quant à son organisation. Elle répond à un équilibre momentané des forces mises en jeu.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Attention : lié au contexte : fin de la GM2 : conception politique de la démocratie très forte..<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 – La psychanalyse des groupes<o:p></o:p>

    DG restreints 1968 Anzieu : fondateur de la psychanalyse des groupes.<o:p></o:p>

    Inconscient groupal qui animerait le groupe, à condition d’avoir des idéaux communs.<o:p></o:p>

    Groupe fondé sur un fantasme collectif => émulation du groupe devient, en psychanalyse : « l’illusion du groupe ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    B – Les contextes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1 – Contexte de type idéaliste<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Contexte des démocraties occidentales face aux petits groupes.<o:p></o:p>

    ð    les concepts de sciences sociales correspondent souvent à des prises de conscience de problèmes de société actuels.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    La DG naît en 1944 avec K. Lewin, en pleine GM2.<o:p></o:p>

    La théorie qu’il développe est la révision d’un postulat individualiste => toute conduite humaine est la résultante de forces psychologiques individuelles et de forces propres au groupe d’appartenance cher à la personne.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les études sur la DG avaient pour but de comprendre le fascisme, le nazisme … et sa force de conviction, de persuasion.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Lewin, Lippit et Whyte travaillent sur le groupe artificiel <o:p></o:p>

    ð    Montre la supériorité du climat démocratique, sur le pouvoir autoritaire et laxiste.<o:p></o:p>

    ð    Plus particulièrement sur l’efficacité du travail et le plaisir de travailler.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le concept de groupe restreint est très valorisé dans la recherche fondamentale et appliquée aux USA et en occident.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans les années 50 60, on trouve de nombreuses publications de langue anglaise sur les méthodes de formations de groupe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le T-Group <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 – Le communisme et le groupe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    URSS, années 50 : Système politique rend le tout petit groupe suspect, sur fond de méfiance étatique.<o:p></o:p>

    ð    On attribut au groupe restreint un pouvoir de persuasion des foules qui pourrait être nuisible au communisme<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    3 – La conception anarchique du petit groupe<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Années 60-70 : le groupe est conçu comme :<o:p></o:p>

    -         Autogérer<o:p></o:p>

    -         Membres égaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe est un moyen de réaliser des désirs communs aux membres du groupe.<o:p></o:p>

    L’expert ou le maître est au service du groupe, choisit par le groupe et révocable.<o:p></o:p>

    ð    Démocratie directe et Utopie sociétaire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans cette optique anarchiste la DG est une technique révolutionnaire dont le but est de désinstitutionaliser.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 – Les évolutions techniques<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En physique, la dynamique est la relation entre les forces et les mouvements et donc la DG est la science des lois qui relient les conduites d’un groupe au système de force agissant à l’intérieur.<o:p></o:p>

    ð    définit d’un groupe restreint.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    C – Les Applications <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La DG se particularise avec des travaux sur la famille, la classe scolaire, la bande de délinquant, la sociométrie de Moreno.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moreno : <o:p></o:p>

    Pionnier de la psychothérapie de groupe et du mouvement psychodramatique « théâtre thérapeutique » qui repose sur la théorie du rôle «  le théâtre impromptu ».<o:p></o:p>

    Moreno travaille avec un groupe de prostituée pour les réinsérer => femmes perdues qui ont conscience de l’être.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ø     Le regard qui nous interprète est extraordinairement important dans la DG.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour que la DG fonctionne => obligation d’être névrosé : processus de développement psycho affectif normal.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Freud : Avancée par étapes de combat.<o:p></o:p>

    Enfant : contraintes pour manger, pour faire ses besoins<o:p></o:p>

                  Partage de l’affection de la mère<o:p></o:p>

    ð    Habitude de gestion des conflits pendant le développement car :<o:p></o:p>

    ·        Promesse d’amour<o:p></o:p>

    ·        Promesse de socialisation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    « Forteresse vide » (Bettelheim) : enfermé en soi : pas de contrainte. => Processus psychique, solitude, subit pas les poids du regard des autres => pas de projet social.<o:p></o:p>

    ð    Pas de processus dynamique de gestion des conflits => DG pas possible.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise des lois issues des recherches sur la DG pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe.<o:p></o:p>

    Le but est d’améliorer le fonctionnement, l’efficacité et l’autorégulation des petits groupe dans toutes les situations où ils ont des objectifs à atteindre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La DG débouche enfin sur l’étude et la mise en Œuvre des changements sociaux par le moyen des petits groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

             Objectifs à atteindre :<o:p></o:p>

    Ø     Responsabilisation et autonomie<o:p></o:p>

    Ø     Maturité sociale et intégration du changement par le groupe <o:p></o:p>

    Ø     Efficacité des groupes face au changement<o:p></o:p>

    Ø     Adaptabilité des petits groupe à l’environnement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le changement : changement (volontaire) individuel par le groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etude de la publicité / marque : faire changer, convaincre la cible à l’acte d’achat. (Détournement de la persuasion)<o:p></o:p>

    Communication dite « persuasive » : marche si le récepteur est « consentant », ou inconscient => images subliminales.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Groupe de thérapie par la parole.<o:p></o:p>

    2 thèmes centraux :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1) Le groupe primaire est un antidote à la massification sociale par la réintégration de la personne dans les relations humaines.<o:p></o:p>

    ð    Basée sur les sentiments d’appartenance au groupe<o:p></o:p>

    ð    Solidarité et échanges de même but, normes, idéaux …<o:p></o:p>

    2) L’appropriation de la vérité<o:p></o:p>

    ð    Tâche collective<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le contexte est plutôt celui de la division scientifique de travail, l’anonymat, la communication de masse, la civilisation urbaine dans lesquels la DG a pu émerger.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Expériences sur les climats entraînent des études sur :<o:p></o:p>

    o       Les modes de management (Leadership)<o:p></o:p>

    o       Le plaisir au travail (importance, considération, cf. Mayo)<o:p></o:p>


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  • Imprégnation psychosocial dès le début de la vie.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Ce qui m’arrive vient de mon système parental, et à un moment, on va vouloir sortir de ce système, car on en rencontre d’autres (ex : crise d’adolescence)<o:p></o:p>

    On s’oppose à un système de référant et de normes qui dans notre temps n’est plus d’actualité.<o:p></o:p>

    Chaque groupe à une histoire, une vie. Etre présent, c’est faire partie d’un décor, statique.
    notre manière de se représenter (habit, etc) entraîne déjà le début des a priori, des affinités, d’une interaction meme si statique à l’autre.<o:p></o:p>

    Au départ, on se signifie déjà à l’autre avec notre corps.<o:p></o:p>

    Il y a des têtes qu’on aime et qu’on aime pas, consciemment et inconsciemment, renvoi en fait vers une histoire que l’on a inscrit depuis l’enfance, quelqu’un avec qui on s’entendait ou pas, on était mal à l’aise.<o:p></o:p>

    En dynamique de groupe, on se retrouve tous en cercle, un au centre.<o:p></o:p>

    Ce qui participe au début dans l’interaction, c’est la place du corps. Et là, commence une communication circulaire. On a une identité de nom.<o:p></o:p>

    On regarde dans les yeux pour se soulager du reste, pour être assurer.<o:p></o:p>

    C’est ma relation avec mon corps qui va se dégager avec les autres, car ils nous regardent, nous interprètent. Le regard des autres est extrêmement important.<o:p></o:p>

    Que va-t-il se passer en cours ?<o:p></o:p>

    Quel rapport y-a-t-il entre le cours et le TD ?<o:p></o:p>

    En quoi est-ce une dynamique de groupe ? Comment se positionne-t-on ? Pourquoi ? <o:p></o:p>

    Il faut analyser.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Définition de la dynamique de groupe<o:p></o:p>

    SCIENTIFIQUE<o:p></o:p>

    L’ensemble des phénomènes psychosociaux dans les petits groupes et l’étude des lois naturelles qui les régissent.<o:p></o:p>

    C’est la science de ses phénomènes dans un groupe dit primaire.<o:p></o:p>

    Identification de ses lois  internes ,plusieurs points d’étude :<o:p></o:p>

    -relation entre le groupe primaire et son environnement.<o:p></o:p>

    -les inter influences sont susceptible de modifier le groupe et l’environnement.<o:p></o:p>

    -influence du groupe primaire sur le comportement suivant le regard posé du groupe sur l’individu. Ce sont les autres qui m’assigne une place. Quand il y a convergence entre la place que je veux et celle que les autres m’assigne. S’il y a divergence, ce sont les autres qui veulent m’assigner une place que je ne veux pas, donc je m’y oppose et crée donc des tensions.<o:p></o:p>

    -étude de la vie affective des groupes= le vécu groupal. Il y est différent de la somme des sentiments ressenti par les individus qui composent le groupe.<o:p></o:p>

    -étude des facteurs de cohésion et de dissociation à l’intérieur des groupes primaires à ses facteurs étant associés à la temporalité qui assure l’existence du groupe.<o:p></o:p>

    METHODE ET UTILISATION<o:p></o:p>

    C’est aussi en même temps une méthode de groupe pour agir voir soigner la personnalité, pour que le groupe agisse sur l’individu, pour que les petits groupes agissent sur les grands groupes.<o:p></o:p>

    Ex : alcoolique anonyme<o:p></o:p>

    Va exercer une action psychologique qui oriente l’individu et le groupe vers des phénomènes de changement par le moyen du groupe<o:p></o:p>

    On aboutit à des groupes d’influence et groupe de manipulation. Ce sont des recherches qui ont amenés les études sur la manipulation mais ont aussi enclenché la méfiance du public vis à vis des psychosociologues.<o:p></o:p>

    On utilise ces méthodes pour soigner les troubles de la personnalité, on utilise des méthodes psychothérapeutiques interpersonnelles dans un groupe pour le diagnostique du trouble et son traitement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour que la dynamique de groupe fonctionne, on doit être névrosé. Il faut que l’on est un équilibre névrotique.<o:p></o:p>

    Dans un parcours psychotique, on ne se soucie pas du regard des autres, donc pas de dynamique de groupe.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise des lois issue des recherches sur la dynamique de groupe pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe. Le but est d’améliorer le fonctionnement, l’efficacité et l’autorégulation des petits groupes dans toutes les situations ou ils ont des objectifs à atteindre (comité, groupe de travail, commission).<o:p></o:p>

    La dynamique de groupe débouche enfin sur l’étude et la mise en œuvre des changements sociaux, par le moyen des petits groupes. Les objectifs à atteindre sont la responsabilisation et l’autonomie des personnes, la maturité sociale et l’intégration du changement par le groupe, l’efficacité du groupe face aux changements, l’adaptabilité des petits groupes à l’environnement.<o:p></o:p>

    En conclusion, ces deux axes sont constitutifs de la dynamique de groupe et interdépendants.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    LE GROUPE PRIMAIRE<o:p></o:p>

    Dans l’histoire de la dynamique de groupe on a pu constater l’émergence de la réalité sociale (ex : association).<o:p></o:p>

    Pour qu’un groupe soit primaire.<o:p></o:p>

    -si leur découpage du groupe ne correspond pas à une catégorie abstraite (ex ; les fumeurs, les blondes, ne sont pas des groupes primaires)<o:p></o:p>

    -a une catégorie démographique :<o:p></o:p>

             -age, sexe, activité<o:p></o:p>

             -à une réalité économique, sociologique<o:p></o:p>

             -à des réalités socioculturelle<o:p></o:p>

    -le groupe primaire est limité par le nombre, c’est un groupe restreint.<o:p></o:p>

    -le groupe primaire est un groupe ou chacun se connaît et se reconnaît et peut établir avec les autres des relations personnelles. On note l’existence de relation de chacun avec tous (au moins par le regard)<o:p></o:p>

    -Le groupe primaire constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à l’environnement naturel ou social.<o:p></o:p>

    Par opposition il y a les groupes secondaires caractérisé par des relations indirects, sentiments d’appartenance globale, communication par intermédiaire.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


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  • DYNAMIQUE DE GROUPE <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Qu’est ce que la dynamique de groupe ?<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    C’est un ensemble des phénomènes psycho sociologiques <o:p></o:p>

    dans les petits groupes et l’étude des lois naturelles qui les<o:p></o:p>

    régissent<o:p></o:p>

    c’est une méthode de groupe pour agir, voir, soigner la personnalité, pour que  le groupe agisse sur l’individu, pour que les petits groupes agissent sur les grands groupes appelés groupe d’influences , ex : le nazisme <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    c’est la science de ces phénomènes dans un groupe dit primaire et l’identification des lois internes :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → relation entre le groupe primaire et l’environnement. les inters influences sont susceptibles de modifier le groupe et l’environnement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → l’influence du groupe primaire sur le comportement des individus qui le compose et cela suivant le regard posé du groupe sur l’individu <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → l’étude affective des groupes que l’on appelle « le vécu » groupal, il est différent de la somme des sentiments ressentis par les individus composant le groupe. le groupe n’est pas la somme des individus <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    → étude de facteurs  de cohésion et de dissociation à l’intérieur des groupes primaires, ces facteurs étant associés à la notion de temporalité qui assure l’existence du groupe <o:p></o:p>

    Cette méthode va exercer une action psychologique qui oriente l’individu et le groupe vers des phénomènes de changements par le moyen du groupe. On aboutit à des groupes d’influences et groupes de manipulation, ce sont des recherches qui ont amenés des études sur la manipulation mais on aussi déclenché la méfiance du public vis-à-vis des psycho sociologues.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    on utilise les méthodes psycho thérapeutiques de groupe qui se serve de la situation de relation inter personnelles dans un groupe pour le diagnostic du trouble et de son traitement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    On utilise des lois issues des recherches sur la dynamique de groupe pour voir comment elles régissent les phénomènes de groupe. le but est d’améliorer le fonctionnement, l’efficacité et l’auto régulation des petits groupes dans toutes les situations ou ils ont des objectifs à atteindre <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Etude et la mise en œuvre des changements sociaux par le moyen des petits groupes, les objectifs à atteindre sont la responsabilisation et l’autonomie des personnes. la maturité sociale et l’intégration du changement par le groupe, l’efficacité des groupes face aux changements, l’adaptabilité des petits groupes à l’environnement <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ces deux axes sont constitutifs da la dynamique de groupe et interdépendants <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Groupe primaire ou restreints : permet de voir l’émergence sociale de certains groupes : association, village, famille <o:p></o:p>

    C’est un groupe primaire : <o:p></o:p>

    • Si leur découpage ne correspond pas à une catégorie abstraite, les individus ne sont pas reliés par un seul point commun, ex : les fumeurs <o:p></o:p>
    • Si leur découpage ne correspond pas à une catégorie démographique, de sexe, d’age ou d’activité et à une réalité économique ou socio économique <o:p></o:p>
    • Réalité socio culturelle <o:p></o:p>
    • Le groupe primaire est limité par le nombre, groupe restreint <o:p></o:p>
    • Chacun se connaît et se reconnaît et peut établir des relations personnelles avec les autres et note l’existence des relations de chacun avec tous. le groupe primaire constitue une unité psychologique spécifique qui rend les membres solidaires par rapport à l’environnement naturel ou social par opposition il y a des groupes secondaires caractérisé par des relations indirects caractérisé par un sentiment d’appartenance globale <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La dynamique de groupe se présente sous deux formes : <o:p></o:p>

    ▪ forme de méthode donc de pratique <o:p></o:p>

    ▪ forme de courant de recherche qui correspond à cette méthode <o:p></o:p>

    Les places que l’on occupe dans un groupe sont toujours les mêmes, l’organisation dans le temps signifie et manifeste les relations qui avancent, il peut y avoir des relations sans interactions <o:p></o:p>

    En psychologie, la distance entre soi et l’autre suscite le désir , COOLEY , 1909 a empreinté l’expression « dynamique de groupe »  qui la lui-même empreinté à TONNIS , qui fait la différence entre communauté avec des relations directes et personnelles  et avec la société organisé ou on a des relations structurés et impersonnelles . Les individus qui composent le groupe primaire ont intégrés en eux un nous qui c’est substitué au jeu, par opposition les groupes secondaires se caractérisent par des relations indirectes et un sentiment d’appartenance globale, des communications par intermédiaire <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Classification des groupes primaires <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    ü      Groupes naturels, constitués de façon spontanée <o:p></o:p>

    ü      Groupes artificiels, ils peuvent momentanés ou persistants <o:p></o:p>

    ü       Groupes primaires naturels sont par ex la famille élargie, les amis, ils sont caractérisés par des relations affectives naturelles <o:p></o:p>

    ü      groupes primaires artificiels sont les camps de vacances, groupes expérimentaux, groupe de formation <o:p></o:p>

    ü      groupes primaires durables, persistants existent sur une longue durée, par ex les clubs <o:p></o:p>

    ü      groupes primaires momentanés sont d’une faible empreinte, les membres en ont un souvenir limité dans le temps <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les caractéristiques psycho fondamentales <o:p></o:p>

    o        1er caractéristique : l’interaction suppose une relation directe et inter influence des réactions et une inter pénétration des cadres de référence, on les appelle (interaction) les échanges, ils sont directes sans intermédiaire, ils sont verbales et ou non verbale, par rapport à ses interactions, le groupe influence les attitudes des individus <o:p></o:p>

    o        2eme caractéristique : l’émergence des normes, ce qu’on appelle norme des règles de conduite structure et supporte le groupe. Dans un groupe primaire, elles se constituent avec le temps et ce qui est conforme à des normes et considéré comme bien. Pour les membres du groupe, l’ensemble des ces normes constitue sont code des valeurs de groupe, se code varie d’un groupe à l’autre <o:p></o:p>

    o        l’existence de but collectif commun : résoudre un problème, effectuer une tache, s’organiser défensivement, survivre sont autant de but de groupe, la communauté de groupe est le ciment du groupe. Et par ce critère là « existence de but collectif commun », le groupe a une cohésion <o:p></o:p>

    o        existence d’émotion et sentiments collectifs, cette existence correspond aux situations dans lesquelles le groupe se trouve, à sa gestion des organisations et aux réactions collectives <o:p></o:p>

    o        émergence d’une structure informelle qui est de l’ordre de l’affectivité et qui est l’organisation et la répartition de la sympathie antipathie, les voix par lesquelles circule l’influence, la position des membres dit populaires et ceux dit rejetés, la naissance de sous groupes dans le groupe avec des pôles de conflit ou d’attraction.  On parle de structure informelle car elle est non officielle et souvent non consciente donc cette structure informelle peut entrer en conflit, opposition avec une structure formelle, officielle imposée de l’extérieur <o:p></o:p>

    o        existence d’un inconscient collectif, l’histoire commune vécu par le groupe, son existence collective et son passé sont des sources  de problème latents de points sensibles qui sans être présent à la mémoire actuelle font partie de la vie du groupe  et en explique les réactions. le groupe n’a pas conscience des phénomènes psychologiques qui déterminent les conduites de ces membres et les membres n’ont pas conscience des phénomènes psychologiques qui déterminent leur conduite en groupe <o:p></o:p>

    o        l’établissement d’un équilibre interne est un système de relations stables avec l’environnement, à travers les difficultés de son existence le groupe engendre un double système d’équilibre ; système interne et externe c'est-à-dire inter groupal et par rapport à ce contexte, lorsque cet équilibre est remis en question par rapport à  certain événement, le groupe s’y résiste et survit et tente à reconstituer un nouveau équilibre <o:p></o:p>

    Nous venons de voir les données caractéristiques et critères qui permettent de comprendre pourquoi divers groupes sont malgré leur diversité de personne, style d’existence sont des groupes primaires appelés communément petits groupes ou groupes restreints <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les différentes influences qui ont fabriqué cette dynamique de groupe : courant et contexte <o:p></o:p>

    L’étude des petits groupes humains a été influencée par des courants et contextes qui ont contribués à modéliser la dynamique de groupe <o:p></o:p>

    1er courant d’influence : <o:p></o:p>

    Le modèle empreinté à l’électro magnétisme, il est dit qu’un groupe, c’est un champ de force qui s’exerce à l’intérieur d’une zone de liberté laissé par les institutions sociales. Dans ce courant la conduite du groupe est la résultante de la combinaison de ses forces selon les lois psychologiques ; KURT LEVIN est l’inventeur de la conception générale du champ, il tire certaines lois dont une très importante, « tout groupe fonctionne suivant un équilibre quasi stationnaire et résiste à tout changement autre que des variations autour de cet équilibre ». LEVIN est un psychologue expérimentale sur les groupes artificiels autour de ces lois et peu avant sa mort il abandonne cette théorie à cause d’un manque d’explication sur certains mouvements de groupe résultant de phénomène inconscient <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Groupes primaires et leurs interactions <o:p></o:p>

    L’objet d’étude des : structure et fonctionnement des groupes sociaux et le rôle joué par les membres : <o:p></o:p>

    Kurt Lewin : rôle de chacun des membres, agent de changement <o:p></o:p>

    Moreno : travail sur la formation des gangs ou chacun s’attribue un rôle <o:p></o:p>

    Dynamique, relation entre force et mouvement, l’affinité est un concept de sympathie, de dé sympathie, d’indifférence <o:p></o:p>

    L’énergie du groupe est au service dedeux fonctions :<o:p></o:p>

    • conservation<o:p></o:p>
    • progression ver le but <o:p></o:p>

    On peut dire que le groupe restreint est différent d’une foule (rassemblement épisodique d’un grand nombre d’individus non nécessairement les mêmes, prédisposé à l’apathie devant un meneur, à la contagion des émotions et aux actions paroxystiques<o:p></o:p>

    Il est différent d’une bande qui est caractérisé par la recherche du semblable et le renforcement de l’identification à celui-ci , différent d’un groupement ou d’une association dont le but est de confier  à des représentants actifs, la défense des intérêts communs à des gens qui se connaissent peu personnellement<o:p></o:p>

    Différent d’un groupe secondaire ou organisation qui rassemble un assez grand nombre d’individus en vue de taches différenciées et régie les rapports entre le individus par rapport  à l’institution selon les structures et les règles de fonctionnement pré établies dans l’institution <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Perspective Lewinienne : il applique à la gestadthéorie à l’étude des groupes et il envisage le groupe comme un tout dont le fonctionnement est autonome  <o:p></o:p>

    Selon lui en agissant sur un élément privilégié, on peut modifier la structure d’ensemble, il élabore des modifications en labo sur des groupes artificiels, puis il les applique à des groupes réels (atelier, école, quartier) <o:p></o:p>

    Le petit groupe modifié est un agent de changement social à l’intérieur de secteur plus vaste de la collectivité, le groupe est un double système interdépendant entre les membres et les éléments du champ (contexte) <o:p></o:p>

    Tout ce qui va représenter les normes, buts, représentations du milieu interne et externes, la division des groupes, la définition des statuts <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kaufman, théorie du champ, le système des interdépendance d’un groupe donné, explique les conduites de ces membres .De la émerge les thèmes d’études , le climat et le moral, le prise de décision, l’autorité, rôle et attitude, créativité, négociation, résistance au changement   <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moreno : psychothérapie de groupe et mouvement de psychodramatique, théâtre thérapeutique qui repose sur la théorie du rôle : le théâtre impromptu <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kurt Lewin crée la fondation du contre de recherche sur la dynamique de groupe : out groupe se forme et s’installe dans une forme selon l’équilibre des forces et des tensions et selon le champ perceptif des individus<o:p></o:p>

    La notion d’équilibre d’une forme associée à celle de dynamique des énergies permet d’analyser l’organisation et les changements dans les groupes  <o:p></o:p>

    En 1923, Lewin émigre aux E.U, quittant l’école de la gestadthéory en Allemagne ou il étudiait des ensembles de configuration signifiante, par rapport auquel se situe et agisse les individus <o:p></o:p>

    Gestadthéory : psychologie de la bonne forme c'est-à-dire une forme prégnante qui se détache d’un fond non structuré constituant ainsi un ensemble limité structuré<o:p></o:p>

    L’étude de Lewin est au niveau de la perception puis il étudie l’individu par rapport à la configuration générale de son espace de vie au champ psychologique <o:p></o:p>

    Champ psycho : organisation et configuration des significations que les choses, les êtres et les situations ont pour lui .Psycho en terme d’espace : psy topologique <o:p></o:p>

    Lewin s’intéresse au groupe en temps qu’ensemble, climat psycho où se détermine des conduites individuels <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    En 1946, il quitte Harvard et intègre le centre de recherche de dynamique de groupe à Ann. Harber (institut for social recherch)  <o:p></o:p>

    Il conduit à l’université de nouvelle Britain une session historique d’où né le T .groupe nommé aussi le training groupe , fondé sur la parole des participants <o:p></o:p>

    Si pour Lewin les groupes sont des totalites dynamiques résultant des interactions entre les différents membres, c’est en fonction de l’organisation perceptive de l’espace sociale que les énergies mise en jeu se compétent et se combattent : les groupes fonctionnent aux changements :<o:p></o:p>

    Si le groupe est un champ de force alors l’intégration de l’info dans le champ perceptif du groupe va déclancher le changement <o:p></o:p>

    Lewin : conduite alimentaire<o:p></o:p>

    Il constate que la ménagère prend les décisions d’achats alimentaires, il est jugé négativement car possibilité de changer les capacités d’achat <o:p></o:p>

    Des craintes subjectives sont passablement dé passable : blocage<o:p></o:p>

    Résolution pour changer les capacités 32% ; en déplaçant les énergies du groupe vers un nouvel équilibre c'est-à-dire convaincre personne après personne qu’elle est inadapté face à un processus de groupe .Ici le but est de réduire les craintes et de déplacer la norme <o:p></o:p>

    • 1er étape : restructuration du champ perceptif<o:p></o:p>
    • réduction de la tension<o:p></o:p>
    • possibilité de changement <o:p></o:p>

    Il est plus facile de changer les habitudes d’un groupe que celles d’un individu, il existe toujours un facilitateur de changement, dans ce cas la ménagère est ce qu’on appelle un leader d’opinion <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dans tous les groupes, les individus agissent dans un système d’équilibre, chaque groupe possède son champ dynamique d’équilibre avec ses canaux de communication, ses frontières, ses portiers et ses barrières<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les vies et expériences avec les enfants  <o:p></o:p>

    Celles-ci ont occasionné avec le concept de climat .La notion de changement va avec la résistance au changement cette idée  est en train de revenir au niveau des chercheurs de ‘info communication <o:p></o:p>

    3étapes dans le changement <o:p></o:p>

    • décristallisation : on informe, explique, sensibilise <o:p></o:p>
    • changer : déplacer les résistances  et réduire les tensions <o:p></o:p>
    • recristalliser : créer un nouvel équilibre satisfaisant les membres du groupe et consolider cet état de nouvel équilibre<o:p></o:p>
    • Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de l<o:p></o:p>

    Si le changement remet en question les habitudes culturelles acquises au cours de l’enfance et donc qu’il atteint un étayage de la personnalité alors il risque (le changement) d’être difficile à installer lors d’une communication dans le groupe sauf à envisager un groupe psycho thérapeutique<o:p></o:p>

    Le changement tel que l’explique Lewin ne touche que les couches superficielles de la personnalité ainsi que les comportements identificatoires ( on accepte l’idée qu’il y a un changement) , tout changement suppose que le groupe se retrouve « dans une bonne forme » et une nouvelle organisation satisfaisante pour le groupe, cela a donné lieu a une expérience sur le climat : Lippit,White et Lewin <o:p></o:p>

    (3gr différents, 3 façons différentes de donner les consignes, 3 façons différente dont l’animateur se déplace)  donc on obtient 3 climats <o:p></o:p>

    Autocratique : groupe où l’organisation est définit de l’extérieur par l’expérimentateur qui a donné au préalable objectif et moyen pour la réalisation des buts c'est-à-dire avec des éléments conscients<o:p></o:p>

    Démocratique : il y a une interaction des individus pour trouver une organisation optimale, l’expérimentateur définit avec les enfant, but, moyen, répartition des taches<o:p></o:p>

    Laisser faire : l’expérimentatoire pose la consigne et n’intervient plus <o:p></o:p>

    «  TYPES DE CLIMAT qui vont donner lieu à 3 types de réaction » <o:p></o:p>

    • Autocratique, autoritaire : présente des résultats médiocres avec une bonne efficacité pourtant peu d’enthousiasme chez les enfants, réalisation poussive, les interactions sont tendus on note de la frustration et une oscillation entre apathie et agressivité.Si l’expérimentateur sort la tâche est interrompue , le groupe est dit non autonome <o:p></o:p>
    • Démocratique : les résultats sont bons, niveau de production élevée et satisfaction aussi, les relations entre les membres sont fondés sur la coopération avec la réduction de tension , la tache est poursuivie lorsque l’animateur sort,le groupe est autonome<o:p></o:p>
    • Laisser faire : présente des résultats mauvais , sentiment de frustration important ainsi que les comportements d’agressivité , le groupe est no autonome avec un sentiment d’échec important  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le groupe démocratique constitue une forme idéale d’organisation, il répond aux valeurs idéologiques ambiantes et aux comportements intériorisés de l’éducation <o:p></o:p>

    Modèle et valeurs intériorisés « donne la bonne forme » pour un groupe quand à son organisation, elle répond à un équilibre momentanée des forces mises en jeu  


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